Partager l'article ! Cédric son ami prit un peu de distance avec lui, c'était honnête, et aujourd'hui ils se sont perdus de vue, même si au fond de son cœur...: ...
..."s'éloigner était honnête, peut-être plus pour lui éviter une peine de coeur que parce qu'il l'aurait répudié comme ami"...
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Bonjour à tous !
Pour me présenter, voici un souvenir que j'aime me remémorer et que je partage avec vous. Tout est vrai sauf le prénom que j'ai changé, bien entendu.
Cette histoire s'est passée il y a 15 ans, j'avais alors 18 ans, bien que je sois aujourd'hui plutôt beau mec, je n'étais pas franchement gâté par la nature à l'époque.
Plutôt mince, brun les cheveux très bouclés, les traits juvéniles et un bouc au menton pour coller au look néo baba cool, pas très glam, mais très à la mode à l'époque chez les jeunes de mon âge. Je ne me suis assumé gay qu'à 22 ans, quand je me suis posé la question. En fait avant cela je ne m'étais jamais vraiment posé la question, j'explorai mes envies réelles et les envies créées par l'environnement social : homme ou femme, peu importe et je n'en parlais pas.
Cela faisait 6 ans que je connaissais Cédric, mon meilleur ami. Nous étions ensemble au collège et ne nous quittions pas. Séparés au lycée, nous nous voyions le plus souvent possible, dormant l'un chez l'autre le week-end et en vacances. Nous passions notre temps entre écriture, dessin, jeux, balades tout en fumant pas mal de joints. Issus d'une famille de naturistes, parfois quand nous étions seuls on se foutait à poil sans pudeur. Je le matais discrètement, car comme tout cliché du jeune gay ou bi, je fantasmais sur lui. Il était brun, beaucoup de charme et comme moi plutôt grand , un corps mince et naturellement musclé, sec, j'aimais voir ses abdominaux rouler sous sa peau. Tout en lui transpirait la sensualité et la sexualité. Il était masculin et sensible, artiste, de grandes mains aux doigts épais, un cou laissant apparaître les veines saillantes : tout ce qui peut me plaire chez un homme. Il était hétéro, du genre romantique. Il aimait profondément les femmes et je sais que je n'aurai jamais eu aucune chance que ce soit un jour plus que de l'amitié.
Parfois, la nuit je le caressais discrètement, n'allant le plus souvent que jusqu'à caresser sa queue à travers son caleçon ou son pantalon. Il avait le sommeil plutôt lourd et tant mieux, j'avais trop peur qu'il se réveille en me trouvant dans une position équivoque, ma bite à l'air.
Un soir au début des vacances d'été, alors que ma mère était partie pour une semaine, je l'ai invité à passer. Comme toujours dans ces cas là
c'était pour une durée indéterminée. Nous vivions au jour le jour, il venait sans savoir quand il repartirait. Comme d'habitude après son arrivée, nous nous sommes mis à parler, nous raconter les
dernières nouvelles, dans le jardin, en buvant et en fumant. Comme il faisait chaud nous nous sommes mis en caleçon, Vers 2 heures du matin il s'endormit, s'écroulant sous l'effet du shit qui
avait tendance à le faire dormir d'un sommeil profond.
J'attendis à coté de lui que sa respiration se fasse pesante. Je connaissais toutes ses habitudes de sommeil et je savais qu'il n'allait pas tarder
à se mettre sur le dos. Rien qu'à l'idée de ce moment privilégié ou à son insu j'allais à la découverte de ce corps que je ne me lassais pas de toucher, de sentir et de caresser, ma queue se
raidissait et ma mouille marquait déjà mon boxer, que je baissai alors sur mes genoux.
Il portait un t-shirt et un caleçon à boutons. Je passai tout d'abord ma main sous son t shirt, m'étant assuré qu'elle ne serait pas trop froide et que la différence de température ne le fasse pas changer de position. Son ventre était chaud et doux, et un trait de poils montait jusqu'à son thorax. Je ressentais sous mes doigts les vallons de ses abdos, durs et le parfait ovale de son nombril. Je relevai le haut de son t-shirt sur son ventre pour le dévoiler et, toujours veillant à surveiller les changements de sa respiration, j'approchai de lui pour sentir l'odeur chaude de sa peau.
