on a corrigé son manque
Plan prémédité en camping
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on a corrigé son manque
Plan prémédité en camping
je n'en partirais plus
...et toi ? pub diffusee par google sur son moteur de recherche
je pense que seul le cul permet comme ça de s'envoler
On nous ecoute de loin...
je ne suis pas seul
Réponds-moi, je te demande Comment pour nous tout ça finira ?
Il y a sous nos caresses
Des points de suspension ....
En 1979, Dalida aborde une nouvelle fois le thème de l'homosexualité avec "Depuis qu'il vient chez nous". Cette nouvelle chanson raconte l'histoire d'un homme qui a du refouler son homosexualité et construire sa vie avec une femme. Les années passent et tous deux se retrouvent dans l'impasse car l'homme ne peut éternellement cacher sa réelle orientation. Le phénomène est hélas fréquent et peut alors briser une famille entière. Si seulement chacun pouvait vivre sans se cacher de quoi que ce soit, ce genre de situations inconfortables ne se produirait pas.
Le 12 mai 1979, les Carpentiers consacrent un numéro 1 à Dalida qui dévoile le contenu de son dernier album "Dédié à toi", avec entre-autres "Depuis qu'il vient chez nous".
Dalida chez les Carpentiers.
...[Des brumes équivoques
Aux yeux d'adolescence
Ont posé leur brouillard
Sur notre intimité
Dieu, que l'on a changé
Depuis qu'il vient chez nous {x2}]
Bisex ! on vous a écrit des chansons :
Chronique: Lorsque Dalida dénonce l'homophobie
Publié le 19 Décembre 2014 par Dylan V. Sansonnens
Concernant l'homosexualité, les mentalités en Occident ont heureusement quelque peu évolué à l'aube du XXIe siècle et bon nombre de couples gays peuvent désormais concrétiser une relation au grand jour. Il ne faut cependant pas oublier que dans d'autres régions du monde l'homosexualité est encore condamnée. On ne choisit pas de naître homosexuel, et Dalida l'avait très bien compris ! En 1972, Dalida traite de ce sujet encore tabou en France dans l'une de ses chansons : "Pour ne pas vivre seul".
"Des filles aiment des filles, et l'on voit des garçons épouser des garçons".
La communauté gay s'attache dès lors à Dalida, qui représente à ses yeux la femme par excellence, glamour, émouvante, talentueuse, tolérante. Le sujet est d'autant plus sensible pour la chanteuse qu'une importante sphère gay l'entoure : Pascal Sevran ou Bertrand Delanoé par exemple.
C'est sans doute pendant la période disco que la facette "icône gay" prend encore plus d'ampleur chez Dalida. Ses tenues réalisées par les plus grands couturiers et certains de ses hits diffusés en discothèque à l'instar de "Monday Tuesday" ou "Génération 78" font un tabac auprès de la communauté homosexuelle.
NOTES : Pour ne pas vivre seul
On vit avec un chien
On vie avec des roses
Ou avec une croix
Pour ne pas vivre seul
On s'fait du cinéma on aime un souvenir
Une ombre, n'importe quoi
Pour ne pas vivre seul
On vit pour le printemps et quand le printemps meurt
Pour le prochain printemps
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul, de ne pas vivre seul
Pour ne pas vivre seul des filles aiment des filles
Et l'on voit des garçons épouser des garçons
Pour ne pas vivre seul
D'autres font des enfants des enfants qui sont seuls
Comme tous les enfants
Pour ne pas vivre seul
On fait des cathédrales où tous ceux qui sont seuls
S'accrochent à une étoile
Pour ne pas vivre seul
Je t'aime et je t'attends pour avoir l'illusion
De ne pas vivre seul
Pour ne pas vivre seul on se fait des amis
Et on les réunit quand viennent les soirs d'ennui
On vit pour son argent, ses rêves, ses palaces
Mais on n’a jamais fait un cercueil à deux places
Pour ne pas vivre seul
Moi je vis avec toi je suis seule avec toi tu es seul avec moi
Pour ne pas vivre seul
On vit comme ceux qui veulent se donner l'illusion
De ne pas vivre seul.
merci
souvenir de Pascal Sevran
Pascal Sevran
visitez avec plaisir la rubrique La chance AUX CHANSONS
je répète : les musicos nous font la vie belle !
commentaire : " Diva archi populaire, Dalida n'en demeure pas moins l' une des chanteuses les plus mal-estimées du Music-Hall français.
Ses apparitions dans les shows télévisés des années 80, star toute en paillettes, parfois au sommet du kitsh et acquise à la chanson prétendue " facile " , ont frappé jusqu'à aujourd'hui les
esprits et les rétines ...
