Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 23:20

 -> INVENTAIRE DES POSSIBLES  

une recherche amoureuse qui risquait bien d'être déçue...

 

germain garcia,kiné,gay,homo

 

    Le Kiné de mes rêves. 

Avant hier, ma première séance de kiné. J'avais cherché sur les pages jaunes un cabinet tenu par un homme, un reflexe. Quand j'ai téléphoné monsieur X m'a annoncé qu'il ne pouvait pas me donner de rendez-vous avant trois semaines. J'ai raccroché après avoir répondu que je réfléchirai et le rappellerai et après m'être rendu à l'évidence que tous les autres cabinets étaient tenus par des femmes, je me suis rabattu sur le plus proche de chez moi, mais qui avait l'intérêt d'employer deux autres kinés (!). J'ai appelé et après avoir épluché son agenda, elle m'a donné un rendez-vous pour le jour même.

 

Assis dans une petite pièce, j'attendais mon tour en écoutant deux mégères qui parlaient de leur mari comme d'animaux de compagnies. Devant son vieux bonhomme appuyé sur sa canne, l'une demandait à l'autre avec le timbre d'une marchande poisson :
"et toi tu le sors de temps en temps ?"
"Oh oui, sinon il resterait toujours à la maison, alors je l'emmène faire un tour !"
"Ba… moi c'est pareille !".

 

J'étais abasourdi, les tympans percés ; sidéré devant ces deux femmes qui semblaient avoir attendues le dernier tournant de leur vie pour prendre leur revanche sur leur mari devenu enfin vieux, impotent, quand un jeune homme s'est présenté dans la salle d'attente. C'était, trait pour trait, le garçon que j'avais imaginé en parcourant les pages jaunes à la rubrique des kinésithérapeutes. De taille moyenne, les yeux pétillants, le visage souriant et avec dans ses gestes "un je ne sais quoi", qui me mit aussitôt en confiance. J'ai levé les yeux vers lui, nous nous sommes regardés, puis il a invité une femme assise en face de moi à le suivre et quand la porte s'est refermée sur eux, j'ai maudit la terre entière.

 

Puis une jeune femme à lunette s'est présentée et m'a appelé, je l'ai suivi à travers un couloir en tournant la tête de tous côtés, mais point de jeune homme. Elle m'a fait assoir et m'a posé tout un tas de questions auxquelles je répondais en prenant tout mon temps, espérant que le beau gosse ferait une apparition. En vain.

 

Ensuite elle m'a fait entrer dans une pièce où je me suis mis en slip. Elle m'a ausculté en me posant quelques questions convenues, m'a demandé de m'allonger sur un lit, a baissé mon slip, a identifiés du bout de ses doigts experts les points de contractures, puis tout en me faisant un rapide résumé de l'état désastreux de mes lombaires, m'a enduit le bas du corps d'un liquide doux et tiède et s'est mise à me masser le bas des reins puis les fesses, comme si elle pétrissait une boule de pâte.
La tête dans l'oreille les bras repliés sous mon visage, je pensais : "pas de chance, pourquoi mon nom ne s'est pas retrouvé en face du jeune kiné dans le carnet des rendez-vous !" Et à chaque fois que les doigts de cette femme s'enfonçaient sur un point douloureux en me demandant : "Et là ça vous fait mal ?", je serrais les dents pour ne pas rire, m'imaginant sur la béquille répondant au jeune kiné : Oh oui! Oui! Vas y continue !

 

Après la séance, dans le bureau où l'on reçoit les patients pour leur fixer un prochain rendez-vous, le jeune homme s'est pointé, enfin. Ce que j'ai vu en premier ce sont ses bras jeunes et musclés, couverts de poils fins et sombres, peignés dans le même sens comme s'il venait de les lisser. Je le dévorais du regard au point qu'il s'en est aperçu et comme pour répondre à mon insistance, m'a décoché un "bonjour". Après quoi il est reparti. Alors j'ai demandé à la kiné : "j'aurai toujours affaire à vous ?". Il venait de me traverser l'esprit que, peut être en fonction du carnet de rendez-vous, on pouvait avoir affaire à un autre kiné du cabinet. Mais d'un ton qui se voulait rassurant, elle m'a répondu à mon plus grand désarroi : oui bien sûr, à moins que je sois malade… Alors je me suis mis à penser à toutes sortes de maladies.

