Samedi 9 septembre 6 09 /09 /Sep 07:25

   antillais, nos frères de tous genres, on vous aime et on partage vos souffrances    

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En sortant, samedi en fin d'après-midi, comme souvent j'ai longé le stade d'entraînement qui se trouve tout près de chez moi, histoire de mater les corps des jeunes mecs qui s'entraînent, comme chaque fin de semaine.

   [La beauté de ces jeunes hommes,me va droit au coeur,  qu'ils soient noirs ou métis, au physique sensuel, félin, parfait…  et à la fougue et au sourire ravageurs. Sans doute les jeunes antillais de la banlieue parisienne représentent-ils désormais pour moi l'idéal masculin, la beauté au naturel, la perfection en amour ! Ce jugement si positif je l'ai forgé précisément au cours de ma jeunesse, après, entre autres, une expérience sexuelle, qui constitua un véritable point culminant dans la jouissance, et qui pour la première fois me fit comprendre ce qu'est le "climax" dans un rapport charnel avec un garçon. Bien sûr, les métis, les antillais tout particulièrement, m'ont depuis mon adolescence attiré et, dès mes premières expériences, m'ont donné un bonheur peu commun. Tous  sont, très jeunes, très expérimentés et se laissent aller au plaisir, sans retenue, quel ou quelle que soit leur partenaire…].

   

Ce n'est pas vraiment un entraînement, juste un match entre copains de quartier. J'adore rester immobile le nez contre le haut grillage qui entoure le terrain, et regarder ces garçons de tous âges, qui jouent ensemble et se donnent à fond pour battre l'équipe adverse. Équipe dans laquelle ils comptent nombre de potes, des gars avec qui ils sont allés à l'école, puis au collège, et qu'ils retrouvent avec plaisir le samedi pour la traditionnelle partie de foot. Les deux équipes sont composées à la dernière minute; pour équilibrer les forces, elles sont constituées de joueurs de 20 ans ou plus, mais aussi de "minots" de quatrorze ou quinze, certains déjà très grands, bien développés et paraissant plus que leur âge. C'est beau de voir tous ces jeunes mâles, le maillot collé à leur torse par la transpiration, courir jusqu'à l'épuisement pour marquer ce but qui leur donnera, dans le quartier, l'aura d'un veritable champion. C'est beau de les voir, une fois le but marqué, se donner de grandes tapes dans le dos, ou de frapper leurs mains, paume contre paume, pour féliciter (virilement !) le buteur. C'est beau de les voir sourire de toutes leurs belles dents, fiers d'être complimentés par leurs copains pour cet exploit.

J'en connais pas mal de ces jeunes, que j'ai vus grandir, devenir de vrais hommes. Je ne peux m'empêcher de zieuter les pectoraux et les abdos de ceux qui jouent torse nu, ou la zigounette qui se balance dans le short de certains autres… Depuis quelques mois, une mode s'est peu à peu imposée à tous ces jeunes joueurs, c'est le port de shorts en lycra, comme ceux des cyclistes, tenue on ne peut plus sexy, car en écrasant le sexe des garçons, le lycra dessine clairement la forme de la bite et celle des couilles. On a parfois l'impression que certains bandent, tant leur verge est grosse ou semble en érection… Je trouve ce spectacle très excitant. Je me demande pourquoi ces jeunes s'habillent ainsi, car ils savent que le lycra met en évidence de façon explicite leur anatomie de jeune mâle. Est-ce pour impressionner les copains ? à qui ils n'osent pas montrer la taille de leur appareil génital, sauf furtivement quand on se met en tenue, au bord du terrain. Mais, ici, il n'y a pas de vestiaires, ni de douches, ni d'endroits où l'on peut comparer à loisir les dimensions des jeunes bites, encore moins se branler en choeur, histoire de se donner du plaisir ensemble, et de rendre envieux certains…

Je remarque qu'Arthur, un gars de 23 ou 24 ans, que je connais depuis longtemps, ne joue pas. Il est au fond du terrain, derrière la cage d'un des gardiens, à se passer des balles avec un autre gars, apparemment plus jeune. Arthur, je le connais bien, c'est un bel homme, très viril, hétéro déclaré, mais qui, sachant que j'aime les mecs, n'a pas hésité à me "draguer" à plusieurs reprises, pour que je lui fasse de "petits cadeaux", en échange de moments intimes… Et, chaque fois, je dois le reconnaître, il a été réglo, se laissant caresser, sucer, branler, avec la volonté de me donner un maximum de plaisir. Il m'a même baisé comme un dieu, reconnaissant qu'il avait pris son pied, dans mon cul, même s'il continue à préférer la chatte des gonzesses… Tout ça est toujours resté entre nous. Il n'a jamais rien raconté aux autres. La raison de cette confiance réciproque, qui lui permet, qui nous permet de nous rencontrer sans problème, partout, même au bord d'un terrain de foot, où certains devinent peut-être que je les mate en me léchant les babines. Mais, par précaution, je n'ai jamais essayé de me faire un autre de ces splendides spécimens du genre masculin.