Il a une odeur naturelle chaude et suave, un parfum léger et envoûtant. Mes doigts glissent le long de l'élastique de son caleçon, sa respiration reste la même. Délicatement, je déboutonne le deuxième bouton. J'évite de déboutonner le premier, car s'il se réveille j'aurai du mal à l'expliquer, et l'on sait comme les autres boutons s'ouvrent facilement. Je passe un doigt qui part à la recherche de sa queue, mais n'en trouve que la base. Je déboutonne alors le troisième bouton et plonge deux autres doigts. J'attrape la base de sa queue. Elle est pour le moment au repos, molle mais tellement chaude. Je tire doucement pour la remonter. Très vite, elle commence à gonfler. Je sens ses veines gonfler, et son gland, gainé dans le prépuce est énorme. C'est la première fois que je peux toucher vraiment sa queue et alors que maintenant elle est bien raide, je peux sentir qu'elle est exactement telle que je l'ai rêvée. Droite, un prépuce long enfermant un gland d'une très belle taille, très veineuse, la peau très élastique et le corps bien rigide. Je la sors de son fourreau de tissu et peux l'admirer dans la demi-pénombre. Elle est magnifique. Elle doit faire au moins 19 cm, et d'une belle épaisseur.
Ma main fait glisser son prépuce pour découvrir son gland. Il est parfaitement lisse, très rond, un méat bien dessiné et très ouvert. J'ai très envie de le goûter et je ne peux pas m'en empêcher. Ma bouche avance vers cette bite fantastique et avec une grande douceur vient la gober. Ma langue fait le tour de son gland et je me délecte de sa texture. Ma queue est collée à sa jambe, et je me frotte lentement. Je suis presque hors de moi, grisé par l'interdit et l'excitation que son corps me procure, je mouille abondamment contre lui, ma queue se décalottant à mesure de mes frottements.
Je titille son frein et sens que sa bite se contracte. Il pousse un léger gémissement et je ne bouge plus. Sa queue dans ma bouche j'attends mais je sens qu'il s'agite un peu. Je me retire rapidement et reprends ma position de départ, allongé à coté de lui. Il se retourne pour me faire dos. J'attends de nouveau que sa respiration se fasse lourde, mon cœur bat à une telle vitesse qu'il pourrait l'entendre s'il se réveillait, trahissant mon acte en plus de sa queue sortie de son caleçon déboutonné.
Une fois retombé dans un sommeil profond, parce que la position ne s'y prêtait plus et par peur d'aller trop loin, je rangeai son glaive et le reboutonnai.
Je tentais tant bien que mal de me rendormir...
Le lendemain matin il se réveilla après moi. Nous nous rhabillâmes, prîmes notre petit déjeuner sur le lit puis nous remîmes à fumer (oui, dès le matin, j'étais jeune et fou). Passée la torpeur du réveil nous décidions de jouer au 8 américain, jeu auquel nous jouions souvent et durant lequel nous étions très mauvais joueurs. L'adrénaline montait très vite et souvent nous nous insultions et nous nous menacions.
Alors que j'avais une main d'enfer, et que j'étais sûr de pouvoir enchaîner je lâchai sans même réfléchir :
- Si je perds, j'te suce !
- Faut pas être si sûr de toi, ça va te jouer des tours !
Moi pareil ! On lit tous ces récits sur cyrillo en cherchant en quoi ils ressemblent à notre propre histoire ; moi aussi j'ai fait des tentatives pendant le sommeil de Jean-Charles dans son duvet, au camping. Echec ! Une nuit c'est lui qui s'est branlé dans le noir croyant que je dormais. De ma place j'ai avancé ma main vers son épaule pour le caresser. Je n'ai obtenu qu'une réaction violente, un soubresaut de son corps. Moi, en silence, je voulais-dire : « régale-toi mon pote...tu veux de l'aide ? » et lui : «Fous-moi la paix », marquant ainsi que sa solitude dans le plaisir ne lui pesait pas et moi je me suis senti mal alors qu'il avait fait semblant de me croire toujours endormi. Désolé, je vous raconte que des flops. Rien de tel pour moi que deux mecs bien décidés à baiser sans faux semblants, c'est plus facile. Par contre avec Jo je faisais semblant de perdre à la 'lutte' afin qu'il fasse de moi ce qu'il voulait. Mais Jean-Charles ne devait concevoir que des victoires en séduisant des filles. Bah ! Zito |
Je venais de réaliser ce que j'avais dit et je sentis le rouge me monter aux joues et le sang gonfler ma bite. J'avais lancé le défi par réflexe, sans penser à réellement passer à l'acte, ni même à l'acte en lui même, de la même façon qu'on se menace sans passer à l'acte ni y penser, c'est juste dans l'exaltation due au jeu. Mais à présent je ne pouvais plus me détacher du souvenir de sa queue entre mes mains et dans ma bouche. Que faire ? Faire exprès de perdre, il le verrait tout de suite et saurait alors que j'avais vraiment envie de lui, et je ne voulais franchement pas sacrifier notre amitié sur l'autel du désir sexuel. Je décidai alors de jouer comme d'habitude. Après tout, même si je perdais, rien ne m'obligeai de le sucer, c'étaient des paroles en l'air, quand bien même ce n'était pas l'envie qui manquait. Mais mes pensées me troublaient et la stratégie que j'avais en tête m'échappa.