Mais c'est faire preuve de dédain un peu trop rapide que de réduire Dalida à cela.
En trente années de chansons, soit plus de mille titres, " la Pharaonne de la Chanson française " ( dixit Charles Trenet ), creusa en paroles, en mélodies, en images et en émotions, le sillon
d'une richesse à plus d'un titre époustouflante.
C'est cet Univers majuscule que je veux partager avec vous."(azaldazur skyrock)
Maintenant que j’y suis, pas question de rebrousser chemin, je me sens prêt à renouveler mes
précédentes expériences.
J’avance doucement vers le mec, la quarantaine sportive, élancé, costaud, et je remarque de suite à sa main gauche la présence d’une alliance. Ce
détail me rassure.
Je suis maintenant face à lui, il me dit bonjour en souriant, et approche de suite sa main de la bosse qui commence à se former dans mon pantalon.
Il me caresse l’entrejambe et moi j’aventure ma main sur le renflement de son jogging. Je sens très nettement un membre déjà bien en éveil que j’ai hâte de mieux voir et de mieux palper. Je
m’enhardis donc et glisse ma main dans son jogging, cherchant la lisière du caleçon pour m’y introduire et prendre en main le membre tiède qui palpite.
Ma main maintenant dans le caleçon prend la mesure de ce qu’elle tient, un beau membre de taille respectable et déjà bien ferme, je la glisse plus
bas pour soupeser deux belles couilles qui me semblent bien pleines vu leur volume.
Le type descend alors son jogging en accompagnant le caleçon dans le mouvement, son beau morceau de chair rose libéré de toutes contraintes se
dresse maintenant fièrement devant lui et surtout devant moi. Le gland est bien marqué, complètement décalotté et violacé, je m’empresse de reprendre en main cette bite à ma disposition et
commence quelques va-et-vient d’une main enveloppante. La peau de son sexe est douce et le plaisir que donne ma main est perceptible sur le visage de mon partenaire.
Ses mains s’occupent maintenant de ma boucle de ceinture, font sauter les boutons de mon pantalon qui tombe à mes pieds, me laissant en slip. Ce
dernier ne reste pas longtemps en place puisqu’il est descendu dans la foulée par des mains qui décident ensuite de s’occuper de mon attirail. Je bande aussi déjà fermement, et la caresse qu’il
me prodigue me fait trembler tant j’éprouve de plaisir et d’excitation dans cette situation particulière.
Nous sommes là tous les deux, pantalons et slips au bas des jambes à s’occuper mutuellement de nos bites, tout à notre plaisir mutuel. Sa verge
mouille légèrement, une goutte de liquide translucide perle du méat, et je l’étale de ma main sur le gland qui brille alors.
Une de ses mains quitte mes couilles pour m’appuyer sur l’épaule de manière à me faire comprendre qu’il attend plus de moi qu’une simple petite
branlette. Je comprends de suite le message et je me penche alors en avant de manière à prendre en bouche cette friandise. J’approche mes lèvres de sa bite, elle sent bon l’eau de toilette et
j’apprécie de m’occuper de cette bite bien propre. Je caresse le gland de ma langue et j’ouvre ensuite la bouche pour avaler son membre raide comme un bout de bois. Une main sur ma nuque, il
guide le mouvement de ma bouche en poussant de légers soupirs à chaque mouvement de ma bouche, pendant que son autre main me caresse le dos, me faisant frissonner.
C’est alors qu’une main me caresse les fesses avec douceur et qu’un doigt fureteur s’aventure entre elles. Ce n’est qu’après quelques secondes que
je comprends que cette main ne peut appartenir à celui que je suce, sauf à en avoir trois et ça ne passe pas inaperçu !
Tournant légèrement la tête mais sans lâcher le sexe que j’avale de mon mieux, je constate qu’un troisième larron s’est joint à nous et qu’il s’agit
vraisemblablement du deuxième conducteur déjà arrêté à mon arrivée. Grand, élancé, les cheveux très courts, il est de type créole et il continue à me caresser le fessier avec insistance. Un de
ses doigts plus inquisiteur cherche mon petit trou et je ne peux m’empêcher de lui faire comprendre par un soupir que j’aime ce contact. Le doigt tourne autour de ma rondelle avant de la pénétrer
doucement et de s’y frayer un chemin qui me fait soupirer.
La ceinture de notre nouvel acolyte s’ouvre alors, un zip caractéristique de fermeture éclair indique que son pantalon est prêt à tomber, et d’un
regard en biais je constate que ce dernier vient de perdre le dernier rempart de son sexe et arbore un membre d’une taille plus qu’honorable, long, épais, le gland bien décalotté, et raide comme
un bout de bois.
