ESSOUFFLANT LE P'TIT PROF'...

Mardi 20 mai 2 20 /05 /Mai 00:38

ESSOUFFLANT LE P'TIT PROF'...

Ambiance du mat' à mettre en fond sonore

-- Et à ce moment-là, qu'est-ce que vous avez fait ?
Grégory : J'crois que j'ai remis la radio
Choeurs : Chacun fait, fait, fait
C'qui lui plaît, plaît, plaît
Grégory : L'précipice est au bout
Choeurs : Précipice on s'en fout !

Appelez-moi Grégory si vous voulez...Ce matin là, je me réveille - je dors sur le ventre - gêné au niveau du sexe. Je bande trop dur. Rien à faire: passées les quelques minutes après le réveil et malgré un petit pipi, je suis toujours au garde-à-vous. Seul moyen de baisser pavillon, une bonne branlette! Je m'y emploie sous la douche. Je pense à un ou deux plans hots que j'ai connus récemment et après quelques minutes d'astiquage appliqué, je jute sur les parois de la cabine. Me voilà soulagé.

Peu après, je pars pour mon lycée; je suis un jeune prof de 25 ans et je prends le métro. À cette heure-ci, c'est toujours pénible. Nous sommes serrés comme des sardines quand je sens un contact appuyé contre ma cuisse. J'ai deux visages qui me regardent: un vieux et un jeune avec pour ce dernier des yeux un peu brillants. Je souris et cette fois je sens une main qui me monte le long de la cuisse. Le vieux descend à la station suivante, il y a toujours autant de monde et je sens à nouveau la main. Gagné! C'est le jeune. Cette fois il me sourit lui aussi.

À la faveur d'un mouvement des passagers, il a glissé sa main dans ma poche. Il me fait rebander à nouveau. Avec difficulté et discrétion, il tente de me branler; de mon côté, j'essaie de palper et je sens une belle bosse. Je m'imagine déjà la suite du plan quand un groupe de scolaires montent dans la rame et me séparent de mon voisin tactile. Il a l'air désolé, d'autant plus qu'il descend à la station suivante et du coup je bande toujours mais pas question de le suivre !

Arrivé au lycée, je file aux toilettes pour pisser. Je suis à l’œuvre quand surgit Gabriel, un de mes élèves de première. Il s'installe à côté de moi et se met à pisser. Il a lui aussi une trique! Il me dit: "C'est dur le matin..." J'ai beau trouver qu'il a une queue superbe, je ne réagis pas, je pense encore avec regret à mon plan du métro et m'en vais.

Après mes deux heures de cours, je me rends à pied chez mes parents qui habitent à quelques rues du lycée. Je dois accueillir un technicien qui doit faire une réparation en leur absence. Il arrive peu après moi, il est plutôt quelconque. Je le regarde faire tout en feuilletant distraitement un magazine. Il semble avoir terminé quand il me dit: "Tu as envie?" Je réalise après quelques secondes de surprise quand je le vois malaxer son sexe à travers son bleu de travail. J'avais remarqué qu'il se touchait souvent mais je pensais que c'était le genre de mec à faire ça sans cesse.

Comme je ne dis rien, je le vois sortir une grosse bite courbée. Il s'approche et profite de ce que je suis assis, les jambes écartées sur le canapé, pour porter sa bouche sur mon pantalon. Il me débraguette et je me laisse faire; il commence à me sucer. Il s'attaque à mon gland qu'il serre avec ses lèvres puis m'engloutit toute la bite tout d'un coup et commence une très rapide série d'aller-retours. Il est très efficace, il ne bave pas comme d'autres et serre ma queue dans sa bouche juste comme il faut. J'en profite pour lui tripoter la bite et ses grosses couilles, je le branle. Il écarte mes mains pour le faire à ma place. Il veut tout gérer? Très bien! Je me laisse faire et je sens monter la pression dans ma colonne. Je gémis un peu pour lui signaler que ça vient et il arrive à accélérer le mouvement. Je jute dans sa bouche, pendant qu'il continue à se pogner, il éjacule dans sa main en gémissant. Il s'essuie dans un grand mouchoir et me salue.

Je suis à peine rhabillé que mon petit frère surgit. Il est étudiant et habite encore chez mes parents. Je suis un peu gêné même s'il sait comme tout le monde pour moi.

— Qu'est-ce que tu fous là? je lui demande. Tu n'es pas en cours? Si j'avais su je ne serais pas venu.

— Excuse-moi, je sèche les cours. J'allais pas le dire à maman et puis à vous entendre, il n'y avait pas de quoi être déçu.

Il vient s'asseoir avec moi, il est en peignoir, et me demande:

— Alors, c'était bon? Tu t'es jamais fait sucer par une fille pour comparer?

Je lui retourne la question, il a plein de conquêtes féminines. En tout cas, il a l'air de s'être rincé l’œil. Il regarde mes pieds quand il me dit:

— Tiens, tu as une tâche suspecte sur ton pantalon, ça doit être du sperme.

Il passe son doigt dessus et fait semblant de le mettre dans sa bouche.

— Je saurai comme ça si c'est le tien ou celui du technicien, me dit-il.

