Jeudi 9 mars 4 09 /03 /Mars 09:07

    Sexe sans nom ni genre. Image associée 

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    MOI : 

    «Talons de quinze centimètres, escarpins lacés élançant la courbe des jambes magnifiquement moulées par des leggings noirs qui se meurent en dentelles aux dessus des chevilles, au-dessus des leggings une minijupe en tissu synthétique aux motifs floraux bleus sur un fond blanc ceint ses hanches, un bout de sa chair mate laisse apparaître un nombril percé dont l’ornement est « un lapin Play-boy », puis le haut se couvre d’un corset bleu entre un ras-le-cou diamanté, sa gorge est l’appât des baisers les plus honteux.

 

Elle-il ? m’a appelé tout à l’heure, la respiration trouble, en plein excès de libido.

 

On s’est rencontré via un chat, elle-il?  postulait pour du sexe réel. Actuellement elle tient mon sexe bien réel dans la main… Nous sommes dans un bar, assis sur une banquette, écartés de la foule.

 

Depuis notre rencontre, nous nous embrassons tel que le font les mariés lors de leur lune de miel, profondément, de manière dégoûtante ; Elle-il ?  ne me lâche pas non plus la queue. Sa main passée sous la braguette, Elle-il ?  me branle et le baiser brûle. Nous n’avons pas touché à nos consommations. Je mets ma main entre ses jambes, sa bite est aussi raide que la mienne, je la sens parmi les dentelles de son string. Nous nous touchons, avides l’un de l’autre, voulant nous dévorer, bandant au maximum et prêts à décharger comme la retenue d'un barrage brisé . Le baiser s’arrête, Elle-il ?  me regarde dans les yeux, les siens brillent de l’envie de sucer… c’est ce qu’Elle-il ?  fait. Gêné d’être en public et enchanté entre ses lèvres, je préfère l’enchantement à la gêne. Son string dépasse de sa mini-jupe ; il est violet et de petites dentelles noires le bordent, j’y passe la main. Elle-il ?  me retient. Ôte ma queue de son palais et retourne à mes lèvres pour m’embrasser, encore toute aromatisée par mon pré-sperme. Puis elle glisse sa langue contre le lobe de mes oreilles et nous échangeons, à basse tonalité, ces quelques mots :D

 

— Baise-moi !

— Ici ?

— On s’en fout d’où ! J’ai envie que tu me défonces (tout en me palpant les couilles), où tu veux…

 

Je paye nos verres inutiles et, Elle-il ?  en me prenant la hanche et moi lui prenant les fesses, nous quittons l’endroit.

 

On marche, on trouve un hall d’immeuble accessible, on monte au dernier étage par l’ascenseur, dans ce dernier Elle-il ?  me mange de nouveau le gland et s’en délecte, je suis près d’éjaculer… Le sachant Elle-il ?  se lève, se retourne, monte sa jupe, baisse ses leggings, écarte son string, se cambre et me présente un anus écarquillé paré d’un rubis anal, j’ôte le bijou et rentre mon majeur dans la chaleur de son ventre et, crescendo, trois doigts pénètrent. Elle-il ?  est prête ! Je rentre, ses épaules entre mes mains Elle-il ?  m’invite à la(le) baiser, à la(le) démolir. Pour satisfaire à ses attentes je rentre d’un coup vif, Elle-il ? lève la tête et pousse un râle puis d’un « oui » essoufflé avoue sa satisfaction, je vais et je viens, la(le) caressant de toutes parts et la comblant de baisers vertigineux.

