Jeudi 11 mai
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10:30
Don Quichotte était aussi de la Mancha, mais moi je ne me bats pas avec ma lance mais je prends les coups de lance des autres...à Madrid,
avec mes CV tirés en X exemplaires je cherche un job...comme dans les scenari d'Almodovar je cherche à me dépayser...et ne voyez pas en moi le mec mais plutôt la femme ou, ou, si vous voulez, le
transexuel...ah merde, je vais proposer cette histoire à Almodovar, je suis sûr que ça va lui plaire ...au moins par certains côtés -lol- (s'il est comme MOI, pasivo)
les garçons madrilènes me trouvent beau ! et bien baisable, -lol-
"Je consommais une bière au buffet de la gare routière quand un gars, assez beau je
dois dire, me demanda la permission de s'asseoir à ma table .
- Excusez-moi, pouvez vous m'accorder une minute svp ?
Moi -? Excusez-moi, vous avez dit ? je ne vous ai pas entendu à cause de la musique dans les écouteurs !
Raoul - Non c'est rien ne vous inquiétez pas, je me suis demandé si...Bon,...dit-il un peu embarrassé, pas de souci ! par hasard j'ai entendu la
conversation que vous avez eue au bar
Moi - Vraiment, eh ben ! j'ai honte ! pardonnez-moi...
Raoul - non, soyez tranquille, la conversation était très excitante, et comment ! Il avait repris de l'assurance. De fait on va voir qu' il ne manquait pas d'air ce mec
là.
Raoul - hahaha je sais que moi aussi je vais l'aimer...ton cul !
Moi - Je ne sais que te dire Raoul
Raoul - y a rien à dire, si chacun a du plaisir !
On a pris le bus qui devait nous
mener à un endroit cool qu'il connaissait.
Tout en me disant d'avoir du plaisir, je recevais dans ma
main, une bite énorme qu'il avait sortie sans se faire voir des passagers du bus je ne pouvais pas le croire quand il a dit:" je vais te la mettre, tu la veux, non ?"
J'étais rouge, les joues en feu de désir.
Moi - et ici, dans le bus?
Raoul - non, (il rit trop fort) pas ici. Au prochain arrêt, je sais qu'il ya des toilettes publiques dans le métro,
nous ne pouvons pas baiser ici!
Moi - OK!
Il a fallu 15
minutes environ ont pour arriver à la fameuse station. Dès l'arrêt, du bus nous sommes descendus vers le métro et vers le bas à droite il y avait 2 toilettes
publiques.
Nous
sommes entrés dans l'une d'elles où il y avait 3 personnes 2 adultes et un garçon de 6 ou 7 ans, Raoul est allé aux urinoirs et a fait semblant de pisser , moi je suis
allé au lavabo pour me laver les mains et me jeter de l'eau sur le visage, en attendant qu'ils sortent.
Je
versais de l'eau sur mon visage quand ils sont sortis et là, Raoul m'a attrapé par derrière sans que je m'y attende. Il m'a couvert la bouche de sa main gauche et de la
droite il m'a saisi la bite et m'a dit à l'oreille :
Raoul -Petit con, tu vas savoir comment baise un Madrilène dans le métro de
Madrid.
Je n'ai pas dit quoi que ce soit, je reprenais juste ma respiration.
Quand
je suis arrivé dans les toilettes, il m'a poussé contre le mur, il se comportait comme un policier. Directement il m'a placé face au mur, fait mettre les mains contre la
cloison et, de son genou,m'a fait écarter les jambes face à la cloison,
Après m'avoir dit ça il me suça dans le cou et saliva abondamment et me fit une chose que personne encore ne m'avait faite : il me baissa pantalons et boxer sur les
cuisses. Rassemblant de la salive dans le creux de sa main il m'en mit dans la raie. Là je sentis deux doigts dans mon trou, tandis que de sa main libre il sortait un minuscule flacon de son
sac et, sans m'avertir bien sûr,me l'appliqua directement dans les narines de sorte que je fus contraint à inhaler le contenu aromatique et brûlant. Sans transition je sentis que sa bite me
pénétrait, puis, dans le même temps me pilonnait. Et là toutes les sensations se mêlaient ça me cuisait des narines à la gorge et aux poumons. Sous l'efet de la drogue mon cul se
précipitait tout seul vers sa bite dans une sorte de désir hystérique.
