Partager l'article ! parler ouvertement de sexualité et expliquer aux enfants, si on fait ça on est très mal jugé dès le départ: et, bien qu'on ait le droit d' ...
et, bien qu'on ait le droit d'être une famille nudiste, les lois qui protègent l'enfance sont contre à partir de l'instant où l'adulte intervient physiquement sur la sexualité et ...la liberté de choix. Bien sûr selon la loi, ce père "compréhensif" est allé bien trop loin.
mais dans l'histoire ci-dessous ce n'est pas ça du tout !
un papa si compréhensif !Par XRomain J’ai toujours été très proche de mon père. Fils unique, j’ai même été surprotégé par rapport, je m’en rendais bien compte, à mes amis. Mais ce souci de prendre soin de moi l’a aussi amené très tôt à me parler ouvertement de sexualité et à m’expliquer comment fonctionnait le corps humain. À l’aube de ma puberté, Papa avait pris le temps de m’enseigner, notamment, les changements qui allaient survenir chez moi et avait tenu à me prévenir des surprises que j’allais avoir : apparition des premiers poils pubiens, érections incontrôlées, éjaculations nocturnes… J’avais toutefois eu du mal à comprendre concrètement tout ce dont il m’enseignait la théorie ; et il avait fini par me montrer sa bite pour que les choses soient plus claires. Dans la salle d’eau, alors que je prenais mon bain, il s’était assis sur le bord de la baignoire et avait sorti ce qui me semblait être une énorme masse de chair surmontant deux grosses couilles très poilues. Il s’était ensuite caressé pour bander et m’avait montré comment je pourrais bientôt me masturber. J’avais instantanément été pris d’une admiration sans borne pour ce sexe majestueux, qui en érection mesurait dans les 20 centimètres et en faisait facilement 7 de diamètre. Rapidement, mes premières branlettes avaient été nourries du souvenir de cette bite, sans forcément que dans ma tête je l’assimile à mon père mais qui me fascinait. Je n’ai pas eu à me poser longtemps la question de mon orientation sexuelle : j’étais gay et j’allais aimer la queue.
La puberté qui s’opérait dans ma tête tardait pourtant à se voir sur mon corps. Les années passaient et je restais ce garçon très mince, à la taille étroite, aux grands yeux innocents, au visage encore plein et toujours imberbe. Quelques poils étaient bien apparus sur mes testicules et au-dessus de mon sexe, ainsi qu’au niveau des aisselles, mais c’était là tout. Quant à ma bite, elle était loin d’atteindre les dimensions de celle de mon père… Je m’en plaignais de temps en temps à lui, qui tentait de me rassurer en m’affirmant qu’un gros sexe n’était pas forcément la norme et que chacun devait faire avec ses qualités et ses atouts. Il m’assurait que les miens ne seraient peut-être pas de ce côté-là et que je ne devais pas m’en inquiéter. Je ne l’avais pas saisi à l’époque, mais Papa avait de son côté déjà compris et intégré que je ne serais pas homme à femmes, encore moins un macho queutard, mais bien plutôt un « p’tit pédé » comme je l’entendais au collège, asservi aux sexes d’hommes et certainement pas à celui des femmes.
Aussi, quand quelques mois avant d’entrer au lycée, et alors que je me contentais toujours de penser à cette vision d’un sexe turgescent pour fantasmer en me masturbant, quand donc je décidais de dire à Papa que je me sentais gay, il n’a pas témoigné la moindre surprise. Il m’a promis, tout simplement, que c’était là quelque chose de tout aussi bien que d’être hétérosexuel, que je n’avais pas à avoir honte de ce que j’étais ni de ce que je ferais. Un papa si compréhensif ! Il m’a ensuite demandé si j’avais déjà eu des expériences avec d’autres garçons et je lui ai assuré que non, et que d’ailleurs si je lui en parlais aujourd’hui c’est justement parce que j’en avais très envie mais que je ne savais pas comment faire. Il a promis de m’aider et, tranquillisé, je suis allé me coucher.
