Mercredi 29 juin 3 29 /06 /Juin 00:27

 

 

gaybutnotvanilla: “ John was a new member of the football team. He was also a frat rat, but he had forgotten to bring a keg to that night’s frat party. He had a met some girl, got to talking, and forgot all about the beer as he arranged for a date...

 

 

John, nouveau membre de l'équipe de football, avait oublié d'apporter un tonnelet à la fête de la fraternité de cette nuit. Il avait oublié d'apporter le petit fût de bière.

Sur la photo il subit sa punition proportionnelle à sa faute.  Courbé en deux, sans pantalon, portant un jock, il endure  la punition de 25 coups de raquette par CHACUN des frères de la fraternité.

Après que le troisième frère de fraternité  a commencé à le fessee, John a commencé l'a supplié de s'arrêter, disant qu'il ferait tout ce qu'on voudrait pour réparer sa faute.

  "Eh ben, c'est vrai qu'on a besoin d'un trou à jus," a dit le troisième frère de fraternité en flanquant un nouveau coup aux fessses de John.
John ne savait pas ce qu'était "un trou à jus". Deux coups encore tombèrent  tandis qu'il criait :"Ouais, ouais, je le ferai. Je le ferai si vous vous arrêtez."
Haussant les épaules, le troisième frère de fraternité a dit "Moi ça me va."
Les invités arrivaient. Ils ont attaché les jambes de John pour que son cul s'étale plus largement.
"Que diable ?" a demandé John.
Laissant sa question sans réponse ils se sont assurés que l'on pouvait facilement accéder à son trou  de l'autre côté du mur percé de cette petite salle spéciale et que John ne pouvait se dérober par un sursaut à toute bite qui serait en train de le pénétrer.      

        Résultat de recherche d'images pour "poignées de chiottes handi chromées"         Les poignées de maintien fixées au mur n'étaient là que pour l'aider à encaisser les coups de reins des participants.

 

  Après cela, ils l'ont laissé seul en le remerciant de s'être porté volontaire et sacrifié pour assurer le divertissement de la nuit.
"Attendez ! c'est quoi ?" a dit John, ne comprenant pas ce qui se passait. Ensuite, il a poussé des cris aigus quand il a senti qu'un tube de lubrifiant était injecté dans son cul.
Il était dans une petite pièce, ménagée dans une autre plus grande. Une fois la porte fermée, une musique assourdissante installée dans la pièce, et son cul bloquant  le trou derrière lui, personne n'a rien pu entendre des cris de John pour demander à sortir.  Les frères avaient prévu d'enregistrer sur CDROM tous les événements qui pouvaient surgir et, plus singulièrement, combien  John a aimé et joui de la première queue entrée dans  son cul. Le type a pris son temps en commençant par un doigt. Il semble que John n'ait pas vraiment compris combien on lui a en réalité accordé de considération et d'égards.
Il ne pouvait pas empêcher la queue d'entrer jusqu'aux boules, à fond. Les images du cul de John offert étaient captées pour toujours sur l'ordinateur et téléchargées sur le site Web national des fraternités, la virginité du cul de John était offerte à une longue bite circoncise.  Les yeux grands ouverts, haletant et ne pouvant émettre que de longs gémissements effrayés au moindre petit mouvement. John ne saurait jamais que c'était le meneur de jeu, celui qui distribue les gages, qui, le premier a pris sa cerise. Ce n'est que bien plus tard qu'il a pu déduire qu'il avait été empalé comparativement doucement. Et même ce n'est qu'encore bien plus tard qu'il put discerner que cette "tendresse" était due au fait que le meneur de jeu aimait John en secret depuis toujours et désirait le baiser, et plus tard plus que jamais sans avoir recours à la contrainte du glory hole forcé.
John pensait alors que personne ne savait que c'était son cul qui était utilisé comme un "fucktoy", un jouet à baiser. Bien sûr, il ne se doutait pas qu'une photo de lui était épinglée au-dessus du gloryhole de sorte que n'importe quel connard pouvait savoir qui était baisé derrière le mur !