Je lui demande d'arrêter son délire, il part et revient avec un gant de toilette humide et commence à me nettoyer la jambe de pantalon. En fait, le type n'a pas joui que dans sa main et j'ai une traînée de jute sur le tissu. Mon frère essuie consciencieusement en suivant les marques, il est presque arrivé à mon entrejambe. Décidément j'ai du mal à faire la part des choses aujourd'hui, je ne réagis pas sauf au niveau de ma bite qui se redresse. Je lui dis de s'écarter pour que j'enlève mon fut désormais trempé par son gant et en espérant cacher mon érection mais il est d'humeur joueuse et au moment où j'essaie de dissimuler ma bite par mon pantalon plié que j'ai ôté, il me l'arrache des mains. Il n'est pas déçu de ce qu'il voit car ma queue dépasse de l'élastique de mon boxer.

On commence à se bagarrer comme lorsqu'on était petit, le peignoir s'entrouvre plusieurs fois et je vois que mon petit frère bande aussi. Je suis tenté de m'occuper de lui et commence à rapprocher ma main de ses zones sensibles quand son portable sonne. Il s'éloigne et du coup je laisse tomber et décide de partir.

Je prends alors la voiture de ma mère pour aller faire quelques courses au centre commercial du coin. Pour y aller, on passe par un petit bois où se trouve un parking qui sert de lieu de drague. C'est là que j'ai été dépucelé à 15 ans. Je m'y trouvais quand j'ai croisé un de mes profs de l'époque. Je ne comprenais pas pourquoi il était gêné de me voir jusqu'au moment où il m'a passé la main dans le short que je portais ce jour là. Les choses se sont faites ensuite tout naturellement et je suis resté un fidèle des lieux.

Je me gare, j'emprunte un sentier et derrière un bosquet assez touffu, j'ai vite fait de repérer deux joggers le short sur les chevilles. Je me joins à eux. L'un s'apprête à se faire enculer. En se penchant pour se faire prendre, il se retrouve le nez face à ma braguette: je lui enfourne ma bite dans la bouche. L'autre type étant un rapide, je prends sa place encore chaude une fois qu'il est parti. Mon enculé a le cul large, ça glisse tout seul dans son trou bien lubrifié. Je jouis à mon tour tout en branlant le mec qui éjacule lui aussi.

En fin d'après-midi, je dois assister à une petite réception au lycée. J'y retrouve mes collègues et mes élèves, dont celui qui était passé aux toilettes avec moi le matin. Je décide de l'embarrasser un peu:

— Alors, c'est toujours aussi dur? lui demandai-je ouvertement devant ses amis.

Personne ne comprend cette private joke. Il n'est pas décontenancé:

— Si vous me donnez un coup de main, ce le sera sans doute moins.

Une invitation? aussi directe? Je m'isole avec lui et nous avons vite fait de nous retrouver dans un local technique. Il commence par m'embrasser et se dirige ensuite vers ma bite. Je le doigte et découvre avec plaisir son anus serré, ça change de celui del a drague du matin. Il se retourne très vite me présentant son cul. Je me penche à mon tour et entreprends de le lécher. Un délice! Il ronronne de plaisir. Je lui glisse ma bite dans le cul et pousse progressivement, le laissant m'accepter.De ses doigts sur ma bite il a contrôlé toute la pénétration. Hummmh . Je ne bouge plus, il se met à la manœuvre. Comme j'ai joui plusieurs fois depuis le matin, j'ai de la résistance. Après un bon moment de va-et-vient, il me supplie de lui éjaculer sur la gueule. Je le fais avec plaisir. Humilier un bel élève, bon à tous les niveaux en plus, c'est un régal. J'ai un peu moins de sperme que le matin mais il est plus épais; il en reçoit plusieurs gouttes sur le nez et sur les lèvres et le menton. Il a un geste très sensuel pour l'essuyer et se sucer les doigts, il m'en met un dans la bouche.

Quand je sors de la salle, mes collègues s'interrogent sur mon temps de disparition.

Le soir arrive, je rentre chez moi. Retour par le métro puis j'arrive à mon appart. J'entends du bruit dans la chambre, mon copain doit être rentré. Je tombe sur un superbe spectacle. Il est couché sur le dos et un magnifique black est en train de le prendre. Je suis halluciné par cette grosse queue qui entre et sort avec un léger bruit dans son petit cul blanc de grosse passive. Je me déshabille pendant qu'ils continuent, je m'allonge à côté de mon mec pour son bisou du soir. On a l'habitude de ramener des mecs via internet. Je lui chuchote qu'il me donne envie de me faire prendre, ce que j'accepte rarement. Je prends alors la place du black dans son cul pendant que ce dernier me titille l'anus. J’ai un peu peur devant la grosseur de l'engin. Le black me fait sniffer des poppers. Je baise mon copain, tandis que notre invité s'introduit doucement en moi. Je sens mes chairs s'écarter, je suis plein. Il jouit dans mon cul, de mon côté je pourrais limer mon mec pendant des heures après mon programme de la journée. Je préfère laisser le black le reprendre.

Je pars prendre une douche et les rejoins au lit. Nous passons la nuit ensemble, pendant laquelle je rêve de cette journée passée et me remets à bander...Chacun fait, fait, fait
C'qui lui plaît, plaît, plaît
Grégory : L'précipice est au bout
Choeurs : Précipice on s'en fout !

Ouf ! - je dors sur le ventre -et me remets à bander...Chacun fait, fait, fait C'qui lui plaît, plaît, plaît

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Par magicgreg - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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