Partager l'article ! ENFIN JE RENCONTRE JEREM', UN GARS QUI AIME URO+REMPLISSAGE.: PISS&LAVEMENT(uro+clystérophilie)   ...
PISS&LAVEMENT(uro+clystérophilie)
J'ai craqué. 17 ans, eurasien parfaitement imberbe, look ado, bite sympatique de 17 cm, actif et passif. Un bon plan, du net en somme. Ses photos me rappellent quelqu'un; je l'ai déjà croisé mais où? Il s'appelle Jérémy. Trop excité le p'tit loustic sur le dial, j'le prends sur Skype et on papote, et tard dans la soirée, il veut me fait un show en cam. J'accepte. Là j'ai un temps d'arrêt. Merde ce p'tit mec habite dans le quartier, c'est le vendeur du tabac d'à côté! Je comprends pourquoi il a hésité à me montrer ses photos... |
...Digne d'un porno Cazzo, il joue avec un gode, se ligote les couilles avec de la corde. Il kiffe ma queue rasée, se termine en se jutant au visage. Moi je suis excité à mort et me termine normalement. Il se décide pour le lendemain soir, échange de tél et d'adresses; ça devrait être sympa!
Moi j'ai 30 ans, plutôt bien foutu, 1m76/65 kg, rasé, bonne queue de 18 cm.
Comme Jérémy a l'air d'aimer les jouets, je passe dans la journée chez IEM faire des petites courses: un bon plug, un gros gode vibrant, du gel hot, un peu de corde (on sait jamais), des capotes, du poppers...
Il arrive à 18h30, fringué jean-baggy, basket, tshirt sweat, un sac à dos. Je lui offre un verre, on discute un p'tit peu. Il est à croquer! Il habite encore chez ses parents, étudiant, pas beaucoup d'expérience sexuelle. On commence à se raconter un peu des histoires de cul, il pose beaucoup de questions.
— T'avais l'air de bien t'amuser en cam cette nuit! En manque en ce moment?
— Oh oui, j'ai pas eu de mec depuis quelques mois, j'ai jamais le temps à cause de l'école.
— Je comprends. En tout cas, en matos t'es équipé!
— C'est pas à moi mais à ma mère. Mon père s'est tiré y'a deux ans...
— Oki, tes pas en reste quand même! J'ai du matos aussi! Je suis meme allé faire des courses tout à l'heure.
— Cool! T'as acheté quoi?
Je lui montre ma mini colection de sextoys.
— Hummm! Pas mal tes godes. Celui de ma mère est pas vibrant, je veux trop essayer!
— Tu peux mais garde une place pour ma queue quand même!
— T'inquiète pas, je suis endurant!
Je commence à lui caressser la nuque, le torse, l'attire vers moi et l'embrasse tendrement. Mais je le sens extrêmement stressé... J'arrête.
— Qu'est-ce qui t'arrive? T'as pas envie?
— Si si, mais...
— Mais quoi?
— Je te trouve réellement mignon, t'as pas l'air d'être un gros bourrin ni un taré... C'est que j'ai un petit problème...
— Quel probleme? T'es puceau?
— Non non, enfin... je ne me suis jamais fait prendre...
— Oh, t'inquiète pas, ça peut s'arranger. Y'a une premiere fois à tout! En plus, avec le gode, le chemin est sûrement déjà bien ouvert!
— C'est pas tellement ça, dit-il en baissant son pantalon.
A mon grand étonnement, je découvre qu'il ne porte pas un boxer mais une couche! Je ne suis pas choqué, plutôt surpris.
— Voilà quoi, je voulais pas t'en parler avant de peur que tu refuses de me voir...
Je lis dans ses yeux une détresse, une honte. Il est tellement attendrissant comme ça! Je l'attire vers moi, le prends dans mes bras.
— T'inquiète pas, j'aime bien les plan uro. C'est pas ça qui va me choquer!