Il est bien  certain que John n'aimait pas se prendre toutes ces quantités d'éjacs dans son cul, mais de toute façon il ne pouvait pas faire beaucoup contre cela. Et, d'un autre côté, il savait ses fesses n'auraient pas pu supporter davantage de coups de raquette.  

A l'extérieur, de part la musique à fond, les gens ne pouvaient pas l'entendre prier : - "Oh, Dieu. Non ! Pas une autre queue. Je peux la sentir à l'intérieur de moi. Je pense qu'elle est plus longue encore que la précédente ".

- "Qui me baise là ? putain, pourquoi si vite ? Comment peut-il baiser aussi vite? Je peux sentir ses couilles qui tapent durement contre les miennes".

- "Oh merde. Je pense qu'il va bientôt jouir. S'il vous plaît retirez-vous avant. Je ne veux pas une autre charge à l'intérieur de moi, ça me fait ressembler à un pédé. Sortez S'il vous plaît. Oh con ! . Il est en train de jouir...!     

                En fait, tout ce qu'il disait, récupéré en bande-son, pourrait être utilisé pour des clips et des films, en réutilisation. Un des clips  serait appelé " Aventures du  Gloryhole: Comment John A choisi d'Être une Souillon Homosexuelle."

Soulagés, tous pourraient être partis et le laisser tranquille,  mais John avait oublié qu'il avait invité l'équipe de football entière à la fête. Comme tous les groupes, ils n'étaient pas assez intelligents  pour suivre correctement des instructions simples et un mec a ouvert la mauvaise porte. Il a pu voir John courbé par force, attaché et se prenant une queue à fond dans le cul, John a tourné sa tête pour voir qui avait ouvert la porte plutôt qu'ouvrir le côté anonyme, espérant que cette vision aurait provoqué sa fuite, John a glapi et s'est presque libéré quand il a vu que c'était l'un des footballeurs de sa propre équipe.
"Attends, non s'il te plaît.Ne dis rien à pers...…" était tout ce qui était sorti avant que la porte ne se soit fermée et cela juste au moment où la bite qu'il avait dans le cul commence à lancer sa charge !

Epilogue :

  Ce fut une très longue nuit pour John. John se promettait de n'oublier plus jamais d'apporter un tonnelet de bière à une fête, plus jamais.

L'Entraîneur était un individu impartial quoi que nous puissions en penser. Il a dit à l'équipe entière que le rôle  officiel de John dans l'équipe serait "le trou ouvert" et ils pourraient utiliser John n'importe quand ils voulaient, sauf pendant des matches  ou l'entraînement.

L'équipe ne se l'est pas fait dire deux fois.

Malgré son orientation hétéro, après la dixième queue, John désormais éjaculait et avait un orgasme sans se toucher.     

  Après les entraînements il devait rentrer à la maison avec l'entraîneur... Parfois l'entraîneur adjoint inventait aussi une assez bonne excuse pour sa femme.

Et les jours sans entraînement ni match, d'habitude le dimanche, John passait la nuit à la fraternité. Là, John a constata que la pièce  bien nettoyée et mieux aménagée leur permettait, au meneur de jeu et à lui, de dormir ensemble.

John n'a jamais eu le temps pour une fille. Mais peu importe. John se régalait toujours d'entendre tous les gémissements et les cris perçants de l'amour  qu'il pourrait souhaiter. Il est vrai que les cris venaient de lui, tandis que les sons de plaisir venaient du meneur de jeu, ou d'un garçon de la fraternité, ou d'un footballeur qui possédait la queue à laquelle il donnait du plaisir actuellement .     

 

  Afficher l'image d'origine     

 

USA & BRITAIN : John, as a new member of the football team, had forgotten to bring a keg to that night’s frat party.  He had forgotten all about the beer.

Here, he gets his appropriate paddling punishment.  Bent over, no pants, wearing a jock the punishment was 25 paddles by EACH of the frat brothers.

