Partager l'article ! aux portes de l'horreur SOUMISSION ACCEPTEE ET ASSUMEE « J'étais servi comme je le voulais »: http://entre-hommes.h ...
http://entre-hommes.histoires-de-sexe.net/histoires/histoire-lire.php?histoire=7926
Kévin, 20 ans, en temps ordinaire je travaille dans un bureau
Le monde du travail n'est pas simple.
Je m'appelle Kévin j'ai 20 ans, je travaille dans un bureau dans le bassin Annécien. J'y travaille depuis quelques mois et mon passé me
suit.
Décidément le monde en est plein. Je veux parler des homos. Déjà au bahut je passais pas mal de temps à genoux devant des copains, je
m'aperçois qu'au bureau c'est la même chose. A croire que c'est écrit sur mon front !!! Trois jours ont suffi à un collègue du bureau
pour s'apercevoir que ma bouche ne sert pas qu'à parler. Pourtant je ne provoque ni ne cherche ces situations. Rien à faire, je finis
toujours à genoux !
Remarquez, je n'ai rien contre, je dirais même que j'aime bien, mais pourquoi toujours moi? Maintenant mon chef vient régulièrement
dans mon bureau pour se faire sucer. Et il n'hésite pas le bougre. A peine entré il ouvre sa braguette devant moi, sort son sexe et me
demande de le sucer. Je reste assis sur ma chaise et je m'exécute sans discuter. Il me tient la tête au moment de jouir et éjacule dans
ma bouche. De toute façon je n'ai pas envie de me retirer. Je suis son aspirateur personnel comme il aime à dire.
Tout a commencé le troisième jour dans l'entreprise avec des insinuations genre "promotions canapé", les hommes font ça mieux que les
femmes, qui n'a jamais fait ça? etc, etc... En étant d'accord avec lui je ne mesurais pas le sens de mes paroles. Lui si ! Il m'a
demandé si j'avais déjà sucé un copain de classe. A croire qu'il lisait dans mes pensées. Je lui ai répondu "oui", il a passé
son doigt sur mes lèvres. Je me suis laissé faire.
Il a posé sa main sur mon épaule en appuyant dessus pour que je m'agenouille. Il m'a simplement dit:
_" Suce moi."
Ce n'était pas la première et certainement pas la dernière! J'ai ouvert sa braguette, sorti son sexe et j'ai sucé.
Maintenant entre deux dossiers il vient me voir régulièrement. Il a une quarantaine d'années et il parait que je fais cela mieux que sa
femme.
Un soir il m'a demandé de rester un peu plus tard pour finir un dossier. Nous étions seuls. Les autres employés étant partis il est venu dans
mon bureau avec un homme que je n'avais jamais vu. 50 ans au moins. Mon chef s'approche de moi et me demande de sucer ce monsieur. Je
suis étonné et surpris.
Sous pretexte que je ne le connais pas, je refuse. Il sort son sexe et me dit:
_"Moi tu me connais, suce moi. Fait pas ton timide."
J'avais la queue devant mon nez et devant tant d'insistance j'ai ouvert la bouche. Il n'a pas fallu longtemps pour me retrouver avec une deuxième
bite devant moi.
_"Regarde, deux queues rien que pour toi. Tu vas te régaler."
Il avait raison. Je bandais ferme. J'avais un sexe dans chaque main et je suçais a tour de rôle. Le plus âgé prit la parole:
_"T'avais raison Michel. Elle suce bien ta salope.."
On m'avait déjà traité de salope mais jamais le féminin pour parler de moi. Il continua :
-"Léve toi!"
Debout devant lui il me tripote les couilles.
_"Mais elle bande cette salope! Déshabille toi! Dépêche toi! Tu vas nous sucer a poil."
Pas commode le gars. Trés autoritaire et trés brutal. Un peu con j'obéis quand même. Je suis pris dans le jeu mais d'un seul coup je me sens
inquiet. Ce qui
a pour effet de me faire débander. Je suis nu au milieu de mon bureau. Le vieux enlève son pantalon et son slip se met une capote et me
dit:
_"Tu vas sucer ton chef et je vais t'enculer. Je vais montrer a ton chef comment on utilise un mec comme toi. T'es une salope alors
montre nous se que tu sais faire."
