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les murmures sont en français
milk+fuck
milk&cream
Ah ce n'est pas du Victor Hugo ! Mais quelle force dans la description
quelle précision aussi!
Partageons si vous voulez ce texte qui est venu à moi alors que je regardais de jolies images....
vous vous doutez desquelles ! et il m'en a détourné...je n'en ai pas honte et je n'ai pu résister à accompagner moi-même le plaisir de ce couple occasionnel et intergénérationnel, plus évocateurque les images ! .
...L’idée m’effleure que ce monsieur chic a quelque chose derrière la tête. Ses questions, le fait qu’il dise aimer les garçons, sa main sur mes habits, me paraîsent suspects. Il s’agit peut être d’un déséquilibré, comme j’en ai tant vu aux journaux télévisés, d’un sadique, d’un pédophile. Mais rien ne me ferait fuir la situation ....’il sera difficile de faire machine arrière. Il va peut être m’assassiner! Au moment, où ces pensées funestes me préoccupent, il m’embrasse la nuque, lèche mon cou, |
Première fois en stop d'un garçon sage
J’habite dans un petit village du centre la France. Je viens d’avoir 18 ans. Je pourrais me dire: enfin la liberté. Mais je n’ai pas ce type de tempérament. Je vis depuis 15 ans dans une famille d’accueil. Je suis un gars sans problème. Obéissant depuis toujours. J’ai décidé, une fois pour toute, que je laisserai les autres guider ma vie. J’ai trop peur de l’affrontement, de l’inconnu pour me jeter dans des aventures. Les filles me trouvent mignon, 1m72, 60 kg, blond roux, yeux bleu ciel, imberbe sauf des poils rouquins épars sur la toison pubienne et sous les bras. Toujours l’air dans la lune, un peu poète, je m’intéresse à peu de chose, si ce n’est contempler la nature, flâner au bord de la rivière. J’ai bien des copains au village et au lycée, mais peu de vraies relations. Et les meufs, je les fuis. Elles m’ont toujours inspiré une retenue, une crainte que je n’arrive à m’expliquer.
Le lendemain de mon anniversaire, je dois me rendre dans un autre village, à 40 km de mon habitation, pour apporter un paquet à une amie de ma mère et faire quelques courses, au marché du dimanche matin. Mon cousin devait m’amener. Le matin vers 8 heures, il vient me prévenir qu’il a un empêchement et que je dois trouver une solution. Je ne dis rien à mes parents et me dirige vers la nationale pour faire du stop. Je suis majeur maintenant. J’ai bien fait à deux ou trois reprises du stop et ça s’est toujours déroulé sans problème.
Quelques voitures passent devant moi à forte allure sans même sembler me voir. Un homme en 406 a failli s’arrêter et puis est reparti en accélérant fortement. Ah, les gens sont bizarres. Il a peut être eu peur de mon jeune âge. En effet, j’ai un visage encore enfantin et rare sont les personnes qui me donnent 18 ans.
Au bout d’une heure, je commence à regretter de n’avoir pas cherché un autre véhicule et pense au car qui part vers 9h30. À ce moment, une voiture ralentit jusqu’à s’arrêter à ma hauteur. Une belle Audi métallisée, avec des vitres fumées, le genre de bagnole dans laquelle je ne suis jamais monté. Mes parents d’accueil étant d’un milieu assez modeste, même si nous ne sommes pas misérables.
La vitre de la portière s’abaisse. Apparaît le visage d’un homme aux cheveux grisonnants, en costume et cravate, le regard clair, perçant, abordant un immense sourire:
— Où vas-tu, jeune homme?
Je lui indique ma direction et suis très heureux quand il me dit que c’est aussi sa route. J’ouvre la portière et investis un intérieur luxueux, siège en cuir, tableau de bord en bois. Il m’aide à m’attacher ma ceinture et sans que j’y prête vraiment attention, passe son avant bras sur mes cuisses pendant la manœuvre.