Quelques jours plus tard, Papa me demande de rester à la maison ce soir-là parce qu’il a prévu de tenir sa promesse de m’aider. Je ne pose pas de question, je lui fais confiance. N’empêche que je suis surpris – et déçu – de voir arriver son ami Patrick, que je connais depuis tout petit, qui est marié et père de 3 enfants – je jouais souvent avec eux quand nos familles respectives partaient ensemble en vacances. Patrick est sympa mais maintenant que je suis grand, je le vois surtout comme un quadragénaire typique, avec un début de ventre sous sa chemise, qui rigole fort avec mon père quand ils prennent l’apéro à la maison et à qui je n’ai pas grand chose à dire. Avec ça, il est plutôt pas mal, grand, très brun, un beau sourire et des mains larges qui vous font un peu mal quand il vous serre les vôtres pour dire bonjour. Mais il vient souvent prendre l’apéro chez nous et je ne vois pas en quoi le fait qu’il vienne encore ce soir-là pourra m’être d’une quelconque utilité dans mes questionnements ! Aussi, à peine un bonjour échappé de mes lèvres, je cours me réfugier dans ma chambre.
Ce n’est qu’une petite heure plus tard que Papa m’appelle du salon. Je sors de ma chambre, un peu boudeur, et Papa me fait asseoir près de lui :
— Maxence, mon chéri, tu te souviens de notre conversation l’autre jour et de la promesse que je t’ai faite ?
Je rougis. Heu… on ne va quand même pas parler de ça devant son ami ! Mon père sourit et reprend :
— Qu’est-ce que je t’ai dit fiston ? Tu n’as pas à avoir honte de ce que tu es. Je t’ai dit que j’allais t’aider et je vais le faire. N’aie pas peur de Patrick.
— Papa, je… Je ne comprends pas très bien ce que tu veux dire.
— Fais-moi confiance. Tu as confiance en moi ?
— Oui, bien sûr.
— Alors va le rejoindre et mets-toi à genoux devant lui s’il te plait. Fais-le, n’aie pas peur.
Alors j’obéis. Je regarde Patrick qui n’a pas bougé, affalé dans le canapé il boit tranquillement une gorgée de Pastis. Je m’approche de lui et m’assois sur le tapis puis, la gorge sèche, je regarde mon père l’air interrogatif. Je ne sais pas quoi faire, je stresse. Papa me sourit :
— Approche-toi encore un peu fiston. Patrick va te montrer son sexe.
Effectivement, Patrick a déjà plongé sa main vers sa braguette et commence à la défaire. Il baisse légèrement son jean et en sort une belle bite molle, assez large, qui repose sur une paire de couilles sombres, recouvertes de poils bruns. Je prends le temps de la regarder, d’admirer la toison fournie qui apparaît sous le bas de la chemise de Patrick, la peau plissée à la base du gland, qui ressort à moitié du prépuce, le tout petit trou tout en haut dont Papa m’a dit que c’était le méat. Sa queue est moins large que celle de mon père et surtout moins longue, mais il faut dire qu’il ne bande pas. Un peu perdu dans mes pensées, j’entends Papa dire quelque chose et la main de Patrick se pose sur ma tête pour l’avancer encore vers son sexe. J’ouvre la bouche et attrape son gland. D’un coup de langue, je fais entrer le reste de sa bite dans ma bouche. Me reviennent en mémoire tous les trucs dont Papa m’a parlé sur la fellation, comment les hommes l’aiment, comment les femmes lui en font. Je vais m’efforcer de les appliquer. Patrick commence à bander. Je sens sa queue enfler entre mes lèvres, je sens presque le sang affluer dans sa verge. C’est chaud, dur et c’est bon. Je joue avec son prépuce sous ma langue, je fais aller et venir sa bite dans ma bouche, je remonte et lui suce doucement le gland. Je tente ma première gorge profonde. D’un coup, sans trop réfléchir : Papa m’a toujours dit que le sexe c’était avant tout des sensations, des impulsions, qu’il fallait éviter de trop réfléchir pour mieux suivre ses envies. Je plonge vers la base de la bite de Patrick pour la prendre toute entière. Je sens son gland qui semble se coincer dans une cavité plus étroite. Je crois que ça y est. Non, j’en suis sûr, je le ressens nettement comme quelque chose de naturel et d’évident : il est dans la fond de ma gorge. Je l’entends râler, un râle rauque, viril. Je lève légèrement le regard : Patrick a la tête penchée en arrière, la