CETTE IMAGE N'APPARTIENT PAS A cAVAILLONGAY
En Tunisie terre infâme de l’islam, ce culte de la perversion morale et sexuelle, qui vénère pourtant un modèle de la perversion morale et sexuelle qu’est Mahomet, on ne prive pas à diaboliser la communauté homosexuelle locale. Paradoxalement, chez les Tunisiens n’est homosexuel que celui qui est passif, une femme de substitution, un miboune dans le vocabulaire local. Son partenaire n’est en rien stigmatisé, il est qualifié de rajel, un homme, un vrai. C’est une marque de virilité, rjoulia, qui ne compromet pas son hétérosexualité. Une question de position dans les rapports peu importe que les deux partenaires sont du même sexe.
Leur tartufferie est sans limite, le déshonneur pour celui qui fait la femme et l’honneur est pour celui qui le satisfait. La justice tunisienne elle-même ne rate jamais l’occasion de se couvrir de ridicule en ordonnant le test anal de l’homosexuel passif en vertu de l’article 230 du code pénal, hérité du Protectorat qui prévoit une peine de 3 ans pour homosexualité. Et comme dans l’imagerie populaire homosexualité rime avec sodomie, il est plus aisé pour elle de s’appuyer sur l’examen anal pour établir la culpabilité de l’homosexuel.
Etre homosexuel n’est ni un crime, ni une déviance sexuelle, ni un délit, ni une maladie, ni un choix, c’est un genre comme n’importe quel autre.
Des dizaines et dizaines de milliers d’hétérosexuels tunisiens s’adonnent occasionnellement à la prostitution masculine sur les plages et les boîtes de nuit des hôtels, et pratiquent des échanges sexuels pour compenser l’absence du partenaire féminin. En réalité, ils ne font que se révéler à eux-mêmes en découvrant leur homosexualité refoulée.
Effectivement dans leur culture de l’apartheid sexuel où sévit la violence sexuelle attisée par l’absence de la mixité homme-femme est homo celui qualifié de passif.
Les mêmes qui condamnent l’homosexualité en Tunisie ne peuvent affirmer avec certitude qu’ils n’ont pas une expérience homosexuelle ne serait-ce une fois dans leur vie, les bains maures, les internats, les vestiaires de sport, le service militaire, mais qui n’aiment pas se regarder dans leur miroir.
Quant à leur pseudo conservatisme religieux, le djihad du nikah a définitivement brisé les tabous sur les tendances sexuelles immorales de ce peuple. Plus d’interdits sexuels et plus de crise de jalousie, on a des cas de Tunisiens qui n’ont pas hésité à partager leurs femmes avec des djihadistes. Mais la cause d’Allah a ses règles morales que la morale humaine ignore.
Tout donne à penser que l’homosexualité est licite dans la voie du djihad comme l’atteste cette fameuse fatwa qui autorise un djihadiste à se faire grandir le canal anal à coups d’assauts virils de ses camarades afin de pouvoir introduire un bâton de dynamite alors que l’islam lui-même promet aux soldats d’Allah d’assouvir leurs penchants pédophiles avec des garçons, gholmanes, au paradis. Rien pour les gouines musulmanes en revanche et les nymphomanes recrutées pour la Syrie..
Fantasmer sur un bel éphèbe c’est licite vivre son homosexualité est un crime. Il serait intéressant que l’on publie les vrais chiffres des viols, des actes de pédophilie et des attentats à la pudeur pour démystifier leur puritanisme de façade.Leur pudibonderie est aussi grosse qu’un nez au milieu du visage.
Plus ils s’abritent derrière le paravent de leur fausse morale qui est le trait de caractère dominant de cette identité arabo-musulmane qui fait de l’autre en l’occurrence l’homo l’objet de sa haine pour ne pas qu’elle se voie à travers lui. Cachez-moi cette chose qui me ressemble sinon je fais un malheur.
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