Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 02:00
maj    05 mars 2015 TROU A JUS  chez Corbin Fischer
  1. 22

Hot and haunting fuck 

 maj    2 mars 2015

 

 
maj 1er mars 2015
 

 

 

maj 17/02/  2015 

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       le garçon ci-dessous attend pour un moment ...de vérité sur lui-même
  Consommation rapide :
Ci-dessus ils se sont trouvés
  
Vidéo
Rencontre  à trois sur une drague                                                                                                   

 

 
Ben, je vous jure j'aimerais bien le rencontrer....
Merci à toi   elmozo@...  pour cet envoi si remarquable
à quand tu veux (sur le site) lol
 
khug.bmp va falloir déballer le cadeau !
 
 Je suis partout chez-moi avec cette vieille couverture !
rytyt.bmp
 
  wosr2twjzz.jpg
 
brrg.bmp
 Vidéo gémissements authentiques !  celui qui filme (gros plans et tout) doit se régaler autant que nous !
 
 
Suce, fais-moi bander, je vais te prendre, t'en fais pas !
 
 
 
  maxileyg: Be mine. 
 
   
 
 

« Je ne suis qu’un trou, ni homme ni femme, un trou à plaisir. »

 Ce texte ,écrit par un anonyme en 98,décrit bien l'ambiance entre les dragueurs
La nuit, les mecs tournent en bagnole AUTOUR DE LA CASERNE, mais moi, je préfère aller traîner près de l’entrée du fort, là où il y a l’armée. Presque tous sont des militaires de carrière, mais il y aussi quelques appelés.

C'est le dimanche soir que ça se passe. Moi, je mets un treillis et un blouson de cuir avec des poches à l'intérieur pour le matos. Je racole discrétos en fumant un clope en face d’une porte dérobée, à l’arrière. Les mecs qui rentrent en camion me voient et ça arrive qu’on soit plusieurs. Je suis certain qu’il y en a qui font ma pub auprès des mecs de confiance.

Le signal, c’est d’aller attendre près du bosquet; là, je sais que je peux y aller sans risque. Sur les deux qui sortent, il y en a un que j’ai déjà fait, un grand mec du Nord taillé comme un arbre. Pas de différence du haut jusqu’en bas, tout est large, il doit travailler au mess, mais il se balade en unif quand même. L’autre est plus jeune, en survêt avec sa teub qui pend. Je salue, je m’approche, je me touche un peu. Je tâte la marchandise du géant que je connais, je me penche vers l’engin. Il sort sa bite qui trique déjà.

Je passe la langue sur le gland, juste une fois, et je me la cale dans la gorge. Je salive et je pompe classique. L’autre, il se frotte la main sur la braguette, genre qui ose pas y aller. Alors je tends mon cul en arrière pour qu’il sache quoi mater. Le géant me demande de pomper mieux, et bien que le sol du bois soit humide, je m’agenouille. Pour des engins comme ça, pas toujours très nets, je serais prêt à ramper dans la boue.

Je sens une main sur mon cou et je vois le dard du plus jeune, court et pas très gros, mais avec deux couilles à m’inonder grave. Je me tourne pour l’avaler, je le chauffe à la salive comme l’autre et je plonge gueule béante sur ses burnes.

J’en avale une, puis deux, puis trois (non, je plaisante...), je les savonne au jus de gueule entre mes joues, je les dorlote, faut que le gamin soit tout de suite accro au trou de mec. Le géant, il ne résiste pas, il veut me fourguer la sienne en même temps; alors je le laisse faire. J’ouvre grand ma bouche pour les laisser tenter de me pilonner en même temps. Leurs glands se cognent, ma bouche devient leur terrain de jeux. C’est bien le seul moyen qu’ils aient de se toucher la queue tellement ils sont incapables de branler un autre keum de peur de devenir pédés!

Je sors ma pine et je me branle doucement. Puis je saisis leurs culs à tous les deux pour les encourager à me piner la tronche. Je suis à leurs pieds. Le gosse commence à dire que ça monte, que le jus arrive. Il se retire et il envoie connement son jus par terre. Il y a deux mecs qui nous matent derrière.

Le géant, ça le gêne, il se fait comme plus sympa. Il me demande si je sais fermer ma gueule car il peut m’amener dans une réserve dont il a la clef. Je suis OK. Je les suis par la petite porte. Je sais que ça arrive, mais je n’arrive pas à y croire. Je me vois en caserne, suspendu à un lit avec des barreaux de fer, donnant mes trous à l’abattage, à toutes les brutes du régiment... Mais c’est seulement dans une réserve de caisses qu’il m'emmène, une pièce sombre à peine éclairée par une loupiote. Le gamin, l'air gêné, annonce qu’il va se coucher. Le grand lui dit de la boucler sinon... et de prévenir Selim.

