Partager l'article ! POLAR GAY>Je commençais à rouler pour rentrer chez moi avec un petit sourire content aux lèvres. Putain lorsqu'une sirène de voiture de police ...
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[Après cette soirée mémorable à deux (pour moi j'entends)Il venait de me dire : -eh dis, j'aurai peut etre des potes qui voudraient se vider de
temps en temps, parce que le bois de Boulogne ça revient cher à force... Ça te brancherait?
Interloqué par cette proposition je ne sus quoi dire...
-euh... Je sais pas..
-t'inquiète ils sont sympa comme moi, tu risques rien...
-ben pourquoi pas mais je les connais pas...
-tu les connaitras t'inquiète... Bon allez rentre chez toi, je suis crevé, je vais me mater un film et me pieuter...
-ok...
-allez rentre bien poto...
Je quittais sa chambre, descendais l'escalier, passais la porte d'entrée et retournais dans ma caisse. Au moment où je mettais le contact je reçu un
sms.
"J'ai kiffé gars, je reste hetero mais jsuis pas contre de se refaire ca un de ces jours. Rentre bien et envoie moi un sls quand t'es arrive chez
oit histoire que je sache si tu t'es planté sur un arbre ou pas ;)"]
Je démarrais et commençais à rouler pour rentrer chez moi avec un
petit sourire content aux lèvres. Putain encore un de ces feux rouges... Je m'y stoppais lorsqu'une sirène de voiture de police se fit entendre. Je checkais dans mon rétro... Putain... C'était
pour moi... Je me garais sur le bas côté, je sentis le foutre couler de mon cul et l'appréhension monter en moi. Une ombre se posta devant ma vitre que je baissais.
-papiers du véhicule monsieur et test d'alcoolémie et stupéfiant.
Putain avec tout ce que j'avais pris, adieu mon permis... À moins que.... J'arrive à marchander... ;)
e sortais de ma caisse, mon cul frottant contre le jean. Le jean? Le JEAN? putain j'avais du oublier de remettre mon calbut en partant de chez Jay. Putain, je devais avoir le futt trempé derrière mon trou… Je manquais de trébucher en sortant de ma bagnole. Le flic me regarda étrangement, un regard en biais, le genre de regard qui signifie « je vais pas te rater toi ». Putain et en plus derrière lui il y avait son collègue. Un grand mec qui devait faire 1m90 et proportionnellement large de muscle, la 20aine, des cheveux blonds et une barbe mal rasée de 3 jours. L'autre, un mec de 40 ans environ pas immense, un bon mètre 75 et musclé. Pas musclé comme un bodybuilder ou un gymnaste, le genre de musculature qu'il s'est faite à ses 20ans qui a petit à petit disparu sous une couche de graisse due au laisser aller du mariage.
Je sortais mon porte feuille, ma carte d'identité et la lui présentait. Les phares de leur voiture garée derrière la mienne éclairaient mon ID. Il me jugea et me rendit ma carte. Je rangeais le tout.
-tenez, soufflez là dedans.
Je regardais l'alcotest, avant de le regarder lui. Il semblait presque me sourire pour m'insinuer « je sais que tu vas éclater le seuil petit con! ». Je pris le test d'un air dépité et soufflait dedans. Je le tendis au flic qui le regarda pendant quelques secondes.
-ben alors, on sort d'une soirée arrosée?
-vous avez pas idée… lançais-je presque excédé, en en laissant penser plus que je voudrais.
Le flic me toisa du regard et l'air intrigué s'approcha de moi en pointant sa lampe torche sur mon visage.
-ça voulait dire quoi ça?
-non rien, vous pouvez baisser votre lampe svp?
-qu'est ce que t'as pris pdt cette soirée arrosée? Dis-moi vu que j'ai pas idée.
Je tentais de le regardais malgré sa lampe dans mes yeux. Me rendant compte que soit je risquais un long séjour au poste en disant avoir consommé d'autres drogues, soit je me tapais la honte de ma vie en lui avouant avoir tout simplement fait référence à mon cul bourré de foutre.
-non mais, je parlais pas de drogue monsieur…
-ah ouais, et tu parlais de quoi alors?
