Mardi 18 avril
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la douleur n'est plus un critère pour Tommy...ne parlons pas de Mike qui, lui, n'a pas mal ! -lol-
TOMMY ET SON GRAND FRERE MIKE (story)
"J'en ai besoin tout de suite, j'ai envie de baiser Tommy, alors tu vas ramener ton cul là, comme
hier", grogne mon frère .
J'avale ma salive en pensant à ce qui va suivre Lui me pousse et me plie, le ventre appuyé sur le bord de la table qui me
scie les abdos, tandis que j'incline la tête.
Il a fait le tour et m'a baissé le pantalon et le boxer m'a fait montrer mon cul, avec avec mes deux globes poilus m'a fait écarter les jambes alors qu'il pousse déjà sa grosse bite
entre les deux monticules de ma viandeappétissante.
Je
n'avais eu qu'une courte vision de son visage lubrique, me sentant sous le contrôle de ce gros taureau de mec et sachant qu'il allait faire tout ce qu'il voulait de moi, ce qui rendait
faibles mes genoux et me fait bander de façon odieusement obscène à la fois à cause de l'excitation que je m'explique mal et l'anticipation
anxieuse de la douleur habituelle qu'il m'inflige.
"Mon
t'it frère je vais te faire prendre mon bégard jusqu'à ce que tu cries et pleures en appelant ta mère!"
Mes lèvres
frémissent alors que je respire profondément, en serrant mon anus juste pour le sentir exister et crevant du désir d'avoir la bite de cheval de Mike comme hier. Putain!, je veux le sentir me remplir et distendre mon cul à fond à nouveau,
ressentir une ffois encore ce sentiment de gratitude envers mon frère. Seulement, hier, il était prudent et doux, me lubrifiant en abondance.
Pas maintenant. Maintenant, il me veut tout naturel,
sans aucune préparation "chimique". A sec quoi ! J'ai la trouille qu'il me déchire.
"Et
voilà!"siffle Mike , saisissant mon épaule et ma hanche pour placer sa bite de baseball sur mon trou qui , de peur, se resserre lentement. "Maintenant, mon t'it frérot, je vais
te montrer un truc qui te fera souvenir de ma bite pour le reste de ta vie de petit pédé!"
Mike pose l'arrondi de sa queue pour qu'elle tangente l'ovale de mon trou sec comme
jamais tandis que sa poigne se resserre sur mes épaules. " ouais,
mec! crac boum hue!", Grogne-t-il en poussant vers l'avant, mais seulement la moitié de la tête de sa bite sans capote arrive à rentrer Il reserre et renforce sa prise sur mes épaules
et pousse sa queue de plus belle. -"ahh ouais mec!" crie-t-il sans crainte qu'on entende. Je hoquette, je mords la chemise froissée que je tiens dans mes mains, je me hisse sur mes orteils en
accompagnant sa poussée douloureuse. Ma bouche s'ouvre toute seule pour un cri impossible à retenir. Sans lubrifiant c'et insupportable. Oui, je crie.
"Allons,
bébé, tu cries comme un cochon qu'on égorge !" Mike se moqua grave de moi. "Eh bien, tu connais le dicton," pas de douleur , pas de gain ... "Il accélère, poussant plusieurs centimètres
brutalement au-delà de l'entrée enflée et sèche de mon anus.. "oui, pas de douleur... pas de gain!"
"Ah,
putain de con, Mike!" Je pleure, je serre les poings lance la tête en arrière pour regarder au-dessus de moi, des larmes se formant dans mes yeux et coulant sur mes joues. Au lieu de
ressortir, Mike met plus de pression contre la résistance de mon anus maintenant terriblement torturé.
"je
pleure."Oh, mon dieu, oh mon dieu ... Mike" "Je danse sur la pointe des pieds, essayant de soulager la douleur qui me martyrise au cul. Avant qu'il ne commence, j'avais envie
d'être baisé à nouveau, mais pas comme ça, pas de cette manière impitoyable.
"Va
mon bébé, maintenant tu es ma pute, une pute, quoi ! La nature a fait de toi une chienne. Ton cul est fait pour ça. "Mike retire un peu des centimètres qu'il a forcés à
l'intérieur de moi , sa tige épaisse glisse cette fois sur son pré-cum
dont il a maintenant enduit mes entrailles, la douceur de sa lubrification naturelle soulageant l'inconfort intense que je ressentais à travers chaque pouce de son entrée
brutale.
Je lèche mes lèvres, séches pour
effacer les souffrances désespérées venant de mon jeune corps tourmenté, priant silencieusement que Mike devienne plus doux, car je continue à souffrir. Ensuite, je cache mon visage dans la chemise consolatrice, mon "doudou" en quelque sorte puisque, selon Mike je suis
un bébé, je maintiens encore ma morsure sur le tissu. Mike donne un grand coup de reins en avant et
enfouit complètement son humanité en moi jusqu'à la garde. Les
premiers centimètres se sont glissés plutôt facilement mais, les derniers cm peu lubrifiés râclent la chair tendre de mon anus et irritent la muqueuse, ça me fait
mal au-delà de ce que vous imaginez.
Je braille encore : "Oooh, arghh, mec!" . Je me sens littéralement violé ... et, paradoxalement, HEUREUX!
!
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