bouche entrouverte, les yeux fermés. Sa main toujours dans mes cheveux maintient fermement ma tête enfoncée sur sa queue. Il desserre légèrement son étreinte et je reprends mes mouvements, sortant très brièvement son sexe de ma bouche pour inspirer rapidement. Puis je m’y remets. Je le suce, je le pompe, je vais de plus en plus vite, puis lentement, doucement, de haut en bas, tendrement sur sa bite ; de nouveau très vite, plus loin, une deuxième gorge profonde, puis une troisième d’affilée, enfin une quatrième et je remonte pour lécher son gland. Patrick gémit, râle, il m’attrape plus fermement par les cheveux pour ramener mon visage contre lui, enfonçant brutalement sa queue raide jusqu’au fond de ma bouche, il impose à présent son rythme, viril, puissant, régulier et profond, pas trop vite, le temps de profiter de la chaleur de ma bouche sur l’ensemble de son sexe avant de le sortir presque entièrement et de le replonger aussitôt après. Ses râles s’accélèrent. Il me fait aller et venir sur sa queue qui semble avoir encore un peu enflé. Il lâche un « putain ! » et, se redressant, pliant son corps vers l’avant, maintenant mon visage enfoncé sur sa queue, mes cheveux contre son ventre, mes lèvres touchant sa toison pubienne et ses couilles, il jouit. Je sens à peine le goût de son sperme sur ma langue mais je le sens nettement gicler dans ma gorge, entrer dans mon corps et tomber directement dans mon estomac. Patrick jouit beaucoup, plusieurs longs jets chauds qui me tapissent l’œsophage et me remplissent le ventre. Il se détend, se rejette en arrière, sa main toujours sur ma tête mais son emprise moins forte. Sa queue ramollit dans ma bouche. Je la lèche doucement, j’en presse la base entre mes lèvres pour faire sortir les dernières gouttes de sperme que j’avale aussitôt. Enfin je me recule légèrement, admirant son sexe déjà au repos qui se pose délicatement sur ses couilles sombres. J’ai du mal à détacher mon regard. Cette bite ! Je l’ai sucée ! J’ai sucé une bite ! C’était trop bon.
Patrick réajuste son jean pendant que je tourne les yeux vers Papa, qui me sourit :
— Alors Fiston ? Comment tu te sens ?
— Super bien Papa. J’ai adoré. Merci.
— Je crois que Patrick aussi a aimé. Hein Patrick ?
Bouclant sa ceinture, Patrick répond d’une voix chaude :
— Ah ça je dois dire qu’il suce bien ton fils ! J’ai pas ça à la maison, tu peux me croire.
— Tu t’es très bien débrouillé, mon chéri, me dit Papa. Je suis fier de toi. Tu peux remonter dans ta chambre maintenant, on va terminer nos verres et Patrick va partir.
Je me lève mais, au moment de sortir du salon, me retourne et lance :
— Merci Patrick.
— Merci à toi Maxence, tu suces comme un chef.
C’est ainsi que j’ai sucé ma première bite, guidé par mon père qui, le soir même, revenait me dire combien il était fier de moi tout en m’assurant
qu’il n’avait jamais douté de mes capacités. Je me souviens encore de ses mots :
— J’ai compris depuis longtemps que tu ne baiserais probablement jamais une femme. Tout dans ton corps et ton attitude disent que tu es un garçon fait pour l’amour entre hommes. Tu ne dois jamais en avoir honte. Souviens-toi de ce que je t’ai dit et sois fier de toi, de ce que tu sais faire et du plaisir que tu peux donner aux autres hommes.
— Papa, est-ce que Patrick est gay ? Je croyais qu’il était heureux avec Sylvie.
— Il l’est, mais quand je lui ai demandé de me rendre ce service il a presque aussitôt accepté. Nous sommes très proches lui et moi, tu sais, on se connaît depuis l’enfance. Je lui avais déjà dit que viendrait un jour où j’aurais à te faire découvrir le sexe des hommes et il n’a pas été surpris par ma demande.
— Mais alors, ça veut dire qu’il n’a pas aimé ? Qu’il n’était pas attiré par moi ?
— Tu trouves qu’il avait l’air de ne pas être excité ? Il m’a redit avant de partir que tu suçais très bien et qu’il avait beaucoup aimé. Que d’ailleurs quand il te regardait à genoux devant lui il avait l’impression que c’est une fille qui le suçait. Tu es doué Maxence. C’est en toi. Sois fier de ce que tu es et de ce que tu sais faire. Allez, dors bien.
— Merci Papa. C’était vraiment super.