Je comprends très rapidement ce qui m’attend et ce qu’il compte faire quand il mouille sa bite de sa salive. Toujours occupé à sucer le
premier, je sens alors une tige dure se poser sur mon anus et deux mains me tenir les hanches. Une poussée ferme m’ouvre le trou du cul, je gémis, geins, et le gland entre dans mon petit cul. Ça
me brûle un peu, j’ai mal, j’essaie de me détendre, sa bite est vraiment grosse et m’ouvre le cul, me déchire la rondelle.
On me tient la tête pour que je m’applique sur ma pipe et on me tient les hanches pour m’enfiler jusqu’à la garde. La bite est maintenant
complètement en moi et je la sens m’occuper pleinement les boyaux, c’est bon, je soupire, gémis, j’aime ça, et le va-et-vient commence d’abord faiblement puis avec amplitude, me procurant à
chaque mouvement une légère douleur que j’aime et des frissons de plaisirs que je ne peux contrôler.
La bite dans ma bouche grossit encore et je sens à ses mouvements que le moment de l’explosion est proche et je me prépare à la ressortir de ma
bouche pour éviter d’en recevoir la jouissance mais les mains fermement appuyées sur ma tête m’en empêchent et c’est dans les râles successifs de son propriétaire que cette bite m’inonde la
bouche en saccades tièdes successives. Je suis un peu écœuré mais je ne peux recracher le morceau qui m’occupe la bouche et je finis par avaler cette semence qui coule dans ma gorge.
La queue bien logée entre mes fesses me ramone de plus belle, ma main s’active sur ma bite, j’ai le cul bien occupé et bien défoncé, je suis traité
de salope, de pute et je sens soudain dans mon ventre les contractions saccadées d’une bite qui se libère au fond de mes entrailles. Il ne m’en faut pas plus pour décharger à mon tour en
gémissant de plus belle, répandant mon foutre sur les feuilles mortes.
Après quelques nettoyages et le temps de reprendre nos esprits, chacun rejoint son véhicule à son tour. Je reprends la route, satisfait, comblé mais
vidé, le trou du cul encore douloureux, avec un goût très particulier persistant dans la bouche.¤
Un petit poisson, un petit oiseau
S'aimaient d'amour tendre
Mais comment s'y prendre
Quand on est dans l'eau… GRECO
http://www.bisexualite.info/forum/viewtopic.php?t=3887
NOTES: Détecteur à bi,
goudous et gay!
par Vynyta? SUR LE FORUM »
Voilà je reviens de ma séance chez le kiné (oui je sais tout le monde s'en fiche mais je place le contexte!!!), et j'ai
eu le droit à une séance de balnéothérapie! Et au bout de 20 minutes dans une eau à 35°c, quand je ne suis plus qu'une fille de 20 ans toute frippée (et on ne se moque pas :wink: ), une bombe
arrive :mauve: ! Environ 25 ans, cheveux chatains, yeux verts, sourire gracieu, et petites pomettes finement dessinées, un joli ventre un peu rebondi, juste ce qu'il faut, de jolis seins ronds,
bref wahou j'étais sous le charme :pinklove: ! Et voici que le bain se vide et nous ne sommes plus que toutes les deux, je ne regarde qu'elle, et en oublie même de faire mes exercices :oops: !
wahou elle est vraiment trop belle, j'étais scotchée :bave: , elle m'a d'ailleurs surprise à la dévorer des yeux! :roll:
De là mon problème : comment savoir si cette belle jeune femme est totalement hétéro, ou s'il y a quelques chances pour
que je puisse la séduire :?: :?:
Comment fait-on pour savoir si une personne est homo ou hétéro?
Comment faire pour dire à quelqu'un qu'il/elle est vraiment attirant(e) sans risquer de choquer?
Y a-t'il des petits trucs qui laissent paraître une "tendance" non hétéro? Bref existe-t'il un détecteur :?:
Tant de questions que je ne parviens pas à solutionner! Alors avez-vous des petits trucs pour savoir si vous avez une
chances avec une personne qui vous attire!
Vive la diversité et l'originalité!
Restons nous-même, c'est déjà assez compliqué!
commentaire : "j'adore le site de Biscuit et sa compagne. Et ils sont de chez-nous : AVIGNON" CLAUDIO
J'peux essayer moi aussi ? il a vu ce que c'est que les pros ! ET UN VRAI DOSAGE DE PRO !
ce gland qui sort presque à chaque coup de reins....
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