Partager l'article ! Photographe SANS DIPLOME autodidacte de 21 ans. Syrien originaire d’Alep,: MERDE ! IL EST SANS DIPLOME ? CETTE GUERRE VIENT DE LA GUE ...
MERDE ! IL EST SANS DIPLOME ?
CETTE GUERRE VIENT DE LA GUERRE DU GOLFE OU LES NATIONS OCCIDENTALES ONT TREMPE ET PLUS QUE TREMPE
des fois je me demande comment c'était pour nos grands parents qui ont connu des guerres...
LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX SONT-ILS SURDIPLOMES ? L’exposition « Guerre en contraste » ouvre en France et en Europe des fenêtres directes sur la guerre en Syrie. Elle met en lumière les photographies d’un jeune reporter, Hosam Katan, qui a vu sa vie se transformer à cause de la guerre. Son arme à lui, est l’image au coeur des tourments de l’humanité. Sans ce genre de reporter, on ne saurait pas…
Les photographies de Hosam Katan révèlent un regard authentique, touchant, humaniste sur la guerre civile en Syrie et plus particulièrement à Alep, la ville où est né et a grandi le photographe.
Cette exposition déconstruit les clichés d’une ville de combattants radicalisés, sans humanité, au contraire, il y a une population vivante qui, dans l’horreur de la guerre, a des espoirs légitimes de libertés. Du 17 novembre au 2 décembre, durée de l’exposition, plusieurs rencontres et temps forts seront organisés, pour croiser images, poésie, musique, cinéma, géopolitique.
Hosam Katan à propos de la photographie ci-dessus :
« Oui, il existe une sorte de quotidien dans la guerre. Et c’est vrai que ce quotidien et la guerre coexistent. La population essaie de s’adapter à la situation et ne veut pas tout abandonner. Elle veut continuer à étudier et à aller à l’école. C’est pour cela que beaucoup d’écoles ont été aménagées en sous-sol, pour être mieux protégées des bombes. Il ne reste plus grand-chose d’autre aux gens que d’intégrer la guerre dans leur quotidien. C’est ce que l’on voit dans les photographies. J’ai par exemple fait une photographie sur laquelle on peut voir un cratère de bombe rempli d’eau, dans lequel des enfants s’amusent.
Ce sont des choses banales comme celle-là, qui décrivent le mieux la relation entre la vie et la guerre. »
Hosam, une révélation
Hosam Katan est un jeune photographe autodidacte de 21 ans. Syrien originaire d’Alep, il commence à photographier les évènements dans son quartier lors des premiers soulèvements populaires, puis il accompagne des journalistes étrangers jusqu’aux lignes de front, en se nourrissant de leur expérience. Depuis 2013, Reuters publie ses photographies et il illustre les articles de presse des plus grands médias internationaux comme la BBC, The Guardian, Le Monde, etc.
Dipômés de France et d'Occident, ne soyez pas jaloux ! Hosam Katan a été récompensé à de nombreuses reprises pour son travail :
« Prix spécial » du NANNEN PREIS 2016 (https://www.nannen-preis.de/)
« J’ai un grand, très grand respect pour ce que [Hosam Katan] accompli“ a confié le Ministre Fédéral Allemand des Affaires Etrangères Frank-Walter Steinmeier lors de la remise du Nannenpreis.
– IAFOR Documentary Photography Award – Grand Prize 2015
– IAN PARRY – Special Award 2015
– STENIN international press photo contest 2014 – First place for the nomination « Top news’ and the second place for the nomination « Everyday life ».
Menacé par le régime de Bashar El Assad et par Daesh, Hosam Katan avait décidé de migrer illégalement vers l’Europe, en Allemagne, pour trouver refuge et commencer des études de photographie.
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