 

En sortant du cabinet j'ai regardé les plaques sur le mur. L'une d'elles portait un prénom masculin. Germain... En marchant je répétais: "Germain X, Germain X, Germain, pour graver son nom dans ma tête. Pourtant, arrivé chez moi, Germain était devenu Damien, alors quand j'ai fait une recherche sur le net je n'ai rien trouvé. Le lendemain, au bureau, j'ai pensé à lui toute la journée mais comme je ne parvenais pas à me souvenir de son nom et que le cabinet n'est pas à lui, une recherche sur google avec pour mots clefs kiné et le "nom de ma ville" ne me renvoyait rien qui lui ressemble.

 


Je ne m'explique toujours pas pourquoi je n'ai pas eu plus tôt l'idée de sortir la carte de rendez-vous qui était restée dans la poche de mon blouson, celui que j'avais enfilé le matin en partant travailler. Peut être parce que je pensais à tort qu'il n'y figurait que le nom de la kiné à lunettes qui s'était occupé de moi, pas ses employés.
Le soir, en rentrant chez moi la touche message de mon répondeur clignotait. Je me suis douté que c'était la kiné celle qui m'avait si bien pétri les fesses que je me sentais déjà mieux, qui m'avait rappelé. Je lui avais demandé, si une place se libérait plus tôt que le rendez-vous qu'elle m'avait fixé dans huit jours, de me le faire savoir. C'est à ce moment là que je me suis souvenu de la carte. Je l'ai sortie et j'ai trouvé ce nom que j'avais essayé en vain de retrouver en fouillant dans ma mémoire de piaf.
Après une rapide recherche sur le net, j'avais une photo de lui, je connaissais son âge : une petite trentaine d'années, les pays où il a voyagé : l'Inde, l'Australie, que c'était un sportif, les établissements scolaires qu'il a fréquentés de la maternelle jusqu'à ses études de Kiné à Paris, mais aussi, au milieu de ces renseignements pour certains, très peu romantiques comme son numéro Siret, qu'il était célibataire et habitait à quelques pas de chez moi. Mais passé le premier moment d'euphorie, je sentais combien, tous ces renseignements, que l'on peut trouver aujourd'hui devant son clavier en quelques clics, n'agissaient que comme un miroir aux alouettes, et rompant le charme, dévoilant trop crument ce garçon, ne contribuaient finalement qu'a m'éloigner de lui. L'internet, contrairement à ce qu'affirment certains, ne rapproche pas les gens, mais bien au contraire, nous renvoie à une solitude plus définitive encore.

 

Ce matin, je me suis décidé à composer le numéro du cabinet pour décliner le rendez-vous qu'elle me proposait, le jour même, mais trop tard pour moi. Au bout de quelques sonneries une petite voix masculine, posée et douce m'a répondu. C'était Germain ! Je ne saurais l'expliquer mais ça ne m'a pas étonné de tomber sur lui, je crois même qu'au fond je m'y attendais un peu. Une prémonition peut être. Comme si, à force de penser à quelqu'un on finissait par provoquer le hasard. Je lui ai expliqué en bafouillant, la raison de mon appel et à mon plus grand regret il m'a passé sa collègue, la kiné à lunettes.
En fin d'après-midi je me suis décidé à sortir de ma tanière. Je voulais passer à la pharmacie pour commander mon prochain traitement et acheter du pain. Le traitement était un prétexte et le pain, pareil. En chemin je suis passé dans sa rue. A l'adresse que j'avais trouvée en face de son nom dans l'annuaire, s'élevait une petite bicoque aux murs gris entourée d'un jardin à l'abandon et sur la boite aux lettres était collée une vieille étiquette avec inscrit le nom d'une femme à consonance étrangère. Ainsi tout ce que j'ai appris sur lui en parcourant le net, n'a fait qu'effacer cette part de mystère qui l'entourait et qui en d'autres temps m'aurait permis de rêver ce soir encore sur ce garçon au regard pétillant.

 

 

Avant hier, ma première séance de kiné. J'avais cherché sur les pages jaunes un cabinet tenu par un homme, un reflexe. Quand j'ai téléphoné monsieur X m'a annoncé qu'il ne pouvait pas me donner de rendez-vous avant trois semaines. J'ai raccroché après avoir répondu que je réfléchirai et le rappellerai et après m'être rendu à l'évidence que tous les autres cabinets étaient tenus par des femmes, je me suis rabattu sur le plus proche de chez moi, mais qui avait l'intérêt d'employer deux autres kinés (!). J'ai appelé et après avoir épluché son agenda, elle m'a donné un rendez-vous pour le jour même.

Assis dans une petite pièce, j'attendais mon tour en écoutant deux mégères qui parlaient de leur mari comme d'animaux de compagnies. Devant son vieux bonhomme appuyé sur sa canne, l'une demandait à l'autre avec le timbre d'une marchande poisson :
"et toi tu le sors de temps en temps ?"
"Oh oui, sinon il resterait toujours à la maison, alors je l'emmène faire un tour !"
"Ba… moi c'est pareille !".

