Partager l'article ! ça se passe au lac du Verdon « Je répétais "Olivier, Olivier.. .”, sa pine toujours enfoncée en moi. j’ai joui comme jamais , en hurlant, agi ...
j’EN RËVE ENCORE tous les jours dans mon lit !!!...
“Détends-toi, mon bouchon! Si tu as mal, j’arrête, OK?” Non seulement je n’ai pas eu mal, non seulement toute sa biroute m’est rentrée dedans, mais j’ai ressenti un plaisir indescriptible lorsque j’ai senti tout le morceau en moi. Olivier était arc-bouté au-dessus de moi, mes jambes nouées sur son dos. Je me faisais enculer, défoncer pour la première fois, par le plus beau jeune mâle que j’avais jamais vu, comment vous expliquer ce plaisir dément, la joie de se donner à un gars, sans retenue.
Olivier m’a baisé tout en douceur, tendrement, sans cesser de me regarder. Il a commencé à accélérer le mouvement, mais pas trop rapidement. Sa bonne bite juteuse et brûlante coulissait à merveille en moi. Ça glissait bien, un pur ravissement. J’éprouvais plein de sensations nouvelles. J’avais toujours eu peur de me faire mettre, et là, j’atteignais l’extase. Mais ce n’était rien par rapport à ce qui m'attendait. Olivier m’a soufflé: "Vas-y, branle-toi, je sens que je vais jouir, vas-y, vas-y!” Je me suis mis à me branler à grands coups de poignet. Je sentais la sauce qui montait, le plaisir qui envahissait tout mon corps, des orteils à la racine des cheveux. Olivier s’est tendu. Il a crié: “Ça y est! Je jouis, putain, je jouis!!” C’est à ce moment qu’une véritable tornade de jouissance m’a emporté. C’est venu de mon ventre, de mon estomac, de mes couilles, une onde de lave incandescente qui m’a électrocuté. En sentant une dernière fois la bite d’Olivier se planter au tréfonds de moi, j’ai joui comme jamais je n’avais joui, en hurlant, agité de soubresauts incontrôlables. Non seulement je n’avais jamais connu un orgasme aussi dévastateur, mais jamais ça n’avait duré aussi longtemps. Je suis resté longtemps le corps agité de spasmes, à gémir doucement, à répéter "Olivier, Olivier...”, alors qu’il était couché sur moi, sa pine toujours enfoncée en moi.
Le paradis sur Terre a duré sept jours, sept journées de bonheur, sept jours à contempler le plus beau mec, à faire l’amour, sept jours d’orgasmes monstrueux, à en perdre connaissance. Sept jours seulement, car si j’étais amoureux d’Olivier, lui l’était beaucoup moins de moi. J’ai essayé de garder bonne contenance lorsqu’on s’est quitté, mais j’en avais tellement gros sur la patate! Je me suis mis à chialer, à peine la porte refermée, si vous saviez...
Par la suite, je suis devenu autant passif qu’actif. J’ai connu d’autres mecs, plein d’autres mecs, des beaux, des mêmes très beaux, mais dont je n’ai jamais été amoureux, et jamais je n’ai connu un plaisir aussi fort, aussi démentiel depuis. Olivier, si jamais tu lis ces lignes...
Tout lire : http://www.gai-eros.org/w/index.php/Peut-on_mourir_de_plaisir%3F
ça se passe au lac du Verdon « Je répétais "Olivier, Olivier.. .”, sa pine toujours enfoncée en moi. j’ai joui comme jamais , en hurlant, agité de soubresauts incontrôlables je n’avais jamais connu un orgasme aussi dévastateur, jamais ça n’avait duré aussi longtemps»
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