Partager l'article ! CONTRE LA BESTIALITE Chers amis, y a-t-il une vraie bestialité ?: J'en doute. Même la bdsm a ses tendresses. Je la titre ici souvent "fausse vi ...
J'en doute. Même la bdsm a ses tendresses. Je la titre ici souvent "fausse violence" car il y a connivence entre les partenaires. En bas de page, vous prendrez ça pour une publicité si vous voulez, mais c'est un "indice" de la véracité du témoignage de Romain ci-dessous.
contre la bestialité ...ce n'est pas "mon" modèle, mais un exemple
dites-moi si vous faites différemment et si vous faites mieux !
Avant de rencontrer Jérémy, je peux vraiment dire que je ne savais pas profiter du plaisir de l'amour entre garçons. Bien sûr, j’étais capable de sucer et branler un mec, de l’enfiler ou de me faire enculer s’il préférait. Je prenais mon pied, mais rien à voir avec ce que je ressens à présent quand je suis dans les bras de Jérémy. J’ai découvert, grâce à lui, toute la différence qu’il pouvait y avoir entre baiser et faire l’amour, entre tirer son coup et s'aimer entre hommes.
J’ai découvert les préludes, les caresses, les jeux sexuels qui permettent de retarder le plaisir pour le rendre encore plus intense et violent Je n’aimais pas embrasser un mec et préférais me diriger rapidement vers sa tige pour l’emboucher. À présent, je ne me lasse plus de coller mes lèvres contre les siennes.
Jérémy à vingt-sept ans, j’en ai vingt-six. Il est très bien foutu, brun, assez musclé, une belle gueule. Il n’a pas une bite exceptionnelle. Elle fait seulement 17 par 4,5 mais, par contre, il l’a souvent raide. J’adore son cul, ferme, bombé, deux jolies fesses rondes au milieu desquelles se trouve un anus bien ourlé à peine entouré de quelques poils. Au départ, je voulais juste m’envoyer en l’air avec lui sans chercher une liaison durable. Construire un couple, c’était pas vraiment mon truc. J’étais plutôt branché plans directs sans lendemain.
J'ai tout de suite flashé sur lui quand je l’ai vu, accoudé au comptoir de la “Mare au Diable”*, une boîte gaie située à Allauch, en banlieue de Marseille. Il portait un jean qui lui moulait bien le cul et un débardeur noir qui laissait entrevoir un petit tatouage sur l’épaule gauche.
Nos regards se croisent, je m’approche de lui et je le drague aussi sec. On boit un verre ensemble. Je n’ai pas envie de m’éterniser, vu que je bosse le lendemain, aussi, je lui propose rapidement de quitter la boîte pour aller chez moi.
Je fais comme j’ai toujours fait. Arrivés dans ma chambre, je me dépêche de me foutre à poil. Jérémy me surprend en me demandant de le laisser me déshabiller. Je le laisse faire et il commence à caresser mon torse à travers mon tee-shirt avant de le retirer, à m’embrasser sur le torse. Sur le coup, cette lenteur m’agace. J’ai envie de me retrouver au plus vite au pieu et de baiser avec lui. Il me caresse encore et cherche ma bouche pour m'embrasser. Je réponds sans trop de conviction et accueille sa langue dans ma bouche. De mon côté, je dirige immédiatement ma main vers son paquet. Il bande, la bite est bien raide sous le froc et je me décide à précipiter un peu les choses. J’ouvre son jean et je vais chercher la queue. Lui, continue de me caresser, de m’embrasser. Son corps m’excite mais j’aimerais le voir enfin à poil. “Laisse-toi faire”, me lance-t-il. Il me demande de m’asseoir sur le lit et il retire mes pompes et mon fute. Puis, il caresse mes cuisses, mes jambes. Il se tient à genoux devant moi et ses mains remontent vers mon slip sans le toucher. Par-dessous, je trique comme un malade mais Jérémy semble s'amuser à ignorer mon attirail. Ça me rend fou. J’ai envie de dégager mon zob du slip pour le pointer devant sa bouche mais il m’en empêche: “Attends, c’est moi qui sortirai ta queue.”
Malgré mon envie d’aller plus vite, sa façon de me caresser l'intérieur des cuisses est en train de me rendre de plus en plus fou. Enfin, il pose ses doigts sur mon paquet mais il ne fait qu’effleurer la teub et les roustons. Je n'en peux plus. Je n’ai qu’une envie, qu’il libère ma bite, la secoue dans ses doigts et la pompe! Au lieu de ça, il se met à me lécher à travers le slip. Bientôt, le coton est trempé de sa salive. Je commence à apprécier cette lenteur qui est en train de me mettre en transe. Je lui caresse les cheveux pour l'inviter à continuer de cette manière. C’est la première fois que je baise avec un mec, sans qu'on se jette l'un sur l’autre comme des affamés. Je ne regrette pas.