Les deux doigts qui m'avaient pénétré il me les mit aux lèvres. Je les suçai avec avidité. Je gémissais comme jamais, ma tête oscillait de droite à gauche et de gauche à droite. Me forçant à
le prendre à fond, il me ceinturait de son bras comme s'il voulait me maintenir alors que je n'aurais à aucun prix voulu partir. Quand il me dit :
- " prends-la bien petite salope, tu es bien bonne. Tu venais juste de te faire
enculer et doser, tu m'as rien dit, mais j'ai compris et ça n'a fait que m'exciter encore plus. Et maintenant jouis profite petit con !
Je ne disais rien et ne faisais que gémir longuement, mais confusément je sentais que
l'environnement avait changé autour de nous et ça se confirma quand il me dit : - " ça te fait rien? on nous regarde"
- "oh nooon ! j' y crois pas ! " La porte était ouverte et il y avait deux mecs avec nous, un jeune de 18 à 19 ans et un vieux de 50 ans.
Ils branlaient leurs deux belles bites.
Je jouissais tellement que l'idée de fermer, de les chasser, de partir ne me vint même
pas. Je me mis à rire très fort et je demandai à Raoul de continuer mais je le sentais bien proche de finir. En même temps que je l'entendis gémir de plaisir et me remplir, je sentis chaud tout
le long de ma cuisse et de ma jambe : ces deux cons qui mataient m'avaient juté dessus. Moi je n'avais jamais connu des moments pareils.Raoul me plaqua de nouveau le flacon sous le nez et je
gémis les yeux fermés comme jamais et il me baillonna de sa main pour qu'on n'entende pas mon hytérie. Et là, je me mis à jouir en une et deux et trois jusqu'à cinq lancers sans me toucher. Raoul
me mordait de partout. Je ne sentais pas de douleur, en fait elle se muait en plaisir et jouissance pendant qu'il me fécondait de toutes ses forces.
J'avais encore les mains au mur quand il de rhabilla. Je soufflais et haletais encore.
Raoul -" petit merdeux j'espère bien te revoir ; n'oublie pas ce que t'a fait un madrilène ! "
Me prenant par les cheveux il m'embrassa et dit :" - ces minets de province c'est les meilleurs coups."
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FAUT PAS CROIRE TOUS CES RECITS GAYS IDEALISTES dans la vraie vie ça se termine
toujours mal...le bien que vous en tirez n'est que dans votre cul, et si vous n'êtes pas un cul de jatte de la pensée, DANS VOTRE TETE. N'oubliez pas que les plus grands écrivains ou
artistes ont été, sont et seront PEDES.
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"Quand je suis sorti je pouvais entendre des gens qui riaient, mais je ne les
connaissais pas, je m'en foutais.
Je repris un bus et finis la journée à Madrid en remettant des CV à d'autres
entreprises, espérant venir bientôt prendre un emploi à Madrid, envisageant d'autres rencontres.
Assis dans le train du retour je repensai avec plaisir et en soupirant aux deux
rencontres de la journée. J'avais joui plus que jamais. Pourtant, Raoul n'avait pas une grosse bite même s'il savait s'en servir...et puis il m'avait baisé "à cru", sans capote, mêlant
nos deux "viandes" est-ce qu ça y faisait pour faire jouir un passif comme moi?
Il me restait encore du temps avant d'arriver, j'eus envie de pisser et me dirigeai
vers les toilettes en bout de wagon....j..."
Pedro Almodovar
mais ceci va être une autre histoire...
Ambiance wc publics
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