Ma première bite avait éveillé en moi des envies plus fortes. Mes branlettes se nourrissaient à présent, en plus du souvenir de la queue de mon père, de celui de la bite de Patrick dans ma bouche. Je ne regardais plus les hommes de la même façon et mon regard descendait souvent vers leur entre-jambes. Dans ma classe, un copain de mon âge, Arnaud, commençait tout particulièrement à m’attirer. Il ne faisait pas partie des mecs les plus populaires de l’établissement mais son humour lui attirait de nombreuses sympathies. Il n’était pas forcément le plus beau, mais était doté d’un charme ravageur, d’un sourire éclatant et d’yeux très bleus qui vous faisaient aussitôt oublier ses boutons d’acné, ses sourcils qui se rejoignaient ou ses bras un peu maigres. Pas un canon, donc, juste un mec vraiment sympa, drôle, avenant. Je m’asseyais le plus souvent possible à côté de lui et nous rigolions bien, sans pour autant nouer de liens particuliers. Je faisais rapidement part à mon père de mon attirance pour Arnaud ; il me rappelât ses conseils de ne pas avoir honte et me dit que si j’avais envie de lui, je devais le lui annoncer, sans crainte excessive mais en gardant à l’esprit que je pouvais essuyer un refus. J’ai essayé plusieurs fois de prendre mon courage à deux mains mais n’ai jamais réussi à formuler concrètement de proposition. D’autant qu’Arnaud parlait facilement de cul : sans manifestement être jamais passé à l’acte il évoquait souvent telle ou telle fille qu’il aimerait bien « avoir au bout de sa bite ». Ces conversations étaient à la fois un supplice et un plaisir pour moi. J’ai passé deux semaines à hésiter, à essayer de me lancer, à renoncer, à me plaindre à mon père qui a finit par craquer et m’a de nouveau promis son aide.
Un soir, alors que je rentre de cours, je trouve Arnaud assis dans le salon avec mon père. J’ai un temps de surprise que Papa calme aussitôt : « Bonsoir Fiston. J’ai croisé Arnaud et lui ai proposé de passer à la maison. » Je bougonne un « ok », sans trop savoir ce que je dois comprendre ni ce que je dois faire. Puis mon père nous annonce qu’il a du travail à terminer et nous invite à aller dans ma chambre réviser nos prochains examens. Une fois la porte refermée derrière nous, un long silence s’installe entre Arnaud et moi. C’est la première fois qu’il est chez nous, nous ne sommes pas proches au point de nous inviter l’un l’autre chez nos parents. Je lui propose de jouer à la console mais il marmonne, assis sur mon lit : « Ben non, on n’a qu’à le faire tout de suite. »
— Heu… ok. Faire quoi ?
— Ben, tu sais. Ce que ton père m’a demandé.
— Écoute Arnaud, je savais même pas que tu serais là alors que je sais encore moins ce que mon père t’a dit. On doit réviser ensemble ?
— Non, abruti. Je dois te montrer ma bite. Il paraît que t’as envie de la voir.
Et comment que j’ai envie de la voir ! Mais là, quand même, Papa y est allé fort. Ce que je n’ai pas osé faire, lui s’est dit qu’il fallait y aller cash. Je reste interdit jusqu’à ce qu’Arnaud reprenne :
— Bon, tu veux la voir ou pas ?
— Heu… ok.
Arnaud se lève et défait sa braguette. Je n’ose pas bouger, je le regarde baisser son jean, son caleçon, et sortir une bite assez longue, fine, très pâle, ainsi qu’une paire de couilles très peu poilues et serrées l’une contre l’autre. Mon regard se fixe. Nous restons de longues secondes comme ça, sans bouger, son jean tombé sur ses chevilles, moi tout habillé, un air probablement stupide sur le visage. C’est encore lui qui brise le silence : « Tu veux la toucher ? » Sans répondre, je m’approche et tend la main. Je saisis son sexe mou entre mes doigts et le presse doucement. Je n’ose pas regarder Arnaud dans les yeux. Je commence à le décalotter délicatement, je fais quelques va-et-vient et je sens qu’il se met à bander. Je continue mes mouvements, c’est chaud, tendre, la chair dans ma main semble presque moelleuse. Arnaud gémit un peu puis murmure : « Mets-toi à genoux ». Je n’hésite plus, m’agenouille et le prend en bouche. Il bande à présent complètement et je m’affaire très vite à le sucer. Sa queue n’est pas large mais doit bien faire 18 centimètres de long, peut-être 19. Je joue avec son gland dans le fond de ma gorge, je caresse la peau avec ma langue ; Arnaud, lui, a rejeté la tête en arrière et gémit toujours, les bras ballants le long du corps. J’alterne les mouvements rapides avec des moments plus lents, plus profonds, je le masturbe un peu puis reprends le travail uniquement avec ma bouche, j’ai du mal à croire que c’est le sexe de mon pote de cours qui est entre mes lèvres, ça m’excite terriblement. Il ne faut pas longtemps à Arnaud pour jouir dans ma bouche et me faire avaler son sperme. Il y en a beaucoup, très dense, gluant sur ma langue ; je profite du goût de son jus avant de déglutir lentement. Puis je recule pendant qu’il s’affale sur mon lit en soupirant. Quand je me relève, il me dit : « Bon, on bosse maintenant ? » Ce que nous faisons pendant une petite heure, jusqu’à ce que je sente sa main se poser sur ma cuisse. « On recommence ? » me dit-il.
