Dimanche 21 août 7 21 /08 /Août 19:53

 il y a des professions d'autorité qui empêchent ceux qui les exercent de vivre librement leur vie de gays

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MIREILLE AVAIT ECRIT  Ne croyez pas que les gendarmes
Soient toujours des gens sérieux...

  PAROLES :En m'en allant à Bergame,
L'autre jour, vendre mes œufs
J'ai rencontré trois gendarmes
Un tout jeune et deux grands vieux
En m'apercevant les lâches
Ils m'ont barré le chemin
Le petit frisa ses moustaches
Et m'a prise par les mains
Ne croyez pas que les gendarmes
Soient toujours des gens sérieux...
Mais non, mais non, mais non Mesdames
Mais non, mais non, mais non Messieurs
Malgré mes cris et mes larmes
Ils ont voulu voir mes œufs
Mais oui, mais oui Mesdames
Mais oui, mais oui Messieurs

Hélas ! j'eus beau me débattre
Mes œufs étaient sacrifiés
Le premier m'en prit vingt quatre
Le second vida l'panier
Quant au pauvre petit troisième
Il ne lui restait rien du tout
Alors il m'a dit : "J'vous aime..."
Et il m'a prise sur ses genoux
Ne croyez pas que les gendarmes
Soient toujours des gens sérieux...
Mais non, mais non, mais non Mesdames
Mais non, mais non, mais non Messieurs
Le petit sécha mes larmes
Les deux grands gobèrent mes œufs
Mais oui, mais oui Mesdames
Mais oui, mais oui Messieurs

Pendant que ses deux camarades
Mangeaient plus que de raison,
Au point d'en être malades
Le petit, sur le gazon
M'avait déchiré ma robe
En me couvrant de baisers
Il m'a dit : "C'est toi que j'gobe
Viens par là, j'vais t'épouser"
Ne croyez pas que les gendarmes
Soient toujours des gens sérieux...
Mais non, mais non, mais non Mesdames
Mais non, mais non, mais non Messieurs
Et je suis devenue la femme
Du petit qu'aimait pas les œufs
Mais oui, mais oui Mesdames
Mais oui, mais oui Messieurs   Mireille + Brassens   

 

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 qui ? moi ?  un feu rouge  ?

 

MIGUEL

Voilà une histoire que je ne peux m’empêcher de raconter tellement  c'est merveilleux ce qui m'est arrivé voilà maintenant 4 mois.

Je me présente, Miguel, un jeune gay de 23 ans, grand, mince, yeux marrons, bruns, mais bon ça va, au fait j'oubliais gay; -hihi- ndlr

    Avez-vous déjà rêvé de vous faire mettre par un gendarme ? eh bien si d'autres ont vu leur rêves se réaliser, et d'autres non, moi je fais partie de ces gens qui ont vu leur rêve se réaliser et du plus incroyable du monde.

Ce jour là, il était 17H00 je revenais des cours de la fac et dans ma caisse, je feuilletai un mag porno gay, tout en me branlant la bite, tellement excité j'augmentais la vitesse pour sentir plus de plaisir.

Arrivé à un carrefour, avec aucune voiture à l'horizon je brulais le feu rouge,( bon je sais, c’est pas bien mais dans mon cas j'en suis heureux maintenant de l'avoir fait), alors en brulant le feu rouge je me disais que il y' avait personne, mais, erreur de ma part car à quelques mètres une voiture de gendarmes me suivait avec sa sirène.

"Merde", j'avais le choix essayé de le semer ou m'arrêter !
Bon... je m'arrête et sors de la voiture, bien sur j’ai remit mon outillage en place.

Le mec s'approche et là je tombe nu devant un apollon, j'en ai vu des comme ça mais lui il avait quelque chose d'autres, il était là debout dans son uniforme bleue qui soulignait ses pectoraux, mais ce sont ses yeux qui m'ont frappés, de beaux yeux bleu-gris avec une chevelure noir mais on distinguait quelques mèches grises qui faisait tout son charme.

Là il se met à me poser des questions de routine quoi:
- savez-vous que vous avez grillez un feu
- oui
- et pourquoi ça
- je m'excuse mais j'ai vu personne alors je préféré continuer
- personne, et bien j'étais là moi et si il y'avait eu accident
- en tout cas avec vous je suis prêt à mourir.

Oups qu'est ce qui m'a prit de dire une chose pareille, oh la vache, je m'excuse mais il ne dit rien du tout et s'approche de la voiture et veut fouiller mais j'avais le magazine alors je me mets devant la voiture

- il y'a rien, je ne fume pas, ni me drogue pas, et je n’ai pas bu
- alors laissez-moi vérifier
- non je ne peux pas
- écoutez, je peux vous arrêter ou vous donner une amende, alors laissez moi verifier !