J'appelle Arthur, lui fait de grands gestes; il a beau être à une soixantaine de mètres de moi, il finit par me remarquer. Il m'a aussitôt reconnu, et, longeant le terrain où le match se déroule, se dirige vers moi, faisant rebondir son ballon tous les deux ou trois mètres. Le gars plus jeune l'accompagne. Quand ils sont près de moi, séparés seulement par le grillage, celui qui me tape tout de suite dans l'œil, c'est le plus jeune : il doit avoir tout juste 18 ans, bien musclé, un métis à la peau claire, le visage très fin, glâbre, le crâne rasé. Il est très beau, sa bouche aux lèvres pulpeuses est un véritable aimant… Je reste sans doute quelques secondes (trop ?), bouche bée, à le regarder, fasciné par tant de beauté virile… Arthur me fait revenir sur terre, en me disant : -"Alors tu ne me fais pas la bise ?" -"Oh excuse-moi, Arthur, bonjour beau gosse !" Je l'embrasse sur la joue à travers le grillage. -"Tu ne joues pas ?"  -"Je suis arrivé trop tard… les équipes étaient déjà faites… Parce que je suis allé chercher mon cousin à la gare… Je te le présente : Jonhny… comme le chanteur !" -"Enchanté ! Tu viens d'où ?" -"De la région parisienne… de Livry-Gargan… Mais de suis Martiniquais d'origine." Arthur se croit obligé de me donner des explications : -"Tu sais bien que j'ai de la famille aux Antilles…" -"Bien sûr, je le sais… Mais je ne savais pas que tu avais des gars aussi beaux dans ta famille !" -"Parce que moi je suis pas beau ?" -"J'ai jamais dit ça… Tu sais bien : tout est beau chez toi… et certains trucs… encore plus beaux…!" Nous éclatons de rire, Arthur et moi; Jonhny essayant sans doute de décrypter notre conversation. En attendant, le jeune Martiniquais jongle avec le ballon, ce qui me permet d'apprécier les muscles de ses cuisses, très développés au-dessus des genoux, ses mollets très fermes, ses bras… bref, tout… Car TOUT est beau aussi, chez ce jeune mec, et j'imagine, que comme son cousin Arthur, la Nature l'a aussi gâté…côté … appareil génital !

Une fois encore, c'est Arthur qui me sort de ma rêverie érotique. -"Au fait, j'y pense… tu peux peut-être me rendre un service. Demain, tu pourrais pas, Jonhny et moi, nous emmener en voiture à C., chez notre grand-mère. Elle n'a pas vu Jonhny depuis des années… Lui aussi, il a super envie de la voir !" - " Demain, dimanche… c'est pas impossible… Mais, demain, à quel moment ?" -"Chais pas… si j'lui téléphone… on pourrait y aller pour midi… Tu mangerais avec nous, elle fait de la super-cuisine ! T'as déjà mangé antillais ?"- "J'adore ! Humm… Les acras de crevettes…" "Et tu connais la rougaille ? Ma grand-mère elle en fait une aux poissons, à tomber par terre !" -"Mais alors dis-lui qu'elle ne mette pas trop de piment…" -"Mais le piment, c'est la vie… tu sais bien que c'est un super-aphrodisiaque… C'est pour ça, que nous les Antillais on a toujours envie… Tu verras, demain, même Jonhny, il va être intenable !..." Et Arthur éclate de rire… Moi aussi, intrigué par cette allusion coquine. D'ailleurs Jonhny a apparemment pris ça pour un compliment, et se touche rapidement le paquet. Joli geste, qui me met encore plus l'eau à la bouche, bien que sa main se perde dans le tissu, car le jeune cousin, arrivé le jour même, n'a pas encore adopté la superbe mode du short en lycra. Mais vu ses cuisses, son torse et ses bras, j'imagine que le reste doit être à l'avenant… Mais comment juger sur pièces ? Même si, comme le prédit Arthur, le piment aura le meilleur effet sur son jeune cousin, me donnera-t-il le moyen de vérifier ce que je devine caché dans ce short trop ample. Le piment doit donner à sa jeune verge la raideur et le volume d'un exceptionnel organe, que j'imagine accompagné de boules oblongues à la couleur et à la taille de belles quetsches

