FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN)

Dimanche 8 décembre 7 08 /12 /Déc 15:13

classé dans  DECONNE HUMOUR FUN (56)

 

1 Je découvre "la chose"

2  je v bien goûter pr voir

3 en fait j'ai jamais cru pouvoir le prendre en bouche. uel cadeau ! Une vraie bûche de Noël !

4 même pas peur !

5 je me vois en photo, mais à ce moment-là j'étais au ciel

 

 

Mature black fucking a geek.

Hai capito il secchione che gli piace il nero cazzone! (Le geek s'est rendu compte qu'il aimait la bite de noir)

 

Par Geek - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 07:38

classé dans DECONNE

Si tu vas à RIO PARIS...

VINTAGE La pissotière telle qu'on ne la verra plus...Charles Henri Ford a guetté...

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Charles Henri Ford © Henri Cartier Bresson

Beauté ironique de cette photographie d’Henri Cartier Bresson, retrouvée dans

le catalogue d’une exposition passée au San Francisco MOMA.

L’insolence de, Charles Henri Ford (19013 – 2002), poète, écrivain, photographe

américain, figure du Tout-Paris artistique de l’avant-guerre avant d’en retourner

vivre à New-York. Si Paris est une fête, il en fut, fréquentant Man Ray, Peggy

Guggenheim et le salon de Gertrude Stein

 

 

Aux quatre coins de la capitale, des toilettes plus originales, amusantes et déjantées les unes que les autres n’attendent qu’une seule chose: qu’on descende au sous-sol leur rendre une petite visite.

 

Les toilettes conviviales du Très Honoré (35 Place du Marché Saint-Honoré, 75001 Paris)

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Le lieu : chic à l’étage, rétro-chic au sous-sol,, le restaurant a ouvert ses portes en avril 2012. Une fois arrivé dans la salle du bas, on se retrouve plongé dans un décor des années folles, le lieu idéal pour un remake de Midnight in Paris de Woody Allen.

Les toilettes : « Les filles ont toujours quelque chose à se raconter », certifie Grégoire, gérant des salles. Du coup, le restaurant a décidé de placer côte à côte deux toilettes, sans cloison de séparation. Selon Grégoire, « les toilettes-doubles enrichissent la communication ». A noter que pour les filles sans amie ou qui souhaitent faire leurs besoins sans voisine, des toilettes simples existent aussi.

La réaction des clients : « Le midi, ils sont assez choqués, parce que c’est plutôt une clientèle business, explique Grégory. Le soir, certains viennent que pour voir les toilettes. »

La star qui s’y est soulagée : le joueur de tennis Henri Leconte a fêté ses 50 ans dans la superbe salle au sous-sol du restaurant. Sa femme Florentine a peut-être eu l’occasion de poursuivre une conversation passionnante là où la reine va habituellement seule.

 

Les toilettes geek du Dernier Bar avant la Fin du Monde (19 avenue Victoria, 75001 Paris)

SONY DSCLe lieu :ambiance geek garantie dans ce bar ouvert depuis juin 2012. Ordinateurs et consoles de jeux règnent en maître. Le Faucon Millenium de Han Solo (vaisseau spatial de Harrison Ford dans Star Wars) trône à l’entrée des escaliers descendant aux toilettes. Des masques de V pour Vendetta guettent également au tournant.

Les toilettes : les filles disposent d’un abattant japonais, muni d’une télécommande pour régler la puissance du jet qui vient lécher les fesses pour mieux les nettoyer. La télécommande sert certainement à pleins d’autres choses, mais « c’est écrit en japonais et on y comprend rien », confie Cyril, 40 ans, chargé de la programmation au sein du bar. Elles peuvent sinon faire leurs besoins en chansons, grâce à un contacteur qui déclenche un morceau de musique aléatoire lorsqu’on ouvre la porte des toilettes. « C’est le créateur du Donjon de Naheulbeuk (saga MP3 de John Lang, ndlr) qui s’est occupé des jingles », précise Cyril.