-de…de… non mais vraiment c'est pas du tout ce que je voulais dire… fis-je saoulé par la situation.
-réponds ou c'est le poste de police fiston.
-je reviens de me faire baiser et il m'a bien remplit. VOILA, vous êtes content.
Le flic me regarda un moment, et me prit le visage d'une main. Il tourna légèrement ma tête pour bien la mettre en face de lui et planta sa lampe dans mes yeux.
-putain, t'as les pupilles éclatées. T'es complètement défoncé toi non? Et tu crois que je vais gober ça? Max, fouille du véhicule.
L'autre flic s'approcha de la porte passager où se situais mon sac plein de beuh. Pendant ce temps le premier flic me mettait les mains dans le dos et les liant par une paire de menottes sous mes protestations et gesticulations. Il m'immobilisa sur la crosserie de ma caisse.
Le Max ouvrait la portière lorsque le premier flic remarque quelque chose.
-putain mais il a le cul trempé. Oh putain, eh Max il vient de se faire engrosser!
Max pouffa de rire en ouvrant mon sac. Son visage se changea en découvrant le caillou de shit d'au moins 150 euros qui traînait au fond de mon sac.
-Eric, je crois qu'on vient de faire une saisie là.
Il montra la pierre à son supérieur qui se fendit d'un immense sourire.
-Bon, ben on dirait que tu vas nous raccompagner et rester un moment avec nous au poste toi.
A ces mots, pris de panique, j'arrivais à m'échapper de ces puissantes mains et à courir sur la route pour m'enfuir. Evidemment, 3 mètres plus loin j'étais au sol, l'oreille écorchée par le goudron., Eric m'écrasant sous son poids. Il me releva et me poussa jusqu'à la voiture de police assisté par Max.
-arrêtez, s'il vous plait, je dors dans ma caisse s'il faut plus que je conduise, mais s'il vous plait, m'emmenez pas au poste!
tous deux rirent grassement.
-ils sont cons ces gamins…
-s'il vous plait, on pourrait pas s'arranger?
-oula non…
Au moment de monter à l'arrière de leur voiture je tentais le tout pour le tout.
-contre une pipe!
Il se stoppèrent dans leur action.
-pardon?
-si je vous pompe vous me laisserez partir.
Max éclata de rire en me répondant.
-putain je l'avais jamais entendu, non désolé ça marche pas comme… Eric?
Max venait de remarquer qu'Eric semblait le prendre au sérieux.
-Eric? tu… tu penses quand même pas que…
-Ecoute gamin, fit-il à Max, j'ai 42 ans, 3 gosses et une femme frigide comme du carrelage de cuisine. Et crois-moi que t'as pas assez de doigts
pour compter le nombre de mois qui me séparent de ma dernière baise. Alors si je peux tirer un coup gratuitement ce soir je vais le faire. Max était sur le cul et ne savait pas comment réagir.
Eric défit son pantalon et agitant sa bite molle devant mon visage éclairé par la lampe torche.
-allez, ouvre ta bouche maintenant. Je verrais ce que je fais de toi après que je me sois vidé.
Je regardais Max avec un air lubrique de défis et ouvrait grand ma bouche jusqu'à avoir la gueule collée contre les couilles poilues d'Eric.
-ah putain ouais… murmura Eric et me poussant la tête contre la carrosserie de leur voiture pour que je ne bouge plus.
Il s'enfonça en moi, prenant de la vigueur, je sentais sa queue gonfler dans ma gorge… Putain de morceau… un bon 18 par 4. Je manquais d'air mais continuais de pomper, je jouais mon casier judiciaire. Eric m'immobilisait la tête contre la caisse tandis qu'il me bourrait lentement mais profondément la gueule.
Le visage déformé par cette queue au fond de ma gorge, je tournais mes yeux éclatés par la weed et la violence de cette bite en direction de Max. Je le voyais tourner en rond, le visage marqué par le dégoût. Il croisa alors mon regard et se stoppa. Il me regardais avec écoeurement. Je voyais bien qu'il hésitait à continuer à me fixer. Pour lui montrer encore plus à quel point je suis une chienne, j'ouvre ma bouche en grand, des filets de salive relient mes lèvres à ses couilles. Il va tellement loin dans ma gorge que je m'étouffe sur ce membre, régurgitant une bonne quantité de bière et Jack sur mon torse, tissant ainsi un fil de bave entre mon menton et mon t-shirt. A aucun moment je ne perdit le contact visuel avec Max qui était figé dans son expression de dégout. Il s'approcha brusquement de moi.