— Comment t’appelles-tu? me dit-il en redémarrant.
Nous échangeons quelques banalités. Il sait que je suis lycéen en première et une année de retard, que je vis dans un petit village et où je me rends. Lui est Directeur Commercial d’un grand groupe alimentaire parisien et se rend à la capitale régionale pour une réunion de client.
— Tu as une petite amie? me jette t’il au visage d’un air direct, avec un sourire un peu trop prononcé pour être sans arrière pensée.
Je rougis immédiatement et lâche un "non" à peine audible, dans le sifflement permanent du moteur et du véhicule qui a fortement ralenti son allure.
— Tu sais, si tu n’aimes pas les filles, pas la peine d’en avoir honte. Moi, tu vois, je n'apprécie que les garçons...
Il se fait plus tendre et effleure ma joue avec sa main, provoquant une sensation quasi électrique sur ma peau.
Je ne savais plus où me mettre. Peut-être n’aurais-je pas dû accepter de monter. J’ai bien entendu parler de l’homosexualité, entendu des mecs au lycée se traiter de pédé, mais je ne me sentais pas concerné. La sexualité n’est pas, comme chez d’autres jeunes gens de mon âge, une obsession. Et, à part, quelques branlettes, pour voir comment était mon sperme, je ne connaissais vraiment rien au sexe.
— Tu es très beau!
Sa main est maintenant posée sur ma cuisse et je sens la pression de ses doigts traverser le tissu de mon vieux jeans décoloré. Tu dois l’arrêter, me dis-je. Mais, comme je vous l’ai dit, je n’arrive pas à dire non. Je me sens plus à l’aise en me laissant glisser dans la volonté des autres. C’est une manière de se faire aimer, moi qui ai manqué de vrais parents, de maman chaleureuse qui me câline.
— Nous allons nous arrêter un instant. J’ai un besoin urgent! dit-il en stoppant l’Audi dans un chemin qui conduit à une forêt et en positionnant sa main droite sur sa braguette, pour que je ne me confonde pas dans la nature de ce besoin urgent.
— Viens te soulager, aussi.
Effectivement, le besoin naît-il de la suggestion? J’ai, moi aussi une envie de pisser. La situation ne m’enchante guère. L’idée m’effleure que ce monsieur chic a quelque chose derrière la tête. Ses questions, le fait qu’il dise aimer les garçons, sa main sur mes habits, me paraîsent suspects. Il s’agit peut être d’un déséquilibré, comme j’en ai tant vu aux journaux télévisés, d’un sadique, d’un pédophile. Mais rien ne me ferait fuir la situation. Il émane de cet homme, de ce confort, de sa gentillesse aussi une forme d’assurance, de calme qui instaure la confiance.
Je descends et m’éloigne sur un chemin à la direction opposée de l’homme. Arrivé devant un arbre, je baisse ma fermeture-éclair, extirpe mon sexe de bonne taille mais totalement au repos, un peu fripé par un séjour trop long dans mon jeans serré. Le filet d’urine jaillit après quelques instants. Je sens comme une libération. Un plaisir simple qui me met toujours de bonne humeur. Pendant que je suis tout à mes pauvres ravissements, je perçois du bruit derrière moi. Je retourne légèrement la tête, tout en continuant à laisser les dernières gouttes sortir de mon outil.
Je suis comme sonné, hypnotisé. L’homme est à deux mètres de moi environ, debout, en train d’exhiber un sexe qui me paraît énorme, tendu, avec un gland turgescent tendu, rouge sanguin. Sa main caresse l’engin, titille le bout et ses yeux bleus me fixent avec un sourire.
— Viens par ici, mon chéri, je vais te montrer de belles choses. Tu vas adorer. Tu ne regretteras pas..
