cavaillongay-lesitelocal

  vous voulez savoir : eh ben oui ça s'est bien passé ; ça se passe mieux si vos parents sont cool !  

Quand j'étais un petit garçon, plein de vie et de joie
Un jour que j'étais très gentil, mon père me rapporta
Un jouet extraordinaire avec de gros yeux verts
Je l'ai pris dans mes bras mais quand je l'ai posé par terre

{Refrain:}
Il faisait "Zip" quand il roulait
"Bap" quand il tournait
"Brrr" quand il marchait
Je ne sais pas ce que c'était
Et je crois que je ne le saurai jamais

Tout étonné la première fois, quand je l'ai retourné
J'ai vu qu'il avait sur le ventre deux gros boutons dorés
J'ai poussé l'un et l'autre après, puis les ai tirés tous les deux
Mais quand je l'ai reposé par terre, j'ai ouvert de grands yeux

{Au refrain}

Il marcha comme un militaire, tout à coup il s'assit
Il passa sous une chaise et puis, soudain disparut sous le lit
J'ai pleuré tandis que mon père, lui, riait aux éclats
Car en me retournant, je vis le jouet qui était derrière moi

{Au refrain}

Les années ont passé trop vite, et justement hier
Dans le grenier j'ai retrouvé ce jouet extraordinaire
J'ai appelé mon petit garçon, et le lui ai offert
Il était vieux et tout rouillé, mais quand on l'a posé par terre

{Au refrain} paroles claude françois   

  RECIT : 

     "Je raconte ce qui est arrivé à la maison je vous laisse imaginer que ce soit chez-vous !  ; voilà : "Avant que vous puissiez expliquer davantage, vous réalisez que votre mère essaie de bien voir qui est derrière vous.Merde!Tu avais complètement oublié Lorne!

Vous passez le couloir à l'étroit, révélant l'adolescent maigre qui se tient maladroitement derrière vous.Il avait été complètement éclipsé par votre taille et votre présence accablante.

«J'ai rencontré un nouvel ami», expliquez-vous.«Maman, c'est Lorne.Lorne, c'est ma mère.

«Lorne vient de sortir du placard aujourd'hui.Je l’aide, euh, à  s’adapter à sa nouvelle situation.
    
Tu lances un sourire complice au garçon. Lorne vient de rougir en réponse.Ce n’était pas si difficile quand tu l'as rencontré de t'apercevoir qu’il était  amoureux du 'muscle viril' -lol-.Même si cela t'a pris tout l'après-midi pour le convaincre que tu le trouves attrayant. Cela choquerait probablement le pauvre garçon que tu aies fréquenté les mêmes sites musculaires homosexuels que lui donc tu te gardes d'en parler ou d'en laisser trace sur ta tablette.
    
Ta mère, en revanche, a soulevé un sourcil lucide.Mais elle n’allait pas arrêter les choses.Elle semblait être beaucoup plus disposée à l'indulgence devant cette nouvelle réalité d'un fils en couple.Cela t'a un peu effrayé de voir à quel point tes parents acceptaient et parlaient maintenant de ta vie sexuelle.Mais avec ta nouvelle libido à pleine puissance, ce fut un soulagement de ne pas avoir à leur cacher des choses.

«Enchanté, Lorne, dit-elle chaleureusement.

Elle s'est tournée vers toi à nouveau.
    
«C’est génial que tu te fasses des amis si rapidement", at-elle poursuivi.«Les dernieres rencontres ont semblé mal se passer pour toi… et honnêtement, je ne sais pas pourquoi.Je veux dire que tu es si charismatique et sociable et bien, tu es si beau aussi.

Maintenant, c’est à ton tour de rougir - tout rappel de toi-même, même le souvenir confus des événements passés par ta mère, semblerait te ramener à ta vieille personnalité tant qu'elle a été paniquée de tes désirs homos enfin acceptés.
    
Tu essaies de changer de sujet.

"Nous allons dans ma chambre maman."

"Etudier j'espère?" Elle sourit.

Tu ris, alors que Lorne, décomposé, effrayé de ton culot, semble vouloir être n'importe où, sauf devant ta mère.

C'est ta faute, tu aurais dû peut-être le mettre au courant sur le fait qu'elle était «détendue» à propos de certains sujets délicats?    

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Quelques minutes plus tard, ta mère est enfin seule.Elle peut entendre d'en haut le bruit des meubles qui se déplacent, les chaussures jetées sur le sol et après une minute, le faible bruit d'un gémissement étonné ou deux.Au moment même où elle pensait que les garçons se réchauffaient, une porte en haut s'est ouverte et des pas lourds ont piétiné l'escalier.

"Maman ! As - tu vu ma boîte de jouets? "

"Je pense que c'est toujours dans le sous-sol, mon chéri."

“Oh, c'est vrai.Merci!"
         

    Franckeintein ' s dick   or Hulk's 

    Les yeux étonnés de Lorne ne tarderont pas à être émerveillés