Partager l'article ! LA DRAGUE ET TOUT ET TOUT ET TOUT (suite) + 2 videos + un texte: si vous avez des posts, des coms à proposer sur ce sujet (ou d ...
« Je ne suis qu’un trou, ni homme ni femme, un trou à plaisir. »
C'est le dimanche soir que ça se passe. Moi, je mets un treillis et un blouson de cuir avec des poches à l'intérieur pour le matos. Je racole discrétos en fumant un clope en face d’une porte dérobée, à l’arrière. Les mecs qui rentrent en camion me voient et ça arrive qu’on soit plusieurs. Je suis certain qu’il y en a qui font ma pub auprès des mecs de confiance.
Le signal, c’est d’aller attendre près du bosquet; là, je sais que je peux y aller sans risque. Sur les deux qui sortent, il y en a un que j’ai déjà fait, un grand mec du Nord taillé comme un arbre. Pas de différence du haut jusqu’en bas, tout est large, il doit travailler au mess, mais il se balade en unif quand même. L’autre est plus jeune, en survêt avec sa teub qui pend. Je salue, je m’approche, je me touche un peu. Je tâte la marchandise du géant que je connais, je me penche vers l’engin. Il sort sa bite qui trique déjà.
Je passe la langue sur le gland, juste une fois, et je me la cale dans la gorge. Je salive et je pompe classique. L’autre, il se frotte la main sur la braguette, genre qui ose pas y aller. Alors je tends mon cul en arrière pour qu’il sache quoi mater. Le géant me demande de pomper mieux, et bien que le sol du bois soit humide, je m’agenouille. Pour des engins comme ça, pas toujours très nets, je serais prêt à ramper dans la boue.
Je sens une main sur mon cou et je vois le dard du plus jeune, court et pas très gros, mais avec deux couilles à m’inonder grave. Je me tourne pour l’avaler, je le chauffe à la salive comme l’autre et je plonge gueule béante sur ses burnes.
J’en avale une, puis deux, puis trois (non, je plaisante...), je les savonne au jus de gueule entre mes joues, je les dorlote, faut que le gamin soit tout de suite accro au trou de mec. Le géant, il ne résiste pas, il veut me fourguer la sienne en même temps; alors je le laisse faire. J’ouvre grand ma bouche pour les laisser tenter de me pilonner en même temps. Leurs glands se cognent, ma bouche devient leur terrain de jeux. C’est bien le seul moyen qu’ils aient de se toucher la queue tellement ils sont incapables de branler un autre keum de peur de devenir pédés!
Je sors ma pine et je me branle doucement. Puis je saisis leurs culs à tous les deux pour les encourager à me piner la tronche. Je suis à leurs pieds. Le gosse commence à dire que ça monte, que le jus arrive. Il se retire et il envoie connement son jus par terre. Il y a deux mecs qui nous matent derrière.
Le géant, ça le gêne, il se fait comme plus sympa. Il me demande si je sais fermer ma gueule car il peut m’amener dans une réserve dont il a la clef. Je suis OK. Je les suis par la petite porte. Je sais que ça arrive, mais je n’arrive pas à y croire. Je me vois en caserne, suspendu à un lit avec des barreaux de fer, donnant mes trous à l’abattage, à toutes les brutes du régiment... Mais c’est seulement dans une réserve de caisses qu’il m'emmène, une pièce sombre à peine éclairée par une loupiote. Le gamin, l'air gêné, annonce qu’il va se coucher. Le grand lui dit de la boucler sinon... et de prévenir Selim.
— Tends ton cul, mec, montre que t’en as envie, fais celle qui veut la bite de l’adjudant...
La tête rentrée dans mes épaules, je joue du bassin, j'accepte le jeu. Il sait que j’aime qu’on me bouscule, il sait qu’il peut y aller, il m’a déjà défoncé à la chaîne avec deux autres potes un soir où ils étaient bourrés. Il enlève son ceinturon et me flatte un peu le cul avec. Rien que de sentir le contact du cuir sur le coton de mon treillis, mon trou s’élargit.
— Combien t’as pris de zobs dans le trou ce soir, hein, salope? Combien?
— Nada! Je veux qu’on me fourre, je veux te donner mon trou...
— Tu vas en avoir, mec, tu vas déguster...
Je lui file plusieurs capotes. Il balance un mollard dessus. Les militaires ne savent pas encore ce que c’est du lubrifiant à cul, alors il faut que je m’en occupe avant de venir, utilisant presqu’un demi-tube de KY avant de venir. Au moment où il s’encapote, on frappe à la porte: c’est Selim.
Il ouvre et referme tout de suite. Selim est un petit gros avec des rangeos et tout l’unif. Lui, il sait ce qu’il veut. Il annonce au grand qu’ils vont se passer la pute, qu’il n’y a plus qu’à me baiser jusqu’à ce qu’ils soient secs des valseuses.
Il saisit ma tronche et me tire par les cheveux pour que je tète. Je tète un max, elle paraît encore durcir dans ma bouche, elle est super-grosse par rapport à sa taille. Elle pue le mâle à plein nez mais elle s’enfourne bien hard sans me laisser la gueule vide une seule seconde. L’adjudant, lui, me casse le cul sans une seconde de répit. Ça cogne, je pourrais presque gueuler mais je ne veux pas me laisser aller à des représailles.
Quand Selim voit la ceinture, il décide de m’attacher avec, il fait un tour avec le cuir autour de mes mains, passe le double lien à l’intérieur de mes poignets et me traîne jusqu’à un soupirail constitué de barres de fer. Là, il se chope une capote et tous deux viennent m’éclater au plus profond du cul alors que mon corps vient cogner à chaque coup contre la paroi de pierre froide et humide. C'est à celui qui arrivera à me faire gémir le plus fort. Je suis heureux d’être un pantin sexuel offert à la convoitise de deux soudards, je tends mon cul au maximum. À préciser qu'aucun des deux ne me touche autrement que par leurs pieu... Je ne suis qu’un trou, ni homme ni femme, un trou à plaisir. Je sais bien qu'aucun mec amoureux ne me baisera comme ça, avec cette violence sexuelle dénuée de tout sentiment.
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