— T’es gay ?
— Ben non, pourquoi ?
— Ben je sais pas, je t’ai sucé quoi… et je suis un mec aussi.
— Je t’ai dit, c’est ton père qui m’a demandé.
— Oui, mais… si t’as accepté, c’est que t’en avais envie, non ?
— Ben je m’étais jamais fait sucé, et puis 100 euros c’est quand même pas mal hein !
J’ai du mal à comprendre. 100 euros ? Quels 100 euros ?
— Il t’a donné 100 euros ? Mais pour quoi ?
— Ben pour que je te laisse me sucer. Il m’a dit que t’en avais envie mais qu’il fallait que je le dise à personne, sauf si tu décidais toi-même d’en parler. Et j’aurai 100 euros de plus si je t’encule.
Je tombe des nues. Mon père a payé Arnaud ?! J’en reste coi quelques secondes. Puis je réalise combien Papa doit m’aimer pour être prêt à lâcher tant de fric rien que pour me faire plaisir… mais quand même, ça reste un peu bizarre.
— Mais ça veut dire que t’en avais pas vraiment envie ?
— J’avais pas pensé à le faire avec un mec mais bon, j’avais envie de me faire sucer quoi. Et puis comme ça, si je t’encule, j’aurai de l’expérience pour ma première avec une meuf. Bon, t’es prêt ? J’suis chaud moi.
Il s’est déjà levé et à commencé à se déshabiller. Je me décide à arrêter de réfléchir et me déshabille aussi. Nous nous rejoignons sur mon lit, j’essaie de l’embrasser mais il tourne la tête. Tant pis. Je me dirige de nouveau vers sa bite, il bande déjà. Je la reprends en bouche. Ma troisième pipe en quelques semaines ! Cette fois, j’y vais plus franco et le pompe avidement. Il met ses mains sur ma tête pour enfoncer sa queue plus loin dans ma gorge en gémissant. Je gémis avec lui, c’est tellement bon d’avoir une bite dans la bouche ! Il se contracte déjà, je crois qu’il va jouir mais il me rejette en arrière : « Mets-toi à 4 pattes sur le lit. »
Ça y est. C’est le moment. Il va me prendre. Je vais me faire enculer pour la première fois. J’en ai tellement envie ! Je me mets en position et sens mon ami qui se tient droit derrière moi, en appui sur ses genoux. Il positionne son gland entre mes fesses. Je le sens qui pousse pour entrer en moi, ce qui bien sûr ne marche pas. Sans m’être jamais fait prendre, je sais bien qu’on n’encule pas un mec comme ça, sans l’avoir au moins un peu doigté, ou lubrifié, enfin quelque chose, quoi. Arnaud, lui, ne s’en rend manifestement pas compte et essaie encore pendant une longue minute. Je finis par me redresser :
— Tu sais, je crois qu’il faut utiliser du lubrifiant.
— Ah ouais, p’t-être. T’en as ?
— Non. Sinon peut-être juste de la salive ?
— Ben tu m’as sucé, y en a sur ma bite. Attends, tu veux quand même pas que je te lèche le cul ?
Sans répondre, je crache dans ma main et me lubrifie moi-même tant bien que mal, puis nous essayons de nouveau, toujours sans succès. Je me doigte un peu en pompant encore Arnaud qui commence à débander ; malgré tout nos tentatives restent vaines. Nous nous décourageons quand j’entends qu’on toque à la porte, et la voix de mon père retentit : « Tout va bien les garçons ? »
Arnaud se jette sur son caleçon et enfile prestement son jean. De mon côté, je me dirige vers la porte, sors et la referme derrière moi – je suis toujours nu mais après tout, ce n’est pas la première fois que Papa me voit comme ça… et puis j’ai déjà sucé son pote devant lui, on n’est plus à ça près.