After the third frat brother got into position and started to paddle, John started begging for him to stop, saying that he’d do anything to repair his fault.

“Well, we do need a cum dump,” said the third frat brother as he delivered another blow.

John didn’t know what that was.  He lasted two more paddles, before spitting out “Okay, okay, I’ll do it.  I’ll do it if you stop.”

Shrugging, the third frat brother said “Okay by me.”

 Guests were arriving.  They fastened John's legs to keep his ass spread wider.

“What the hell?” asked John.

Ignoring his question they made sure his hole could  be easily accessed from the other side of the pierced wall and couldn't pull away from any cock finding its way up his ass.

The handles on the wall in front of him, he could use them to hold on for support.

Then they left him, thanking him for beeing a volunteer to be the night’s entertainment. 

“Wait, what?” said John, not understanding what was going on.  He squealed as he felt a tube of lube being injected up his ass.

He was in a small, enclosed room.  With the door closed and the music blaring, and his ass blocking the hole behind him, no one could hear anything from inside his room, even as John shouted to be released.  The frats taped the events and more peculiarly how much John enjoyed the first cock to enter his ass.  The guy took his time, starting with a finger.  John didn’t really understand how much consideration he was actually being given.

He could not prevent the cock going balls deep.  Captured forever on the computer and uploaded to the national frat website, John’s ass offered its virginity to an anonymous, long, cut cock.  His eyes wide open, panting as the cock began to fuck, John could only give frightened moans to each little movement.  John would never know that it was the pledgemaster who took his cherry.  It would only be much later that he understood he had been impaled  comparatively gently. And even more later this was due to his having given up his ass to the pledgemaster, who had always liked John and hoped to fuck John again without the need for a gloryhole wall.

John thought no one knew it was his ass being used as a fucktoy.  Of course, he did not know that a photo of him was pinned up above the gloryhole if any fucker wanted to know who was being fucked.

John sure didn’t like taking cum load after cum load up his ass, but he couldn’t do much against it anyway.  Besides, he knew his butts couldn’t bear any more paddling. 

People outside couldn’t hear him. He was praying : - “Oh, god.  Not another cock.  I can feel it inside me. I think it’s longer than the last one". 

- “Oh fuck what the hell?  How can he fuck that fast?  I can feel his balls slapping hard against mine".

- “Oh shit.  It feels like he’s getting close.  Please just pull out. I don’t want another load inside me.  Makes me feel like a faggot.  Please get out.  Oh.  Damn.  He’s still all the way in.”

What he said could be used for great, repeatable movies.   His would be called “Gloryhole Adventures: How John’s Chose To Be a Gay Slut.”  

All might have gone well, but John had forgotten he had invited the whole football team to the party.  As a group, they weren’t smart enough to follow simple instructions well; one opened the wrong door.  Bent over, someone’s cock going all the way in his ass and then all the way out, John turned his head to see who had opened the door rather than opening the anonymous side, hoping it meant his release.  He yelped and almost broke free when John saw it was one of his fellow football players.

“Wait, no please.  Don’t tell anyone…” was all he got out before the door shut, and he got to feel the cock up his ass begin to spurt its load.  

Epilogue :

It was a very long night for John.  John would never forget to bring a keg to a party ever again. 

 The Coach was a fair-minded individual though.    He told the whole team that John’s official position on the team was “open hole” and they could use John any time they wanted to, except during games or practice.  

The team didn’t need to be told twice.

Despite his straight inclination, after about the tenth cock, John would usually shoot.

After practice he would have to go home with the coach...  Sometimes the assistant coach would also come up with a good enough excuse for his wife. 

And on days with no practice or games, usually Sundays, John spent the night at the frat.  There, John found the room had been cleaned out and he had to sleep with the pledgemaster. 

John never had time for a girl.  But no matter. John still got to hear all the moans and screams he could ask for.  It’s just that they came from him, while the sounds of pleasure were coming from either the pledgemaster, or any frat boy , or a football player who owned the cock he was currently satisfying.

 

 

Par DARTEN TUNETT - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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