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En plein enculage la porte de l’ascenseur s’ouvre : nous sommes arrivés. Et comme deux chiens agglutinés, mon sexe encore dardé en elle, nous sortons de la cabine pour qu’Elle-il ?  plaque ses mains contre le mur d’en face et que je continue de lui péter le cul, à ce stade de sauvagerie il n’y a pas d’autres mots. Aux sons des claquements de chair et des gémissements, nous nous palpons et ne sommes qu’un seul animal extatique et en sueur ; deux êtres emboîtés et inséparables avant la pluie de foutre qui s’annonce, car sous mes caresses je la(le) sens palpiter et, par transmission de jouissance, je décharge dans ses intestins par longs jets réguliers, je lui remplis le ventre de sperme et ma main posée sur sa bite est toute gluante du sien. Nous redevenons deux êtres et nous nous séparons. Elle-il ?  s’accroupit, met sa main sous son cul et recueille le sperme que j’y ai laissé, puis Elle-il ? se lève et me regarde dans les yeux, me faisant comprendre qu’Elle-il ?  rêve de tout boire, mais avant de l’avaler Elle-il ? m’offre un baiser somptueux, mouillé et divinement pervers.

 

Et toujours en nous tenant comme un couple nous quittons l’immeuble. Puis nous nous séparons sur un « à demain ». » 

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ELLE :

«Comparé à la photo, le mec était plutôt beau gosse : grand, brun, yeux bleus. Le cliché du beau gosse. Ça marche toujours… Et bien monté avec ça ! Dans le bar, j’ai cru que j’allais jamais m’arrêter de le sucer ; c’est qu’il avait une bite bien droite, majestueuse, bref : parfaite ! Un régal pour les papilles. Puis je me suis rarement fait baiser comme ça, aussi intensément… Rien que d’y penser… Dire qu’on s’est dit à demain ! Cet après-midi risque d’être mémorable !

 

Une branlette, un mini-short, un haut sexy, une perruque à frange et quatre heures de maquillage plus tard, me voilà prête, et ça se voit : prête à se faire enculer pendant des heures. La plus belle pour aller sucer… quel vilain langage ! N’empêche qu’il n’est pas dit je fasse autre chose…

 

14 h, il est au rendez-vous. On a changé de café. Il a l’air enchanté de me revoir, je le reconnais à sa queue déjà dure, ma main étant individuellement partie en reconnaissance. Un homme n’a pas plus sincère que sa bite pour prouver son plaisir à côtoyer une femme. Et une femme, j’en suis une ! Des plus belles : de celles qui ne se vantent pas de rentrer dans du 36 mais qui rentrent dans du 36 ! Nous nous asseyons. Il me dit que je suis le meilleur coup de toute sa vie, je lui réponds : évidemment, regarde. Et de nouveau je le suce comme je rêvais de le faire un peu plus tôt. Tout d’abord les longs coups de langues, puis le gland entre les lèvres… hum… La sentir rentrer doucement dans mon palais – toute entière –, puis frotter mon front contre ses abdominaux… J’adore ce moment, les allers-retours langoureux, les lèvres gourmandes, sa main qui m’appuie doucement sur la tête disant « suce ! ». À mon tour je bande et mon cul commence à se sentir vide. Je veux cette bite en moi, elle focalise tous mes désirs. Je lui en fais part :

 

— Tu es à moi jusqu’à demain !

 

Puis je l’embrasse, laissant mon bel amant le membre palpitant. Il doit se retenir. Une queue pareille ça s’économise.

 

Et le temps de débander tous les deux, nous trouvons un hôtel correct. À peine rentrés dans la chambre c’est le déluge ! Il m’attrape par les hanches, m’embrasse la gorge, me lèche les joues, m’enfonce sa langue contre la luette, me palpe le cul, la queue, je ne sais plus où donner de la bouche et des mains. À grand renfort de gestes maladroits nous enlevons nos vestes, continuant à nous embrasser, à nous toucher de partout, à se vouloir.

 

Soudain on frappe à la porte. Bizarrement il ouvre et me présente très naturellement un copain à lui. Et moi très naturellement je me dirige vers ce copain, je lui saisis très naturellement le paquet en lui déposant un baiser sur la joue et me tourne vers l’autre :

 

— Tu me connais déjà mieux que personne…

 

Puis j’embrasse de nouveau le copain inattendu, cette fois-ci avec la langue, et je reprends :

 

— Mais il en faudrait dix de plus comme vous pour faire le compte. Vous avez intérêt à me faire l’amour comme six.

