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PISS&LAVEMENTS(uro&clystérophilie)

    ... J'ai une petite idée en tête mais ça demande préparation... Je passe ma semaine à nettoyer la cave, assez grande (15m2), j'y installe une bâche au sol, un mini-frigo, de la musique, beaucoup de coussins, je prévois un peu de matos en conséquence...

Quand Jerem' arrive dans mon salon, je débouche du champagne. On boit la bouteille trankilou, il me raconte sa semaine partagée entre les cours et le bar tabac de ses parents, on s'embrasse, on se palpe. Tout doux, la chaleur monte d'un cran, on a grave envie!

— J'ai une surprise pour ton anniv', suis- moi!

— Ok, j'ai hâte de voir ce que t'as préparé!

On sort de l'appart, à son grand étonnement, et allons au rez-de-chaussée; on arrive à la porte de la cave.

— Heuuuu... t'as péparé quoi? Un gang-bang? Une touze? Un trip SM? dit-il avec un peu d'apréhension...

— Mais non! T'inquiètes pas, j'suis cho mais quand même!

On descend les marches, une odeur un peu humide nous envahit. J'ouvre la porte, j'allume des bougies, mets de la musique, ouvre le frigo rempli de champagne et d'autres liquides, ouvre une bouteille. On s'installe dans les nombreux coussins.

— Très sympa l'ambiance cave! Ça promet du spectacle!

— Je te pomets que ça sera inoubliable.

— J'espère bien!

— Champagne!

— Cool! J'adore ça les bulles!

On boit la bouteille, on s'embrasse, je passe ma main dans son boxer... Il bande, il mouille grave! Et du coup, moi aussi je suis très excité! Je me mets à genoux devant sa braguette, je baisse son froc et une odeur forte de pisse se dégage instantanément. Je kiffe sentir ce boxer qu'il porte depuis quelques jours, un fumet de pisse et de foutre, de sueur aussi. Faut dire qu'il ne s'égoute pas quand il pisse, laissant son boxer éponger les dernières gouttes et qu'il s'essuie avec quand il se branle... Très excité, je commence une longue pipe en massant son trou. Il commence à faire des va-et-vient de plus en plus appuyés dans ma gorge.

Je gobe ses couilles, lèche partout son sexe rasé, remet la teub dans ma bouche, l'aspire, le titille... et j'arrête avant qu'il jute! Frustrant, mais comme on a toute la nuit... on va en profiter! On a déja pas mal picolé là, la vessie pleine... Mais patience, j'ai une autre idée... Je le tourne et recommence à le bouffer énergiquement. Je lui écarte les jambes, les fesses, pour que son cul soit bien ouvert. Je lui bande les yeux.

— Qu'est-ce que tu vas me faire?

— Tu vas sentir mais pas voir tout de suite! Tu vas comprendre très vite mais t'inquiètes pas, ça ne fait pas mal. Tu me connais, je suis pas un violent!

Une fois bien lubrifié, je lui enfonce un tuyau dans le fion. À l'autre extrémité, j'y place l'entonnoir, le remplis de lait en lui expliquant de ne pas lacher la sauce tout de suite, de garder le plus longtemps possible. Je m'occupe de sa queue, le branle doucement, le suce, puis lui lèche le cul. J'enlève le bandeau, je le mets debout.

— Laisse couler tout doucement!

— Hey! Ça coule blanc! Qu'est-ce que t'as mis?

— Du lait, pour le fun!

— J'adore, c'est cool!

Il s'éxécute et le lait coule sur ses cuisses, tout doucement.

— Arrête là! C'est pas terminé!

Je prépare du lubrifiant, lui en tartine le fion en rentrant les doigts, un peu de liquide blanc en sort! J'en mets beaucoup sur ma queue et commence à le pénétrer. Ça rentre comme dans du beurre! Je commence à le piloner, le lait ressort en même temps. Il prend un pied intégral. Je remets pas mal de gel au fur et à mesure que le lait s'écoule. Sa queue coule de précum, il est gave excité, à la limite de la transe et moi je prends un pied terrible à lui bourrer le cul. Ça dure bien 25 minutes, le temps d'évacuer le liquide, mais il fatigue. Seulement, moi j'ai envie de pisser grave là. Le champagne est en train d'envahir ma vessie, faut que je pisse, lui aussi! Je me positionne devant sa queue et remonte son boxer odorant pour qu'il l'inonde.

— Soulage-toi aussi de ce côté là!

Il me remplit la bouche d'une bonne quantité de pipi, bien jaune et bien chaud, à travers son boxer crade. Ça coule de partout de facon anarchique et j'en recois partout sur le visage. Je baisse son boxer et commence à le nettoyer, le lait plus la pisse, sa queue frétille, son trou appelle au secour, c'est divin. Décidément il kiffe se faire dominer!