Je me suis laissé faire. J'en avais envie secrétement. Dans mes rêves je voulais être une salope et me faire prendre comme tel. Il avait lu en
moi ce désir d'être soumis. L'âge de mes partenaires a contribué, à découvrirce que mes copains d'école n'avais jamais fait. J'étais a
leur merci. J'en prenais plein le cul et le fait de creuser mes reins sous les coups de butoir montrait bien que le plaisir monter en
moi. Parfois je recevais des claques sur mes fesses
qui me stimulaient encore plus. Ils le voyaient bien et redoublaient d'efforts. Jamais je m'étais fait enculer comme ça et c'est bien dommage car
c'était merveilleux. Mon chef n'était pas de bois non plus, lui aussi me sodomisait. On était tous a poil. Je m'en suis rendu compte
quand mon chef s'est vidé les couilles dans ma bouche suivi de l'autre personne. Il me tenait par les cheveux d'une main et de l'autre
se masturbait devant ma bouche grande ouverte.
Trois rasades de sperme ont giclé au fond de ma gorge. Il s'est retiré, s'est penché sur moi pour me cracher dans la bouche en me disant:
_"Avale salope."
Je me suis empressé d'obéir. Je sentais couler le liquide dans ma gorge, c'était bon.
On a repris nos esprits en se rhabillant, puis mon chef m'a complimenté:
_"Je ne te savais pas aussi cochon Kévin, on remettra ça, je vois que ça t'as plu. Non?"
Pas eu le temps de répondre le vieux prit la parole:
_"Cochon? Une belle salope oui! Une bonne petite soumise. Elle poura passer le samedi chez moi, j'inviterai mes potes pour lui passer dessus.
T'entends salope? Tu viendras chez moi pour te faire enculer?"
_" Avec plaisir" J'ai répondu en souriant.
_"Je vais faire de toi un bon petit bâtard, tu vas vite perdre ton sourire quand tu te retrouveras avec ton p'tit cul éclaté. Et appelle moi
Monsieur.
T'es déjà mon bâtard. D'ailleurs je viens te chercher samedi prochain. Ok bâtard?"
_"Oui Monsieur."
J'avais perdu mon sourire. Je suis rentré chez mes parents étonnés de me voir arrivé si tard. Je leurs ai répondu que j'avais été retenue par des
affaires
vieilles de cinquantes ans mais captivantes. Ils étaient loin de s'immaginer a quel point je disais vrai.
Les jours suivant au bureau, sont passés tranquillement. Mon chef est venu pour me parler de la soirée. Il voulait savoir se que je pensais de
Paul.
J'ai répondu que paul avait sut faire surgir se que je ressentais au profond de moi et que c'était se que je cherchais sans le savoir. Je le
remerciais de
me l'avoir présenté. Il m'emmena dans les combles du batiment, la ou l'on range les vieux dossiers et entre deux casiers me sodomisa. Il était 9h30
du matin.
A 14h Paul est venu me chercher le samedi au bureau. Avec l'accord de mon chef il m'emmena chez lui. Ca commence fort. Dans le garage du sous-sol on
se
dirige vers la voiture, je pensais monter devant, il n'en n'était rien.
_"Déshabille toi et monte dans le coffre bâtard."
J'obéis. Avant de monter dedans il me pose un collier autour du cou et m'inscrit sur le front avec un gros feutre "BATARD" afin de ne pas oublier
ma nouvelle condition. Il ramasse mes vetements, les jette dans la voiture, referme le coffre et démarre. Je suis balloté dans ce coffre
exigu en me demandant ce qu'il va m'arriver et pourquoi j'ai accepté. J'ai un peu peur. Le trajet dure une petite heure environ. Quand le
coffre s'ouvre nous sommes
dans le garage d'une villa. Je descend, je suis tout engourdi. Paul me fait mettre a genoux me pose une laisse sur le collier et un bandeau sur les
yeux.
A 4 pattes je le suis. J'entends un brouhaha tout prés. On stoppe. Paul dit:
_"Voila la salope comme promis. Elle a 20 ans et on va en faire un bâtard, une chienne soumise. Elle n'attend que ça. Pas vrai pétasse?"
En me disant ça, il me donne un petit coup de pied dans les côtes. Je réponds :
_"Oui monsieur
J'entends des rires. Ils sont nombreux. On me reléve. Je suis debout les mains sur la tête les jambes légèrement écartées. On me pose une
question;
_"Qui es tu?"
_"Je m'appelle kévin monsieur."
Je reçois une gifle sur le visage.
_"Tu es un bâtard et tu t'appelles bâtard. Compris? Qui es tu?"
_" Je suis un bâtard et je m'appelle bâtard monsieur"
On attrape mes testicules et on serre trés fort, sous la douleur je baisse les bras et je reçois une gifle de nouveau.