— Ça te gêne pas alors... J'suis coincé maintenant, j'ai perdu mon excitation! J'ai tellement honte!
Il m'excite trop ce ptit loustique, faut que je le remette en confiance. Je porte ma main à sa couche, la caresse, puis je termine de le déshabiller.
— Tu en as apporté d'autres?
— Oui, je suis obligé d'en porter la nuit. J'ai des soucis d'énurésie; je fais pipi au lit quoi...
— Ceci explique cela! Mais là, c'est pas la nuit, t'en porte quand même?
Il rougit.
— Oui... en fait j'aime bien, c'est confortable et, comme toi, j'aime aussi jouer avec ma pisse...
— Ok, tu m'en files une?
— Quoi? Tu veux en porter une aussi?
— Comme ça, on sera à égalité. Et je t'avoue que ça m'excite à mort là!
— Par contre, je ne sais pas si c'est ta taille...
Il se précipite sur son sac à dos et en sort un paquet de couche pour jeune adulte. Il m'en tend une, je la prends, la porte à mon nez, la sent; ça me rappelle ma petite enfance, une odeur que je n'avais pas sentie depuis si longtemps... Je me déssape complètement, il mate ma queue à moitiée bandée avec envie. J'enfile la couche et il m'aide à la refermer.
— Voilà! Dit-il avec un grand sourire. Tu es au sec!
— Et maintenant, on fait quoi? C'est toi le maître du jeu pour la soirée!
— On peu commencer doucement, en jouant à la Playstation par exemple, ou en matant un film? Avec un chronometre, toutes les dix minutes, boire un grand verre d'eau et se laissser aller jusqu'à ce que la couche soit pleine de pipi?
Il a l'air tellement coquin en disant ça que j'accepte volontier. J'apporte quelques bouteilles d'eau et on s'assoit en tailleur devant la télé. J'allume la Play et on joue à Burnout 3. Il a mis son chronomètre sur son portable. Au bout de 10 minutes, il sonne. On boit un grand verre d'eau, répétant l'opération pendant 45 minutes tout en jouant. On se détend, on rigole, et... au bout d'un moment, j'en peux plu je me laisse enfin aller à pisser. Je suis surpris, je peine au début à me rependre. Ça coule doucement, me mouillant les couilles. Le liquide chaud se répend entre mes fesses, inondant mon cul, cette sensation est divine, seulement elle me fait perdre ma concentration... Je mets le jeu sur pause.
— Alors, tu mouilles ta couche? Ça te plaît?
— Oui terriblement! T'as pissé aussi, toi?
— Oui, en pluiseurs fois, mais j'ai l'habitude!
— Montre?
Il se met debout et effectivement, la couche est détrempée... Le coussin sur lequel il est assis est très humide aussi. Sûrement le mien aussi! Il s'approche de moi, je suis toujours en tailleur, je palpe la couche et des gouttes de pisse coulent entre ses cuisses. L'odeur de la pisse m'excite à mort, j'ai envie de lécher ces gouttelettes. On continue ce petit jeu une heure durant, ça sent la pisse partout dans le salon. Je suis grave excité moi avec tout ça! Je me répands beaucoup plus tranquilement et facilement qu'au début.
On arrête de jouer, je sers une petite vodka, histoire de se détendre plus. Je commence à dégraffer sa couche, à sentir à fond cette pisse fraîche. Je lèche sa peau humide, ça goûte bien. J'enlève complètement sa couche et découvre son sexe complètement imberbe, à moitié bandé. Il ferme les yeux, je commence à le nettoyer avec ma langue, partout. Je l'allonge sur le canapé, sur le dos, nettoie sa raie pisseuse énergiquement; il pousse des gémissements. Quand je remonte sur sa queue molle, il lâche un peu de pisse dans ma bouche, très excitant. Ça dégouline un peu partout sur lui.
— À mon tour!