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je me retrouve à ses côtés, le sexe sorti, qui pend dans le vide et qui, à mon grand désespoir commence à grossir. Nos corps se rejoignent. Il me prend dans ses bras puissants, me serre contre lui. C’est chaud, c’est bon. Je n’ai pas peur, même si je ne perds pas de vu que la situation est bien inconfortable pour moi maintenant et qu’il serra difficile de faire machine arrière. Il va peut être m’assassiner! Au moment, où ces pensées funestes me préoccupent, il m’embrasse la nuque, lèche mon cou, mordille mon oreille. Je vais m’évanouir. La crainte de l’homme, l’interdit du sexe, la peur d’être surpris se mêlent à des sensations que je n’ai jamais éprouvées jusqu’à cet instant, des vibrations dans le corps, des embrasements dans le cerveau.
Sa langue essaye de pénétrer ma bouche. Je résiste. J’ai toujours trouvé sale les baisers sur la bouche. Sa main droite appuyée vigoureusement sur ma nuque, la compression de sa langue entre mes lèvres se fait plus puissante. L’intérieur de mes lèvres est mouillé. Je le sens farfouiller dans ma bouche avec ses lèvres, sa langue. Nos salives se mélangent.
— Tu embrasses bien. Viens dans la voiture, nous serons mieux.
Il pose délicatement sa main sur ma queue encore sortie et dorénavant dure de 17 cm. Il la rentre dans le jeans avec difficultés. Je porte des jeans très étriqués. Assis confortablement sur les sièges en cuir, l’homme ferme les portes et les vitres teintées presque noires laissent percer le jour du matin, tout en évitant les regards indiscrets.
— C’est la première fois que tu vas faire l’amour avec un homme?
— Oui, monsieur, mais je ne crois que je ne vais pas le faire, j’ai honte.
— Tu as une queue merveilleuse et il faut s’en servir. Tiens, touche la mienne.
Et joignant le geste à la parole, il extrait son gros mandrin de son pantalon tergal. Un truc énorme qui me captive. Comment puis-je être si attiré par un sexe d’homme? Je le regarde. Il me prend ma main et la dépose sur l’engin. Mes doigts effleurent le gland, puis sous sa pression enserre totalement la hampe, qui a pris des proportions impressionnantes.
— Tu en as déjà vu des grosses comme cela, mon petit?
J’avais bien vu dans les vestiaires de l’école le sexe d’un garçon noir, qui au repos me paraissait très gros et aussi celui de mon cousin quand il dormait à la maison et prenait sa douche sans se cacher, mais là rien à voir. J’avais dans ma main, une protubérance tout excitée d’un mec qui avait au moins trois fois mon âge.
— Et, tu sais ce que tu vas faire avec ce sexe?
Je prends mon air le plus interrogatif en imaginant qu’il va peut être me demander de le sucer. À cette idée, ma queue gonfle à bloc. Il s’en aperçoit et la libère totalement de sa demeure. L’homme était sûr de lui. Serein, décontracté, souriant, extrêmement doux et direct à la fois. J’étais comme fasciné par cette présence.
— Je peux t’embrasser? me dit-il avec tendresse.
Je ne réponds pas et me laisse diriger. Il s’avance vers moi, me prend le visage dans ses deux mains et approche sa bouche de la mienne. Comme tout à l’heure, il mouille mes lèvres et s’introduit doucement. Sa langue farfouille mon intimité. Emporté par une pulsion que je ressens pour la première fois, je lui rends ses baisers, laisse ma salive rencontrer la sienne. Je ferme les yeux avec toujours dans le creux de ma paume son gigantesque pénis, de plus en plus gonflé et rougeâtre.
Puis, tout va très vite. Il me déshabille. D’abord mon tee-shirt, puis mon jeans. Il m’aide à me redresser pour extraire mon slip et me laisser nu comme un vers dans cette voiture avec cette présence chaude, intime, je pourrais dire intrusive. Cette intrusion va se poursuivre avec ses caresses, sa bouche qui tête mes tétons, qui descend sur mon ventre glabre, s’introduit dans mon nombril, viens se perdre dans mes poils roux pour enfourner ma bite, la lécher. Je suis aux anges et m’envole vers un autre monde. Celui du plaisir, de l’extase. Monde que j’ai maintenant la chance de connaître et qui va donner un sens à ma vie.