-arrête de me regarder tarlouze! en me frappant le crâne.
eric sorti de sa transe et regarda Max en riant.
-j'ai déjà baisé un pd avant celui là, et crois moi, quand ils fixent quelqu'un c'est qu'ils veulent sa queue.
Sa baise de gorge produisait des petits clapotis qui animaient le silence ambiant.
Max me toisa avec dégoût tandis que je le fixais toujours et il me cracha dessus.
-putain tu m'écoeures…
Il vit que j'essayais tant bien que mal de sortir ma langue pour récupérer sa salive au bord de mes lèvres.
-putain mais t'aimes ça?! t'es vraiment une chienne.
eric lui donna une tappe dans l'épaule en souriant.
-allez donne lui ta queue, tu verras, les tarlouzes ont de meilleures gorges que les femmes.
Max le regarda l'air indécis et défis enfin son pantalon et sortit un monstre de son caleçon. un bon 13 par 4 sans bander avec de grosses couilles bien pendantes rasées à blanc.
Je quittais d'un coup la queue d'Eric et m'enfonçais violemment sur la troisième jambe de Max. Je réussis tant bien que mal à lui lécher les couilles pendant que sa queue était en fond de gorge. Je la sentais gonfler, s'étendre, s'épaissir, se raffermir et palpiter. Ma gueule reculait lentement le long de cette tige au fur et à mesure qu'elle croissait. Putain, mes lèvres lâchais ses couilles, 2cm me séparaient de son abdomen musclé, 3cm… 4… 5….!!! putain comment j'allais avaler tout ça?! Je l'avais déjà en fond de gorge, impossible de respirer et il restait encore 5cm à bouffer avant de lui lécher les couilles?!
Lentement Max saisit mon crâne et appuya dessus.
-ahaha… tu vas morfler.
Et il m'enfonça petit à petit sur sa bite. Mes yeux laissaient tomber des larmes, ma bouches suintait de salive et reliant d'estomac, j'essayais de me sortir de ce pieu mais il était trop fort et continuais de gagner du terrain. après plus secondes d'apnée je sentis enfin mon nez toucher son abdomen, puis mes lèvres contre ses couilles flasques.
-hhhhaaaaaa…
Il laissa sa tête aller en arrière, me tenant bien le crâne entre ses cuisses. De mon côté je mourrais, mon esprit tourbillonnais, mes yeux
roulaient sous mes paupières.
Soudain il lâcha prise et moi, à demi conscient je me vis couler le long de sa bite, de la bave dégoulinant de ma bouche avant de m 'effondrer sur le sol, toussotant d'enfin pouvoir respirer.
Il saisit sa queue à la base et l'agita dans l'air sans même me regarder.
-putain, il a la gorge bien profonde ce batard, je vais la lui trouer!
-ben vas-y je prends son cul.
Eric me ramassa alors que je toussais toujours. Il baissa la fenêtre de la portière ouverte et me posa les épaules dessus, le cul au niveau de sa bite, la bouche devant celle de Max.
eric m'appuya sur les reins me forçant à me cambrer tandis que Max me regardait avec des yeux vicieux que je n'avais jamais vu chez personne. C'était le diable, il allait me tuer!
-aaaaaaaaaaaah!