Quant aux garçons, ils bénéficient de pissotières high tech avec capteurs infrarouges intégrés ! Des jeux en flash sont proposés avec des urinoirs en réseau pour enregistrer ses meilleurs scores. « Pee to start » (Pisser pour commencer) s’affiche à l’écran fixé au-dessus de la pissotière. Il suffit ensuite d’orienter le jet d’urine pour déplacer le perso à droite ou à gauche. Au jeu des pingouins, le record à battre est de… « 70 pingouins dégommés », s’exclame Cyril. Il faut dire que le joueur-pisseur avait enquillé pas moins de neuf pintes avant d’exercer ses talents urinaires.

La réaction des clients : « Les clients se tirent la bourre, résume Cyril. Ce sont les seuls toilettes où j’ai vu des filles venir encourager des garçons à pisser. L’autre jour, il y avait trois nanas qui supportaient deux mecs en train de jouer. »

La star qui s’y est soulagée : le créateur de Final Fantasy a (forcément) adoré. Et Kyan Khojandi, l’humoriste de la série Bref, est déjà venu jouer au sous-sol du Dernier bar avant la fin du monde. Malheureusement, nous ne savons pas combien de pingouins il a renversé.

 

Les toilettes rock & roll du Belushi’s (159 Rue de Crimée, 75019 Paris)

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Le lieu : une ambiance rock anglo saxonne  Plus qu’un bar, c’est une véritable auberge de jeunesse, ouverte depuis 2008 et comptabilisant quelque 380 lits. La clientèle est essentiellement anglophone. Des écrans de télé sont au quatre coins du bar aux dimensions américaines. Aux murs, posters de Michaël Jackson, Marylin Monroe, Las Vegas Parano, Pulp Fiction, Spiderman, les Beatles et bien d’autres encore sont à l’honneur.

Les toilettes : le célèbre logo des Rolling Stones est ici repris. La langue emblématique du groupe de rock & roll, figurant sur l’album Sticky Fingers sorti en 1971, a été retirée, pour, vous l’aurez compris, des raisons pratiques. Seule la bouche demeure.

La réaction des clients : « Beaucoup de gens font des photos. Des filles viennent dans les toilettes garçons juste pour voir les pissotières », raconte Tom, responsable des ressources humaines, avec un bel accent américain. Le concept est simple : « Pissing in the mouth » !

La star qui s’y est soulagée : Kurt Angle, champion olympique de lutte libre en 1996 à Atlanta et célèbre catcheur américain, a déjà déplacé sa masse musculaire jusqu’au sous-sol de l’établissement, où se situent les toilettes. Des membres du groupe de rock londoniens les Babyshambles ont aussi rendu visite au Belushi’s.

 

Les toilettes très hot du Lèche-Vin (13 rue Daval, 75011 Paris)

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Le lieu : un bar à la déco très catho, ouvert depuis le début des années 90. Les murs sont entièrement recouverts d’ornements. Statuettes de vierges côtoient icônes du Christ. Sont aussi fixés des crucifix et des tapisseries sont accrochées en plusieurs endroits, à côté de cartes postales de Jean-Paul II et de Benoît XVI. « On voulait une déco kitsch et originale, raconte Manu, le barman de 35 ans. Au départ, on a trouvé ce qu’il nous fallait dans des brocantes, puis après les clients nous ramenaient d’autres choses pour compléter la déco. »

SONY DSCLes toilettes : changement d’ambiance soudain. Un vrai contraste, voulu et assumé par ceux qui tiennent le bar. Des images pornos, extraites de magazines, prennent le relais des cartes postales de papes. Au Lèche-Vin, on ne fait pas dans la demi-mesure.

La réaction des clients : « En général, ils se marrent. S’ils sont choqués, ils ne le disent pas. Mais certains sont plus choqués par les toilettes à la turque que par la déco », précise Manu.

La star qui est venue s’y soulager : Joey Starr serait déjà passé au bar il y a une dizaine d’années, à une heure avancée de la nuit, pour acheter des cigarettes. Mais la légende ne dit pas s’il en a profité pour faire un tour aux toilettes. « Sinon, on a jamais eu de curés ni de bonnes sœurs », assure le barman.

