Partager l'article ! la tentation à la maison et l'INCESTE ou même le VIOL.: "Un jour, sur un RV en plein air, un garçon dont j'attendais qu'il me ...
"Un jour, sur un RV en plein air, un garçon dont j'attendais qu'il me pénètre m'a dit : il faut que je recharge mes accus, je viens de baiser avec ma soeur" ... tout un programme
Laurent De Villiers sur BFM TV le 7 décembre 2011. On peut penser que des années séparent les deux photos.
Au travers des articles de presse sur les affaires judiciaires de la famille De Villiers, je me suis posé des questions sur l'inceste, qu'il soit réciproquement consenti ou pas.
C'est énervant pour moi qu'on recherche tout le temps des CAUSES FAMILIALES, car enfin, cela fait de nous, gay, bi ou hétéro des jouets de notre histoire personnelle comme si avoir envie des garçons, même de son propre frère, ce soit si grave. Moi je dis c'est normal de chez normal. Dieu (?) et Freud nous ont faits et déclarés bisexuels dès la naissance
On lisait dans LE POINT :
"C'est avec courage et sincérité que Laurent de Villiers. s'est exprimé, notamment sur le contexte dans lequel il a grandi. "Dans une fratrie de sept enfants élevés dans un mileu catholique traditionnel imprégné de culture royaliste", avec "un père incapable de faire la loi à la maison. C'est ma mère qui faisait régner l'ordre, voire la terreur", a-t-il confié.
SI C'EST ELLE QUI LE DIT !
A propos du rapport à la sexualité chez les Villiers, il a expliqué : "C'est sale et péché. Un jour ma mère a découvert un petit mot sur lequel j'avais écrit : 'Géraldine, tu es belle, je t'aime.' Elle m'a alors cité les propos de saint Thomas :
'La femme est le premier instrument du diable.' Et mon père m'a convoqué pour me dire que j'étais un 'hooligan'. J'avais 12 ans."
Celui qui se décrit comme ayant été un enfant "gai", "clown", et considéré comme le "chouchou", a raconté avec clarté comment Guillaume en était venu à commettre l'impensable. C'est à la suite du visionnage d'un film pornographique qu'il l'aurait "entraîné de force dans des jeux érotiques, incestueux".
Après avoir subi des attouchements qu'il n'osait pas refuser par peur de se faire violenter, Laurent a dévoilé que Guillaume lui avait demandé d'aller plus loin au bout d'une année : "J'étais devenu sa poupée. Après chaque viol, j'allais vomir. Ça a duré jusqu'au début 1997."
TOI, HONORABLE VISITEUR DE CE BLOG?
AURAIS-TU PORTE PLAINTE ?
Alors qu'il a parlé pour la première fois de ces sévices à l'âge de 16 ans (à sa mère, qui était déjà au courant par Guillaume), Philippe de Villiers a quant à lui refusé de dialoguer lorsqu'il a évoqué l'affaire en 2006. "En fait, pour mes parents, c'était : 'Tais-toi et pardonne à ton frère. Il ne faut pas que cette histoire sorte de la famille.'"
Alors qu'il s'est rendu compte il y a trois ans qu'il avait été "trahi et manipulé", il pointe du doigt son père, leader du MPF (Mouvement pour la France). "Il voulait que je dise au juge que je n'étais qu'un menteur, que cette histoire de viol ne s'était jamais produite et que j'avais tout inventé uniquement dans le but de nuire à sa carrière ! J'ai alors compris que Philippe de Villiers n'était pas un vrai papa."
Des déclarations poignantes."
Parmi nous ici (500+ visiteurs/jour) ceux qui me lisent pourront témoigner si, dans leur jeunesse, ils ont vécu des événements de ce type et si le fait de participer à des relations homosexuelles ou d'avoir des parents comme ceci ou comme cela les a traumatisés au même niveau que Laurent cité plus haut ?
commentaires ouverts et
pour la convivialité et la participation,
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