Quand je me lève j'ai toujours la trique, quoi de mieux pour continuer dans cet état d'esprit que je t'envoyer quelques photos bien excitantes...
Fab
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1.Comment j’ai baisé mon neveu.
Mon beau frère a résidé pendant 20 ans en nouvelle calédonie.
Il y a un an il a rapatrié la France et s’est installé à 20 km de chez moi.
Nous nous sommes non seulement rencontrés mais j’ai découvert ma nièce de 28 ans et mon neveu de 26 que je ne connaissais pas.
C’est un superbe mec 1m 80 à la peau mate, cheveux courts rebelle, imberbe, le type look ados qui me fait
craquer.
Chaque fois que nous nous rencontrions je fantasmais sur son corps d’éphèbe et tentais d'imaginer comment son corps souple devait être doux.
Ses superbes yeux gris transperçaient le regard des autres.
En juin, j’étais au sauna avec Nicolas mon minou de 22 ans avec qui je partage de nombreux plans cul.
Nous étions devant la vidéo et Nicolas me suçait copieusement .
Furtivement je vis passer vers les douches un jeune mec qui ressemblait à mon neveu.
Après en avoir discuté avec Nicolas nous convenons de nous glisser prudemment vers les douches accolées au hammam. Depuis plusieurs semaines il n’y avait plus de lumière le noir était presque
complet.
Personne n’avait à redire à cette situation qui permettait aux timides de vivre des moments de baise anonyme.
Caché derrière mon petit Nicolas je contemplais le corps de ce beau mec de dos, le corps lisse, deux petites fesses fermes une silhouette longiligne avec des cheveux noir tombant sur la nuque.
Une beauté. Sous la pluie d’eau le bel éphèbe se retournait face à nous et je reconnu sans hésitation mon neveu.
Il frottait sa bitte avec le savon et nous ne pouvions ni Nicolas ni moi voir la dimension de son sexe.
Puis, mon neveu poussa la porte du hammam.
Avec Nicolas nous décidâmes de suivre sachant qu’il n’y aurait personne d’autre que nous trois.
Doucement, connaissant bien les lieux, Nico et moi avions repéré l’emplacement où se trouvait le neveu. Nous nous assîmes de part et d’autre puis, je sentais que Nicolas faisait une approche sur
le corps du neveu.
Comme je commençais à entendre les caresses et les baisés j’approchais ma main pour caresser le corps du neveu.
Comme je vous l’avais dit, sans poil mais des muscles fins et des pectoraux et abdominaux bien dessinés.
Comme je sentais mon éphèbe se tortiller de plaisir sous mes caresses, je glissais ma main à la rencontre de cette bitte nouvelle. Elle était petite 16/17 cm et de petit diamètre, les couillles
rasées et une couronne de poils courts entourant ce merveilleux organe.
Après toute l’approche nécessaire et y compris la possibilité de lui doigter le fion, ce que je ne me gênais pas de faire, je posais ma tête sur son ventre pour le sucer. Par des coups de rein il me fit comprendre que je pouvais sucer à fond qu’il aimait ça. Après quelques minutes de cet exercice mon neveu alerta « je jouis ! » je lui saisi les fesses pour empêcher qu’il se dégage. Il me lâcha de grande giclées de sperme dans le gosier dont je me délectais. Presque immédiatement après je m’éclipsais du hammam afin qu’il ne me reconnaisse pas. Nicolas continua à le doigter et il m’a même avoué avoir enculé mon neveu et que ce dernier aimait beaucoup ça et qu’il était expert.
Début juillet nous étions, Nicolas et moi, invités chez mon beau frère et dans la discussion j’annonçais que je
partait du jeudi au lundi d’après à Marseille pour suivre un projet.
Mon neveu me prit au mot « dit tonton je suis en vacances la semaine prochaine tu voudrais pas me faire visiter Marseille puisque tu y descend ? »
Comme c’était tout à fait possible j’acceptais bien qu’ayant précisé que je n’avais retenu qu’une chambre qu’il devrait partager avec moi.
A notre arrivée à l’hôtel, après 6 heures de voyage et un repas copieux, nous rejoignons notre chambre avec vue
sur la mer. Sur le balcon Je contemplais la ville pendant que mon neveu prenait une douche.
