Partager l'article ! AMOUR DANS LE NOIR en sortant de boîte, échauffés par la boisson et par les corps en rut qui dansaient et suaient,: L'amour ...
L'amour de parking dans le noir, c'est sympa, ......
bien que la pleine lumière présente bien d'autres différents attraits, car, même dans le noir, ce sont les visions imaginées du jour qui reviennent, exhaustées par le questionnement incessant de nos sens...et les réponse que leur donnent le toucher, le frottement, le petit bruit des haleines...
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dans l'histoire, ces deux gars se connaissent, mais...dans le noir et dans un bois, avec un ou des inconnus ce sont encore d'autres frissons
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"[Jean-Luc ouvrit la porte de la maison puis rentra sans un mot. Je le suivis et nous nous retrouvâmes dans l'obscurité de la pièce principale, qui devint encore plus épaisse lorsque Jean-Luc ferma la porte derrière lui, coupant les éclairages de la rue.
Il se tint devant moi et j'arrivais à peine à distinguer son visage dans le noir mais il me fixait. Je pus deviner une bosse qui commençait à déformer son slip de bain mais je me retins de le caresser. Je voulais qu'il fasse le premier pas et il le comprit assez bien puisqu'il avança doucement vers moi et passa ses bras derrière moi pour me plaquer contre lui.
Sa main droite vint enserrer ma nuque et il approcha ses lèvres des miennes. Alors qu'il affermissait sa prise, il me déposa un doux baiser sur les lèvres. Je me laissai faire, complétement excité car c'était le premier baiser que nous échangions.
L'obscurité épaisse autour de nous nous enveloppait et rendit ce moment particulièrement intense et intime.
Il me déposa un autre baiser et sa langue vint vite lécher mes lèvres. J'ouvris alors la bouche pour l'accueillir et il plongea sa langue et caressa la mienne tendrement. Ses lèvres épousèrent mes lèvres tandis que sa main droite, toujours sur ma nuque, me collait vigoureusement contre son corps.
Sa main gauche tripota mes fesses enserrées dans le slip en nylon et je sentais la dureté de son bas ventre contre le mien. Ses baisers tendres devinrent bientôt plus intenses. Ses coups de langue devinrent plus appuyés, plus profonds, et nos deux langues se caressèrent vigoureusement.
Je passai également une main sur sa nuque et lui caressai les épaules, et l'autre je m'en servis pour toucher son épaisse queue, prisonnière dans sa gangue de nylon.
La petite maison s'emplit du bruit de nos baisers. Alors que l'on terminait un baiser et que je refermais un instant la bouche, il me donna un vif coup de langue sur les lèvres pour que je les rouvre aussitôt. Il força presque le passage de ma bouche avec sa langue et me la mit bien au fond ce qui me fit durcir encore un peu plus.
Il me lécha ensuite le cou, embrassa ma peau fine et nue, puis me fit enlever mon tee-shirt. Je m'exécutai et Jean-Luc fit de même si bien que quand il me plaqua avec force contre lui, je pus sentir sa peau brûlante contre la mienne.
Il me roula des pelles intenses. Parfois je fermai la bouche et sa langue venait s'insérer entre mes lèvres pour les rouvrir. Il était très dominateur dans ses baisers et cela m'excitait au plus haut point. Sa langue me goûtait, me léchait, me caressait et il embrassait vraiment très bien.
Il plaça finalement ses deux mains sur mon cul et me pelota mes fesses avec vigueur, m'attirant toujours plus contre son bas-ventre et écrasant sa queue dure contre la mienne tout en frottant son slip en nylon contre le mien. Il mima des mouvements de bassin, de ceux qu'il avait faits tout à l'heure pour me pénétrer, et sa respiration devint de plus en plus bruyante.
Jean-Luc était au comble de l'excitation et je me rendais compte que mon cœur n'avait jamais battu aussi fort, que ma queue n'avait jamais été aussi dure. Peut-être l'obscurité autour de nous avivait notre excitation mais je me sentais perdre le contrôle de mon corps pour ne devenir qu'une enveloppe remplie de désir.
Brusquement, il arrêta ses baisers et me retourna contre la porte. J'eus à peine le temps de respirer qu'il plaqua ma tête contre la porte d'entrée, vigoureusement mais sans violence, et se colla contre moi. Je sentis direct sa queue bien raide qu'il plaqua contre la raie de mes fesses, tout en reprenant ses mouvements de bassin.
« Putain Romain, je vais te prendre là, je tiens plus… Je veux te doser encore une fois, je veux te féconder… »
Il n'attendit pas ma réponse, qu'il savait être de toute façon positive et me baissa mon maillot de bain d'un coup sec.
Il écarta un pan de son maillot de bain à lui pour sortir sa queue que j'imaginais bien raide et tâta mon anus avec son doigt.
Une fois qu'il eut repéré mon trou, il ne perdit pas une seconde et posa son gland sur ma raie. Il rentra d'un geste vigoureux qui m'aurait déchiré en temps normal, mais mon cul était déjà lubrifié par son sperme et son membre viril rentra comme dans du beurre, nous faisant décrocher à tous les deux un gémissement de plaisir.