Il dégraffe ma couche à son tour et comme une furie, nettoie ma pisse odorante de deux heures enfermée, avec énergie; je bande un max. Il finit par me pomper le gland en appuyant sur ma vessie, ça me redonne envie de pisser. Je me lache dans sa bouche. On s'essuie négligemment, on s'embrasse en se tripotant la queue. Maintenant qu'il bande dur, je le resuce jusqu'à l'excitation suprême et m'arrête avant qu'il jute. Je ne voulais pas en rester là! Comme préliminaire, ce jeu était inattendu mais m'a donné envie de beaucoup plus...
— Buvons encore, j'ai envie de jouer dans la sale de bain!
On se remet en boxer, je lui en prête un puis nettoie nos pisses d'un coup d'éponge tout en buvant un max de flotte et de vodka. On s'embrasse, on se tripote, ça dure bien 35 minutes. Je sors le poppers, on se défonce lamentablement le nez...
— J'ai envie de faire pipi! Dit-il avec un regard coquin.
— Moi aussi, j'ai la vessie qui sonne l'alarme. Suis-moi!
Je le conduis dans la sale de bain où j'avais mis le chaufage à fond au préalable. Je l'installe allongé dans la baignoire, moi par-dessus acroupi. J'en peux plus, je lache les vannes dans mon boxer, ça se répand partout, dans le boxer d'abord, sur le sien ensuite. Je sors ma queue et lui pisse sur le boxer. Là il attrape ma queue pour diriger le jet sur son torse, sa figure... Il ouvre la bouche, je la remplie.
— Tourne-toi, je veux t'en metrre partout. Et baisse le boxer!
Il s'exécute, je le couvre entièrement de ma pisse. Quand j'ai eu fini, je m'installe à sa place et même scénario sauf que je peux pas résister, je le suce pendant qu'il pisse. Il m'inonde la bouche, recommence à bander à fond.
— Arrête-toi p'tit gars, j'veux que tu me remplisses le cul aussi!
— Oh mais j'ai jamais enculé personne! Je sais pas si...
— T'inquiète pas, ce sera ta première fois mais sûrement pas la dernière!
Je choppe le gel, m'en tartine le cul et sa queue, et hop, comme une lettre à la poste, ça entre tout seul!
— Vas-y, détends-toi et inonde mon cul en faisant des aller-retours.
— Ok, ok, mais pour pisser là, c'est difficile avec l'érection!
— Prends ton temps.
Au bout d'un moment, il commence à débander suffisament pour se laisser aller. Je sens sa pisse chaude couler dans mon cul.
— Trop bon! Maintenant, sors ta queue et pisse de loin, mais dans mon trou. Vise bien!
Trop bon! J'ai le cul bien ouvert et sa pisse qui coule du bord vers le fond, j'adore ça! On termine notre petit jeu tranquilement en se buvant les petits pipis, on est couverts de pisse, ça daube bien. On fait une pause poppers-vodka, sans boire autre chose que ce qui sort de la vessie de l'un et de l'autre. J'emporte tout le matos dans la salle de bain, on y est trop bien. J'ai grave envie de me faire son p'tit cul imberbe.
On retourne donc dans la salle de bain. Je l'installe confortablement à quatre pattes, lui bouffe bien le cul pisseux, 15 à 20 minutes, pour qu'il soit bien ouvert. Il gémit de bonheur! Je lui insère doucement le tuyau de douche, monté d'un enbout pour lavement, et lui remplis le cul d'eau chaude. Une fois fini, je l'invite à s'asseoir sur le trône pour libérer la pression. Il est rès surpris par la sensation! Je lui fais sniffer du poppers.
Je le réinstalle à quatre pattes, reprends mon bouffage de cul intensif, le lubrifie et commence à le prendre doucement. Ça entre facilement, il kiffe bien. J'accélère le movement puis finis par le limer comme un bourrin tellement il est dilaté. Il gueule de plaisir, plus je le ramonne, plus il en redemande. Je m'arrêtte, épuisé; lui s'effondre sur le tapis de bain, le sourire béat.