J’entendais l’eau couler et je me remémorais le corps que j’avais découvert au sauna. Bientôt, il vint me rejoindre torse nu avec une grande serviette de bain autour de la taille.
« Tonton, je me couche je suis crevé ! je me met à droite ou a gauche dans le lit ? »
Étant droitier je préférais le sentir à ma droite au cas ou nous pourrions transformer quelque chose.
« Après ma douche je m’approchais du lit où il était couche sur le dos sur les bras derrière la tête»
Je vis la serviette blanche au sol et lui demandais
»tu n’as pas de pyjama , »
« non jamais me dit il tu veux que je prenne un calcons ? »
« non mais moi non plus je ne porte rien la nuit alors fait attention a garder tes distances » nous avons bien rie puis éteint la lumière.
Nous étions tout les deux couchés sur le dos et quelques minutes après j’entendais sa respiration régulière.
Il se tournait et retournait dans le lit par mouvement brusque jusqu’au moment ou je sentis son corps près du mien, je sentais sa chaleur et sa jambe contre la mienne.
Dans un ultime mouvement mon neveu posa sa main gauche sur ma poitrine.
Dormait il ? bientôt je n’avais plus de doute , je sentais ses doigts glisser sur ma peau en une caresse furtive.
« Romain, tu dors ? je ne suis pas ta copine , c’est ton tonton qui est à coté de toi » « je sais me dit il « et sans hésiter il glissa sa main vers mon pubis puis sur ma queue qui commençais à gonfler. Tendrement il posait un baisé sur mon épaule puis glissait sa tête sous le drap en direction de ma bitte qui cette fois était tendus à mort. Je sentais sa langue sur mon corps puis la douceur de sa bouche qui enfournait ma queue. Putain que s’était bon ! « il me faisait une des meilleure pipe que je n’ai eu à subir… »
au bout de quelques minutes je sentais le flot de mon foutre prêt à gicler. « attention Romain je jouis » à ma surprise il ne se dégageait pas et avalait mon sperme crémeux avec de grand bruit de succion. Il sortit enfin la tête de dessous le drap et vint poser sa bouche pleine de jus sur mes lèvres. Nous partagions la semence jusqu'à la dernier goutte. Epuisé nous reprenions notre position sur le dos « putain Romain je ne m’attendais pas à cette surprise ! » sa réponse fut sans détour « tu crois que je ne t’avais pas reconnu au sauna ? j’avais vu Nicolas et je me doutais bien que c’était toi qui était avec lui ; »
Pendant toute la nuit Romain se blottit dans mes bras puis au matin je sentais sa main se diriger vers ma bitte et me masturber. Je ne tardais pas à bander comme un âne Alors Romain glissa un préservatif sur ma queue et me tournant le dos présentait sa rondelle vers la tête de ma pine. Il avait déjà pris les devant en s’enduisant le fion de gel aussi la pénétration fut simple et la baise d’enfer.
Lul
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2.
La fois ou... le père et le fils.
Je me présente TOMAS - 27 ans plutôt bi et très passif.
En recherche d'un plan cul un beau soir - je me connecte au site de rentre local. 22h heures - je reçois un message d'un mec hétéro cherchant une première expérience sexuelle avec un autre homme.J'y répond donc par la positive. 30 minutes plus tard après quelques détails sur le lieu de la rencontre me voilà parti à la rencontre de Fred. Une fois arrivée devant chez lui, et comme convenu dans nos échange, je vois un homme d'une bonne quarantaine d'année, bien foutu se diriger vers moi.... avec vêtu simplement d'un teeshirt laissant deviner un sexe de taille plus que respectable au repos. Présentation et politesse d'usage il m'invite à entrer chez lui sans faire de bruit car son fils dors dans la chambre d'à côté ( il faut dire que nous nous sommes vu dans le salon de la maison). Sans mot aucun il m'intime l'ordre de m'agenouiller et me présente son sexe encore au repos. Il me prend la tête et dirige sa queue vers ma bouche déjà bien ouverte. Une fois quelque coup de langue passé, voilà une queue des plus respectables qui se réveille 20 cm x 5 de largeur.... Que dire, un réel délice et régal pour les papilles. J'entreprend donc une longue fellation alternant une fellation douce et profonde en fond de gorge. Bon j'avoue assez difficile de ne pas s'étouffer avec un tel chibre au fond de la gorge. J'avais ce soir là un réel mâle avide de sexe devant moi. Il m'avait prévenu. Que je n'aurai pas mon mot à dire que si j'accepte ce rendez vous je serai sa chose le temps de deux heures.... et aimant les rapports de la sorte j'ai bien entendu accepté.