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Le lendemain, je les prends au bas de leur immeuble, comme convenu, à 11 heures. Tous les deux sont super élégants. Arthur est habillé tout en noir : jeans serré et chemise à manches courtes. On voit bien ses beaux biceps et son cul bombé. Avec pareil popotin, on a envie de le sodomiser sur le champ ! Mais, il n'en est pas question : c'est lui l'actif, il me l'a assez répété, et c'est à cette seule condition qu'il a mis son corps quelques fois à ma disposition, pour tout ce que j'ai voulu. Mais hors de question pour lui d'accepter une pénétration, même pas de se faire doigter, chose qu'il adore faire pourtant à son partenaire, pour "préparer le terrain", comme il dit. Jonhny est lui aussi super élégant et… excitant. Tee-shirt blanc, moulant, et il a enfilé un jeans délavé, bleu très clair, très serré : ses cuisses remplissent bien les "jambes" du jeans, comme son cul, bien rebondi. Mais, surtout, et j'en bave rien qu'à le voir, son paquet devant est énorme, bien rond, impossible de savoir comment il a placé sa verge, ni la grosseur de ses testicules. Ce qui est certain, c'est qu'il est super bien membré, le jeune cousin, et, dans ce domaine, il n'a sans doute rien à envier à Arthur. J'imagine dans ma tête quand il défait un à un les boutons de cuivre de sa braguette… le spectacle doit être tout bonnement IRRÉSISTIBLE !!... Je vois, en rêve éveillé, son sexe réagir comme un ressort, une fois libéré de cette belle prison de toile… C'est pas croyable un mec aussi beau !  

Arthur monte devant, Jonhny derrière. La proximité de ces deux mâles dans ma voiture m'a immédiatement chauffé… Pas besoin du piment de la grand-mère !… je suis déjà prêt à tout… pour les rendre heureux… Mais pour l'instant, direction C., chez la mémé. On arrive un peu avant midi. La grand-mère est une belle femme, plus foncée que ses petits-enfants. Très souriante et volubile. Arthur me présente comme étant un voisin, qui a "gentiment accepté" de les emmener. La mémé me remercie par politesse, mais je vois bien qu'elle n'en a que pour Jonhny, qu'elle trouve magnifique. Elle me prend à témoin : "Vous avez vu comme il est beau !... Quel bel homme, hein ! toutes les filles doivent lui courir derrière !..." Sans me forcer, j'abonde dans son sens, insistant sur la force et la robustesse du garçon, et (le regrettant dans mon for intérieur) son succès garanti auprès de la gent féminine… Le repas va être à la hauteur des promesses d'Arthur. La grand-mère est un authentique cordon bleu ! Elle avait préparé des acras de crevettes (Arthur lui avait dit au téléphone que j'aimais ça), mais après elle nous a régalés avec un colombo de porc, délicieux mais plutôt épicé…(il faut choisir…) et, en dessert, elle nous a servi un feuilleté de bananes et pommes, absolument divin ! On a bu du rhum à la fin du repas; j'ai été prudent, car je conduisais aussi au retour… Pendant tout le repas, elle passait derrière la chaise de "son petit Jonhny", lui caressant son beau crâne rasé, son visage, son cou… elle le touchait partout… Comme j'aurais aimé être à sa place ! À la place de la grand-mère, bien sûr…

