Partager l'article ! L'AMOUR SORCIER de HP (fake story): Non Harry n'est pas comme ça. Cette imitation n'est qu'un pastiche fun et horriblement porno   ...
Non Harry n'est pas comme ça. Cette imitation n'est qu'un pastiche fun et horriblement porno
fake
Pour l'amour d'un sorcier
Nous rentrons dans l'appartement d'Harry, trempés de la tête aux pieds. Alors que je referme la porte, Harry retire sa veste, ses baskets et ses chaussettes imbibés d'eau. D'une main, il secoue ses cheveux plaqués sur son crâne, trempant au passage le tapis qui n'avait rien demandé. Je ne dis rien, après tout c'est le sien, et l'imite prestement. La pluie m'a frigorifié.
« Putain, il pleut des seaux d'eau ! Quel temps de merde. » grogne Harry.
« C'est clair. Enfin, je suis heureux d'être arrivé. Même si je suis complètement trempé. » déclaré-je en se séchant les cheveux d'un coup de baguette.
Nous avons été surpris par la pluie alors que nous nous promenions dans le Londres Moldu. Trop de passants pour transplaner, nous avons donc couru jusqu'à l'immeuble où vivait Harry.
Nous nous écroulons ensemble dans le canapé, chacun dans un coin opposé. Harry met ses pieds sur la table basse et y jette ses lunettes. Je le dévore du regard sans la moindre gêne. Ses cheveux mouillés partent dans tous les sens. Il a un regard vague très mystérieux. Un regard de myope en réalité. Quelques gouttes perlent encore sur son front, ses joues, son menton. Sa chemise trempée lui colle à la peau, tout comme son jean. Rien qu'en le regardant, je sens mon sexe se tendre dans mon pantalon. Ça fait trop longtemps qu'on attend. Beaucoup trop longtemps. Je ne vais pas résister.
Je ne sais pas trop à quel moment nous nous sommes rapprochés, mais le résultat est là : je suis allongé sur lui, une jambe entre les siennes et l'embrassant à pleine bouche.
Après la fougue vient la tendresse. Ma respiration se calme, mon cœur aussi – enfin un petit peu – et notre baiser se fait plus voluptueux. Harry a une de ses mains dans mes cheveux, caressant par moment ma nuque, et l'autre descend le long de ma colonne vertébrale pour finir par agripper une de mes fesses. Il commence à la malaxer sans la moindre pudeur à travers mon pantalon. Bientôt la première quitte mes cheveux pour rejoindre sa jumelle dans ses activités. Je gémis bruyamment en rompant notre baiser. Excité au possible, je me jette sur le cou de Harry et tente de déboutonner sa chemise. Je le mords sans ménagement alors que je parviens enfin à accéder à son torse brûlant. Il crie. De douleur ou d'excitation, je n'en ai pas la moindre idée, mais moi mon sexe me fait mal tant mon désir est grand.
Mais Harry essaye de dire quelque chose. Je délaisse sa peau à regret et le regarde dans les yeux. Ces yeux verts qui brillent de désir pour moi.
« Drago ? Est-ce que tu as fait les tests ? Sorciers et moldus ? »
Comment peut-il casser un moment pareil par une question aussi pragmatique ? Surtout que c'est lui qui a pris les rendez-vous !
« Oui ! Et je suis clean ! Maintenant fermes-la et crie mon nom… » susurré-je en happant les lèvres de mon vis-à-vis.
Enfin, Harry se décide à prendre les choses en main et m'enlève ma chemise et mon pantalon à la hâte. Nos torses entrent en contact, ses mains courent sur mon dos, mes fesses, mes cuisses j'ai l'impression d'être en feu, ma respiration est bruyante. Je caresse les pectoraux de mon amant et pince un téton. Pas de réaction. Je grogne et ma bouche dévie sur son épaule que je mordille sans ménagement. Harry gémit mon prénom d'une façon on ne peut plus érotique. Je préfère ça.
Puis mes lèvres glissent le long de ce torse musclé et se retrouvent à la lisière de son pantalon. Je le déboutonne, plongeant mon regard dans celui de Harry qui se fait haletant et se mord la lèvre inférieure, imaginant sans doute la suite des opérations. Je lui fais mon sourire le plus aguicheur et je retire son pantalon. Je reviens ensuite m'asseoir sur ses hanches, juste sur son sexe tendu. Je me déhanche, me frottant sur son érection, de taille fort appréciable. Il est dur pour moi, rien que pour moi. Harry est tout à moi.