Donc je continue du mieux que je peux ma fellation - qui à le voir prendre son pied - se déroule à merveille, j'en ai oublié que son fils dormait à côté. Il ne m'en as guère dit plus, respectant sa demande de discrétion je n'ai pas poser de question...pensant qu'il s'agissait là d'un enfant en bas âge ( car père célibataire )- bref je me suis bien trompé .Il m'enlève les vêtements que j'ai et me demande de continuer à le sucer. Il prend alors place sur son canapé lit, déplié pour l'occasion. Je continu de plus belle (j'adore les belles queues) je sens sa main se diriger vers ma croupe que j'ai bien entendu fièrement redressée :p.... Je sens alors ses doigts se faufiler sur ma raie.... quel supplice pour moi. Tout en le suçant - je vois qu'il me tend ses doigts à lécher j'ai compris par la suite qu'il voulait simplement me les humidifier pour me les glisser et préparer le terrain. Un doigt très travailleur (il avait de gros doigt car travailleur manuel d'après ce qu'il a pu me dire) puis un second... pour ne pas faire de bruit car ce qu'il me faisait était juste trop bon j'ai continuer de le pomper.... Il m'arrête. Me dit qu'il va passer au chose sérieuse. Il me redresse sur son divan et me demande de me mettre à 4 pattes... Donc visage vers le couloir ( vers la chambre de son fils également) il frotte délicatement son sexe fièrement dressé dans ma raie... humm je n'ai qu'une envie qu'il me la mette... bref il me faudrait encore attendre un petit peu. Je le sens s'accroupir derrière moi.... et se rapprocher délicatement de ma rondelle ( que j'avais rendue lisse pour l'occasion)… puis y déposa sa langue chaude et gourmande....AHHHHHHHHHHHHH je ne tiendrai pas et il l'a compris. Il en jouer. Il m'a littéralement déguster avec réel plaisir.
Il se recule délicatement puis prend sur sa table basse un tube de gel lubrifiant et un préservatif qu'il déroule doucement sur cette colonne de chair qui ne va pas tarder à me transpercer :p. Je lui avait heureusement dit d'y aller doucement car j'était assez serré et étroit à ce niveau là. Il me dit simplement qu'il cherchait à baiser et pas à déchirer quoi que ce soit... je lui ai fait confiance. Le voilà donc queue raide, préservatif OK - gel OK, c'est parti pour l'action. Il se glisse doucement vers moi et me rappelle encore une fois de ne pas faire de bruit car son fils dors à côté je lui dit une fois de plus oui. Il me plaque donc le torse sur le divan pour que ma croupe soit la plus redressée possible.... m'écarte légèrement les cuisses pour qu'il puisse se mettre entre. Le voilà à quelque centimètre de moi.. je sens sa queue se poser doucement sur ma rondelle.. je le sens forcé déjà... il ne prend pas le temps. C'est assez douloureux mais il veut que le gland rentre. Il le sort, le rentre, le sort le rentre pour que ma rondelle soit déjà opérationnelle... Ouille ouille c'est un vrai mâle que j'ai là. Il me remet sa queue en place et d'un coup d'un seul se glisse jusqu'à la garde.... Je l'ai réellement senti. J'ai mordu le coussin que j'avais à mes côtés pour ne pas faire de bruit. Il m'a littéralement baiser. Il m'avait dit qu'il aimer baiser les "salopes" et qu'il aimait profiter pleinement d'un trou du mieux qu'il puisse. Bref il m'a littéralement démonter tout en alternant sodomie lente et profonde. J'ai pris mon pied - surtout qu'il était très endurant, plus d'une demi-heure de baise. Il me demande de me coucher sur le dos et de remonter mes cuisses pour qu'il puisse mieux me pénétrer. Je me retourne donc et me couche docilement et nous voilà reparti. A un moment en pleine action je sens un regard sur moi. Je regarde à gauche à droite et d'un coup je vois une silhouette dans le couloir... C'était son fils. Grand gabarit - je me suis bien trompé - il devait avoir 25/30 ans charmant...
