Partager l'article ! DEEP INSIDE,JORDAN c'est LA DROGUE DE JEREM': Merci Jerem' on en rfedemandera je suis sûr ! JE CROIS QUE ...
Merci Jerem' on en rfedemandera je suis sûr !
JE CROIS QUE LA QUEUE DE JORDAN DEPASSE NOTRE IMAGINAIRE !
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Boîte de réception
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17:43 (Il y a 12 heures)
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à moi |
Il m'a tiré contre lui et nous sommes tombés sur le sofa. Et, sans attendre, il faisait des efforts et poussait son sexe vers mon entrée. Mais sans hâte, méthodiquement, sans me bousculer comme c'était arrivé avec d'autres qui m'avaient utilisé en me secouant durement avec des bites pourtant bien plus petites que celle de Jordan. Non, ce gars-là, était conscient de l'énormité et de la longueur de ce qu'il voulait faire entrer en moi pour son propre plaisir et savait s'aider de mon propre désir de lui.
Il agissait lentement, tendrement, méthodiquement, doucement, mais fermement en me maintenant gentiment par les hanches. Le frôlement subtil de son gland épais et soyeux a attisé l'incendie qui m'habitait. La pénétration ne fut d'abord qu'un picotement, puis, tout aussitôt je pus mesurer la nature de son exigence et la confiance que j'accordais à mon anus. Quand il fut partiellement à l'intérieur, la sensation était à la fois nouvelle et inconnue, exigeant de moi toute mon attention. Cela mobilisait aussi l'ensemble de mes émotions. D'une main, tantôt je frictionnais sa main gauche, puis j'appuyais ma tête sur le sofa afin de pouvoir montrer que j'écartais mes globes le plus possible pour lui livrer passage...je frottai aussi ses cuisses que bêtement je trouvais "duveteuses" alors que ses poils avaient cette raideur virile de sa race...
La pénétration allait son train et le franchissement de mon deuxième sphincter ne fut pas un soulagement car j'avais trop conscience que, si la détermination de Jordan se confirmait, il restait encore un nombre inquiétant de cm à rentrer. Et là, je vous ferai part de ce que cette possession avait de nouveau pour moi : jusqu'au point habituel des pénétrations "ordinaires",rien de plus. Mais,à partir d'un seuil, j'eus une sensation un peu nauséeuse et la nette conscience que j'allais lâcher prise. Les images réelles devenaient floues : le sofa et son tissu chamaré...les meubles, la pièce... Je me sentais "tout mou" sans volonté précise sinon que cela puisse durer, aller plus loin. Mon anus et mon rectum me transmettaient des messages de plaisir connus et intenses, et, presque séparément, mon colon qui en voulait toujours plus, m'apportait ce faux et subtil malaise vagal, où, en fait je voulais sombrer ....Les images dans ma tête avaient des couleurs de mandala, et j'y déifiais un authentique tronc d'arbre noir : le sexe savant de Jordan qui à ce moment était devenu une chair commune avec la mienne.
Dans cette demi conscience qui, tout de même assurait mon plaisir je me souviens que je cherchai à m'assurer de ses progrès en moi. Je crois que ce fut long avant que je sente que ça y était.
A la fois léthargie et nirvana, les caresses internes de Jordan qui savait tout le bien que je retirais de cette fusion de nos chairs, ses douces caresses dis-je , ont consisté d'abord à faire de très lents mouvements limités, puis à me parcourir totalement de son sexe tendu, de nombreuses fois pour me faire éprouver sans arrêt la pénétration initiale. Je bavais, au milieu de borborymes impossibles à reproduire par écrit.
Quand, enfin, je retrouvai le souci de Jordan, je ne pus que lui demander de cette voix venue d'ailleurs : "Et toi tu es bien aussi, mon Chéri ?" Un aveu de bonheur qui avait honte de son égoïsme insouciant.
A partir de ce moment, sans me répondre, il sortit dans un grand vide intestinal, me mit sur le dos, et me reprit avec aisance. Je devais faire des efforts pour fondre mon regard attentif dans le sien...
Je ne désire pas d'autre drogue que celle de Jordan.
Les images réelles devenaient floues
Chanteur du metro imitant Lionel Richie
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