Jean-Luc, voyant sa queue rentrer avec facilité, ne perdit pas de temps et imposa dès le début un pilonnage virulent. Sa queue, littéralement affamée, me percuta le trou avec violence et ses couilles claquèrent vigoureusement contre mes cuisses nues.
Je crus qu'il allait me fendre en deux tellement il me baisa fort. Son côté dominateur ressortait comme jamais et personne ne m'avait pris avec autant de bestialité.
Mon cul était pris d'assaut par son membre épais qu'il rentrait et sortait à une cadence folle. Son gland venait s'enfoncer dans les tréfonds de mon être pour en ressortir derechef, déclenchant entre mes reins des sensations incroyables. J'avais d'un coup la sensation d'être sa chose et loin de me dégrader, cette impression m'excitait au plus haut point.
Mon corps accompagnait ses mouvements de butoir et s'écrasait par conséquent contre la porte sur laquelle il m'avait plaqué pour me prendre.
Je sentais Jean-Luc souffler comme un bœuf contre ma nuque et ses mains vinrent me tenir fermement les fesses pour accompagner sa baise infernale.
« Putain j'aime ton trou, j'aime ton petit trou bien chaud, me susurra-t-il à l'oreille, augmentant d'un cran l'excitation qui s'emparait de mon corps. »
« Prends-le, répondis-je, prends-le tant que tu veux… Défonce-moi bien. »
D'une main, il me prit la tête et me la tourna sur le côté pour me rouler une grosse pelle. Sa langue me fourra littéralement l'intérieur de la bouche et me pénétra comme sa queue dans mon autre trou.
Jean-Luc me possédait totalement des deux côtés et je m'abandonnai à lui comme jamais je ne m'étais encore abandonné. Il m'imposa sa cadence brutale et passionnée et me perfora sans retenue pendant de longues minutes tout en m'embrassant vigoureusement.
« T'aimes ça mon beau ? T'aimes te faire prendre comme ça ? »
« Oui putain ! Continue Jean-Luc, lui répondis-je. »
« Tu veux que je te féconde, t'aimerais que je te dose à nouveau ? »
« Oui, dis-je en bavant d'envie à l'idée de recevoir une nouvelle dose de sa semence. »
« Rhaaaa, je vais lâcher ma sauce ! »
Et je le sentis se raidir contre moi dans une dernière pénétration bien profonde. Sa queue se contracta et elle expulsa une quantité folle de sperme dans mes intestins. Jean-Luc me serra dans ses bras en hurlant comme un supplicié tellement son excitation était forte.
« Putain ! Lâcha-t-il entre deux gémissements. »
Et il reprit son pilonnage intensif tandis qu'il me remplissait le cul, entraînant une bonne quantité de sperme hors de mon cul et qui vint maculer mes cuisses, tâcher mon maillot de bain resté à la base de mon trou, et couler le long de mon cul et de mes jambes.
Tandis qu'il finissait de se vider, il diminua enfin la cadence de ses va-et-vient avant de s'arrêter tout à fait et de rester dans mon trou quelques minutes, le temps qu'il retrouve ses esprits.
« Putain, dit-il, je veux ton cul pendant tout le séjour, j'ai trop envie de toi, c'est trop bon. »
« Il est à toi Jean-Luc, je veux que tu me troues dès que tu le désires. »
Il se sortit de mon trou et me retourna pour que je sois de nouveau face à lui. Il m'attira contre son torse musclé et me roula une pelle tellement tendre et intense que je faillis en pleurer de joie.
« Désolé, j'étais trop excité, m'avoua-t-il. On prendra le temps tout à l'heure, car j'ai aussi envie que tu me suces. Mais là, il me fallait ton cul, j'ai vraiment failli te prendre tout à l'heure dans la cuisine tellement j'en pouvais plus. »
Ma main toucha sa queue poisseuse qui était en train de reprendre des proportions normales et je constatai que son maillot de bain était maculé de jus. J'aurais eu envie de me baisser et de le lécher mais je n'osai pas le faire sur le moment.
Nous étions toujours dans l'obscurité et la bête de sexe qui venait de me fourrer comme une brute était à nouveau redevenue calme. Il m'embrassa longuement, me caressant le dos, les fesses, réveillant sur ma peau des frissons exquis. Je tremblai à son contact et il me donna un tendre baiser.
« Ça te dit qu'on prenne une douche ? Ensuite j'ai encore envie de te refaire l'amour, mais plus tendrement. »
« J'ai bien aimé que tu me prennes plus fort. »
Il me sourit :
« Alors ça va permettre de varier les nombreuses fois où je vais te fourrer. »
Puis il se dirigea à tâtons vers la salle de douche et alluma la lumière. Je fus un instant aveuglé et mis ma main devant les yeux pour m'habituer.
« Viens prendre ta douche avec moi Romain ! Me demanda Jean-Luc. »
Je ne pus refuser l'invitation et le rejoignis sous les lumières blafardes de la salle de bain.] ¤
shinywears85@hotmail.com sur cyrillo.com les amis de mon père
"Dans l'obscurité"capture d'écran
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