Son père le regarde et lui dit qu'il a trouver la femelle qu'il cherchait pour se soulager.. Tout en continuant à me baiser. Il invita par la même occasion son fils à venir tester la marchandise. Ni une ni deux boxer au cheville queue raide direction ma bouche... C'était bien le fils de son père avec une queue de presque 20 cm et plus large... de belles couilles bien velues miam miam. Pendant que son père commença à me baiser plus fort son fils avait pris possession de ma bouche qu'il baisait également énergétiquement.. Je sentais Fred se contracter... tout en accélérant la cadence. Il sortit d'un coup et dit à son fils de lui laisser la bouche. Préservatif enlevé il s'est mis à se branler devant ma bouche et m'insultant de vide couille. Je lappais ce gland épais au dessus de ma bouche... d'un coup une rasade de 6 long jets de sperme bien épais m'atterrirent en pleine bouche hummmmmmmm que c'était bon.. j'adore le jus. Le père continue à se branler... et regarde son fils la queue raidit d'envie, lui dit de se soulager dans "ce cul de vide couille" ce que le fils fit sans tarder.
Un préservatif, sans gel pour mieux le sentir passé et me voilà reparti. Je n'en pouvais plus. Il me baisait tellement fort que j'en ai joui sans même m'être toucher. Un vrai baiseur - fidèle réplique de son père. J'adorais. Le père continuait à se faire sucer tandis que son fils me baiser. D'un coup, se retira et se mit à se branler. Le père me demanda de me mettre à genou devant eux... Son fils me largua le jus en plein visage pour remercier "la bonne salope" que j'avais était - le père qui n'avais pas débander me largua également une bonne giclée toujours aussi épaisse de jus. J'en avais partout. Ils me proposèrent alors un verre d'eau pour m'hydrater.
Fiers d'eux le père regarda son fils et en rirent. Ils me remercièrent d'avoir était ce soir là disponible et de leurs avoir pour la première fois prêter un cul de mec à baiser. Tant pour le père que pour le fils c'était une grande première puis me reconduirent vers la porte. Le fils me raccompagna à la voiture me remerciant encore d'avoir était là ce soir... que son père et lui étaient branché par un plan cul avec un mec mais qu'aucun d'eux n'avais souhaiter se lancer..... Il m'invita également à lui donner mon contact et qu'il ne manquerai pas de me rappeler pour me convier à de futurs soirées "NO TABOO".
A peine rentré chez moi je reçus un texto du fils ( Guillaume ) me demandant des test HIV récent car la prochaine étape qu'ils aimeraient... le NO KPOT - mais bon, ceci est une autre histoire ¤
Histoire vraie. Les avatars de présentation sont fictifs.
" pas facile d'être homo quand on est dans une petite ville , les rencontres intéressantes sont difficiles, ici tout le monde se connait, mais je crois que je me sens pas encore prêt à ce que le monde entier le sache et croyez moi les nouvelles vont vite ici !!, en plus le milieu homo est assez restreint, les homos que je connais ont l'air d'avoir tous couché ensemble, c frustrant "(lu sur un forum)
thème : ça a failli arriver ...plus ou moins on a tous eu des "ratages". Les raconter dans la rubrique "inventaire des possibles " ça fait du bien dans la tête. Tu es invité à commenter ou te raconter...
Au sauna en Avignon, un jour j'ai rencontré quelqu'un de ma connaissance . C'est un serveur que je voyais au café entre 13 et 14h à la ville voisine où je bosse. Je suis un client discret et ordinaire de l'établissement. Ce n'était donc pas à Cavaillon où je réside. Peut-être me doutais-je déjà qu'il est gay ? Nous les "PD" nous avons un 6e sens ! et en ce cas, lui en a autant au service des gens qu'il rencontre. Je mentirais si je vous disais que je ne le lorgnais pas un peu. J'aimais le voir bavarder avec certains clients.
"- Bonjour, un café svp !" notre conversation, souriante certes, s'en est toujours tenue là.