J’explique rapidement la situation à mon père qui acquiesce et me répond posément « Effectivement pour une première fois vous vous y prenez mal. Désolé Fiston, j’aurais du y penser. Je peux entrer ? Je vais parler un peu à Arnaud. » Je rouvre la porte, mon ami est assis sur mon lit, l’air un peu bête. Papa lui sourit gentiment :
— Arnaud, mon grand, si tu veux bien je vais vous filer un coup de main.
Puis, à mon intention :
— Mets-toi sur le lit à 4 pattes mon chéri. Arnaud, enlève ton pantalon s’il te plait.
Arnaud proteste : « Attendez m’sieur, je vais pas me foutre à poil devant vous, ça devient chelou là ! »
— Arnaud, nous avons un accord, tu te souviens ? Je te promets de ne rien faire contre ta volonté.
Arnaud se laisse convaincre et se déshabille mollement pendant que Papa continue : « Le plus important, ce sont les préliminaires. J’imagine que mon fils t’a sucé, non ? Bon. Tu dois faire pareil pour préparer son trou à accueillir ton sexe. Si tu ne veux pas le lécher, pas de problème, tu peux simplement cracher entre ses fesses et passer en même temps ton gland sur son cul, tu comprends ? »
Joignant le geste à la parole, Papa crache sur mon cul tendu. Sa salive coule le long de ma raie. Je sens Arnaud qui pose son sexe sur ma peau mais il a débandé. Sans attendre je me retourne pour le sucer, histoire de faire remonter son excitation, ce qui réussit en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire. Je me remets en position pendant que Papa continue son speech à côté de mon ami.
— Je vais t’aider encore un peu. Tu vois, je lui dépose juste un peu de salive ici, comme ça, pas besoin d’en mettre des tonnes. Je l’étale un peu avec les doigts ; maintenant glisse ton gland le long de sa raie. Voilà, c’est bien. Continue comme ça.
Je ne dis rien mais c’est divin. Je sens à la fois le gland de mon ami qui passe et repasse sur mon trou et les doigts de mon père qui me caressent délicatement, sans forcer, sans vraiment entrer en moi ; il se contente de me masser et cela me détend progressivement. D’un coup, Arnaud positionne le bout de son sexe qui, magiquement, me pénètre légèrement.
— Voilà, c’est bien ! dit Papa. Crache encore un peu, ça va aider. Voilà. Attends, je vais te guider. Je peux ?
Arnaud murmure un vague « oui, allez-y » et Papa attrape la bite de mon ami pour la faire entrer plus profondément à l’intérieur de moi. Ensemble, ils forcent, forcent encore, je sens ce sexe bien raide qui me pénètre progressivement, je ne peux pas m’empêcher de gémir, de gémir encore, c’est si bon ! Je me sens rempli, de plus en plus rempli, son gland va de plus en plus loin en moi, je crois qu’il va atteindre mon ventre, et soudain le contact de ses poils sur ma peau me fait comprendre qu’il est à présent tout entier à l’intérieur de mon corps. Les mains de Papa sont posées sur mes fesses, les maintenant écartées. Arnaud ne bouge pas pendant de longues secondes, il respire fort, puis il se recule un peu, j’entends Papa dire « C’est bien » et Arnaud entre à nouveau, recule, revient, recule, revient, son gland me chatouille de l’intérieur, toute la longueur de sa verge me masse les intestins, c’est tellement bon ! Je gémis encore, Arnaud aussi, il poursuit ses va-et-vient ; la porte se referme doucement et je comprends que mon père est sorti de la chambre, sans un mot, nous laissant profiter de cet instant à deux, Arnaud s’enfonce encore, appuyant ses mains sur mes reins et me besognant profondément, lentement ; sa queue glisse maintenant sans problème dans mon cul, il me fait tellement de bien…
Après quelques minutes Arnaud accélère déjà le mouvement, ses va-et-vient se font plus rapides, plus secs, il s’enfonce entièrement dans mon corps puis ressort presque la totalité de sa queue, seul son gland restant en moi, avant de plonger de nouveau au plus profond de mon cul, d’un seul coup si violent qu’il me projette à plat-ventre sur la couette, Arnaud tombe avec moi et m’écrase de tout son poids, il accélère encore, ne bougeant plus que son bassin de haut en bas, de bas en haut par-dessus mes fesses, ses couilles claquent régulièrement contre ma peau, je sens son souffle rapide et chaud dans mon cou, ses bras m’enserrent, il grogne, se bloque, sa queue se raidit encore et pulse trois fois en moi pendant qu’il pousse un long râle satisfait, son jus jaillissant enfin de son sexe et emplissant mes entrailles, tapissant mon estomac de longs jets chauds qui semblent comme brûler au plus profond de moi… puis soudain plus rien. Le silence. Juste une respiration, lente, douce, dans mes cheveux, qui rythme le contact du torse d’Arnaud sur mon dos, de son ventre sur mes reins, de ses cuisses sur mes fesses et de son sexe qui se ramollit dans mon cul.
