Partager l'article ! GRIPPE AVIAIRE et, plus généralement->ZOOphilie et transmission de maladies animales à l'homme: 800.000 animaux du Gers et des L ...
800.000 animaux du Gers et des Landes vont être abattus d'ici le 20 janvier, après la réapparition du virus de grippe aviaire. - FRANK PERRY / AFP
supposer que les bêtes n'ont ni conscience ni vie affective...c'est un courant de pensée de plus en plus abandonné.
qui a vu (et observé) le pénis disproportionné du canard par rapport à sa taille peut se montrer jaloux. D'autant que ce dernier esr en tire-bouchon et n'a pas besoin de raidir pour pénétrer à fonf la femelle...et qund on dit "à fond"....
Programme de l'OMS : "One World One Health" : santé environnementale -> santé animale -> santé humaine : les progrès de la vie sur la planète passent par ces exigences -là
Sans parler du virus HIV qui viendrait de singes africains, les épidémies de fièvre hémorragique à virus ebola, de SRAS et de GRIPPE AVIAIREqui se succèdent amènent les organisations internationales à imaginer une approche intégrée dénommée One World-One Health puis rebaptisée "One Health"
Qu’est-ce que la Zoo...philie?
Au sens strict du terme, tous les dictionnaires s’accordent à dire que la zoophilie relève d’un sentiment affectif fort pour les animaux. Celui-ci prend parfois la forme d’une excitation pour l’animal jusqu’à toucher du doigt la barrière de la déviance sexuelle. Étymologiquement, la zoophilie n’est pas une pathologie particulière, puisqu’elle se résume à laisser transpirer un très grand amour pour les animaux sans sous-entendre quelques envies érotiques que ce soit.
De fait, utiliser ce terme pour désigner une relation sexuelle avec un animal est une faute de sens. L’authentique signification du comportement sexuel mettant en action des partenaires humains et animaux s’apparente plutôt à l’ancienne définition, la bestialité. L’acte bestial tel que défini évoque une perversion sexuelle assez rare qui implique l’animal dans la sexualité. Cet acte est commis aussi bien par les femmes et les hommes. Mais personne ne sait réellement combien d’individus en usent.
Il n’y a pas de portrait type du zoophile, car plusieurs facteurs entrent en compte dans la pratique sexuelle animale.
Le premier facteur concerne les conditions de vie. Ce sont souvent des personnes seules qui s’y adonnent, mais également d’autres souffrant d’un physique peu prometteur, gros, amputé ou victime d’une infirmité. L’absence de partenaire de sexe différent est aussi une raison connue tout comme un lieu d’habitation éloigné des centres urbains. L’expérience Z dans ces situations est un palliatif affectif sans forcément recourir à une tare psychologique, même si ce type d’activité est souvent accusé d’être hors normes. Le plus fréquemment, dès que la personne trouve un partenaire, le rapport sexuel avec des animaux devient de l’histoire ancienne et se retrouve souvent enfouie dans l’inconscient pour la faire disparaitre.
Autre catégorie de zoophile, les personnes souffrant d’une altération mentale. La zoo révèle ici de graves troubles psychologiques qui s’accompagnent d’aberrations comportementales. Ce bouleversement du comportement se traduit par des pratiques hors-normes relevant de la psychiatrie lourde.
La bestialité attire aussi les curieux en manque de sensations fortes. Les voyeurs, pas nécessairement concernés par une expérience Z attisent leur fantasme par une découverte nouvelle. Pour eux, c’est l’interdit et le contexte de la situation qui est attirant. Le début de l’acte prend racine dans la consultation de site pornographique afin de jouir d’une excitation novatrice. Loin d’être teintée de perversion, cette pratique se rapporte uniquement à un acte de voyeurisme, parfois complété par une pointe de fétichiste.
La zoophilie, ou plutôt la bestialité concerne aussi des individus pervers qui ne peuvent expliquer leur attirance pour cette activité. Loin de ressentir un amour transcendental pour les animaux, ils sont simplement attirés par une relation sexuelle. Ces sadiques, appelés aussi psychopathes sexuels, jouissent d’une absence totale de morale et de conscience. Pour eux, la bestialité représente un fantasme hors du commun, dont on aura du mal à comprendre les motivations réelles.
