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classé dans vivre sa sexualité : l'actif
Nos natures mystérieuses :
"sa transformation quand on s'est retrouvés dans son lit m'a étonné".
C’est Ralph, le premier mec avec qui j'ai vraiment fait l'amour. Il avait 25 ans, des cheveux châtains bouclés, des yeux noisette et un sourire qui m'a fait craquer à notre première rencontre. Il avait également une certaine expérience et la première fois que nous avons baisé, j'ai été un peu surpris par ses réactions. Mon expérience à moi se bornait à ce que j'avais pu glaner sur le net.
Dans la vie de tous les jours, le comportement de Ralph était constamment viril et même parfois brutal. Aucun signe ne laissait penser qu'il était gay. Physiquement il était costaud et sportif. Il faisait encore du judo et tous ses gestes étaient vifs, précis et énergiques. C'est pourquoi sa transformation quand on s'est retrouvés dans son lit m'a étonné.
Au fond de lui, il était doux et caressant. Presque féminin. Après nous être embrassés et roulés des patins en nous tripotant sur toutes les coutures, il m'a chuchoté à l'oreille qu'il adorait qu'on lui bouffe la rondelle et qu'on le prenne. D'un air de me demander si ça me plaisait. II ne pouvait pas tomber mieux dans mes fantasmes puisqu'il m'offrait son cul.
Je l'ai allongé sur le ventre et l'ai admiré. Ses épaules larges et musclées, ses hanches étroites et ses fesses menues et parfaitement rondes. J'ai fait glisser ma langue tout le long de la colonne vertébrale et j'ai mordillé ses reins. Ils étaient recouverts d'un très fin duvet qui leur donnait encore plus de velouté. Il a frémi quand j'ai promené mes lèvres sur ses fesses. La peau était tiède et d'une douceur fabuleuse. La chair ferme et compacte, parcourue de frissons.
J'y ai enfoncé ma bouche. Je l'ai mordue. J'ai léché toute la surface des deux globes en dégustant leur saveur. La raie m'attirait irrésistiblement mais je voulais prendre mon temps. M'habituer à l'idée que j'allais réaliser mon rêve. Ralph a poussé un gémissement quand ma langue s'est infiltrée entre ses fesses. Il a cambré les reins ce qui a eu pour effet de les écarter sensiblement l'une de l'autre. J'ai plongé ma bouche dans la faille. Elle était moite, brûlante, délicieuse. Tout son corps a sursauté quand la pointe de ma langue a touché les fines muqueuses qui se sont nerveusement contractées. Il a levé ses reins pour mieux s'offrir. Une bouffée de passion m'a emporté. J'ai collé mes lèvres sur le trou et j'ai dévoré sans retenue sa chair la plus intime.
Une plainte de plaisir montait de sa gorge tandis qu'il balançait ses reins de droite à gauche. De mes deux mains crispées j'ouvrais ses fesses le plus largement que je pouvais. Excité à la fois par le plaisir que je donnais et par celui que j'éprouvais. Il est presque impossible de décrire l'exaltation qui était la mienne. Cette volupté qui me submergeait et que j'éprouvais par tous mes sens.
Les odeurs et les saveurs, la consistance de la chair souple et vivante qui fondait dans ma bouche. Les petits cris de Ralph. Les mouvements de son corps habité par une tension qui montait graduellement.
Finalement, il a dit d'une voix haletante : «Prends-moi maintenant !» J'ai promené mon gland sur l'orifice qui palpitait
Je voulais voir ma bite s'enfoncer dans lui et le prendre. Je voulais le posséder. Il a poussé un cri quand mon noeud a franchi l'anneau. Il m'a semblé que je m'engloutissais dans un paradis de douceur chaude et onctueuse. Mon pubis s'est écrasé entre ses fesses. Il était à moi. Mes yeux ne se rassasiaient pas de la beauté de ce cul écartelé et empalé, de la vision de ce trou dilaté dont la peau luisait sous la tension que ma verge lui imposait. Ralph m'encourageait à le bourrer à fond, à venir dans lui encore plus fort encore plus vite. Les muscles de son anus se serraient spasmodiquement autour de ma queue.
Je l'ai pilonné pendant de longues minutes avec le sentiment d'une jouissance très vive mais stable. Comme si j'avais pu me retenir indéfiniment d'éjaculer. La réalisation de mon rêve d'adolescent était encore plus belle que mon rêve lui-même. J'aurais voulu qu'elle ne s'arrête jamais. C'était une volupté si forte qu'elle dépassait tout ce que j'avais connu jusque-là.
À la suite de cette première étreinte nous avons passé toute la nuit à baiser dans toutes les positions et de toutes les manières possibles. Nous nous sommes sucés, léchés et pénétrés avec nos doigts et notre langue. J'ai bu le sperme de Ralph et il a bu le mien. Mais j'en revenais toujours à son cul et lui souhaitait avant tout se faire enculer. Nous avons connu du premier coup une jouissance partagée et entente parfaite.
Sur le matin, alors qu'on était tous les deux fatigués par nos excès, il a exigé que je le prenne une dernière fois. J'ai mis longtemps à bander malgré l'habileté avec laquelle il me suçait. Mais moi aussi je désirais me régaler encore de son cul. Il me l'a offert étendu sur le dos et les cuisses repliées contre sa poitrine. Son anus entrouvert par nos précédentes unions m'a aspiré avec une délicatesse qui m'a tiré des soupirs de bonheur. Notre dernier orgasme a été simultané.
Par la suite, les culs de mecs m'attiraient de plus en plus. Les formes, les couleurs, la pilosité plus ou moins abondante. Les différences qu'il pouvait y avoir selon qu'ils étaient larges et joufflus ou étroits et minces, cambrés ou plats, dodus ou minces et nerveux. Je ne me lassais pas de les mater.
Après Ralph j'ai eu d'autres amants. Beaucoup m'ont apporté autant de plaisir que lui mais je n'ai plus jamais ressenti avec autant d'intensité cet éblouissement de la découverte. C'est pour ça que l'image de celui qui m'a donné son cul pour la première fois est restée si vive dans ma mémoire. D'autres ont été plus tendres ou plus habiles mais ils n'étaient pas les premiers.
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