Eric venait de me transpercer de sa queue, malgré le foutre qui devait couler à flot de ma chatte, la pénétration fut douloureuse. Max profita de mon cri pour saisir mes joues et les écarter de ses mains pour favoriser l'accès à ma bouche. Je vis alors passivement une queue progresser sur ma langue et glisser lentement le long de ma gorge. Je voyais son abdomen se rapprocher inexorablement de moi. En même temps je sentais qu'Eric était en train de se venger des ses 12mois d'abstinence forcés. Il me ramonait la chatte, sans précaution ni pitié, il limait, il se branlait dans mon trou, me tant les cuisses fermées d'une main, m'écartant les fesses de l'autre. Les coups de bite d'Eric me faisaient m'empaler sur le manche de Max qui continuait toujours aussi vicieusement sa course dans ma gorge. Je m'étouffais à nouveau, expulsant une énorme quantité de remontée sur les couilles du flic qui me colla une baffe sur le cou pour me punir. Je sentais mes yeux luire de larmes sous les coups de bite. Enfin les couilles de Max rencontrèrent mes lèvres. Je pensais qu'il allait ressortir, mais non, il resta au fond de ma gorge, me prit par les oreilles et me fit faire de petits mouvement de va et vient sur sa hampe. Mes oreilles brulaient, ma gorge aussi, je salivais de partout, pleurais sur cette queue tandis qu'Eric me claquais le cul en m'insultant comme une chienne. Putain, je morflais, je n'avais jamais vécu ça.
Eric poussa soudain un cri, un râle masculin qui provenait du fond de la gorge. Il se planta en moi, ce qui me fit hoqueter sur la bite que j'avais au fond de la gorge. Mon cul semblait gonfler sous la déferlante de foutre qui devait prendre. Eric me finit en me donnant encore trois coup de reins bien placés avant de sortir sa bite de mon cul complètement détruit et souillé.
Il fit un pas en arrière, se pencha légèrement pour regarder mon trou, m'écarta les fesses d'une main.
-putain, je t'ai bien ouvert toi.
Il se releva, me claqua le cul, essuya sa bite de sa main qu'il essuya elle même sur mon t-shirt avant de se rhabiller et remettre en place sa ceinture.
Il passa derrière Max qui continuait de me bourrer la gorge sous mes larmes.
-dépêche toi de te finir Max, il va faire jour, j'ai hâte de rentrer dormir chez moi.
Max ne répondis pas, il se contenta de me démolir la gueule plus violemment, conduisant ma gorge par mes oreilles, me faisait faire des aller retour de plus en plus ample sur son immense queue. Enfin il m'empala dessus et se courba sur ma tête, me bloquant de son torse et ses avant bras, je ne pouvais plus bouger. Je sentis sa bite pulser dans ma gorge, je n'avais aucun pouvoir de décision, son foutre giclait en continu directement dans mon estomac, je toussais, m'étouffais sur cette bite, les mains toujours accrochées dans le dos par les solides menottes, je n'avais pas le choix, je devais subir.
Enfin il finit. il lâcha mes oreilles et fit lentement glisser sa queue hors de ma gueule. Je pouvais sentir chaque centimètre libéré par cette intrusion. Son gland tomba mollement hors de ma bouche. Je sentais l'état pitoyable dans lequel j'étais. Les yeux éclatés, le blanc de l'oeil rougit par la violence de cette queue, de la morve reliant mon nez au bas de mon visage et de gros filet de bave unissant ma mâchoire à mon torse.
Max tituba d'un pas en râlant de contentement. Après de longues secondes il rouvrit les yeux, un petit sourire accroché aux lèvres. Il secoua sa bite molle au dessus de moi pour la débarrasser de toute trace de salive avant de la ranger dans son boxer, puis de refermer son pantlon dessus. Il secoua la tête comme pour faire disparaitre une hallucination et poussa mon visage du bout des doigts hors du cadre de la portière. Je m'effondrais au sol comme une loque. J'entendis eric soulever mon essui-glace.
-on va se contenter d'une amende cette fois-ci.
Il vint vers moi, et m'enleva mes menottes en me parlant à l'oreille.
-la prochaine fois ce sera le poste et crois moi que dans la cellule de dégrisement il y a des cas pire que nous…
Il se releva et s'intalla au volant de leur voiture suivit de Max. La voiture fit une marche arrière et avança en me contournant, me laissant sur le bord de la route, le futt aux chevilles, les poignets douloureux et la gueule englué de salive.
Putain je faisais pitié…¤
j'avais du oublier de remettre mon calbut en partant de chez Jay. Putain, je devais avoir le futt trempé derrière mon trou…
-allez donne lui ta queue, tu verras, les tarlouzes ont de meilleures gorges que les femmes
commentaire : " un talent brut de décoffrage ! "
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