 

Les toilettes osées du Café Oz (8 Boulevard Montmartre, 75009 Paris)

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Le lieu : un bar discothèque  Aussie bar australien.. ouvert depuis cinq ans. Dans la file d’attente pour participer à l’ambiance survoltée à l’intérieur, les filles à talons côtoient les mecs aux pecs bien gonflés. La musique est à fond les ballons.

Les toilettes : « C’est un délire du patron », explique Jean-Marc, 31 ans, gérant du Café Oz des Grands Boulevards. S’il a choisi de mettre des filles au mur, au-dessus des pissotières, chez les garçons, le patron a carrément opté pour une mosaïque le représentant torse nu en train de jouer au rugby à l’entrée des toilettes filles.

La réaction des clients : « Au début, les clients sont plutôt surpris. Après, ils trouvent ça drôle. Les habitués choisissent la nana en face de laquelle ils aiment pisser », confie amusé Jean-Marc.

La star qui s’y est soulagée : « Le bar est un peu le QG du rugbyman Mathieu Bastareaud. Et apparemment, les toilettes lui plaisent puisqu’il revient dès qu’il est à Paris », constate le gérant.

 

Les toilettes de malade de "L'Urgence Bar"  (45 rue Monsieur le Prince 75006)

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Le lieu : à deux pas des facs de médecine Paris Descartes et Pierre et Marie Curie, l’Urgence-Bar, ouvert depuis 2002, s’autodéfinit comme "Le Bar de Malade" Résultat : les cocktails sont servis dans des biberons, avec un vaste choix, du « Liposuccion » au « Don de sperme » en passant par le « Tampax » et bien d’autres encore. L’addition se présente sous la forme d’une feuille de soin. Des tableaux sur les murs rappellent les diverses pathologies qui affectent l’être humain. Au bar, on peut poser son verre – ou plutôt son biberon – sur des radios de bassins, des coloscopies… et même un scanner du crâne du patron !

Les toilettes : outre les coupes transversales, au niveau du bassin, du corps d’un homme affiché sur la porte des toilettes garçons et de celui d’une femme sur la porte des toilettes filles, un imposant cadre regroupe un nombre incalculable de photos. « Ce sont des photos de clients », précise Sven, 31 ans, responsable bar. Si les garçons montrent volontiers leur derrière, les filles ne sont pas en reste avec de jolies poitrines exposées.

La réaction des clients : « Ils sont généralement étonnés, raconte Sven. Ils appellent leurs potes pour qu’ils viennent voir. Ils charrient, du style « regarde comme il est poilu ». Et certains demandent à se faire prendre à leur tour en photo. On va dans la réserve pour le faire, c’est plus intime. Les photos changent constamment. »

La star qui s’y est soulagée : le rappeur Stomy Bugsy et la chanteuse Shy’m ont déjà bu un biberon à l’Urgence-Bar. Ont-ils trouvé l’inspiration face aux photos lorsqu’ils se sont rendus au petit coin ?

 

Les toilettes expo du Milio (4 rue Charles Moureu, 75013 Paris)

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Le lieu : une sandwicherie ouverte depuis 1984, entourée d’établissements scolaires et universitaires. Le thème : musical, avec une guitare accrochée au mur, voisine d’un tambour et d’un mini accordéon. De nombreuses affiches de concerts et des pochettes de disques complètent la décoration.

Les toilettes : un escalier exigu mène au sous-sol. Une fois en bas, pas moins d’une cinquantaine de petits cadres vous attendent. Ils contiennent des photos… de toilettes. « Ce sont des photos perso, explique Christophe, 47 ans, gérant de la sandwicherie. Elles correspondent à des clichés que j’ai pu prendre un peu partout, lors de voyages en Asie, aux Etats-Unis, en Europe. C’est clairement dans les campagnes asiatiques que j’ai rencontré les toilettes les plus sales. »

La réaction des clients : « Les toilettes leur plaisent. Ils trouvent ça original. Voir des WC d’autres pays qui n’utilisent pas les mêmes critères d’hygiène, c’est une aventure pour eux. »

La star qui s’y est soulagée : « Beaucoup de « fils de… » sont venus manger chez nous », assure Christophe. Mais comme certains sont des enfants de ministres actuellement en fonction, il préfère ne pas nous communiquer les noms. On ne fait pas de politique aux toilettes!

