Partager l'article ! pour un gay comme moi, tellement il y a de beaux mecs, dans ma fac ce serait le paradis. Je peux deviner que certains de mes camarades sont gays, mais ...
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engager les conversations sur ce sujet
Avec [s]es mains de maraudeur
De [gigolo] et de rôdeur
Qui ont pillé tant de jardins
Avec [s]a bouche qui a bu
Qui a embrassé et mordu
Sans jamais assouvir sa faim... Moustaki
pour un gay comme moi, tellement il y a de beaux mecs, dans ma fac ce serait le paradis. Je peux deviner que certains de mes camarades sont gays, mais je n'ai jamais osé faire le premier pas pour engager les conversations sur ce sujet
Ce soir, lassé de mater les beaux mâles dans les amphis, j'ai suivi un type à l'arrêt d'autobus. Et je me suis retrouvé chez-lui. Rien d'un étudiant celui-là !
Il sort des tunnels du métro à quelques mètres de moi et garde une vitesse de marche assez élevée. Je le suis en faisant attention
à ne pas le perdre de vue parmi les groupes de fumeurs devant les terrasses des bars nocturnes. Au détour d'une rue, je le vois s'arrêter devant un immeuble. Ça doit être chez
lui.
.Mon petit cul vierge s'en souviendra longtemps.
À ma grande surprise, il se met à me mordre les épaules et le cou, et les lèche sans retenue, il me fait des griffures partout tandis que je gémis de plus belle. Je ne suis plus qu'un gémissement. C'est le moment de l'estocade. Il accélère ses mouvements. Je m'apprête à recevoir le fruit de notre enculade. Mon trou du cul brûle et sa semence va éteindre le feu qui s'y trouvait. Son corps se tend, son étreinte devient puissante, douloureuse, et il se bloque dans mes fesses, profondément. Sur la pointe de ses pieds il transfère son jus au fond de mon anus. Je ressens les pulsations de son dard . Une nouvelle chaleur m'envahit : son jus expulsé violemment en moi. Je jouis à mon tour. Peu savent faire ça : mon baiseur accompagne la fin de quelques coups profonds supplémentaires. Il reprend son souffle sa queue toujours encastrée dans mon cul glissant de sperme. Il s'amuse encore continuant ses va et vient un peu débandés. Réellement j'ai envie qu'il éjacule à nouveau. Il se retire lentement. Ca peut pas être autrement. Mon trou orphelin doit être béant. Je sais pas. Je glisse quelques doigts dans ma fente mouillée. Mon anus extrêmement sensible, chaque contact m'envoie une décharge électrique. Je me sens pas souillé. Juste bien. Une flaque de jus se forme sous mes fesses. J'étais tellement excité que j'avais envie de lui sauter dessus pour recommencer. Mais il a déjà enfilé son boxer sa bite encore à moitié bandée. Beau, grand, fort, transpirant, dominant, super bon coup… Il me presse de me casser en me tendant mon pantalon. Avec tout ce qu'il m'a dit au départ :
- Écarte ton cul, laisse-moi entrer dans ton cul, relâche-toi salope.
(J'avais mal, très, très mal, mais je faisais tout pour qu'il me baise. Il force encore et encore, passe mon premier anneau et s'arrête un instant.)
- T'as intérêt à vite t'habituer, je compte pas te ménager, tafiole.
C'est joué, je m'en vais...Avant de passer le seuil, il me dit :
"- Tu sais où j'habite".
Sidéré et heureux je vais tout faire pour que nos vies continuent...en parallèle
la dose !
je me suis donné à un inconnu alors que je fantasme de me faire baiser par un jeune mec de ma fac :
mais c'est sans regret : trop peur d'être moqué ou étiqueté comme "pédé" !
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