Partager l'article ! jeux d'eau entre amants dédié à l'ami Jean-Paul: Nous voilà excités à l'idée ...
Nous voilà excités à l'idée de ce qui se prépare, de ce qui attend le cul mignon de mon cher supplicié.
- ton trou du cul est bien préparé, Ça ira tout seul, Ça glissera comme dans du beurre.
- c'est toi qui le dis, c'est moi qui dégusterai.
- déguster c'est bien le mot : tu vas te régaler !
- pendant que je vais préparer le matériel nécessaire, tu restes dans cette position bien commode . Tu attendras sans peur la venue du Dr clystère. Tu ne penseras sérieusement qu'à ce qui t'attend.
Je prépare un long tuyau souple, un bock, de la vaseline. Je le remplis le bock d'eau tiède que je parfume de lavande et de romarin. Ca va barder ! Je reviens ! Prépare ton cul ! Est-tu prêt pour l'embarquement pour Clystère (* 2)?
Il est toujours couché sur le côté, les fesses exposées à toutes sortes de tourments, à toutes mes spécialités de lavements, des grands, des brûlants. Allons, montre-moi ton petit anus , que je puisse enfin officier dans ton séant.
Je le prends dans mes bras, je le caresse pour l'encourager à recevoir son lavement si suave, si calmant. En voyant que rien n'empêchera d'accomplir mon forfait, il consent enfin recevoir son tendre supplice, son bouillon pointu entre ses fesses. Il geint un peu pour la forme, il grognette et me tend gentiment son cul adoré. Je lui lèche pour le remercier de son obéissance. Je lui plante ma langue dans le trou du cul frémissant son fondement est libre appréhension, pourquoi ?
- allons ! Je ferai bien attention, je te ferai aucun bobo laisse-toi aller comme mon bébé bien sage.
Il attend le fameux lavement qui va inonder son postérieur, son intérieur, son trou du cul timide et humble. Je lui vaseline l'anus, sur les bords et en dedans. Il rigole, je le chatouille et je suis sûr qu'il mouille.
- je vais introduire l'extrémité du tuyau pour te remplir le cul, injecter de l'eau dans tes boyaux mystérieux.
Il tend son cul ; il a l'air de réclamer son dû ; il n'en peut plus.
- patiente un peu chéri, desserre tes fesses.
Soudain, il met ses doigts dans son cul il ouvre largement. Ne peut résister à l'invitation anale. J'introduis lentement le tuyau ; ça le fait frémir… J'ouvre le robinet, l'eau coule et le pénètre.
- aïe aïe ! Que je souffre, mon cul me brûle.
Je ne prends pas pitié, ce sont là des simagrées. Pour toute réponse, j'enfonce davantage le tuyau en le faisant tourner un peu.
- as-tu bientôt fini chéri ? tu me fais mal, j'ai envie de faire pipi, de faire caca, de tout envoyer.
- mais non je commence à peine.
Il est fou de plaisir ; il réclame un supplément, il en veut encore
- encore chéri, poursuis-le ton lavement, n'arrête pas !
Je verse calmement de l'eau tiède dans le bock. Il pleure, sanglote, gémit. Son ventre torturé se gonfle. Je le masse entre les cuisses, je la chatouille tout en lui effleurant la peau du ventre. Millimètres par millimètre, je pousse encore le tuyau, comme un train entrerait dans un tunnel.
- que ton postérieur avait soif !
Mon buddy chéri s'est comporté comme un ange ; il pleurniche maintenant, il souffre dignement, son ventre est distendu ; il a bobo au cul.
- voilà chéri, c'est fini, assez d'eau pour aujourd'hui.
Je retire le tuyau envahisseur ; je lui mets un doigt dans le cul pour qu'il ne rejette pas trop vite le liquide qu'il avait tant attendu, pour qu'il conserve longtemps cet élixir démoniaque. Je le fais de nouveau attendre, mon doigt dans son trou, il doit encore patienter. Il me supplie de le laisser partir se soulager ; je le chatouille, je lui promets de nouvelles tortures plus raffinées, je lui tortille les poils du cul humides comme après la rosée puis je l'autorise à aller vider son pétard avant qu'il ne soit trop tard.
- reviens vite, chéri, je vais te prendre à nouveau je serai doux et autoritaire
- Allez, La prochaine fois, c'est moi qui recevrai un lavement ; oeil pour oeil dent pour dent, fondement pour fondement, lavement pour lavement.
Je me prépare déjà à être clystérisé par mon Jean-Luc. J'ai rasé les poils de mon cul. Je sais que je vais souffrir atrocement, mais je me réjouis.
Quand nous n'avons pas le temps de recourir au lavement, je me contente de perforer sa petite pastille avec le thermomètre.
- je te trouve fébrile, viens t'allonger sur mes genoux, je vais te prendre la température.
Docilement il se place sur mes genoux, je baisse son boxerjuste sous les fesses ; je sépare ses belles "joues", déplisse le petit trou avec mon doigt mouillé de salive que je rentre profondément dans le tunnel culier, puis le thermomètre suit.
Je le plante doucement à moitié et, au bout d'une minute, je l'agite d'avant en arrière le rentrant chaque fois un peu plus ; lorsqu'il ne dépasse plus qu'un petit bout de verre et que Jean-Luc gémit :
- tu l'enfonces trop !
Je laisse l'instrument planté dans la cible ;
- tu le gardes un quart d'heure.
De temps à autre, je retire le thermomètre pour lire la température, puis le replonge aussi loin.
A la fin je retire le thermomètre et annonce la température ; si elle dépasse 37°8, il a droit à un gros suppositoire contre la fièvre (*1) que mon doigt poussera tout au fond de son gros derrière ; il y reste cinq minutes pour être sûrs que le suppo ne ressort pas.
Elle n'est pas en reste et n'hésite pas à me trouver fiévreux ; et j'ai droit moi aussi au thermomètre aussi profondément que lui.
Pour la prochaine séance de température, j'aurai une surprise : dans une brocante, j'ai trouvé deux gros thermomètres anciens ainsi que quelques canules longues et volumineuses…
(*1)plusieurs suppos à la glycérine -lol-
(*2) Cythère et non clystère qui est une grosse seringue à lavement ! L'embarquement pour Cythère, synonyme d'un voyage au pays de l'amour viendrait d'un tableau de Watteau signé en 1717 qui représente des couples d'amoureux sur le point de partir pour l'île d'Aphrodite.
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