J'étais abasourdi, les tympans percés ; sidéré devant ces deux femmes qui semblaient avoir attendues le dernier tournant de leur vie pour prendre leur revanche sur leur mari devenu enfin vieux, impotent, quand un jeune homme s'est présenté dans la salle d'attente. C'était, trait pour trait, le garçon que j'avais imaginé en parcourant les pages jaunes à la rubrique des kinésithérapeutes. De taille moyenne, les yeux pétillants, le visage souriant et avec dans ses gestes "un je ne sais quoi", qui me mit aussitôt en confiance. J'ai levé les yeux vers lui, nous nous sommes regardés, puis il a invité une femme assise en face de moi à le suivre et quand la porte s'est refermée sur eux, j'ai maudit la terre entière.

Puis une jeune femme à lunette s'est présentée et m'a appelé, je l'ai suivi à travers un couloir en tournant la tête de tous côtés, mais point de jeune homme. Elle m'a fait assoir et m'a posé tout un tas de questions auxquelles je répondais en prenant tout mon temps, espérant que le beau gosse ferait une apparition. En vain.

Ensuite elle m'a fait entrer dans une pièce où je me suis mis en slip. Elle m'a ausculté en me posant quelques questions convenues, m'a demandé de m'allonger sur un lit, a baissé mon slip, a identifiés du bout de ses doigts experts les points de contractures, puis tout en me faisant un rapide résumé de l'état désastreux de mes lombaires, m'a enduit le bas du corps d'un liquide doux et tiède et s'est mise à me masser le bas des reins puis les fesses, comme si elle pétrissait une boule de pâte.
La tête dans l'oreille les bras repliés sous mon visage, je pensais : "pas de chance, pourquoi mon nom ne s'est pas retrouvé en face du jeune kiné dans le carnet des rendez-vous !" Et à chaque fois que les doigts de cette femme s'enfonçaient sur un point douloureux en me demandant : "Et là ça vous fait mal ?", je serrais les dents pour ne pas rire, m'imaginant sur la béquille répondant au jeune kiné : Oh oui! Oui! Vas y continue !

Après la séance, dans le bureau où l'on reçoit les patients pour leur fixer un prochain rendez-vous, le jeune homme s'est pointé, enfin. Ce que j'ai vu en premier ce sont ses bras jeunes et musclés, couverts de poils fins et sombres, peignés dans le même sens comme s'il venait de les lisser. Je le dévorais du regard au point qu'il s'en est aperçu et comme pour répondre à mon insistance, m'a décoché un "bonjour". Après quoi il est reparti. Alors j'ai demandé à la kiné : "j'aurai toujours affaire à vous ?". Il venait de me traverser l'esprit que, peut être en fonction du carnet de rendez-vous, on pouvait avoir affaire à un autre kiné du cabinet. Mais d'un ton qui se voulait rassurant, elle m'a répondu à mon plus grand désarroi : oui bien sûr, à moins que je sois malade… Alors je me suis mis à penser à toutes sortes de maladies.

En sortant du cabinet j'ai regardé les plaques sur le mur. L'une d'elles portait un prénom masculin. Germain... En marchant je répétais: "Germain X, Germain X, Germain, pour graver son nom dans ma tête. Pourtant, arrivé chez moi, Germain était devenu Damien, alors quand j'ai fait une recherche sur le net je n'ai rien trouvé. Le lendemain, au bureau, j'ai pensé à lui toute la journée mais comme je ne parvenais pas à me souvenir de son nom et que le cabinet n'est pas à lui, une recherche sur google avec pour mots clefs kiné et le "nom de ma ville" ne me renvoyait rien qui lui ressemble.