Jérémy cherche mon gland sous le tissu et le titille de la pointe de la langue, puis il passe sa langue sous l’élastique du slip pour chercher mes couilles. Ce n’est que plus tard qu’il fera glisser lentement mon slip sur mes cuisses. Il le retire complètement, le garde dans sa main et frotte ma bite avec. J’ai l’impression de bander comme un âne. Ma pine est douloureuse tellement elle est raide.
“Allonge-toi et laisse-toi encore faire”, me dit-il. Je lui obéis et il se déshabille à son tour avant de me rejoindre sur le lit. Je le trouve vraiment beau mec, et j’ai de plus en plus l’impression de vivre avec lui quelque chose de nouveau, d’inattendu.
Nos bouches se soudent, nos langues s’emmêlent. Cette fois, je prends plaisir à l’embrasser. Que c’est bon de sentir son corps chaud contre le mien! Ses mains caressent ma peau, glissent de mon cou sur mon torse, mon ventre. Ses doigts jouent avec les poils de mon pubis. Il se retient, tarde encore à empoigner ma queue pour me faire languir et m’exciter davantage. Ses lèvres quittent les miennes et sa langue vient flirter avec le bout de mes seins. Il les lèche l’un après l’autre, les suce, les mordille délicatement. Moi, je n’ai qu’à me laisser faire et à jouir pleinement de sa sensualité. En même temps, il se frotte contre ma cuisse. Sa bite est aussi dure que la mienne. Il se glisse entre mes jambes et me lèche longuement avant de prendre ma queue entre ses lèvres. Il suce à merveille, faisant coulisser sa bouche sur mon dard et l’avalant jusqu’à la garde. En même temps, il joue avec mes couilles, masse mon anus. Il revient m’embrasser puis me pompe encore. Je cherche sa bite avec mes doigts et je la branle comme il branle la mienne. Avec douceur. Je ne suis pas encore au bout de mes surprises quand il me demande de me mettre à plat ventre et de garder mes cuisses écartées.
Avec la même sensualité, il s’occupe de mon dos, de mes reins, de mes fesses. Il caresse, lèche, couvre ma peau de baisers. De temps en temps, une main vient palper mes couilles par-derrière. Il glisse sa langue dans ma raie et l’agite sur mon trou. Au bout d’un moment, il vient me murmurer à l’oreille: “Je sens que tu n’en peux plus! Ce n’est pas bon, tout ce que je t’ai fait?” Il a raison. S’il continue, je risque de décharger. Alors, il me demande de me retourner et vient se poster à genoux autour de mon visage. Avec ses mains, il empoigne ses fesses et les écartèle tant qu’il peut en ajoutant: “Tu vas pouvoir me baiser, maintenant. Me prendre bien à fond. Mais avant, lèche-moi bien le cul!”
Je mouille sa rosette de salive, j’enfonce ma langue à l’intérieur, je la fouille. Elle est souple, elle s’ouvre bien. Quand il se sent prêt, Jérémy se recule en restant à genoux sur moi. Il me demande de tenir ses fesses ouvertes et saisit ma bite avant de la diriger vers son trou. Dès qu'il sent le gland sur sa rondelle, il s'empale lentement dessus. "Embrasse-moi, caresse mes seins," me demande-t-il. Lui seul bouge. Il vient chercher ma queue de plus en plus profondément. Son bassin s’agite en tous sens, monte et descend, remue de droite à gauche. Jérémy ne se retient plus de gémir et me répéter: "C’est trop bon! C'est comme ça que j’aime faire l’amour!" C’est le mégapanard. Il me faut faire des efforts surhumains pour ne pas décharger et attendre qu’il gicle avec moi. Son trou m’avale jusqu’aux couilles. Jérémy accélère et s’encule de plus en plus violemment. Il est en sueur quand il me demande: “Est-ce que je te fais bien l'amour? Ça te plaît que ce soit mon cul qui fasse tout? Tu vas pouvoir te laisser aller, mais dis-moi que tu m’aimes avant de décharger!”Dès que je sens son sperme gicler sur mon ventre, j’explose et je me vide en criant. À chaque spasme de jouissance, son anus se contracte sur ma queue et j’ai l’impression de ne jamais avoir joui aussi fort.
Cette nuit d’amour durant laquelle nous avons peu dormi tous les deux, fut suivie par d’autres. Depuis quatre mois, nous avons décidé de vivre ensemble, Jérémy et moi, et croyez-moi, j’ai vraiment l’impression qu’il m'a tout appris.**
Romain
** tout appris...c'est à voir !
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Samedi 30 Mars 2013
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