Il me regarde un instant la bouche entrouverte avant de caresser mon torse de mes épaules à mes reins. Merlin que j'aime ses mains… Je ferme les yeux pour mieux apprécier lorsque je sens qu'il descend légèrement mon boxer pour s'emparer de mon sexe gonflé. Je hoquette de surprise pour ensuite me mettre à gémir de façon tout à fait indécente. Plus il me masturbe énergiquement et plus je deviens dur. Je continue de me mouvoir sur son sexe, de plus en plus vite.
Soudain, je sens une main se faufiler entre mes fesses. Je rouvre les yeux et fronce les sourcils en repoussant cette main aventureuse. Il va falloir qu'il comprenne une chose : je ne suis jamais en dessous ! Devant ma réaction, Harry se met à rigoler. Je l'embrasse pour le faire taire et il nous faire tomber sur le tapis, poussant la table basse un peu plus loin.
Je me retrouve avec Harry entre mes cuisses, il retire dans un premier temps mon boxer avant de me masturber à nouveau en m'embrassant passionnément. Merlin… Puis il délaisse mes lèvres et glisse tel un serpent vers mon bas-ventre. Lorsqu'il enfonce mon sexe directement au fond de sa gorge, je ne peux me retenir de crier son nom en me cambrant en arrière. Putain, si tu savais comme je t'aime Harry… Il suce mon sexe avec entrain, le lèche, le caresse. Il s'occupe également de mes testicules, les faisant rouler entre ses doigts habiles. Je me tortille sous cette délicieuse torture. Je ne me rends même pas compte que je lui gémis de continuer encore et encore. Harry cesse sa fellation juste avant que je ne jouisse. Je grogne de mécontentement, mais il a raison : pas tout de suite.
Ce salopard profite que je sois complètement sonné par le plaisir pour me retourner violemment. Je me retrouve à plat ventre, plaqué sur le tapis à lui hurler de me relâcher immédiatement.
Mais quelque chose de chaud et humide vient caresser mes fesses et je perds toute volonté. Harry écarte mes fesses brutalement et vient titiller mon anus de sa langue. Quel enfoiré… Mais c'est trop bon, trop chaud, trop excitant alors je me mets à quatre pattes, écarte les cuisses et me cambre autant que je peux pour lui laisser un plus grand accès à mon cul. J'entends un petit rire de Harry en me voyant faire.
« Je savais que t'étais une vraie salope. »
« Je t'emmerde Potter alors tu vas continuer ce que tu étais en train de faire ! Maintenant ! » l'engueulé-je en tournant la tête.
« Avec plaisir… Tu as un cul magnifique Drago… » susurre-t-il avant de recommencer à s'occuper de moi.
Appuyé sur mes coudes, je me laisse aller en fermant les yeux et profite au maximum de cette caresse indécente. C'est la meilleure chose que je n'ai jamais connue. Je sens la langue de mon amant pénétrer par moment à l'intérieur de moi. D'autres fois ce sont ses doigts qui vont et viennent à toute vitesse. Harry me mordille les fesses, les malaxe de ses grandes mains et lèche avidement l'intérieur de mon cul. La moiteur et l'humidité brûlante de sa langue sur cette zone si sensible me fait perdre littéralement la tête. J'ai chaud, je halète, me mords les lèvres. Tout mon corps tremble, j'ai l'impression que je vais m'effondrer. Je ne sais plus ce que je crie, mais je suis certain d'être incroyablement grossier. Lorsqu'il me fouille avec ses doigts et stimule ma prostate, je peux presque pleurer de plaisir. Je ne contrôle plus mon corps qui va et vient sans la moindre pudeur à la rencontre de ses doigts alors que je crie ma jouissance de plus en plus fort. Mon sexe me fait mal tellement j'ai envie de jouir, mais Harry refuse de le toucher malgré mes nombreuses demandes. Mais revoilà sa langue de serpent qui s'introduit vicieusement entre mes fesses…
Je veux plus. Je veux qu'il me prenne. Je veux qu'il enfonce sa queue en moi. Je veux qu'il me défonce, qu'il me baise encore et encore. Putain, Harry, fais-moi crier… Ici, sur ce tapis. Maintenant. Tout de suite !