Je ne m'explique toujours pas pourquoi je n'ai pas eu plus tôt l'idée de sortir la carte de rendez-vous qui était restée dans la poche de mon blouson, celui que j'avais enfilé le matin en partant travailler. Peut être parce que je pensais à tort qu'il n'y figurait que le nom de la kiné à lunettes qui s'était occupé de moi, pas ses employés.
Le soir, en rentrant chez moi la touche message de mon répondeur clignotait. Je me suis douté que c'était la kiné celle qui m'avait si bien pétri les fesses que je me sentais déjà mieux, qui m'avait rappelé. Je lui avais demandé, si une place se libérait plus tôt que le rendez-vous qu'elle m'avait fixé dans huit jours, de me le faire savoir. C'est à ce moment là que je me suis souvenu de la carte. Je l'ai sortie et j'ai trouvé ce nom que j'avais essayé en vain de retrouver en fouillant dans ma mémoire de piaf.
Après une rapide recherche sur le net, j'avais une photo de lui, je connaissais son âge : une petite trentaine d'années, les pays où il a voyagé : l'Inde, l'Australie, que c'était un sportif, les établissements scolaires qu'il a fréquentés de la maternelle jusqu'à ses études de Kiné à Paris, mais aussi, au milieu de ces renseignements pour certains, très peu romantiques comme son numéro Siret, qu'il était célibataire et habitait à quelques pas de chez moi. Mais passé le premier moment d'euphorie, je sentais combien, tous ces renseignements, que l'on peut trouver aujourd'hui devant son clavier en quelques clics, n'agissaient que comme un miroir aux alouettes, et rompant le charme, dévoilant trop crument ce garçon, ne contribuaient finalement qu'a m'éloigner de lui. L'internet, contrairement à ce qu'affirment certains, ne rapproche pas les gens, mais bien au contraire, nous renvoie à une solitude plus définitive encore.

Ce matin, je me suis décidé à composer le numéro du cabinet pour décliner le rendez-vous qu'elle me proposait, le jour même, mais trop tard pour moi. Au bout de quelques sonneries une petite voix masculine, posée et douce m'a répondu. C'était Germain ! Je ne saurais l'expliquer mais ça ne m'a pas étonné de tomber sur lui, je crois même qu'au fond je m'y attendais un peu. Une prémonition peut être. Comme si, à force de penser à quelqu'un on finissait par provoquer le hasard. Je lui ai expliqué en bafouillant, la raison de mon appel et à mon plus grand regret il m'a passé sa collègue, la kiné à lunettes.
En fin d'après-midi je me suis décidé à sortir de ma tanière. Je voulais passer à la pharmacie pour commander mon prochain traitement et acheter du pain. Le traitement était un prétexte et le pain, pareil. En chemin je suis passé dans sa rue. A l'adresse que j'avais trouvée en face de son nom dans l'annuaire, s'élevait une petite bicoque aux murs gris entourée d'un jardin à l'abandon et sur la boite aux lettres était collée une vieille étiquette avec inscrit le nom d'une femme à consonance étrangère. Ainsi tout ce que j'ai appris sur lui en parcourant le net, n'a fait qu'effacer cette part de mystère qui l'entourait et qui en d'autres temps m'aurait permis de rêver ce soir encore sur ce garçon au regard pétillant.

 

 

 

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 11:47

c'était avant que la mode soit au rasage intégral... quand fourrer voulait encore dire fourrer...

 Classé dans la catégorie DECONNE HUMOUR FUN

 

 

 

 

twilightshadewolf: Pinned by jailbird

 

 

 

furrytraps: Helloooo nurse!

 

 

 

absolutsauce: Those job interviews… Just so taxing sometimes.

 

magnus-thinks-up-a-clever-name: Watching.. Waiting - by Iggi

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 11:01
on est libres on ose...ENJOY ! 
 1.
 Description: Two sinfully football player gays sucking their monster dicks and fucking their sexy buttholes These naughty young twinks enjoy smashing their mouths and asses with their giant dicks
 
  2.
 Description: Ultra sexy young twink getting sexy asshole drilled deep by a gigantic pecker from behind This lustful gay enjoy sucking that massive prick and getting that asshole smashed deep
 3.
 Description: Three awesome gays sucking their massive schlongs and screwing their sexy assholes in the bedroom Watch these sinfully gays screwing their sexy butts in doggy style position
4.
 A big dick +a big dildo for his ass
 5.
 Ass rimming & sperm swallowing
 
 
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 01:12

 >Pour clôturer notre journée massage, rien que pour tes yeux. Afin qu'ils impriment au fond de leurs rétines ces mouvements qui, j'espère, peupleront ta nuit avec moi
     




Et demain matin pour nettoyer nos pollutions nocturnes, on se lavera mutuellement sous un jet d'eau chaude




De doux rêves mon Claudio Je t'aime 

Ton Fab
Pour clôturer notre journée massage, rien que pour tes yeux. Afin qu'ils impriment au fond de leurs rétines ces mouvements qui, j'espère, peupleront ta nuit  avec moi  





Et demain matin pour nettoyer nos pollutions nocturnes, on se lavera mutuellement sous un jet d'eau chaude




De doux rêves mon Claudio Je t'aime

Ton Fab

   

 

Classé dans la catégorie  INVENTAIRE DES POSSIBLES

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 avril 3 17 /04 /Avr 22:18

je vous avais promis ces photos suggestives du net. Enjoy !