 

Les toilettes disco de l’Absurde Imposture (5 rue Eugène Sue, 75018 Paris)

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Le lieu: ouvert depuis 2010, le bar accueille aussi bien les habitués du quartier que les étudiants et les bobos du coin. Chacun est libre de mettre le son qu’il souhaite entendre. “Selon les clients, les morceaux choisis vont de l’électro minimale à de la musique traditionnelle latino-américaine ou du hip hop”, rapporte Edouard, le barman de 31 ans. Sur les tables, des collages de toutes sortes, reprenant des images de dessins animés, de séries télé ou encore des affiches de films réinterprétées. Des artistes différents sont exposés chaque mois dans le bar, avec pour résultat une déco plutôt éclectique.

Les toilettes: ici, la fête ne cesse jamais. Même aux toilettes, ça continue. Une pause pipi est tout sauf synonyme de moment de répit. En effet, à peine l’interrupteur enclenché, on se retrouve plongé dans une ambiance disco avec boule à facettes au plafond. De quoi entamer une danse endiablée et oublier la raison première de notre visite au petit coin. La porte d’entrée est couverte d’images des Bee Gees, d’Abba, de Fabrice Hernandez et bien d’autres groupes et chanteurs des années disco.

La réaction des clients: “Ils sont surpris et contents, raconte Edouard. Il y a souvent des filles qui viennent en after work et qui une fois passées par les toilettes disent à leurs copines d’aller voir comment c’est.”

La star qui s’y est soulagée: Miss Montmartre 2012 a déjà bu quelques chupitos (shots) à l’Absurde Imposture et en a certainement profité pour de se déhancher dans les toilettes, le temps d’un morceau disco.

 

Ludovic Bayle et Thomas Chenel Paris info

 

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 29 novembre 5 29 /11 /Nov 01:59
 conformément à ce que j'annonçais dans la présentation de ce blog "dialogues avec mon pénis"
(eh ! c'est pour faire pendant (lol) aux monologues du vagin )
Il y a bien des moments où tu t'adresses à toi-même ...
Oui je sais, ça a l'air bête et tu auras du mal à l'avouer, mais ...
T'appelles-tu par ton prénom ?  Te dis-tu des "mon Chéri ou mon Trésor ou mon ami
ou "très cher + prénom"
ou "casse-toi pôv' con" ?
 
Te dis-tu des "t'es pas un peu con de "penser ça ? "
Par moments
 Cherches-tu à te consoler,
te flatter ou t'encourager ?
" Dédoublements  "
Ton zizi ou ton cul, dialogues-tu avec chacun d'eux ?...
Considères-tu ton zizi comme un compagnon autonome
qui habite ton corps ? Considères-tu que tu lui donnes  des
permissions ...
 que tu lui donnes  à manger, à se soulager, à jouir ?...
Le complimentes-tu ?  T'arrive-t-il  de le plaindre ?
Moi oui, et j'assume.
Et comme, souvent, je pense à notre noir commun futur, la mort, 
Je l'imagine bouffé par la décomposition et les vers ! 
Un encouragement à profiter ici et maintenant.. .
depuis toujours
     lui c'est lui et moi c'est moi !  Il fait bien ce qu'il veut 
sans se demander ce que je veux. Notre fréquent dialogue, moi tendre et dévoué, lui entêté dans son silence. 
Si vous êtes honnête, ou bien je vous surprends 
ou bien vous avouez cette dualité .
 