Là il me pousse et ouvre la portière et se met à fouiller.
Je peux vous dire que là j'avais la honte de ma vie, j'vais même envie de m'enfuir et laissez la caisse.
Il ressort de la voiture avec le magazine, et ma boite de préservatif, qu'il met sur le capot et me demande de me retourner pour la fouille habituelle, je lui fais comprendre que je n’ai rien sur moi mais il ne veut rien comprendre.

Là je me retourne et écarte mes jambes.
Il pose ses mains sur mes épaules, tâte mon torse et les poches de ma chemise, redescend sur ceux du pantalon, j'en avais des frissons merde, je me remets à bander, oh merde qu'il fasse vite, il tate mes fesses, mes cuisses, mes mollets et remonte sur mes fesses.

Là je sens poser ses mains sur mes hanches et là quelque chose contre mon derrière.
C'est quoi, ça je me suis posé la question, une arme, non par sur un cul quand même et là à ma grande surprise merde se mec se frotte contre moi.

Je n’arrivais pas à y croire, et mais si c'était vrai, oh mon dieu incroyable non.
Là dans se genre de moment vous êtes quand même à dire vraie dérouté, je me retourne et je le regarde il était là et il me regardait et souriait.
Je souriais mais sans comprendre réellement ce qui se passait.
Je pris mon courage balbutiant

- vous êtes gay?
- non je suis bi
- c’n’est pas vraie
- si, incroyable, ouf

On s'est mis à rire et je suis repartit à ma voiture et il s'est installé près de moi en plein milieu de la route et s'est mis à me parler de sa vie, de son homosexualité.

On a ainsi discuté pendant un moment et j'en pouvais plus, là je saute sur lui et me met à l'embrasser, il n'en fut pas choqué comme je l'aurais pensé.
Au contraire il a répondu à mon baiser et on s'est mis à s'échanger nos langues.
Oh mon dieu se mec embrasse tellement bien, le gout des ses lèvres de sa salive quel bonheur.
J’en étais aux anges. En même temps moi sur le lui il me caressait le dos, et les fesses, il savait tellement le faire.

Je m'assois sur ses cuisses et lui déboutonne sa chemise que j'enlève, son t-shirt.
Là je découvre son torse.

Comme je l'aime, ce mec était une réponse à mes fantasmes, un beau torse musclé avec des pectoraux, mais le mieux était ses jolis poils frises sur tout son torse et ses deux bouts de tetons roses qui pointaient, qu'elle bonheur.

Je caressais le torse j'adore cette sensation de la toison, lui pendant ses temps avait ses mains posé sur mes hanches et me regardait calmement.

Je l'embrassais un moment et fit tomber le siège en arrière pour qu'il se couche ; Il se déboutonne pendant que je fais autant, je ne mis pas de temps à me retrouver nu et lui aussi.

Là le coup de grâce ce mec était la perfection en tout cas il possédait des gènes en or, des beaux pecs, de grosses cuisses bien velus, un vraie male, une vraie bête, il dégageait une telle virilité, avec une telle douceur.

Je posais mes mains sur son torse et pris sa queue entre mes mains, que j'admirais un moment, une belle bite d'au moins 20 cm, grosse avec des veines, elle était un peu violacée et se gland luisant, un appétit que j'avais envie de combler, ainsi je pris cette belle queue dans ma bouche.

Jamais de ma vie, j'avais ressentie un tel plaisir de faire la pipe à un mec, ce n’était pas une pipe banale, mais j'y ai mit tout mon amour, je voulais lui faire plaisir.

J’engouffrais cette bite entière dans ma bouche, ma langue enroulant autour de son gland, je redescendais sur la longueur de la bite, j'englobais les boulles que je léchais et remontais pour engloutir une fois de plus le gland, hum quel bonheur et il aimait ça, je l'entendais jouir et crier et ç me faisait plaisir.
Pendant que je lui faisais sa pipe, je sentis son doigt s'insinuer entre ma raie, il me demande
- je peux ?
(Quoi ce mec me demande s’il peut, quel homme!)
- bien sur que tu peux je suis à toi

Il introduit son majeur dans ma rondelle qui s'écartait pour laisser le passage; hum quel sensation il avait l'air de chercher quelque chose, se doigt tournoyait autour de ma queue, son majeur allait plus loin et remontait, rien que ces mouvements de va et vient me faisait rougir et mouiller le cul, j'en haletais.

