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    On a tous des fantasmes, mais Carter, lui... 

  kURT/ & CARTER 

  texte traduit de l'américain ici au site :   

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  On a tous des fantasmes, mais Carter, lui...

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    Il n'y avait qu'à attendre.

Carter continuait à regarder fixement son i-phone en relisant sans arrêt le message qu'il venait d'envoyer. Il essayait de s'imaginer à la place de Kurt quand il l'a reçu.:

oh mec, ça va ? je fais rien ce soir et j'ai la maison pour moi tt seul ... 

“à moi tt seul peut être j'en avais trop dit ? Ca voulait dire.... c'était bien trop clair et transparent, non ? " Carter n'était même pas si sûr de vouloir Kurt là tout de suite. Putain, pourquoi il lui avait écrit ça ?   Tout ce que Carter voulait c'était...mais qu'est-ce qu'il voulait au juste ? juste juter encore ? peut-être...ou... 

Carter se renversant se remit au lit, tracassé par ce qu'ui venait d'envoyer. C'était à sa fiancée qu'il devait écrire et au lieu de ça il avait envoyé le texto à Kurt, son frère !   Il n'était pas gay.  C'était sûr que son cul n'était au service de personne, d'aucun keum.  Mais il ne pouvait pas faire abstraction de la tempête de sensations, d'émotions, l'envahissement de bien être que son coeur et son corps tout entier avaient ressenti  quand Kurt était apparu...

Il mit un bras sur ses yeux. Les draps du lit lui faisaient une douce caresse sur ses fesses lisses et dénudées. Son portable  était posé  à côté de lui, en attente de la réponse de Kurt ,  prêt à l'emploi, en suspens. Il n'y avait rien à faire qu'à attendre. 

   Il ne se passa que très peu de minutes avant que Carter entende les pas dans le couloir. 

    Ilne bougea pas, faisant semblant de dormir Il écoutait. Il savait que c'était Kurt   qui lui donnait ainsi la réponse directe à son message -lol- Dans sa tête il voyait le jambes de Kurt. Quand les avait-il observées ses jambes ?   Jamais non ? eh ben là il les voyait de tout sûr, lisses et musclées, plus jeunes que celles de carter !  et quelques instants plus tard elles se glissaient dans la chambre de Carter silencieusement.

Merde ! c'est ça qui arrive !

Le drap qui le recouvrait commença de glisser et découvrait sa nudité.

“Carter?”  

    (Merde c'est lui se dit Carter, Kurt, et ça se précipite...) 

Carter se retourna juste à l'instant où Kurt découvrait, au sens propre,et figuré, la bite de Carter. Celui-ci ne put qu'esquisser un sourire.  

- " Hé, comment t'es entré ? "

C'est ton téléphone grimaça-t-il en forme de réponse...

Ca paraissait bizarre, mais Carter se marrait.

"Bon, eh ben..." " eh ben...." Kurt s'assit sur le bord du lit et sourit.   

Regardant la queue de Carter il hochait la tête, sûr de lui.  Carter rougit envahi par un élan plein d'amour. Oui, d'Amour. Et Kurt dit simplement "branle la"   

Carter sourit, satisfait demande : "tu l'aimes ma grosse queue ?"J'adore ta grosse queue et aussi ton petit cul.

“I love your big cock, and your little ass.”

Carter rit de plus enchanté que jamais et fit sauter sa chemise, tandis que Kurt faisait de même.   Carter gasped–his cock was already rushing with tingles–and pulled up his legs.

“Work your pussy.” Kurt’s voice had turned sharp.

Carter s'entendit dire "svp, branle-moi la toi même"  heard himself croon.  “ Il désirait Kurt si"méchamment" qu'il réalisait à peine ce qui lui arrivait. Une puissante émotion le submergeait   

“Fais-moi voir ton trou d'abord.”

Carter leva les jambes bien haut et saisit ses fesses pour les écarter largement  gripped his cheeks and pulled them wide; il tirait sur sa queue et contractait ses muscles pout retarder une éjaculation. D'un coup, Kurt se mit debout remuant les bras  et il répéta en criant : " ton trou !" 

Carter pensa que sa queue allait exploser . Ohhhhh! BAISE-le MON TROU!" Il gémit-il-

- et alors il s'est réveillé.

Il s'est assis, haletant et a juré. Sa bite était dure, sa chemise était défaite, mais ce n'était pas la lumière comme dans son rêve - c'était sombre. C'était sombre et sa bite était raide et le picotait. Il l'a saisie et a commencé à se branler par saccades; ça n'a pas pris longtemps.

Alors que sa tige était encore agitée de soubressauts, son téléphone sonna....  

TO BE CONTINUED … .

(Source: craigdesigninglife, via david-flowers)