Nous sommes repartis quand le soleil était presque couché. Arthur a proposé qu'on passe par le bord de mer : -"Comme ça Jonhny verra comme c'est beau…" Et puis, s'adressant à moi :- "Je te montrerai un coin super tranquille… L'été, y'a plein de monde, mais en cette saison… c'est calme ! On pourra s'arrêter un moment…" Je me suis demandé quel pouvait bien être cet endroit "tranquille", et qu'est-ce qu'on pourrait y faire, puisque la nuit était presque tombée. Encore, si on n'était que nous deux, Arthur et moi… Mais il y a aussi Jonhny… À moins qu'il lui ait parlé de nos rencontres, et que le jeune cousin n'ait rien contre ce genre d'expériences… Entre GJ et C. il y a un endroit, pas vraiment une plage, mais une crique, où l'été on peut faire du naturisme… J'ai compris où Arthur veut m'emmener. J'y suis déjà allé, en été, mais comme c'est surtout fréquenté par des mecs âgés, c'est pas tout à fait le genre de coins que je recherche. Sinon, c'est vrai : l'endroit est comme l'a dit Arthur, tranquille, d'autant plus que la végétation immédiatement au-dessus, est assez dense pour cacher des regards les ébats des mecs qui quittent de temps à autre la crique pour "prendre le frais" à l'ombre. Je me demande quand Arthur a bien pu venir ici, lui que seules les croupes féminines font bander; à moins que pour se faire un peu de fric, il soit venu se faire sucer par un mec attiré par les dimensions exceptionnelles de son organe… Nous nous garons sur le côté de la route. C'est la seule bagnole. L'été, toute une file de voitures stationne là, du matin au soir, et même la nuit… Jonhny n'a pas demandé pourquoi on s'arrêtait. Il a sûrement deviné le motif de cette halte nocturne, au bord de mer. Arthur passe devant : il s'enfonce au milieu de roseaux, où de petites clairières ont été aménagées par les visiteurs de l'été. Il choisit une clairière, bien propre; un muret permet de s'asseoir. Il prend place sur le muret, et sans perdre de temps ouvre son jeans et se masse la queue dans son boxer. C'est ce qu'il fallait faire : passer tout de suite aux "choses sérieuses", le meilleur moyen de "décoincer" le jeune cousin, qui en est peut-être à sa première expérience du genre. J'observe Arthur qui se malaxe la queue pour lui faire prendre du volume. Il ne faut pas attendre longtemps pour que sa verge, à l'étroit dans le boxer dépasse du tissu. Un superbe gland foncé est pointé vers son nombril. Je ne peux pas résister et le prends en bouche. Quel goût délicieux ; je sens que sa verge grossit dans ma bouche. Je baisse comme je peux son jeans sur ses cuisses, puis fais glisser son boxer pour dégager son membre, en pleine érection maintenant. Jonhny doit regarder la scène sans trop savoir ce qui l'attend. Son cousin : "Viens t'asseoir toi aussi, à côté de moi…" Le jeune obéit. J'ai devant moi la bite d'Arthur, que je suce goulûment, et celle de Jonhny, gonflant la bosse de son jeans au risque de faire sauter les rivets de sa braguette. Sans quitter la queue d'Arthur, je caresse le paquet du jeune cousin, puis essaye d'ouvrir sa braguette… Jonhny comprend qu'il doit m'aider et, très rapidement, étale devant moi son organe déjà en pleine érection ! Le piment a fait son effet… Sans exagérer, sa queue doit bien faire 22 ou 23 cm; elle est un peu plus longue que celle d'Arthur, mais plus fine : elle doit mieux pénétrer les chattes et les culs… Il a de très grosses couilles. Il se rase, ce qui met bien en évidence son ventre plat, sa tige, ses boules, la couleur satinée de sa peau. Quelle merveille ! J'essaye de prendre toute sa queue dans la bouche, mais je m'étouffe : trop longue, elle s'arrête au fond de ma gorge et me donne des hauts-le-cœur. Je ne sais plus comment satisfaire les deux cousins ; les deux queues sont aussi belles, aussi raides, aussi goûteuses, leurs couilles aussi. Je voudrais les faire jouir pour goûter leur jus, mais c'est risqué, car ils pourraient vouloir qu'on reprenne la route tout de suite. Mieux vaut les exciter un max, en mouillant bien leurs deux tiges, en les avalant, en jouant avec le frein de leur prépuce, en gobant une par une leurs couilles. J'ai peur en léchant une bite que le propriétaire de l'autre se sente délaissé… Aussi, je m'applique, tout en pompant une queue, de masturber l'autre parallèlement, pour lui conserver sa raideur et son volume. Arthur m'encourage : -"Vas-y suce-moi bien… Tu es le champion de la pipe… tu suces mieux que les meufs…" Puis, après : -"Suce-bien aussi mon cousin. T'as vu la belle queue qu'il a ! Elle te plaît, hein ? Les Antillais on est les rois de l'amour ! Très jeunes, on sait déjà baiser les filles, et, toute la vie, les pédés sont fous de nos queues !" Tout en se vantant, Arthur est descendu du muret où il était assis et est venu se placer derrière moi. Il baisse mon froc, me caresse les fesses : -"T'as un joli cul… mon salaud… Et bien serré, comme je les aime… Tu la sens ma bite ?... Tu veux que je te la mette ? C'est ça que tu attends ?..." Et tout en disant ça, il fait glisser son gland, dans ma raie, s'arrête une seconde ou deux sur ma rondelle, teste si elle s'ouvre bien, puis se place, queue en l'air, dans la raie, sans me pénétrer. Il donne des coups de reins, pour me faire bien sentir son bâton bien dur, ce dard qu'il va bientôt me planter dans le cul. Pendant qu'Arthur se chauffe sur mes fesses, je n'ai pas quitté une seconde la bite de Jonhny, que je lèche, suce, caresse, masturbe quelques secondes, puis reprends en bouche, pour en déguster toute la saveur. Le jeune métis semble prendre son pied lui aussi. Je ne sais pas s'il s'est déjà fait sucer comme ça ,par ses copines; mais ce qui est sûr c'est qu'il aime ça !