— Tends ton cul, mec, montre que t’en as envie, fais celle qui veut la bite de l’adjudant...

La tête rentrée dans mes épaules, je joue du bassin, j'accepte le jeu. Il sait que j’aime qu’on me bouscule, il sait qu’il peut y aller, il m’a déjà défoncé à la chaîne avec deux autres potes un soir où ils étaient bourrés. Il enlève son ceinturon et me flatte un peu le cul avec. Rien que de sentir le contact du cuir sur le coton de mon treillis, mon trou s’élargit.

— Combien t’as pris de zobs dans le trou ce soir, hein, salope? Combien?

— Nada! Je veux qu’on me fourre, je veux te donner mon trou...

— Tu vas en avoir, mec, tu vas déguster...

Je lui file plusieurs capotes. Il balance un mollard dessus. Les militaires ne savent pas encore ce que c’est du lubrifiant à cul, alors il faut que je m’en occupe avant de venir, utilisant presqu’un demi-tube de KY avant de venir. Au moment où il s’encapote, on frappe à la porte: c’est Selim.

Il ouvre et referme tout de suite. Selim est un petit gros avec des rangeos et tout l’unif. Lui, il sait ce qu’il veut. Il annonce au grand qu’ils vont se passer la pute, qu’il n’y a plus qu’à me baiser jusqu’à ce qu’ils soient secs des valseuses.

Il saisit ma tronche et me tire par les cheveux pour que je tète. Je tète un max, elle paraît encore durcir dans ma bouche, elle est super-grosse par rapport à sa taille. Elle pue le mâle à plein nez mais elle s’enfourne bien hard sans me laisser la gueule vide une seule seconde. L’adjudant, lui, me casse le cul sans une seconde de répit. Ça cogne, je pourrais presque gueuler mais je ne veux pas me laisser aller à des représailles.

Quand Selim voit la ceinture, il décide de m’attacher avec, il fait un tour avec le cuir autour de mes mains, passe le double lien à l’intérieur de mes poignets et me traîne jusqu’à un soupirail constitué de barres de fer. Là, il se chope une capote et tous deux viennent m’éclater au plus profond du cul alors que mon corps vient cogner à chaque coup contre la paroi de pierre froide et humide. C'est à celui qui arrivera à me faire gémir le plus fort. Je suis heureux d’être un pantin sexuel offert à la convoitise de deux soudards, je tends mon cul au maximum. À préciser qu'aucun des deux ne me touche autrement que par leurs pieu... Je ne suis qu’un trou, ni homme ni femme, un trou à plaisir. Je sais bien qu'aucun mec amoureux ne me baisera comme ça, avec cette violence sexuelle dénuée de tout sentiment.

         
 
 
CARLOS a bien raison "aimons-nous davantage" pour avoir chaud. On peut supposer qu'on est ici nombreux à guetter  el Señor Météo et on a bien du fun ... 
 
 
 
Et voilà l'averse qui tombe
Il n'y a plus de saison
Depuis qu'on a fait la bombe
Ah de Simone

Aye señor Carlos
Ma grénouille est malade
Ayaye pauvre señor
Et elle n'a plus vingt ans
Aye quelle catastrophe
Le soleil est en rage
Elle avait annoncé du beau temps

Señor météo
On nous dit qu'il fait beau
Señor météo
Oh là là, quel frigo
Aye señor météo
On dormir transistor
Espérensa qu'alors il a tort

L'été on s'enrhume facile
Et depuis les restrictions
On dort en costume de ville
Ah, j'en bretonne

Les venises sa vésoum
Oublions le chauffage
Emporté par le fuel
Ne formons qu'un seul corps
Et de tous leurs atours
Aimons-nous davantage
L'amour est le seul vrai radiateur

Señor météo
On nous dit qu'il fait beau
Señor météo
Oh là là, quel frigo
Aye señor météo
On dormir transistor
Espérensa qu'alors il a tort

Madame est là ?
Madame est là s.v.p ?
Oh non la madame est partie danser le chachacha
Señor Carlos
Le chachacha señor Carlos
En ville le chachacha

À la télévision
Tu annonces la neige
Il prend ses précautions
Je mets mon bermuda
Si dans ses prévisions
Il promet le soleil
Je ressors mon parapluie à pois rouge

Señor météo
On nous dit qu'il fait beau
Señor météo
Oh là là, quel frigo
Aye señor météo
On dormir transistor
Espérensa qu'alors il a tort

Señor météo
On nous dit qu'il fait beau
Señor météo
Oh là là, quel frigo
Aye señor météo
On dormir transistor
Espérensa qu'alors il a tort
 
CARLOS - SEÑOR METEO
jean-louis karaoké          
 
 
 
 
 
 
 
 
Par jean-louis karaoké - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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