Je jouais mal, j'étais hésitant et l'adrénaline du jeu mêlée au souvenir de la nuit passée ne faisaient pas bon ménage.
« Joue mieux, tu sais ce qui t'attends si tu perds... » me lança-t-il.
Je savais qu'il disait cela sur le ton de la plaisanterie, mais je ne pouvais m'empêcher d'y voir une invitation et j'avais vraiment peur de devoir le faire et que cela lance un froid entre nous par la suite. Je redoublai alors de vigilance et alors que j'attendais de placer ma dernière carte, il me posa une pénalité qui me fit piocher 4 cartes. Vu ce que je tirai, j'avais peu de chance de m'en sortir. Et il finit par se débarrasser de ses cartes.
- Bon, bah, j'ai perdu, déclarai-je en me disant qu'il ne relèverai pas.
- Tu vois, fallait pas t'emballer.
- Ouais bah je recommencerai pas.
Puis il prit l'oreiller, le plaça derrière sa tête et se laissa tomber en arrière, dévoilant le bas de son ventre que je ne pus m'empêcher de regarder alors que mon cœur s'emballait.
Tu sais ce qu'il te reste à faire, me lâcha-t-il
Merde, mais t'es sérieux, là ?
Bah, c'est toi qui a lancé le défi, moi j'ai rien lancé, donc tu assumes. Après j'vais pas te forcer.
Je ne savais plus que penser ni que faire... je pris alors maladroitement une tête dépitée en espérant être bon acteur et en sachant que je ne l'étais pas. « puisqu'il le faut ».
J'entrepris de déboutonner son pantalon, le baisser, il leva ses fesses pour me faciliter la tâche, et je baissai son caleçon en même temps. Il bandait déjà. La situation l'excitait ! Moi aussi je bandais... depuis le moment où j'ai lâché le fameux défi et je me sentais à l'étroit dans mon jean mais je n'allais pas sortir ma queue, je ne voulais pas qu'il voit que le sucer m'excitait.
Sa queue était encore plus belle à la lueur du jour, et je ne me fit pas prier pour l'engloutir. Je commençai à le sucer avec le prépuce en place
sur son gland puis je passai ma langue à l'intérieur. Celui ci était suffisamment élastique pour que je puisse faire le tour de son gland sans le décalotter.
Puis je libérai son gland pour le déguster. Il n'émettait aucun bruit, pas même une respiration plus forte qu'une autre. Ma langue jouait avec son
frein et les bords de son gland, la texture de celui ci était un véritable bonheur pour ma bouche. Je commençai mes va et viens sur sa queue, le branlant avec mes lèvres, ma langue entourant la
face antérieure de sa queue, se pliant se dépliant sur elle, s'enroulant pour que la pointe la caresse sur toute sa longueur à mesure que je montais et descendais.
Sa respiration se fit enfin entendre et même quelques légers gémissements de bien être alors que je jouais avec sa queue, l'aspirant puis relâchant la pression, accélérant puis ralentissant lorsque je sentais qu'il se contractait. Son corps ondulait sensiblement à mesure que je continuai. Je me déchaînai sur sa bite, je sentais mon caleçon complètement trempé par ma mouille, l'excitation et les mouvements très légers de ma queue contre le tissus qui la compressait me branlaient tandis que sa queue me remplissait la bouche.
J'allais littéralement exploser. Puis sans prévenir je senti dans un râle de Cédric son sexe turgescent, chaud, déjà raide, se contracter et des jets abondants , liquides, peut être 4 ou 5, vinrent remplir ma bouche à tel point que je dus avaler deux fois pour ne pas recracher, et, au même moment, je sentis mon propre sperme chaud maculer mon boxer. J'eus du mal a réprimer un son qui voulut sortir de ma bouche alors que j'éjaculai.
Je fini de nettoyer sa queue puis sans dire un mot, il remonta son pantalon et se reboutonna. Son téléphone sonna alors. C'était son père. Il devait rentrer pour accompagner sa sœur quelque part. On s'est quitté comme on se quittait d'habitude, comme si rien ne s'était passé.
Nous n'en avons reparlé qu'une seule fois lorsque je lui appris que j'étais gay. Il m'a demandé si je le savais déjà lorsque je l'ai sucé. Je lui ai dit que non, et, comme pour se rassurer ou clarifier une situation qui n'avait pas besoin de l'être, m'a dit qu'il était hétéro. Ce jour là il prit un peu de distance avec moi et aujourd'hui nous nous sommes perdus de vue, même si au fond de mon cœur il restera mon meilleur ami.
Si cette histoire vous a plu, n'hésitez pas à me laisser un commentaire par mail.
Les gays n'ont pas le monopole des peines de coeur Je vous l'ai déjà, dit nous les gays à partenaires multiples avons le coeur plein de cicatrices ! claudio |
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