L’expérience Z concerne aussi de véritables adorateurs de cette pratique. Les couples légitimes complètent leur sexualité en prenant dans leur foyer un animal de compagnie qui sera aussi un partenaire [secret] de jeu sexuel. Souvent amateurs de chien ou de chevaux, ces couples en quête de sensations fortes [dans le secret de leur couple]en font l’acquisition et le choix dans leur foyer. Les moyennes races sont plébiscitées et font le bonheur des maitres et maitresses amatrices de rapports fougueux et de cunnilingus interminables. Sans condition de vie particulière, l’acte sexuel pour eux n’a rien d’une perversion, et encore moins d’une perversité. Ce sont des propriétaires d’animaux qui, selon leurs dires, allient l’utile à l’agréable. [Là il faudrait nuancer entre l'animal pas attiré par "la chose" et celui qui le fait spontanément. Et comment savoir si ce bouc qui vous suit bite en érection vous désire de lui-même ou bien parce que le berger l'y a habitué ? Ce qui vous retiendrait de le satisffaire ce serait d'ailleurs, dans la rudesse du rapport sexuel, d'être blessé. A l'inverse la tradition populaire qui veut que le berger encule ses chèvres est probablement mieux fondée de par la monotone solitude des pâturages ]
En règle générale, le zoophile est un être qui recherche le contact. Il est empreint de timidité et souvent inhibé. Moins conventionnel que la moyenne nationale, le zoophile ne se sent pas à l'aise dans la société actuelle et a souvent du mal à exprimer ses sentiments. Considéré comme amical et sympathique, il accorde une grande importance dans ses relations avec les autres. Il aime être en compagnie, aussi bien avec des humains qu'avec des animaux.
Comme il est courant de penser, la zoophilie concerne-t-elle des individus qui ne peuvent avoir des relations sexuelles qu’avec des animaux ? Détrompez-vous ! Seule une dizaine de pour cent s’offre à la bestialité, faute de partenaire. Pour les autres, que ce soient attouchement ou rapport sexuel bestial, l’intention vient d’un choix parfaitement consenti. Ces personnes font normalement l’amour avec un partenaire humain, mais sont attirées sexuellement par le contact animalier.
Suivant une étude américaine, 90 % d’hommes et 82 % des femmes disent avoir déjà eu un fantasme où entre en scène un comportement animalier. Bon nombre d’animaux ont la faveur du cercle fermé des zoophiles, mais ce sont les chiens et les chevaux qui tiennent le haut du panier. Les zoophiles apprécient aussi les relations sexuelles ou attouchements avec des moutons, chèvres, vaches, poules, serpent, canard, poisson, poulpe, anguille, lama, poney, chameau …
Bien que personne ne puisse faire valoir la fréquence zoo en France, une enquête faite entre 1948 et 1954 rapportait déjà que 8 % d'hommes et 4 % des femmes avaient déjà eu une expérience avec des animaux. Depuis cette date, une seule et unique étude a été faite. Affaire à suivre …
Pratique sexuelle usitée dans la plus grande discrétion, la zoophilie est punie et même très sévèrement dans de nombreux pays. Toutefois, les pensées de la société sur cette activité pèsent sur les personnes qui s’y adonnent et entraînent l’expérience Z dans une vie secrète.
En France, la pratique de la zoophilie est punie par la loi depuis 2004. Les textes de loi sont stricts. Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. De quoi réfréner les pulsions non ?
Tous rapports sexuels, quel qu’il soit, comportent toujours une proportion de risque . La copulation avec des animaux est factrice de zoonoses.* Ces maladies sont peu fréquentes lors de rapports occasionnels, mais une activité suivie est susceptible de les transmettre.
Elles prennent naissance au contact du sperme, des sécrétions vaginales, de l’urine, de la salive, ou du sang des animaux. C’est pour cela qu’il existe un risque de transmission de zoonoses. Comme dans les rapports intimes entre humains, les préservatifs et protections buccales restent les méthodes les plus efficaces.
Zoonose*. Les zoonoses sont des maladies et infections dont les agents se transmettent naturellement ou indirectement des animaux à l'homme, et vice-versa . Le terme a été créé au XIX e siècle, à partir du grec zôon, « animal » et nosos, « maladie », par Rudolf Virchow.MALADIE DE LYME
Aller à fond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Zoonose
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LES CANES N'ONT QU'UN TROU, IDIOT !
MDR
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