Sans un mot, Arnaud se redresse, se relève et déjà se rhabille. Je fais comme lui, tout aussi silencieux. Un regard par en-dessous, une vague poignée de main et il a quitté ma chambre. Du haut de l’escalier, j’entends mon père lui dire quelque chose et la porte d’entrée claquer. Papa me rejoint. Il a un grand sourire. Comblé, je me jette dans ses bras et lui répète « Merci. Merci. Merci. » en le serrant fort pendant qu’il dépose des milliers de baisers dans mes cheveux, pétrissant affectueusement mes fesses entre ses mains douces et chaudes.
Depuis ce jour, rencontrer des garçons n’est plus un problème. Arnaud a très rapidement pris goût à ma bouche et me donne sa queue à sucer dans les toilettes, entre deux cours – Papa m’a d’ailleurs précisé en riant qu’il n’avait eu aucun mal à le convaincre la première fois ! Arnaud a aussi, discrètement, proposé à quelques amis d’essayer. Plusieurs fois par semaines, je les retrouve dans les vestiaires, dans un placard de l’établissement ou un coin tranquille du parc d’à côté pour les pomper, ou pour qu’ils me baisent le cul. Je gagne en assurance, il m’arrive régulièrement d’allumer des mecs que je croise dans la rue et de les ramener à la maison, avec l’accord enthousiaste de Papa qui m’achète des préservatifs ou du lubrifiant et qui, surtout, m’apprend à me mettre en valeur. Il m’aide à choisir les vêtements les mieux ajustés, il me conseille sur des attitudes à adopter, des regards à lancer… Grâce à lui, c’est un vrai pouvoir que je développe : celui de faire comprendre aux hommes que mon corps est à la disposition de leurs envies… et la grande majorité ne se gêne pas pour en profiter. Je m’assume de mieux en mieux. Finalement, Papa avait raison, c’est pas compliqué d’être soi-même : il suffit de connaître ses atouts.
À suivre... :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Maxence_a..._un_papa_si_compr%C3%A9hensif_!
“ Il est essentiel d’apprendre à l’enfant la pudeur et d’en avoir envers lui. Elle fait partie du respect qui lui est dû. Et Françoise Dolto le rappelait aux mères qui changent leur bébé en public alors qu‘elles pourraient faire autrement. La pudeur lui permet d’“humaniser” sa sexualité, de comprendre qu’elle est différente de celle des animaux. Les chiens et les chats ne portent pas de culotte, font leurs besoins et s’accouplent en public. Les humains, eux, voilent leur corps et s’ébattent à l’abri des regards. Et la pudeur aide l’enfant à comprendre sa place. La nudité des parents est du domaine de leur intimité sexuelle. Il n’a pas à y être mêlé. Quant à la sienne, il l’exhibe le plus souvent dans une volonté de séduction (inconsciemment incestueuse). Il faut donc mettre des limites à ce que Françoise Dolto nommait si joliment les “roueries séductrices” de l’enfant. L’aider à devenir autonome, et fermer les portes des salles de bains. »
Nudité devant les enfants : jusqu’à 4 ans, tout est permis (ou presque)
Les bains en famille restent des moments inoubliables mais qui ne durent pas. Profitez-en ! Si à cet âge, l’enfant fait bien la différence entre
la nudité et les vêtements, il n’accorde pas encore une signification précise au corps nu. Pour le moment,la nudité est pour lui un état naturel qui ne le choque pas car il n’a pas encore
vraiment conscience de son sexe.
- A faire : Ne soyez pas avares en câlins peau contre peau. S’il vous surprend sous la douche, invitez-le à partager ce moment car à tous les
coups, il en sera ravi. En revanche, si cela vous gêne, ne vous forcez pas car votre petit risque de sentir votre malaise.
- A ne pas faire : Si l’on peut se montrer nu face à des petits enfants sans que cela ne pose de gros problèmes, il ne faut pas non plus
pousser les limites. Pas question par exemple que le petit dernier, même s’il n’a que quelques mois, vous entende faire l’amour, au risque d’être choqué par certaines scènes.