 
Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 24 novembre 7 24 /11 /Nov 10:22

Il n'y a chez Rabelais pas loin de la sensualité des culs frottés par des moyens plus ...efficaces encore mais, en 1534*, le livre aurait encore plus fait scandale et il aurait été brûlé !

SODO4

  Choisissez bien vos PQ !  

François RABELAIS, Gargantua, chapitre 13
Comment Grandgousier reconnut à l'invention d'un torche-cul la merveilleuse intelligence de Gargantua.


Sur la fin de la cinquième année, Grandgousier, retour de la défaite des Canarriens, vint voir son fils Gargantua.
Alors il fut saisi de toute la joie concevable chez un tel père voyant qu'il avait un tel fils et, tout en l'embrassant et en l'étreignant, il lui posait toutes sortes de petites questions puériles.
Et il but à qui mieux mieux avec lui et avec ses gouvernantes auxquelles il demandait avec grand intérêt si, entre autres choses, elles l'avaient tenu propre et net.
Ce à quoi Gargantua répondit qu'il s'y était pris de telle façon qu'il n'y avait pas dans tout le pays un garçon qui fût plus propre que lui.



"Comment cela ? dit Grandgousier.
- J'ai découvert, répondit Gargantua, à la suite de longues et minutieuses recherches, un moyen de me torcher le cul. C'est le plus seigneurial, le plus excellent et le plus efficace qu'on ait jamais vu.

- Quel est-il ? dit Grandgousier.
- C'est ce que je vais vous raconter à présent, dit Gargantua.
Une fois, je me suis torché avec le cache-nez de velours d'une demoiselle, ce que je trouvai bon, vu que sa douceur soyeuse me procura une bien grande volupté au fondement ;
une autre fois avec un chaperon de la même et le résultat fut identique ;
une autre fois avec un cache-col ;
une autre fois avec des cache-oreilles de satin de couleur vive, mais les dorures d'un tas de saloperies de perlettes qui l'ornaient m'écorchèrent tout le derrière.
Que le feu Saint-Antoine brûle le trou du cul à l'orfèvre qui les a faites et à la demoiselle qui les portait.
"Ce mal me passa lorsque je me torchai avec un bonnet de page, bien emplumé à la Suisse.
"Puis, alors que je fientais derrière un buisson, je trouvai un chat de mars et m'en torchai, mais ses griffes m'ulcérèrent tout le périnée.
"Ce dont je me guéris le lendemain en me torchant avec les gants de ma mère, bien parfumés de berga-motte.
"Puis je me torchai avec de la sauge, du fenouil, de l'aneth, de la marjolaine, des roses, des feuilles de courges, de choux, de bettes, de vigne, de guimauve, de bouillon-blanc (c'est l'écarlate au cul), de laitue et des feuilles d'épinards (tout ça m'a fait une belle jambe !), avec de la mercuriale, de la persicaire, des orties, de la consoude, mais j'en caguai du sang comme un Lombard, ce dont je fus guéri en me torchant avec ma braguette.
"Puis je me torchai avec les draps, les couvertures, les rideaux, avec un coussin, une carpette, un tapis de jeu, un torchon, une serviette, un mouchoir, un peignoir ; tout cela me procura plus de plaisir que n'en ont les galeux quand on les étrille.
 

Je me torchai après (dit Gargantua) d'un couvre-chef, d'un oreiller, d'une pantophle, d'une gibecière, d'un panier. Mais ô, le malplaisant torchecul ! Puis d'un chapeau. Et notez que des chapeaux, les uns sont ras, les autres à poil, les autres veloutés, les autres taffetassés, les autres satinisés. Le meilleur de tous est celui de poil, car il fait très bonne abstersion de la matière fécale. Puis me torchai d'une poule, d'un coq, d'un poulet, de la peau d'un veau, d'un lièvre, d'un pigeon, d'un cormoran, d'un sac d'avocat, d'une barbute [capuchon], d'une coyphe, d'un leurre. Mais concluant, je dis et maintiens qu'il n'y a tel torchecul que d'un oison bien dumeté, pourvu qu'on lui tienne la tête entre les jambes. Et m'en croyez, sus mon honneur. Car vous sentez au trou du cul une volupté mirifique, tant par la douceur d'icelui dumet, que par la chaleur tempérée de l'oison, laquelle facilement est communiquée au boyau cullier et autres intestines, jusques à venir à la région du cœur et du cerveau. Et ne pensez que la béatitude des héros et semi-dieux qui sont par les Champs Elysiens soit en leur Asphodele ou Ambroisie ou Nectar, comme disent ces vieilles ici. Elle est, selon mon opinion, en ce qu'ils se torchent le cul d'un oison." (Extraits du chapitre XII de Gargantua, Comment Grandgousier congneut l'esprit merveilleux de Gargantua à l'invention d'un torchecul)