J'en pouvais plus et je le lui dit, alors il s'arrêtait et me demanda de me coucher sur le siege.

Je me couchai et soulevai mes jambes à mon cou pour qu'il se place devant moi.
Je le vis se placer devant moi sa queue à sa main, qu'il posa contre ma rondelle, et introduisit doucement.
Centimètre par centimètre etait douleur mais je ne voulais pas le lui dire, c'était ma douleur mais aussi mon plaisir.
Il me pénétra en douceur jusqu'au bout, je sentis sa toison pubienne contre mes fesses, ouf quel plaisir, je le sentais doucement et tendrement le temps que ma rondelle fasse connaissance, on se regardait et souriait il y avait une tel douceur sur sn visage.

Mais au bout de 3 min mn cul s'ouvrait facilement et là il se mit à me baiser comme il le savait.
Sa queue entrait et sortait, elle glissa de plus en plus loin, j'en vais chaud au cul, mon derrière brulait, mon cœur bâtait la chamade, tous mes sens était troublés, j'e n'avais jamais ressentit un tel plaisir.

Il savait tellement se servir de nos corps, il ondulait docilement ses reins et moi pareil.
je le voulais plus loin, plus fort, je criais, je pris ses fesses entre mes mains je le poussais vers moi pour le faire comprendre d'aller plus loin , plus fort et il comprenait.

Ses coups devinrent de plus en plus dures mais toujours avec un brin d douceurs, sa queue me remplissait, sentir cette bite en moi c'était le comble.
Je relevai plus encore mes jambes, il était ainsi couché sur moi, son torse contre le mien, chaque partit de son corps me procurait du plaisir. Sa bouche qui me mordait le cou, les oreilles, sa langue qui se mélangeait à la mienne, ses poils qui me donnait de tel frisson sur mon corps imberbe, ses tetons, tout , tout me faisait chavirer.

On changea de position, je me mis à quatre pattes, il se retira un moment et il me regardait, mon cul et là il dit" t'es bien ouvert là".
Il revint vers moi et me pénétrai d'un coup que je m'écroulais sur le siège arrière, le cul toujours en l'air.
J'avais cette pose de chienne en chaleur et j'aimais ça, lui a genoux entrain de me pilonner, sa queue qui me frappait brutalement ses mains qui me caressait, me pinçait les tetons.
Il m'insultait et lui demandai d m'insulter encore plus fort.
Parfois il ressortait et frottait son gland contre mon cul.

Il me baisait ainsi pendant un moment qu'un l'idée d'un fantasme me revint: être baiser en plein rue.
On sortit et me mit contre la voiture, le dos contre la portière, il vint et souleva mes jambes et me pénétrait ainsi le corps relevé vers le haut.

Dans cette position, je sentais tout son corps, nos transpirations me rendait encore plus en extase, je m'accrochais à lui, pour ne pas tomber mais aussi pour le sentir plus en moi.
Et là au moment où on ne se rendit pas compte, une voiture passa et le mec s'arrêta un moment et descendit sa vitre.

Il en fut tout rouge d honte et repartis.
J'en avais eu tellement plaisir et honte mais lui il me fit comprendre qu'il avait aime et se remit à me baiser de la sorte.

Nous repartons dans la voiture ou je me couchai et il vint sur moi et me pénétra une fois de plus.
Il me baisait un moment et là d'un coup je l'entendis gémir plus fort et sa queue se contracter ainsi que tout son corps.

Je sentis glisses sa semence en moi à long jet.
Il resta ainsi un moment et se remit à m'enculer, avec le sperme, un bruit de fluxion se faisait entendre et on en riait.

Il ressort sa queue et se couche sur le siège auto et on se regarde un moment et on sourit, il me déposa un baiser sur ma bouche et se revêtit, moi pareil.

IL me regarda calmement, j'avais peine à partir mais je ne le montrai pas, mais bon j’étais qu'un coup quoi ? Rien d'autres.

Là il m demande mn numéro de téléphone.
- tu veux bien me donner ton numéro ?

Quel choc ! Je ne pouvais réagir...

- ok laisse tomber si tu ne veux pas
- non ce n’est pas ça, c’est juste que je n’imaginais pas que tu me le demanderais
- et pourquoi ça ?
- ben un coup d'un soir j'en connais
- alors donne !

Je lui donnais mon N° et me dirigeais vers ma voiture pour rentrer chez moi, sur la route il était derrière moi, il me suivait.

L’autre nuit, on a parlé pendant près de 2 heurs au téléphone, pour se revoir le lendemain.

Depuis ?

4 mois d bonheur

 

 

 

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Par MIGUEL - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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