Nudité devant les enfants : de 4 à 8 ans, les prémices de la pudeur
Il commence à comprendre qu’il est une petite fille ou un petit garçon et donc à être gêné face à la nudité du sexe opposé.
- A faire : Commencer à mettre de la distance entre votre corps et celui de votre petit. L’important étant toujours d’expliquer les raisons de ce
changement de comportement.
- A ne pas faire : Persister. Si votre enfant ne semble pas gêné par votre nudité, essayez tout de même de vous faire plus discrets car
il n’osera pas toujours vous dire qu’il est dans l'embarras… Mais peut-être n’en pense-t-il pas moins.
Nudité devant les enfants : de 8 à 12 ans, l’indispensable distance
L’enfant est tout à fait capable de comprendre le désir et la vie sexuelle de ses parents. Si le complexe d’Oedipe est déjà bien installé, il
prend encore plus son sens à cet âge. Cette période de pré-adolescence est assez délicate dans la mesure où le petit continue à se sentir enfant, qu’il a encore besoin de ses parents mais qu’il
s’achemine petit à petit vers l’indépendance. Résultat, il commence à s’enfermer dans la salle de bains et ne plus vouloir partager de réelle intimité avec ses parents.
- A faire : Etre à son écoute. Il ne s’agit pas d’en faire un enfant trop pudique, ni exhibitionniste mais plutôt de suivre son
caractère. Aidez-le à garder son jardin secret pour qu’il puisse s’éveiller au désir sans culpabiliser. De même, si sur la plage vous souhaitez bronzer seins nus, assurez-vous que cela ne le
gêne pas, surtout si vous êtes amenée à vous montrer devant ses copains. Posez-lui la question et si vous sentez un malaise, accordez-vous cette liberté dans des endroits plus intimes (sur une
terrasse ou dans un jardin par exemple).
-A ne pas faire : Vous promener en petite tenue ou traverser l’appartement nus en sortant de la douche. A cet âge, mieux vaut que votre enfant ne
se sente pas gêné vis-à-vis de la nudité car s’il commence lui aussi à éprouver du désir, il risquerait de faire un blocage. Pourquoi ? Parce qu’il sait maintenant ce qu’est le bien, le mal et
l’inceste. Par contre, s’il entre malencontreusement dans votre chambre pendant que vous vous habillez, ne le chassez pas pour autant. S’il est gêné, il sortira de lui-même, le tout étant de
garder tout de même une certaine intimité propre à la vie familiale.
Nudité devant les enfants : après 12 ans, l’adolescence et ses conséquences
Vous n’avez pas le choix ! Sauf dans les familles ou le naturisme est un vrai parti pris et une philosophie, votre ado ne se montrera pas nu
devant vous et acceptera encore moins que vous le fassiez. Il hésitera même parfois à faire apparaître ses formes sous ses vêtements : place aux pantalons larges et aux longs t-shirts !
- A faire : Laissez-le s’enfermer à clé dans sa chambre à partir du moment où par ailleurs il respecte les règles familiales. Le
complexe d’Oedipe se réveille à nouveau. La distance s’impose donc. De votre côté, respectez aussi votre « territoire ». Si vous souhaitez vous promener nu, faites-le dans votre chambre ou dans
la salle de bain.
- A ne pas faire : Ne tentez pas de vous introduire dans sa vie sauf si vous avez l’impression qu’il est en danger. Par exemple, ne
vous occupez pas de ses affaires intimes, ses sous-vêtements et autres accessoires ayant un rapport avec la nudité et la sexualité. Il risquerait de se sentir très gêné.
Nudité devant les enfants : Quid du complexe d’Œdipe ?
Tout le monde en parle, mais sait-on exactement de quoi il s’agit ? Notons d’abord que c’est à Freud que l’on doit ce nom : Œdipe, jeune héros de
la mythologie grecque tua son père pour épouser sa mère… Vers l’âge de 3 ans, l’enfant commence à prendre conscience de son caractère sexué. La petite fille se tourne vers son père et le petit
garçon vers sa mère. Du coup, l’autre parent devient le rival que l’enfant veut éliminer. Rien de plus normal, rassurez-vous ! Au contraire, il s’agit ici d’une étape fondamentale dans la
constitution de l’identité de l’enfant. Quand il s’aperçoit qu’il lui est impossible de faire disparaître un des piliers de cette relation triangulaire, il va prendre le parti de ressembler le
plus possible à son ou sa rivale : le garçon à son papa et la fille à sa maman, et à partir de là se constituer une personnalité masculine ou féminine.
Par
transgressions
BD "twins" ...
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