  Papier toilette Sudoku...

pq-285-x-285   - C'est bien, dit Grandgousier, mais quel torche-cul trouvas-tu le meilleur ?
- J'y arrivais, dit Gargantua ; vous en saurez bientôt le fin mot.
Je me torchai avec du foin, de la paille, de la bauduffe, de la bourre, de la laine, du papier.
Mais Toujours laisse aux couilles une amorce Qui son cul sale de papier torche.


- Quoi ! dit Grandgousier, mon petit couillon, t'attaches-tu au pot, vu que tu fais déjà des vers ?
- Oui-da, mon roi, répondit Gargantua, je rime tant et plus et en rimant souvent je m'enrhume.

Ecoutez ce que disent aux fienteurs les murs de nos cabinets :
Chieur,
Foireux,
Péteur,
Breneux,
Ton lard fécal
En cavale
S'étale
Sur nous.

Répugnant,
Emmerdant,
Dégoûtant,
  -- Le feu saint Antoine puisse te rôtir
Si tous
Tes trous
Béants
Tu ne torches avant ton départ.



"En voulez-vous un peu plus ?
- Oui-da, répondit Grandgousier.
- Alors, dit Gargantua :
En chiant l'autre jour j'ai flairé
L'impôt que mon cul réclamait :
J'espérais un autre bouquet.
Je fus bel et bien empesté.
Oh ! si l'on m'avait amené
Cette fille que j'attendais
En chiant,
J'aurais su lui accommoder
Son trou d'urine en bon goret ;
Pendant ce temps ses doigts auraient
Mon trou de merde équipé,
En chiant.




"Dites tout de suite que je n'y connais rien !
Par la mère Dieu, ce n'est pas moi qui les ai composés, mais les ayant entendu réciter à ma grand-mère que vous voyez ici, je les ai retenus en la gibecière de ma mémoire.

- Revenons, dit Grandgousier, à notre propos.
- Lequel, dit Gargantua, chier ?
- Non, dit Grandgousier, mais se torcher le cul.
- Mais, dit Gargantua, voulez-vous payer une barrique de vin breton si je vous dame le pion à ce propos ?- Oui, assurément, dit Grandgousier.
- Il n'est, dit Gargantua, pas besoin de se torcher le cul s'il n'y a pas de saletés.
De saletés, il ne peut y en avoir si l'on n'a pas chié.
Il nous faut donc chier avant que de nous torcher le cul !

- Oh ! dit Grandgousier, que tu es plein de bon sens, mon petit bonhomme ; un de ces jours prochains, je te ferai passer docteur en gai savoir, pardieu !
Car tu as de la raison plus que tu n'as d'années.
Allez, je t'en prie, poursuis ce propos torcheculatif.
Et par ma barbe, au lieu d'une barrique, c'est cinquante feuillettes que tu auras, je veux dire des feuillettes de ce bon vin breton qui ne vient d'ailleurs pas en Bretagne, mais dans ce bon pays de Véron.


- Après, dit Gargantua, je me torchai avec un couvre-chef, un oreiller, une pantoufle, une gibecière, un panier (mais quel peu agréable torche-cul !), puis avec un chapeau.
Remarquez que parmi les chapeaux, les uns sont de feutre rasé, d'autres à poil, d'autres de velours, d'autres de taffetas.
Le meilleur d'entre tous, c'est celui à poil, car il absterge excellemment la matière fécale.
Puis je me torchai avec une poule, un coq, un poulet, la peau d'un veau, un lièvre, un pigeon, un cormoran, un sac d'avocat, une cagoule, une coiffe, un leurre.