Un jour cependant, lui, assez distant d'habitude, après m'avoir servi, ou pris ma commande, il s'est éloigné en bougeant les fesses d'une manière sans équivoque. Donc ce gars-là m'a dragué. A ce moment-là j'ai pensé qu'il avait cherché à m'allumer sans suite, mais est-ce qu'on sait jamais ce qui se passe dans une tête? Ca pouvait aussi bien vouloir dire : "- oui, je suis homo, ça choque ta mentalité de petit bourgeois, tant mieux" aussi bien que "- si tu veux me baiser il va falloir que tu te découvres et que tu me fasses des avances". Moi, mon métier en clientèle dans cette ville, ne me permet pas de me découvrir à ce point. Les ruraux, surtout certains, ont plein de préjugés et ne font pas d'affaires avec les homos. Il chantonnait en revenant me servir ou encaisser. S'il a fait tout ce cinéma c'est qu'il s'est informé sur mon compte ! Moi je l'ai ignoré. Pas possible d'en faire plus, surtout ici et si le gars risquait de perdre toute notion de limites et ainsi me "griller" dans mon environnement socio- professionnel. Les choses en restèrent là, même si je pouvais constater qu'une brèche était ouverte dans sa carapace de garçon de café.
Une après-midi au sauna, rue Portail Magnanen à Avignon, resté seul en attendant qu'un inconnu entre, j'étais dans une des rest-rooms si faiblement cloisonnées qu'on entend tout. Mes voisins faisaient bruyamment et tempêtueusement l'amour dans la "case" à côté. Ca ne pouvait qu'être excitant. j'avoue que j'aurais bien aimé participer. Après les gémissements et les hoquets de plaisir, un certain calme revenu, une conversation s'instaura entre les amants. Je vous accorde que cela devenait indiscret. L'un était irlandais, étudiant ici, l'autre déclina son âge, sa ville, son boulot. Je ne pouvais que découvrir avec stupéfaction que c'était "mon" serveur. Tout y passait dans cette conversation, ses "haines", ses désirs d'évasion d'aventures ..., de voyages. tout vous dis-je. L'irlandais déversa classiquement sa légitime haine des anglais.
Sentant bien qu'ils allaient sortir pour aller aux douches, sans éviter de me faire voir, je les suivis, voulant vérifier si mes oreilles ne m'avaient pas trompé. Qu'il était beau tout nu ! L'irlandais aussi. Deux beaux corps, deux beaux sexes maintenant flaccides. J'ai, moi aussi pris une douche.
On se regarda dans les yeux. Ah, faiblesse ! Me suis-je permis un clignement, une interrogation du regard ? Il fit celui qui dit : "- je ne vous connais point monsieur, passez, je vous prie. "
Même pour moi c'était mieux. Et au café, dans la suite, on est resté toujours aussi distants. Si, par moments, je l'ai regretté, je me suis toujours dit qu'une liaison avec ce garçon n'était pas raisonnable pour ma vie professionnelle dans cette ville.
Inventaire des possibles :
et si, prenant acte de cette rencontre au sauna il s'était risqué à partager un café, un jour avec moi, me titiller avec des regards entendus et concupiscents ??? Ou, le jour-même de cette rencontre inopinée, attendre que son partenaire d'un moment soit parti pour se faire une partie à deux au sauna où nous étions. Je pousse le paradoxe plus loin : même en faisant semblant de ne pas se reconnaître !
Eh bien j'aurais cédé. J'en suis sûr. J'aurais aimé partager sa chambrette et même ses jeunes amants...c'est un phantasme qui me reste en mémoire.
On a, croyez-moi, trop joué les "culs serrés" chacun de notre côté... et pourtant, à son insu, il me l'avait bien prouvé que le sien était ouvert comme l'arc de triomphe de la porte d'Aix à Marseille !
Je n'ai aucun conseil à donner. Je ferai plutôt une remarque : en quelques années les temps ont bien changé ! Heureux les tout jeunes homos !
Je crois qu par ces temps-ci on peut les encourager à avoir une vraie vie : ce sont eux qui "enfonceront le clou" de l'égalité et du libre choix
Bien sûr il faut balayer les souvenirs encombrants, dans ce cas précis c'est plus facile que les séparations douloureuses.¤
Le prochain post "Comment j'ai baisé mon cousin" reprend ce thème sous forme de récit "réel merci de votre attention .
et dire qu'au départ t'étais pas sûr de vouloir (épisode complet)
te laisser prendre
et là tu ne voudrais plus que ça s'arrête !
toujours prêt à recommencer !
Assemblé par claudio
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