_"Bouge pas batard sinon je t'attache les mains dans le dos"
Je reconnais la voix de Paul. Il me serre les couilles, je serre les dents. Quelqu'un me tripote les tétons et je ressens une douleur. Ce sont des
pinces que l'on me pose. Je grimace. Puis on me caresse la queue. Je commence a avoir une érection malgré la douleur des pinces. Je bande
franchement.
_"Tu bandes batard? Tu veux nous enculer peut être? Je vais te faire passer l'envie de bander. Viens ici connard. Si t'as pas encore compris que
t'es qu'un
trou et que t'es ici pour notre plaisir et pas le tiens je vais te l'expliquer clairement sale chien."
Brutalement il me fait monter sur une table basse. Je suis à 4 pattes toujours avec les yeux bandés. J'entends quelqu'un dire:
_"Vas-y paul montre nous comment tu vas punir ta chienne. Fait la morfler cette pute.
En effet j'allais morfler. Des coups de ceintures sur les fesses tombaient avec force. Je criais en demandant d'arreter. Pour réponse j'ai reçu des
gifles et pour me faire taire on m'enfonça un sexe dans la bouche. Les coups s'arretèrent, maintenant on m'enculait. Pendant un bon moment je
suis resté dans cette position et on me baisait de chaque côté. ils s'amusaient en riant, me baisant chacun leur tour.
J'étais servi comme je le voulais. On me laissa reprendre mes ésprits.
_"Alors connard? T'as compris que t'es qu'une chienne? Et c'est que le début, tu vas tellement en prendre dans le cul que demain tu pourras plus
t'asseoir.
Maintenant tu vas nous montrer comment un bâtard se débrouille seul. Je vais te mettre une bouteille dans ton fion en commençant par le cul de
la bouteille, tu vas t'accroupir dessus et te goder comme ça devant nous pendant qu'on te regarde."
Avec ce que je venais de prendre, la bouteille n'a pas eu trop de mal a rentrer mais le diamétre me dechirait la rondelle. Paul me fit descendre de
la table
basse en tenant la bouteille par le goulot. Je me mets à genoux en m'asseyant sur mes talons, le goulot touche le sol, je le coince entre mes pieds
et je commence
par remonter doucement et sans la faire ressortir je redescends. Je sens toute la bouteille en moi et un violent désir m'envahir. Je prends du
plaisir à faire la salope devant une assemblée m'encourageant. Les pinces tréssautent sur mon torse. Elles sont bien accrochées. Ce mélange
de douleur et de plaisir est envoûtant.
Maintenant j'ai accélèré la cadence, je grimace tellement c'est bon. On m'enlève le bandeau. Ils sont une dizaine à me regarder. Toutes des
personnes âgées qui
prennent leur pied avec un p'tit batard. Je n'ai même pas honte, je m'en fous, je suis devenu un bon petit batard. Paul me donne une gifle et me
crache au visage:
_"Aboie chienne. Défonce toi le cul pédé et aboie comme une chienne que tu es."
En me regardant faire, il prend des photos. Les mecs passent un par un pour se vider les couilles dans ma bouche, j'avale a chaque fois. Certains se
vident en me baisant littéralement par la bouche. Ils me tiennent par la tête. Je suffoque. Quand tout le monde a joui Paul me retire la
bouteille et m'emmène dans son jardin.
Il me promenait en laisse, je suivais a 4 pattes comme un bon chien. J'étais là pour les soulager. Pour la première fois je me faisais pisser
dessus. Les vieux salauds!!
Paul prenait encore des photos. Quand ce fut terminé paul me releva, enleva les pinces. Ca fait terriblement mal!! Et m'ordonna de
me masturber. Je commence par me faire bander, j'y arrive de suite tant j'étais excité puis j'ai laché des doses de foutre en tremblant, tellement cette jouissance fut forte. Jamais je n'avais
joui comme ça!!!
Je suis allé prendre une douche. Quand je suis revenu, presque tout le monde était parti. Avant de me ramener, Paul me posa une cage sur le sexe
avec un cadenas qu'il
garderait. Je ne devais me masturber qu'en sa présence. Des scéances futures arriveront et je dois me tenir sagement. Il me dit:
_"J'éspère que ta première expérience t'a plu et que tu as aimé."
Je lui ai répondu qu'il avait su répondre a mes attentes. J'étais ravi. Nous sommes rentrés au bureau.
Derniers Commentaires