"Mais pour conclure, je dis et je maintiens qu'il n'y a pas de meilleur torche-cul qu'un oison bien duveteux, pourvu qu'on lui tienne la tête entre les jambes.
Croyez-m'en sur l'honneur, vous ressentez au trou du cul une volupté mirifique, tant à cause de la douceur de ce duvet qu'à cause de la bonne chaleur de l'oison qui se communique facilement du boyau du cul et des autres intestins jusqu'à se transmettre à la région du coeur et à celle du cerveau.
Ne croyez pas que la béatitude des héros et des demi-dieux qui sont aux Champs Elysées tienne à leur asphodèle, à leur ambroisie ou à leur nectar comme disent les vieilles de par ici.
Elle tient, selon mon opinion, à ce qu'ils se torchent le cul avec un oison ; c'est aussi l'opinion de Maître Jean d'Ecosse."

  *pour parler de l'anus par écrit il faut attendre 60 ans plus tard 1594 Christopher Marlowe. Il relate dans sa pièce la mort d'  Édouard II,   assassiné par introduction d'un fer rouge dans l'anus dans un scénario de crime parfait... sur fond de punition d'un roi PD. 

Dans les années 1920-1930 il y a eu des peintres et des littérateurs pour en parler aussi, mais je retiendrai l'oeuvre brillante  composée à deux par Verlaine et Rimbaud :

" Le Sonnet Du Trou du Cul" 1872

qui a marqué le sommet de la sensualité anale en littérature.

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 22 novembre 5 22 /11 /Nov 18:23

  classé dans DECONNE HUMOUR 

 

 faut pas zieuter c'est pô bien  !

 

 

 

 

 

concentration

  défiance ?  

    Moi sur le web je détaille les close-ups!   

  BCBG, même si je vois, même si je kiffe? je garde les yeux baissés sur mon propre urinoir.

 

 Moi je "sévis" sur les plages  et dans les bois... 

  je m'en fous qu'on me regarde. Peut-être, si ça va pas plus loin, je déteste pas qu'on regarde ma bite. 

 

 

Pensez ce que vous voudrez, moi je regarde 

 

 

 

 

    ça c 'est un code de drague...

 

 

  

  Il est super hein !  Des fois comme ça dans les WC publics j'ai réalisé de bons coups !  

       Flatter c'est le succès assuré  

 

 

 

   Si on pouvait regarder en détail...hihi

Les jeans c'est toujours le zip qui se détraque...jamais personne pour aider... 

 

     

   

      

  < Chui hétéro ok, mais les homos sucent bien 

  Je les drague à tout hasard...> 

 

 < La drague dans les Wc publics c'est pour le fun !  

 

  < Je peux pas m'empêcher de mater dans les pissotières... 

< avec ma coupe à la Nicolas Hulot je n'attire pas les voyeurs.  

 

 

<J'ose et j'espère que ce sera payant 

 

  <J'avais tant envie de pisser que je m'en fous qu'on regarde 

 

 

 

 

 

<  je sais que c'est pas bien de regarder mais c'est beau...JE POURRAI JAMAIS M'EMPËCHER 

 

   Je réfléchis à mon problème de maths...je comprends pas les mecs qui regardent... 

 

On dirait pas à me voir...OK, mais c'est les autres qui sont hypocrites !  

 

 

Regarde-là. Elle est belle...Allez tu suces ?

 

 

Mais non c'est pas pour provoquer !  

 

Je fais comme si je déconnais...ça peut tourner à mon avantage ... 

 

  Tranquille : chacun fait c'qui lui plaît.... 

 

 

  Putain, je suis quand même pas mal !  

 

   

  Tu détournes le regard? Tu fixes ? tu dragues ?

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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