— Ça t'a plu visiblement!
— Ah putain oui! Je suis électrique là! J'en pouvais plus, tu as bien fait d'arrêter!
— Oh mais c'est pas terminé, p'tit gars!
Je choppe le gode acheté l'aprem, le lubrifie et lui plante d'un coup dans le cul et je mets la vibration au max. La corde me sert à lui attacher les couillles. Je le retourne, assis face à moi, le gode dans le cul et les couilles ligotées. Il bande très dur! Je le suce un moment puis nous rebuvons de l'eau, beaucoup d'eau!
— J'ai encore envie de t'inonder!
— Oh, le gode me fait un effet incroyable. Je vais sûrement jouir!
J'enleve le gode et lui rebouffe bien le cul puis lui rebourre le cul, le temps que l'eau fasse son effet. Il jouit du cul! Il aime trop ça ce p'tit pisseux! Quand enfin j'ai la vessie qui me démange, je me retire et lui plante ma queue encore pas mal bandée dans la bouche et lui ramone la gorge en me lachant. Il avale le max de pisse qu'il peut. Je m'arrête de pisser, l'encule d'un coup et me répands dans son cul. Je me vide complètement. Je m'installe en dessous de son trou, lui acroupi sur ma bouche, je lu dis de lâcher tout! Je bois ma propre pisse lui sortant du cul, c'est trop bon! Quand il a eu fini de se vider, je détache sa queue en le suçant et en léchant partout. C'est à lui de se vider, des litres de pisse aspergent ma gueule et me remplissent la gorge; je suis en extase, j'en peux plu, je vais juter s'il continue! Je l'arrête.
— Mets-moi le gode et toi mets le plug. On va se finir mais se finir avec ça dans le cul, ce sera meilleur!
On se met mutuellement le matos dans le fion. On se positionne difficilement en 69 dans la baignoire dont le fond est couvert de pisse, à la limite de se rouler dedans! Finalement, on se suce en jouant avec le plug et le gode mutuellement, en se donnant un max de plaisir.
— Je vais juter moi!
— Moi pas tout de suite! Redresse-toi!
Il se met debout, dégoulinant de pisse. Je le prends en bouche en activant le massage au plug. Là, il ne faut pas longtemps pour qu'il décharge tout dans ma bouche: huit bons jets de foutre. Il gueule de plaisir! À mon tour de lui remplir la bouche, on inverse les positions. Il me suce et met le gode en vivration maximum. Pareil, je ne peux plus me retenir, neuf ou dix jets partent dans sa bouche. Je jouis un max du cul et gueule de plaisir!
On s'affale l'un sur l'autre, se roulant des pelles. Nous sortons de la salle de bain en peignoir, sans s'être essuyés, daubant le foutre et la pisse. On se fait un p'tit verre, sans un mot, trop fatigué et allons nous coucher.
Le lendemain matin, le lit n'etait pas mouillé; Jérémy était trop content de ne pas avoir pissé au lit pour une fois! Enfin, avec tout ce qu'on avait évacué pendant la nuit, ça aurait été étonnant que ça arrive!
— Alors Jérémy, t'as passé une bonne nuit?
— Oui! dit-il avec entousiasme.
— On recommencera quand tu veux!
— Y'a pas de probleme! Je suis toujours partant. Comme on est pratiquement voisin, on aura bien l'occasion!
Après le petit dej, Jérémy a dû partir... Le soir, en allant me coucher j'ai trouvé une couche neuve sous mon oreiller avec, marqué au feutre, "Merci pour cette super soirée, t'es "coule", à bientôt. Jérémy".
Hier, sur Skype, il m'a annoncé qu'il ne pisse plus au lit depuis!
J'ai hâte de le revoir!
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