à retrouver en archives PHOTOS SERIES thématiques ou en mélange

mobicpl65559: My wife & I both do

Souvent, la première occasion se présente comme cela : "parce que..." "et ça va pas durer!"

Young bi married swinger posting about real life experiences, some original content and reblogs with a fetish for pregnancy, swinging, and bi sex and creampies. Follow me at http://missedtherapy.tumblr.com/ 

On peut se borner aux rêves, aux souvenirs, se masturber...

hotnaked8: Morning wood ;) Young bi married swinger posting about real life experiences, some original content and reblogs with a fetish for pregnancy, swinging, and bi sex and creampies. Follow me at http://missedtherapy.tumblr.com/

>ou aller en catimini au club libertin en s'imisçant  dans les couples

 xxasweetescapexx: europeanswinger: More group sex images for you. Enjoy amateur swingers’ pics! Looks like a lot of fun Young bi married swinger posting about real life experiences, some original content and reblogs with a fetish for pregnancy, swinging, and bi sex and creampies. Follow me at http://missedtherapy.tumblr.com/

>

I love swinging with other couples 4sums are the best..

 

Voyager...

swingersdreams: (via TumbleOn)Mais on irait beaucoup moins loin :
[...] Et si tu me tiens bien la main,
Je te reparlerai d'amour.
Ce soir il me vient des idées,
Ce soir il me vient des idées. (Michel Sardou)

Echange équitable  :

And then we switch, for a little sporty session… :)

After that, Madame is fucked by our boyfriend while Monsieur is fucking our girlfriend, watching each other…

 

v viens avec moi elles n'ont pas besoin de nous 

 

pregnantnude: Pregnant NudesMore pregnant pussy right here! Young bi married swinger posting about real life experiences, some original content and reblogs with a fetish for pregnancy, swinging, and bi sex and creampies. Follow me at http://missedtherapy.tumblr.com/<là, pas question en ce moment ; et entre garçons tu crois que c'est tromper ?  v certains vont au sauna gay

swingerspics: http://swingerspics.tumblr.com/   et les idées nous hantent  So is this even close to a night in with you guys? lol sirbknight: BDSM and so much more…if you dare!    alexasmaster: Hmmmm i had a great Saturday! Hope you all did too! ;)

 

incestdreams: Daddy says that I suck his cock better than mommy does   interestsofmax: As we got older, it was harder and harder to find time at our house or at my cousins, so we did road trips. Just me, my brother and our cousin, and a weekend of fucking. quelquefois le "pli" est pris, définitif !  "me voilà hétéro avec ma femme et gay avec les garçons"  Et ça va durer une vie !

 

 chelseabanker: Working his way down Young bi married swinger posting about real life experiences, some original content and reblogs with a fetish for pregnancy, swinging, and bi sex and creampies. Follow me at http://missedtherapy.tumblr.com/      What could be the best valentine’s day present for Madame? Maybe a naughty couple&#8230; To swing and switch with them!

 

 

&#8230; Or maybe we will seduce another naughty couple&#8230;

 

We hope we&#8217;ll be able to meet again our couple friends A &amp; M!&#8230; For a very naughty evening&#8230;

 

And so, Madame is out toy&#8230;

 

 

 

 

swingersdreams: exhibitionistwife: Exhibitionist Wife (via TumbleOn)

 

This is what I want. A thick dick pounding her while I lick her clit. st8guy4mf: mmf or mff?

 

My tongue on her clit while a thick dick fills her pussy - and then I would get the creampie. tonyd1509: The perfect spot for my tongue — but I’d have my face buried there. (Sorry it’s a little fuzzy.)

 

This would be awesome.

 

Something I just love to do

 

latinfever: Fucklicking

 

 

Power cock

 

  Madame wanna see a hard cock going deep inside him&#8230; She know how much he will love it!

Madame wanna see a hard cock going deep inside him… She knows how much he will love it!

 

Monsieur will have to obey, and suck this wet cock&#8230; until the end!

Monsieur will have to obey, and suck this wet cock… until the end!

Monsieur wanna watch her being banged hard by our 2 naughty friends!  Madame loved to watch Monsieur while he was banging A like that&#8230;  What could be the best valentine’s day present for Madame? Maybe a naughty couple&#8230; To swing and switch with them!

 

L'essentiel c'est que chacun reparte content et prêt à recommencer une prochaine fois

 

Tu vois bien que tu n'as pas encore découvert tous les plaisirs potentiels..."je les vaux bien" !

Confie-toi, on est enfamille

claudemodou@gmail.com

LES COMMENTAIRES SONT OUVERTS A TOUS LES VISITEURS

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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  • : 15/12/2012

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  • claudio
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  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

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