Partager l'article ! statistiques : l'odeur des couilles et de l'entrejambe a perdu du terrain : TROP DE DOUCHES -lol-: & ...
même notre propre odeur a du pouvoir sur nous !
et nos partenaires !
Le copain de mon coloc, Tyler (Ty[taï] pour les intimes) devait passer quelques jours avec nous cet été.
Son nouveau passe-temps cet été c'était la course et il partait chaque matin faire environ 5 km d'un agréable jogging. Le problème
c'était qu'il gardait son short serré de Champion imbibé de sueur pour le restant de la journée et jusqu'en début de soirée, l'odeur venant de son entrejambe était suffisante pour
emplir la pièce
"Mec, je peux pratiquement "voir" se répandre la puanteur de ton paquet," ai-je dit ce jour-là un sourire
aux lèvres.
Ty a alors étendu les jambes et a jeté un coup d'oeil à son entrejambe. Le short était si serré et sa queue et ses boules si
grosses que leur contour et leur formes se distinguaient depuis l'autre pièce !
Plié en avant Ty a pris une inspiration et il m'a dit les yeux dans les yeux : "Allez mec, c'est pas si terrible . Ca ressemnle aux odeurs de vestiaire, c'est tout ! "
Je lui ai mis une bière dans les mains tout en en posant une pour moi sur la table.
"Je suis d'accord pour dire que ça sent comme au vestiaire en ce moment, et je ne veux justement pas que ma
salle de séjour se transforme en vestiaire," ai-je dit. "Et quand tu étends tes jambes comme pour donner de l'air à ton trou du cul, ça ne fait qu'empirer."
Ty éclate de rire. "Oh allons, tu fais de la peine à ma queue et mes boules, et d'abord comment connais-tu l'odeur de mon trou du cul
m'a-t-il demandé en se penchant vers moi ?
Moi aussi je me suis penché vers lui pour lui dire : " C'est Chris, (mon coloc ) qui m'a raconté que quand vous étiez au lycée vous deviez partager une chambre de motel pendant un tournoi de lutte, à la fin de la journée ta combi puait ton cul et tes boules. Ahah, je me souviens ! j'avais l'habitude de torturer Chris en frottant mon maillot sur sa gueule pour le réveiller le matin. " Hummm dis-je, avec un clin d'oeil quelle chance il avait!". "oh, il avait la même chance que toi de pouvoir sentir ça "dit-il en prenant en main sa bite qui grossissait dans son short. "Oh, ça je sais pas répondis-je en tombant à genoux et avançant doucement vers lui."Je crois que je peux plus supporter son odeur" "Alors c'est mieux de se rapprocher" dit Ty en écartant les jambes sur les accoudoirs du fauteuil, la bite en pleine érection à cet instant. Je saisis alors ses jambes et avançai mon visage vers son entrejambe. Il sentait merveilleusement comme un homme après une longue journée...Bien que de goût et d'odeur musquée je suçais son bonbon, collant ma langue pour lécher le précum qui coulait de sa bite. J'étais content que Chris ne devait pas rentrer avant plusieurs heures !
Adapté de l'américain ici à bord de cavaillongay-lesitelocal
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