J'attrape la bouteille de champagne, je lui en verse dans le cul, un petit peu. Ça pétille, il se tord de plaisir! Je remets du gel et je reprends ma sodomie avec application, alternant des phases brutales avec des phases calmes; il adore! On s'arrête, histoire de reprendre notre soufle. On vide une bouteille d'eau, histoire de se poser. Je le prends dans mes bras, on s'emmbrasse, on se caresse et il finit par s'endormir.

Au bout d'un moment, je le réveille en me répendant sur sa queue. Il se réveille tout étonné mais ça à l'air de lui faire plaisir; il a une gaule d'enfer. Je le nettoie comme à mon habitude... Il boit un coup et hop, remis sur pied, on reprend. Il me suce un peu... j'aime beaucoup sa bouche, de plus en plus gourmande et volontaire. On se fait un long 69, suçage de queue et bouffage de cul... Son p'tit cul de pisseux... j'aime trop. Il débande d'un coup pourtant!

— J'ai envie de te remplir le cul et que tu me lâches tout dans la bouche! Comme tu as fait la dernière foi avec moi!

— Ok ok! Cool! J'ai pas osé te le demander. Par contre, je dois pas être propre... faut que tu me fasses un ptit lavement alors!

— Pas de soucis! Au lait comme tu m'as fait alors!

— À toi de jouer!

Le voilà me mettant le tuyau lubrifié dans le fion, le rentrant de 20 bons centimètres, puis il verse le lait que je sens, un peu froid, couler en moi. J'aime bien comme sensation, c'est plutôt agréable. Une fois qu'il eut enlevé le tuyau, il commence à me doigter. Un, deux, trois et quatre doigts. Le lait commence à couler. Il attrape le gode vibrant et me l'enfonce dans le fion, bien à fond et le met en marche.

— Tu crois que ça fera du beurre avec la vibration?

— Ah ça peut être marant! Allez, pilonne-moi bien avec!

Il s'éxécute et imprime un mouvement de plus en plus rapide et profond. Le lait sort par mon cul, ça le fait bander direct. Il me fouille à fond, jusqu'à ce qu'il soit au bord de l'accident pipi! Ne pouvant plus se retenir, je vide le reste de lait par terre, je me remets à quatre pattes pour qu'il me remplisse enfin de sa pisse maintenant que j'ai le trou bien propre. Il m'enfonce bien sa queue et attend de débander un peu pour laisser sa vessie se vider. J'ai l'impression d'avoir un litre de pipi dans le ventre!

Je me met acroupi au-dessus de son visage, lui allongé en train de se branler à fond. Je lâche les vanes doucement, il se délecte! Ça à l'air de l'exiter à mort, il passe la langue sur mon trou pisseux... trop excellent! Je prends bien mon temps pour me vider. Une fois vide, je le positionne à genoux, mains attachées dans le dos, un gode sous les fesses. Il s'empale dessus. Je lui tends ma queue qu'il tète comme une sucette. En même temps, il se laisse pisser difficilement à cause du gode, il prend son temps, s'enfonce bien à fond dessus, se détend un moment et finit par se lâcher un peu en en foutant partout sur lui. Je kiffe trop le voir se vider, à croire qu'il pisse de façon illimitée. J'attrape sa queue et le pompe pour goûter les derniers jets de pisse mais il a un débit maximum et moi je finis par me déverser ensuite sur lui pendant qu'il se gode en remuant son cul!

Reste à le faire juter enfin. Je l'encule à nouveau mais cette fois bien entravé, mains et pieds, pour qu'il ne se touche pas la queue. Je le pilonne bien 35 minutes, en y allant de plus en plus brutalement, en fouillant bien au fond, en sortant et entrant ma queue complètement, ce qui lui provoque des gémissements maximum. Je le retourne, le mets à genoux, ou la tête dans les oreillers, ou sur le dos, ou debout en le tenant par les hanches. Son petit cul m'inspire, ses petits cris aussi, il kiffe...

Et j'en peux plus, je le chope par la nuque, le baisse, enfonce ma queue à fond dans sa gorge et commence à gicler la moitié dedans et le reste sur sa figure. J'en gémis de bonheur, de plaisir! J'attrape sa queue et le suce avec avidité, malaxant ses couilles lisses, doigtant son cul. Il jute tout ce qu'il a dans ma bouche, à moitié pris de spasmes, gémissant comme une pucelle... Trop trop bon final!

On s'écroule dans les coussins un peu humides, on se roule une bonne pelle foutreuse et ouvrons une derniere bouteille de champagne. On la boit doucement, en se caressant, et une fois finie, on s'endort là jusqu'au matin...

Des aniv' comme ça, moi ça me plaît bien. Vivement le mien!