 

Et les bases mathématiques étant posées, pour résoudre le problème ils me prennent en sandwich et m’embrassent tour à tour. Puis je m’agenouille, les défroque et je rends leur baiser en plus vigoureux à leurs membres. Mon premier chéri, déjà bien chaud, m’envoie une décharge en plein milieu d’une gorge profonde, je déglutis et me fais un plaisir de tout boire. Tout cela commence bien. Je ne lâche pas le deuxième, qui est aussi bien membré que le premier, voire mieux. Quitte à me faire enculer, je préfère celui-là, un peu d’aventure ne fait de mal à personne. C’est en baissant mon short et mes collants, en me cambrant mains contre le mur et en le fixant que je lui fais comprendre que l’aventure c’est maintenant. Le monsieur comprend très vite et je le sens me pénétrer par à-coups, à en croire sa méthode ce n’est pas la première fois qu’il encule… Ça promet un rodéo d’enfer !

 

Et c’en est un ! La moitié de son membre enfoncée, il le rentre d’un coup sec… Humm c’est douloureux trois secondes mais après… après c’est le paradis ! Dès qu’il sort un peu, je m’empresse de l’enfoncer au maximum en roulant des reins. C’est bon, je me suis habituée à mon hôte, c’est dans ce genre de situation que je me surprends à hurler :

 

— Vas-y, baise-moi comme une chienne ! Vas-y !

 

Et c’est sûrement le seul ordre donné par une femme auquel les hommes obéissent volontairement. À me voir me faire tamponner comme s’il s’agissait d’une course au record, mon premier chéri demande à participer. Par voie de conséquences me voici prise en levrette sur le lit, une queue dans la bouche. Le deuxième, ayant passé vingt minutes de pur bonheur entre mes fesses, envoie lui aussi sans prévenir quelques giclées au fond de mon ventre. Ce qui ne me déplaît pas, puisque je propose à celui que je suce de finir de me remplir. Mot pour mot, je parle comme ça quand j’ai une bite dans le cul et une dans la bouche, j’y peux rien ça m’excite.

 

Ainsi les rôles sont échangés et mon cul avide de sperme retrouve vite ses repères quand la queue du premier partenaire reprend sa place de la veille.

 

La manière est différente mais le plaisir et le même. Peut-être trouvé-je cela trop monotone quand, n’étant pas en train d’avaler une verge, je demande :

 

— Défoncez-moi à deux !

 

C’est nouveau pour moi mais qu’est ce que c’est bon… Sentir deux beaux membres à l’étroit dans mon petit cul… J’ai l’impression qu’il va exploser mais je m’empale quand même, et je tente des va-et-vient… Et c’est tellement bon ! Au bout de cinq minutes à m’habituer, je commence vraiment à m’amuser : les deux sont couchés l’un face à l’autre et moi je suis assise au milieu, gobant leurs deux queues que je n’arrive plus à m’imaginer hors de moi. Je frétille dessus, sentant le bas de mon ventre brûlant. Traversée par un frisson indescriptible, tantôt je tourne sur moi-même, malmenant mon trou du cul, gémissant de plaisir, tantôt je me laisse pénétrer, appuyant de tout mon poids comme si je voulais les sentir taper contre mon cœur. Mes amants se laissent faire les yeux clos. Je danse sur leurs bites désormais, il n’y a plus de douleur, rien que mes sphincters chatouillés à l’extrême et la jouissance que ça me procure. J’éjacule enfin, extasiée par cette baise acrobatique, et mes amants ne tardent pas. Je me retire et une coulée de foutre dont on ne peut identifier le propriétaire s’échappe, je la recueille du bout des doigts et la déguste. Le goût mélangé de leurs spermes termine cette série de délices. On se sourit. Je regarde l’horloge : 17 heures… Je m’adresse donc à eux :

 

— Je suis sûre que vous avez d’autres copains-surprise…

 

En effet, ils en ont. Et ce coup-ci personne ne se dit à demain. On ne se quitte plus. » 

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Par SILVESTERA - Publié dans : TRANS - ET- CHANGER DE GENRE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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