Partager l'article ! nous n'irons plus au bois...: les lauriers sont coupés Cette comptine du 15e siècle n'a pas pris une ride ! Nous n'irons plus aux boi ...
les lauriers sont coupés
Cette comptine du 15e siècle n'a pas pris une ride ! Nous n'irons plus aux bois
Les lauriers sont coupés
La belle que voilà qui les a fait couper
Entrez dans la danse, voyez comme on danse,
Sautez, dansez, embrassez qui vous voudrez....
Il faut absolument lire : http://www.revue-urbanites.fr/3-lespace-public-urbain-et-le-plaisir-homosexuel-illicite/
DragueAmiensSomme (80)
Zone industrielle nord au bout de la Henri Germaine Desjardin, drague sur le parking ainsi que dans les bois avoisinant.
80080 Amiens |
la municipalité (en la personne de sa Dame Mairesse) d'Amiens aurait fait couper la végétation ....
le site gay lieuxdedrague.fr semble brouillé ...est-ce volontairement ?
___________________________________________________________________________________________
il existe d’autres politiques publiques a priori moins contraignantes pour les dragueurs. Par exemple, la définition et la sécurisation de lieux dédiés à la drague traduisent une volonté d’encadrement et un contrôle réel de ceux-ci. Ainsi, dans certains lieux de drague néerlandais, la présence policière n’a pas un objectif de répression mais d’encadrement. Par exemple, dans le parc du Kralingse Bos à Rotterdam, la zone de drague est délimitée par des potelets facilement reconnaissables par les dragueurs et compréhensibles par les autres usagers. En dehors de ces balises, les actes sexuels sont punis d’une amende.
—————-
———–
Aux Pays-Bas, la municipalité s’engage à sécuriser les lieux de drague notoires en y plaçant des policiers afin d’assurer la sécurité des dragueurs en cas d’agressions. Les lieux, surveillés, sont pérennes. Mais cette politique, en voulant assurer la sécurité de la population des dragueurs, a mis en place un certain contrôle social de la pratique de la drague
Entendu dans la bouche des exécutants de la répression :
."Pouvez pas faire ça chez-vous ? " Z'avez pas honte à votre äge ? "
—————-
les visions patriarcales et hétérosexuelles des sociétés...
Cette enquête aborde la question du genre dans l’espace public urbain. Nadine Cattan et Stéphane Leroy affirment que « l’espace public et les relations sociales qui le structurent participent toujours au renforcement des représentations dominantes des territoires : dichotomiques et sexuées, en accord avec les visions patriarcales et hétérosexuelles des sociétés » (2010, . L’espace public serait majoritairement masculin et hétérosexué.
Le sujet présentement étudié va, dans une certaine mesure, à l’encontre de cette hétéronormativité de l’espace public. En effet, la pratique homosexuelle dans ces lieux bouleverse le caractère hétérosexuel de l’espace public, même si celle-ci est cachée et cantonnée dans un contexte précis. Cependant, le caractère masculin dominant n’est pas remis en cause. En effet, Stéphane Leroy (2012a, p. 2), précise que ces lieux de drague « et leur appropriation à des fins sexuelles est une pratique uniquement masculine ». Ainsi, il n’existe pas de lieu de drague lesbien ou hétérosexuel dans l’espace public. Les risques d’agression et la différence du rapport au corps entre hommes et femmes expliquent cette absence (Cattan et Leroy, 2013, p. 85).
Derniers Commentaires