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SEXO-> les homme dits "sains" n'ont pas à se poser des questions. Pour eux, en caricaturant, c'est envie, baise, envie, baise, etc... Ne disons pas qu'un problème de "séduction" comme dit Stéphane, soit irréductible, mais , dès qu'il se pose, le problème a des racines difficiles à contourner.
BEN C'EST CE GRAND GAILLARD-LA QU'IL FAUT AIDER...-lol-
Stéphane a 27 ans et il le dit, il n’est pas souvent à l’aise. Pas confiance en lui. Militant engagé, ancien étudiant en politique, ce passionné de science-fiction use de mots durs pour se décrire :
Avec les relations sentimentales et sexuelles, il a un peu de mal. C’est pour ça qu’il nous a écrit.
Voici les mots de Stéphane, ce « loser de la baise », comme lui le dit.
Ma dernière relation sexuelle ? Je peux citer la date et l’heure. Le 30 mai 2014, plus d’un an maintenant. J’ai rencontré la fille sur un réseau social de « sorties amicales ». La vingtaine, elle allait passer le bac alors je l’ai aidée à réviser.
Lors d’une séance de révision, on s’est embrassés puis pelotés. La semaine d’après, elle est venue chez moi, officiellement pour réviser. Elle n’était pas très intéressée, j’ai un peu insisté et elle a accepté.
J’ai d’abord voulu la prendre en missionnaire, mais ça ne l’excitait pas trop. Du coup, elle a grimpé sur moi, en amazone, elle adorait cette position, ça tombait bien puisque moi aussi, c’est ma préférée. On a fini au bout de trente minutes.
C’est l’unique fois où l’on a eu un rapport sexuel. C’est bien dommage. Après ça, notre relation a vite décliné. En même temps, je me suis attaché à elle juste dans l’idée de coucher, ça ne pouvait mener nulle part, la base n’était pas saine.
Coucher avec une fille, ça tourne vite à l’obsession. Sur le réseau social de « sorties amicales », par exemple, je ne me pointe pas aux sorties où il n’y a que des hommes.
Il y a bien une fille qui me plaît en ce moment. On bosse ensemble dans une association, mais je ne sais pas ce qu’elle ressent, je n’ai jamais osé le lui en parler. Puis maintenant, je pense avoir franchi la limite de la « Friend Zone ».
Est-ce que je me sens en manque ? Franchement, ma libido n’est pas très forte mais il m’arrive parfois de me sentir en « rut ». Je me réfugie dans ma tête, je compte le nombre de mois où je n’ai rien fait, je me masturbe deux à trois par jour.
Je consomme du porno amateur. Quand je me connecte à un site, je vais directement dans cette catégorie. Les vidéos sont moins formalisées que les professionnelles. C’est comme si je vivais la relation par procuration, je me dis : ça ressemblerait à ça si j’avais une copine, un moyen d’essayer de ressentir ce qui m’est inaccessible autrement.
J’utilise un plug anal et des masturbateurs, des sortes de fourreau en forme de vagin. J’en ai deux, dont un qui simule une fellation. C’est du manuel, pas électrique. J’ai aussi fait l’acquisition d’une poupée gonflable. Et j’ai vu qu’ils avaient sorti une nouvelle gamme, un tronc en silicone.
Quand ma tension sexuelle monte trop haut, je vais dans un club gay. Avoir des relations sexuelles avec des hommes ne me repousse pas, viscéralement parlant. Je dirais que je suis bi-curieux. Je ne suis jamais tombé amoureux d’un homme et jamais un mec ne m’a plu, spontanément dans la rue.
Ma dernière fois avec un homme, je la date à février 2015. Oui, j’ai dit tout à l’heure que ma dernière fois, c’était en mai 2014, mais il faut comprendre que coucher avec un mec, je considère ça comme un acte purement mécanique, « pour me vider ». S’il n’y avait pas l’ambiance particulière du club gay, la musique et les cellules privatives, je ne ferais rien.
Les hommes rencontrés sont plutôt passifs. Je ne me suis jamais fait prendre. Parfois, juste un câlin, on se masturbe, on se suce, on s’embrasse, voilà. Ah si, je me rappelle une fois vraiment bien, avec un homme, plutôt vieux. Il m’a sucé jusqu’au bout ! Ejaculation dans la bouche, ah bah ça, c’était super, la première fois qu’on me le faisait. Lui était tout content de sucer un jeune, il me disait : « Ah, ça, c’est une bien belle bite. »
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