Mais il ne fait rien. Alors je fais ce que je ne pensais jamais faire de ma vie : je supplie. Je le supplie d'enlever ses doigts, sa langue et de mettre sa queue à la place. Je le supplie de me faire sien. Je suis à lui. Tout à lui. Rien qu'à lui. Je veux qu'il aime mon corps, qu'il l'adore, qu'il le possède violemment, passionnément ou tendrement, je m'en fous. Mais qu'il me possède, bordel. Je veux qu'il m'aime comme il n'a jamais aimé personne … Merde Harry… Fais-moi l'amour ici et maintenant.
Ma voix se brise sur ces derniers mots. Il y a un long silence. Harry retire ses doigts et me demande de me mettre sur le dos. Il dit qu'il veut me regarder dans les yeux. Je lui réponds sèchement qu'il n'a pas à faire le difficile et que s'il ne me baise pas dans les cinq secondes, je me casse trouver quelqu'un d'autre. Mais comme je l'aime, j'attrape ma baguette qui a roulé sous le canapé et fais apparaître un grand miroir en face de nous ainsi qu'un autre sur le côté.
Bordel je n'ai jamais rien vu d'aussi excitant de toute ma vie…
Derrière moi, Harry est en train de s'enduire le sexe de lubrifiant. Fasciné, je le regarde qui enfonce ses doigts lubrifiés en moi. Un frisson me traverse, c'est froid. Harry plonge son regard dans le mien à travers le miroir. Je ne résiste pas à l'envie de me redresser un instant pour lui voler un dernier baiser avant de me repositionner. Je creuse bien les reins et observe Harry dans le miroir. Il me dévore des yeux et se mord les lèvres. Je vois son sexe dressé qui pointe vers mes fesses. Je gémis d'anticipation. Merlin… Après trois mois d'attente, Harry et moi allons enfin faire l'amour…
Je ne sais plus où regarder. Toutes les vues qui s'offrent à moi sont incroyablement excitantes. Je décide de me concentrer dans un premier temps sur le miroir à ma droite. Harry est vraiment un homme magnifique. Il se met en place derrière moi, me caresse les fesses avant de les écarter. Je sens son gland contre mon anus et surtout je le vois dans le miroir. Mon érection est douloureuse, mais Harry y remédie vite en commençant à me masturber.
J'ai l'impression qu'on m'écartèle. Je vois le sexe de mon amant disparaître peu à peu entre mes fesses. J'ai mal. Même si Harry tente de détourner mon attention de la douleur de la pénétration, c'est horrible. Il me caresse les fesses de sa main libre et me murmure que tout va bien se passer. J'essaye de me détendre et de me concentrer sur la main de Harry. Je sens que je m'habitue à l'intrusion. Mes yeux cherchent le reflet de ceux de mon amant et y trouvent du désir à l'état brut. Je ne savais pas que le vert de ses yeux était la couleur de la luxure. Ses yeux aux pupilles dilatées parcourent mon corps, j'ai l'impression que ce regard me brûle. Sans plus attendre, je bouge mes hanches pour entamer un lent va-et-vient.
Harry délaisse alors mon sexe et agrippe fermement mes hanches sans me quitter des yeux. Il entame des mouvements d'abord lents, pour ensuite accélérer la cadence. Le plaisir commence à monter en moi, remplaçant la douleur. Puis d'un coup de rein violent, Harry me pénètre profondément pour frapper ma prostate. J'étouffe un cri de plaisir et ferme les yeux. Il recommence plusieurs fois, mon corps tremble sous ses assauts. C'est trop bon… Et ça a à peine commencé…
J'entends Harry qui me parle d'une voix rauque. Il me dit que je suis magnifique, qu'il aime mon corps et qu'il veut m'entendre crier. Alors je cesse de me retenir et je crie. Je crie mon plaisir à chacune de ses pénétrations. Je regarde le corps en sueur de Harry, son sexe qui ne fait qu'aller et venir dans mon cul, ses fesses qui se contractent à chacun de ses assauts. Je regarde aussi mon propre corps. Ce corps pâle qui se cambre de plus en plus et qui accompagne chaque mouvement de mon partenaire. Je vois Harry me regarder. Il aime ce qu'il voit. Il aime me voir aussi soumis. Et moi j'adore le voir me dominer ainsi.
