Partager l'article ! ce coin de terre est triste; ce n'est pas si souvent qu'un couple hétéro se risque à quelque galipette sur la drague homo: Dans ce genre de si ...
Dans ce genre de situation on voit plutôt des hommes, pas forcément homos, qui viennent pour prendre un plaisir rapide car bien souvent il ne se passe plus rien à la maison ou si peu !
Ici vous ne trouverez que des succédanés d'amour. Ce petit bois regorge de voyeurs...dont je suis.
La femme d’une quarantaine d’années était habillée d’une jupe fendue et d’un chemisier bleu quant à l’homme, celui-ci était vêtu d’une chemise ouverte sur son torse laissant apparaître sa virilité et d’un pantalon classique.
Ils firent quelques mètres et voyant qu’il n’y avait pas âme qui vive, le couple s’étreignit quelques instants, s’embrassant avec fougue et se caressant mutuellement. L’homme souleva même la jupe de cette femme apparemment très passionnée et lui caressa les fesses entre sa peau et son slip écru.
Je voyais sa main aller et venir le long de sa raie puis passer par-devant pour palper sa vulve et ses grandes lèvres certainement déjà bien humides. Puis d’un coup sec, il la retourna et elle s’arc-bouta en avant, les jambes tendues et écartées, la tête vers le sol, prête à recevoir l’offrande de cet homme qui venait de déboutonner son pantalon. Il sortit une verge de belles dimensions.
En un tour de main sa robe se détacha et je la voyais ainsi tendre son arrière-train vers le sexe tendu de cet homme excité par la vue de ce cul qui s’offrait à lui. Appuyée des deux bras sur la voiture en regardant le sol, elle remuait son cul et demandait qu’il la prenne. De les voir ainsi dans cette position décupla mon plaisir et je me mis à me branler frénétiquement en les regardant ainsi faire.
Il lui arracha son slip et découvrit une belle paire de fesses que l’homme claquait doucement de temps à autre. Elle avait l’air d’apprécier ces petites claques sur son postérieur qu’elle en redemanda.
Je vis l’homme, après quelques attouchements de sa main droite sur sa chatte, saisir son membre vigoureux et l’introduire dans le sexe de madame jusqu’aux couilles. Il commença quelques petits va-et-vient, lui labourant les entrailles pendant qu’elle gémissait en se caressant le clitoris par dessous puis, il accéléra le rythme de ses coups de boutoir en la prenant par les hanches. Je l’entendis lui dire de lui prendre le cul. Il arrêta ses va-et-vient, sortit sa queue au gland luisant de mouille et commença à forcer l’entrée de son anus. Elle s’écarta les fesses avec ses mains et l’homme glissa sa queue dans son petit orifice.
Il la besogna quelques minutes, ses couilles battant contre son cul avec son pantalon sur ses chevilles. Dans un râle, de bonnes giclées de sperme vinrent inonder son anus, sa chatte, ses fesses ainsi que son dos. Elle aussi avait joui sous ses doigts qui caressaient son clitoris mais aussi sous ses coups de queue dans son anus. Ils se relevèrent, elle s’essuyant avec des mouchoirs en papier le cul de la semence de cet homme qui remonta son pantalon. La femme remit sa jupe puis ils retournèrent dans la voiture pour regagner la route quittée quelques minutes auparavant.
Aussi triste que cette image soit....J’avais pour ma part joui en les regardant faire et je m’essuyais le gland lorsqu’un homme qui n’avait pas perdu une miette de leurs ébats se positionna non loin de moi en me souriant. Je suis allé ensuite avec lui
En remontant mon pantalon, il vint vers moi et me dit qu’il avait tout vu et que cela l’avait excité.
Il m’avait vu aussi me branler et jouir car il était caché, lui aussi dans un autre bosquet.
On discuta quelques instants sur ce couple qui nous avait assurément fort excités.
Dans la discussion, je lui racontais que le plus souvent c’était des hommes qui venaient se faire plaisir dans cet endroit plutôt que des couples.
Lui me dit-il, il venait plutôt pour des expériences avec des hommes et me demanda d’une façon directe si j’étais attiré par les hommes. N’ayant eu dans ma jeunesse que quelques expériences de masturbation avec des copains, je n’avais jamais retenté ce genre d’expérience.
En lui parlant je devinais sans me tromper qu’il avait une très grosse envie car il ne put cacher son excitation au travers de son pantalon.
Il me demanda de le suivre, ce que je fis, dans un bosquet à l’abri des regards indiscrets et là il baissa son pantalon et dégagea un sexe de taille moyenne avec un gros gland. Il voulut que je lui montre aussi ma queue, ce que je fis sans me faire prier. Il s’approcha et se colla à moi. Nos queues se joignirent pendant que ses mains me caressaient les fesses. J’en fis de même.
Il tenta de m’embrasser mais je me dérobais à ses lèvres. Voyant cela, il n’insista pas et commença à descendre le long de mon corps jusqu’à s’agenouiller devant moi en prenant ma queue durcie de plaisir et prête à exploser dans sa bouche.
Il savait y faire, pendant qu’il me suçait le gland, la hampe, les couilles, il m’introduisit un doigt dans l’anus. Je voyais ma verge aller et venir dans la bouche de cet inconnu. Je me cambrais en arrière pour mieux lui enfoncer mon sexe entre les lèvres. Je posai mes mains sur sa tête et débutai quelques va-et-vient au fond de son gosier. Il me retint en poussant mes fesses vers lui pour que je jouisse dans sa bouche.
Il recracha mon sperme et se releva.
Cette fois-ci, quand même, mes lèvres rejoignirent les siennes puis il me demanda de le sucer à mon tour.
Il se positionna assis sur une souche d’arbre en écartant les jambes et je vins m’agenouiller devant lui. Je pris sa verge dans ma bouche, la branlai, la suçai avidement et lui caressai les couilles.
Il m’encourageait et me demanda de jouir sur mon dos.
Je lui répondis d’une manière positive et je me retournai à quatre pattes, lui se mettant debout derrière moi, il se branla jusqu’à jouir sur mon dos par longues saccades de semence. Je sentais son sperme couler le long de mon corps et sur mes fesses. Il étala sur mon dos celui-ci avec son gland que je sentais et que j’imaginais.
Je me relevais et m’essuyais le dos ainsi que les fesses de sa liqueur poisseuse.
Il sortit de son pantalon un préservatif et me demanda de le sodomiser.
N’ayant jamais sodomisé ni un homme ni une femme, je m’empressai de lui dire que j’acceptais. Il décida de se mettre en levrette. Je pouvais voir ses couilles et sa queue pendouiller par derrière. J’enfilai la capote sur mon sexe et vins me placer derrière lui. Je rapprochai mon membre vers son orifice qui s’ouvrit comme une rose au printemps. Ma queue disparut dans son cratère. Je le pris par les hanches, il se branla par dessous puis déchargea sur l’herbe. Après quelques coups de boutoir, je giclai très excité dans ce cul offert.
Après avoir joui, je lui caressais le dos et me retirai de son orifice mouillé.
Il remit son pantalon, moi aussi !
On se donna nos téléphones pour qu’un jour, peut-être ?
Eh oui c'est aussi bref et dénué de sentiment que ça...la drague.
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