Ses mains firent glisser mon slip de bain et ma bite claqua contre mon ventre. Elle ne demandait que ça depuis vingt minutes. J’étais abandonné, je me donnais. — Omar, je... — Ne dis rien! Je t’en prie... Laisse-toi aller... J’avais un peu peur qu’il ne regrette déjà et que bientôt moi-aussi je ne trouve cette expérience ridicule et choquante. Qu’importe! L’instant présent était sublime! Nous roulions l’un sur l’autre, quittant ma natte pour atterrir dans le sable. Mes poils blonds et ses poils noirs s’épousaient, se mélangeaient... |
"Il me rend fou"Je n’osais imaginer qui était ce «il». Il n’y avait cependant aucun doute là-dessus... c’était de mon cul qu’il parlait! Il écarta mes fesses dures avec beaucoup de tendresse et y respira un bon coup. Son souffle tiède me combla de bonheur. Il posa sa bouche sur mon anneau serré et l’embrassa. Mmmmmm! Un beau mâle sauvage me soufflait sur la pastille qui se détendait |
Il posa d’abord un doigt insistant sur le trou, puis la main entière glissa dans la raie. Il recommença à titiller avec un doigt et tenta de pénétrer dans ma rosette. Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait derrière moi. J’étais prêt à accueillir ce doigt inquisiteur et à m’offrir à de nouvelles sensations; C’est autre chose qui se présenta. Un bruit, un autre, un troisième! Perdu dans mes rêves lubriques, je ne savais pas... Il posa sa bite lubrifiée et recouverte d’une capote là où le doigt avait essayé d’entrer. Je me suis cambré, effrayé. — Non! Non, Omar! — Je t’en prie. J’en ai trop envie. — C’est trop gros! — Tu ne diras pas ça lorsqu’il sera en toi et qu’il glissera entre tes fesses. Mon chéri, tu vas adorer. Ses mains me caressaient et son souffle parcourait ma nuque. — Je n’ai jamais... — Je sais! Tu ne trouves pas qu’il vaut mieux faire ça une première fois avec un ami... une personne de confiance? La crapule savait y faire. Il voulait absolument tirer sa crampe et pour ça mon cul lui convenait. Qu’importe ma douleur, il voulait me niquer! — Je vais y aller doucement! Promis! — C’est trop gros, je te dis! — Pas si je te lubrifie bien... — Je sais que je vais avoir mal! — Tu ne sais rien. T’as jamais essayé. — Omar! Il n’a plus rien dit et n’a fait preuve d’aucune violence... bien au contraire. À force de douceur, de caresses et de mots tendres, il m’a amené à tendre la croupe, à écarter les cuisses et à offrir mon trou humide à sa bite. |
http://w.gai-eros.org/w/index.php/C'est_trop_gros
et voilà comment on guérit des hémorroïdes ! lol
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