Arthur va m'enculer une bonne dizaine de minutes, pendant que je suce Jonhny. J'ai un peu mal au cul, ça me brûle, la bite d'Arthur est énorme et ce salaud se déchaîne, comme s'il voulait donner une leçon de baise virile à son cousin. Lui ne dit rien, se laisse pomper, conservant toujours la même vigueur à son engin . Pour dire la vérité, je me régale : sucer une jeune bite aussi savoureuse, tout en se faisant mettre par un authentique étalon antillais, on ne peut guère rêver mieux ! C'est par un râle de bête féroce, et en arrêtant brutalement ses va et vient qu'Arthur nous a en quelque sorte annoncé qu'il se vidait dans mon cul. Ce qui serait merveilleux, c'est que Jonhny, excité par l'orgasme de son cousin, lâche en même temps sa purée et me remplisse la bouche et la gorge de son nectar de mâle. Mais, rien ne se passe. Je sens seulement le sperme d'Arthur couler de mon cul sur mes cuisses… Une fois encore il en a lâché une méga dose ! Je sens qu'il sort sa queue : son foutre s'écoule encore plus le long de mes jambes. Puis, sans lui demander son avis, il s'adresse à Jonhny : "Descends du mur… C'est à ton tour… Prends-le, elle va bien entrer, il a le cul lubrifié maintenant…" Le cousin s'exécute. Il descend du mur, se place derrière moi, et sans trop hésiter, me plante va verge dans le trou. Elle entre sans problème, plus fine que la bite de son cousin, et le sperme qui ne s'est pas encore écoulé facilitant la pénétration. C'est bon de sentir une queue dans son cul. Il s'en sert de belle façon : l'enfonçant peu à peu, puis, sur la fin, donnant un coup sec, qui me fait sursauter et gémir. Arthur regarde comment son jeune cousin s'y prend, puis, rassuré, remonte sur le mur, se place devant moi pour que je m'occupe à nouveau de sa bite. Elle s'est ramollie mais reste très grosse. Le gland et une partie de la tige sont gluants de sperme. Je me mets à lécher son membre, pour le nettoyer conscencieusement. Certains coups de boutoir de Jonhny interrompent parfois mon travail de remise en état du membre qui vient de me défoncer le cul. Je gémis de bonheur. Arthur me caresse les cheveux, comme s'il était heureux de ce que je lui fais et de la performance de son jeune cousin. Je vais encore me faire enculer cinq ou six minutes, de cette façon si jouissive… Je suis vraiment excité et me branle comme un dingue. Au moment où je sens mon sperme gicler contre le muret, je ne peux m'empêcher de pousser un cri très long. Jonhny interprète ce gémissement comme le résultat de cette splendide enculade qu'il me fait vivre. Il n'a pas tort : sa queue, à chaque coup de rein, me transporte dans un bonheur rarement éprouvé… Je sens soudain le foutre du jeune Antillais se répandre en moi… Délicieuse chaleur de la semence mûrie dans la glande de ses testicules, semence qui ne s'écoule pas de mon trou, sans doute parce que très épaisse et gluante, signe de jeunesse et de puissance mâles. Il retire sa queue : je sens comme un vide en moi. Je la prends en main, l'approche de ma bouche et, comme je l'ai fait pour Arthur, nettoie avec application le membre encore dur du métis. Son sperme a bon goût : il sent fort, comme il se doit quand c'est le jus d'un jeune mec.

Nous nous rhabillons en silence. Alors qu'on repart dans la direction de la voiture, Arthur me demande : -"Alors t'as aimé ?" Et sans me laisser répondre : "T'as vu comme il baise bien le cousin ? C'est de famille !" Personne, le coin tant désert, n'entendra nos rires.

  RAFAEL  sur CYRILLO

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Par claudio a lu RAFAEL sur CYRILLO - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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