Partager l'article ! quand le cul du blanc est le violon, la bite du noir l'archet qui le fait gémir...la longue bite d'Abdou répondait à la tradition dont nous les bla ...
tradition, que nous, les Blancs, ne cessons de reproduire. A cinquante ans j’ai un amant et il est noir. Cela fait bizarre dans ma bouche alors que le «j’ai une maîtresse » ne m’est arrivé que deux ou trois fois. Et encore, des baises de passage, une solitude à partager dans ces hôtels confortables, mais sans âme.
Il est contre mon dos. Je sens parfaitement son mandrin qui semble toujours dur. Il se frotte à moi. Me provoque.
— J’ai envie de toi… me susurre-t-il à l’oreille.
— Moi aussi.
— Oui, mais envie de toi, je veux dire envie de ton petit trou.
quand le cul du blanc est le violon, la bite du noir l'archet qui le fait gémir...la longue, longue bite d'Abdou répondait à la tradition dont nous les blancs, admirateurs envieux, sommes assez responsables
— me ménager serait me témoigner moins d'affection, ah, baise-moi fort, défonce-moi !¤
NOTES : "tradition, que nous, les Blancs, ne cessons de reproduire. Combien de maris, cocus-contents, sur les sites de cul offrent leur femme a de beaux spécimens ? La toile est saturée de ces hommes que la Nature à bien pourvus. Nature qui se venge en ridiculisant la soi-disant suprématie de l’homme occidental par une virilité africaine qui fait envie. Bref, je me surprends à admirer la bite des noirs...d'UN noir, ABOU, mon amant" (PAUL)
"Pascal Sevran, gay et admirateur implicite de la bite des noirs avait créé une polémique Dans son livre Le privilège des Jonquilles, il avait écrit que les Noirs ont la mort « au bout de leur bite. » Un scandale pour beaucoup d’associations, qui décidèrent alors de porter l’affaire en justice (encore d'autres furies prêtes à se faire du fric en déposant plainte NDLR ) l’éditeur de l’ouvrage a été poursuivi au tribunal, entretemps Pascal est mort" (claudio)
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