Attentat le plus meurtrier aux États-Unis depuis celui du 11 septembre 2001, la tuerie survenue dans un club gay d’Orlando le 12 juin dernier a fait 49 morts et 53 blessés. Si cette fusillade a été revendiquée par l’État islamique, les motivations du tireur Omar Mateen restent toutefois floues pour les enquêteurs. En effet, selon un nouveau témoignage, le jeune Américain d’origine afghane était « 100% gay » et aurait agi par vengeance.
1.ORLANDO LE TUEUR FREQUENTAIT LE PULSE et prenait des rv sur grindr
Tout mec privé d'érection ou jeté par son amant(e) (ou les deux) en veut à qui l'a quitté, croit qu'on lui a jeté un sort, en veut à celui ou celle qu'il soupconne de l'avoir et,"par extension" son prochain, tous les hommes et toutes les femmes ...l'humanité toute entière et la planète avec...s'il doit crever ou se suicider, il veut partir en faisant partager son sort à tout le monde...c'est ce qui faait peur avec Kim Jong-un ...on en doute, mais pourvu qu'il bande ou soit content de se faire baiser de sa sexualité -lol- ndlr
2.LAS VEGAS Le profil du tueur, 64 ans, comptable à la retraite, correspond à l'âge critique où la puissance sexuelle trahit l'homme et le désespère quand son existence était étroitement liée à son pénis
à priori sans histoires, déconcerte les enquêteurs. Très fortuné, il fréquentait régulièrement des hôtels casinos semblables à celui duquel il a commis ces assassinats.
Cinquante huit morts, plus de 500 blessés et une énigme. Les policiers américains qui enquêtent sur la fusillade de Las Vegas s'interrogent toujours sur les motivations du tueur, Stephen Paddock. Mais, vendredi 6 octobre, ils en savent un peu plus sur ce retraité de 64 ans, à l'origine de la tuerie la plus meurtrière des l'histoire récente des Etats-Unis.
Une santé mentale précaire
Marilou Danley, la compagne du tueur, qui était en voyage aux Philippines, a été interrogée par le FBI dès son retour aux Etats-Unis. Elle a assuré qu'elle ignorait tout des funestes plans de son compagnon, qu'elle a décrit comme un homme "gentil, attentif, tranquille" avec qui elle imaginait son avenir. Mais selon une source policière de CBS News, elle a confié aux enquêteurs qu'elle était préoccupée par la santé mentale de son conjoint. Elle a déclaré "qu'il pouvait resté allongé sur le lit en gémissant et criant, 'Oh mon dieu'", selon une source de NBC News. ABC News assure que Stephen Paddock "sombrait dans la folie".
D'après les sources de cette chaîne, les éléments dont disposent les enquêteurs suggèrent que l'état mental du tueur était en train de se détériorer pendant les semaines qui ont précédé son passage à l'acte. ABC rapporte que Stephen Paddock avait perdu beaucoup de poids, qu'il négligeait son apparence et qu'il était aussi "obsédé" par l'ex-mari de sa compagne.
Selon le Las Vegas Review Journal, Stéphane Paddock s'est fait prescrire une ordonnance pour un anxiolytique – un type de valium – en juin. Un médicament qui peut générer des comportements agressifs.
3. AUTREFOIS
Le bel Ernest Hemingway, irrésistible et probablement bien bandeur (audépart)...Sa mère, musicienne
rêvait d'une fille. Ce que personne ne dit mais que l'on peut déduire des divers écrits qu'il a publiés, et quelquefois on peut lire la vie personnelle et intime si on sait "lire
entre les lignes... L'obsession de la perte de la virilité, de la puissance sexuelle, est présente dès 27 ans dans le roman Dans "Le Soleil se
Lève Aussi, The sun also rises (1926), le héros, émasculé par un obus, fait l'expérience du néant que la quête effrénée du plaisir ne parvient pas à masquer. La blessure qui ne s'efface
jamais est le motif obsessionnel qui parcourt son oeuvre. Sa rencontre avec Francis Scott Fitzgerald est interprétée comme homosexuelle "Scott Fitzgerald est fasciné par ce
cadet si viril qui parle fort, écrit et boit sec, aime les corridas – ou les matadors, ou leurs couilles- et raconte sa participation à des conflits auxquels Zelda, son épouse, ne croit pas
une seconde. Ce dont elle est sûre en revanche, c’est de l' homosexualité cachée d'Hemingway et de l’amour que son mari lui porte". D'ailleurs, un jour, Scott sort sa bite dans les toilettes et
demande à Ernest d'évaluer son sexe en fonction de ce que sa femme le trouve "pas assez bien monté pour faire jouir aucune femme". C'est possible, mais ce qui demeure dans les écrits
comme dans le comportement d'Ernest c'est que, écrivain célèbre ou pas, c'est la bite qui compte le plus et quand on a perdu la possibilité de bander (soit d'exister en tant qu'homme),
la vie ne vaut plus rien et on peut se suicider.
Michel Tournier a dit un jour, à propos d'Ernest Hemingway : "Quelle connerie de se suicider parce qu'on n'arrive plus à bander !".
.
-"ah oui ?" -"Eh ben si on n'arrive plus à bander on n'arrive même plus à se branler convenablement "
NOTES :1. "Le petit prince dérangea de nouveau mes réflexions :
- Et tu crois, toi, que les fleurs...
- Mais non ! Mais non ! Je ne crois rien ! J'ai répondu n'importe quoi. Je m'occupe, moi, de choses sérieuses !
Il me regarda stupéfait.
- De choses sérieuses
Il me voyait, mon marteau à la main, et les doigts noirs de cambouis, penché sur un objet qui lui semblait très laid.
- Tu parles comme les grandes personnes !
Ça me fit un peu honte. Mais, impitoyable, il ajouta
- Tu confonds tout... tu mélanges tout !
Il était vraiment très irrité. Il secouait au vent des cheveux tout dorés :
- Je connais une planète où il y a un Monsieur cramoisi. Il n'a jamais respiré une fleur. Il n'a jamais regardé une étoile. Il n'a jamais aimé personne. Il n'a jamais rien fait d'autre que des additions. Et toute la journée il répète comme toi :"Je suis un homme sérieux ! Je suis un homme sérieux !"et ça le fait gonfler d'orgueil. Mais ce n'est pas un homme, c'est un champignon!
- Un quoi ?
- Un champignon
Le petit prince était maintenant tout pâle de colère"
2." le sexe et l'homosexualité sont tellement un don divin, que oui, on peut se prendre pour des princes. Thank you ô my god !) "
3. " Interrogé par la chaîne hispanique Univision, un témoin, se présentant comme un ancien amant d’Omar Mateen, a affirmé que ce dernier était « 100% gay » et qu’il s’était marié avec une femme pour dissimuler son homosexualité, notamment à son père, un musulman radical qui pense que « les personnes gays sont le diable et doivent mourir ». Il a également raconté qu’il avait rencontré Omar Mateen en 2015 sur l’application Gindr et qu’ils se sont vus « entre 15 et 20 fois » en l’espace de deux mois, jusqu’en décembre. D’après lui, il aurait agi par vengeance après avoir eu des relations sexuelles avec un homme séropositif. « Je lui ai demandé ce qu’il allait faire. Il m’a répondu : « Je vais les faire payer pour ce qu’ils m’ont fait », a-t-il expliqué"
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