Harry se décide enfin à accélérer. Ses coups de butoirs se font plus rapides, mes cris plus rapprochés. Ses cuisses claquent contre les miennes et je sens son pubis et ses bourses heurter mes fesses à chaque pénétration. Je sais que je crie des choses absolument obscènes pour extérioriser mon plaisir. Mais Harry me dit de continuer car ça l'excite. Et moi aussi ça m'excite. Alors je lui répète sans arrêt de me baiser encore plus fort, plus vite et plus profondément. Je lui dis que j'en veux plus, que j'aimerais qu'il m'encule violemment. Et il m'obéit en me bouffant des yeux. Ça me ferait presque mal, mais j'adore ça. J'adore ce sexe qui me pénètre, qui écarte mes chairs et frappe ma prostate encore et encore. Dans ma tête, je lui hurle que je l'aime, mais ma bouche ne prononce que des insanités.
Je n'en peux plus, je ne tiens presque plus à quatre pattes tant mon corps tremble de plaisir. Harry augmente encore la cadence, j'ai du mal à le suivre. Il empoigne mon sexe et me masturbe au rythme de ses à-coups. Il va trop vite et ne percute plus ma prostate à chaque fois. Mais il semble le remarquer car je le sens ralentir pour pouvoir me pénétrer profondément à chaque coup. Je sens mon orgasme monter lentement. J'ai cessé de crier et ai fermé les yeux pour savourer pleinement cet instant de pur plaisir. Putain Harry… Ne t'arrête surtout pas…
Soudain, j'éjacule dans un gémissement étouffé et contracte involontairement mon anus, entraînant Harry avec moi dans l'orgasme. Je sens un liquide chaud se répandre en moi alors qu'Harry se cambre en arrière.
Il y a un moment de flottement où nous tentons de retrouver notre souffle. Harry caresse mon dos et me sourit dans le miroir. Puis il se retire de moi et je sens son sperme me couler entre les fesses. Sans même se poser de questions, mon amant vient lécher ce fluide lui appartenant. Je ferme les yeux et pose mon front sur le sol et profite de ces derniers instants en silence.
Peu après, Harry cesse son activité et je l'entends bouger derrière moi. Je rouvre les yeux : il a fait disparaître les miroirs. J'essaye de m'asseoir, mais il y a une certaine partie de mon anatomie qui me fait vraiment trop souffrir. On n'y est pas allé avec le dos de la cuillère… Je m'allonge sur le ventre, respirant calmement et je tourne la tête pour voir Harry. Il est assis à côté de moi et me sourit. D'un geste tendre, il vient caresser mon dos, mes fesses, mes cuisses. Puis il se penche sur moi et dépose sur mes épaules une multitude de petits baisers. Je souris en soupirant de bien être. Je relève un peu la tête et il vient m'embrasser langoureusement.
Toujours en silence, Harry me tend les bras. Je m'y blottis, m'accrochant à son cou et il passe un de ses bras sous mes genoux. Soudainement, il se relève, me portant dans ses bras. Je reste muet, admirant sa force et son endurance. Moi, je suis épuisé.
Harry me porte jusqu'à sa chambre et me dépose délicatement sur son lit. Je me faufile sous les draps et me couche sur le côté. Harry me rejoint bien vite et vient se coller à moi. Sa main cherche un instant la mienne avant que nos doigts ne s'entrelacent. Son souffle est brûlant, je le sens dans mon cou et ses cheveux me chatouillent la nuque. Je l'entends murmurer dans un souffle :
« Merci Drago… »
Je sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. Je réponds simplement :
« De rien. »
Que dire d'autre ? C'était merveilleux. Jamais personne ne m'avait donné autant de plaisir. Jamais personne ne m'avait aimé si passionnément. Et je ne m'étais jamais offert ainsi.
« C'était la première fois que tu étais en dessous ? »
« Oui. »
Nous parlons tout bas. Comme si parler trop fort allait briser ce moment de tendresse.
« Drago ? »
« Oui. »
« Tu es incroyable. »
Je reste silencieux. Je voudrais lui dire que je l'aime, mais les mots me restent coincés dans la gorge. J'ai peur. Peur qu'il ne m'aime pas comme moi je l'aime. Peur de le mettre mal à l'aise avec mes sentiments.
« Harry ? »
« Quoi ? »
« Je suis heureux d'être avec toi. »
« Moi aussi, Drago. Moi aussi… »
Nous nous endormons peu de temps après, bercés par le chant des gouttes d'eau venant s'écraser sur les carreaux.
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