De temps en temps, il se relève, me donne un baiser sur les joues, cherche ma langue avec la sienne et reprend sa fellation. Et quelle fellation! Ses mains s’aventurent dans mon entrejambe. Je ressens dans les plis de l’aine un doigt mouillé par sa salive qui va et vient, qui approche les abords de mon petit trou du cul. Je n’ai jamais pensé que l’on pouvait obtenir de la satisfaction en se touchant ce qui nous sert à déféquer. Le dégueulasse se transforme soudain en jouissance. Inversion des perceptions sous l’influence des émotions. J’ai un peu mal quand il introduit un doigt, puis deux, mais il me regarde avec tant de bienveillance, me sentant maintenant tout à lui. "Suis-je en train d’être enculé?" me dis-je, revenant une minute à la réalité.
— Tu vois comme c’est agréable d’avoir un doigt dans son derrière. J’adore tes fesses.
Il a d’ailleurs commencé à les pétrir avec l’autre main. J’ai les jambes surélevées tendues dans sa direction en oblique. Je ne vois pas comment le contredire. J’éprouve un trouble absolu. L’humiliation de la situation, deux doigts dans le cul, les jambes en l’air devant cet inconnu, me montrant ostensiblement sa virilité. Un affolement s’empare de moi. Je respire avec saccades. Je suis surpris de voir des gémissements s’échapper de mon corps, de ma bouche, de mes lèvres. L’explosion arrive, sous les agissements de la langue sur mon gland et les aller et venues de plus en plus rapide dans mon intérieur. Il tête en aspirant jusqu’à ce que je n’en tienne plus. Je ne veux pas jouir dans sa bouche. Quelle honte! Un monsieur si chic. J’essaye d’enlever mon sexe hyper tendu de son emprise sans succès. Il tient bon. J’abdique. Et, quatre ou cinq jets d’un liquide visqueux, blanchâtre inondent mon initiateur. Il sort mon sexe, le rentre à nouveau. Le regarde. Le lèche. L’astique jusqu’à qu’il n’y ait plus aucune trace de jute.
Nous restons quelques minutes dans une apesanteur céleste. Je suis honteux de mon comportement indécent, de m’être laisser porter à des actes si contraire à ce que j’aurais pu imaginer et souhaiter. Et, pourtant, mon sexe reste dur et je me sens de plus attiré, aimanté par son dard de plus de vingt centimètres, qui ne demande qu’à être adoré, comme le mien l’a été. Je ne sais si mon geste est spontané ou s’il m’aide à diriger mon visage vers l’objet qui tient une place unique dans cet espace fermé et qui est au centre de ses attentes et de mon tourment. Il frotte légèrement sa hampe sur ma joue.
— Tu es beau. Je vais te guider. Tu vas faire comme avec une glace, délicatement, aller donnes moi du plaisir comme je t’en ai donné.
Je me lance dans cette nouvelle aventure, incroyable il y a encore quelques minutes. J’engouffre avec volupté son manche. Je ne peux l’entrer complètement au vu de sa grosseur et mon inexpérience.
— Mouille bien le bout, passe la langue en dessous, voilà, tête bien le gland, le gros morceau violacé au-dessus, tu vois bien...
Je suis tout à coup un autre. Me laissant conduire par ces paroles et l’excitation de l’homme. Le contact étroit avec sa queue m’électrise. Je la respire, la goûte, apprécie ses mouvements et ses tensions au sein de mon gosier. Il m’a pris par mes cheveux roux, plutôt court et m’indique avec plus de vigueur la marche à suivre pour partager avec lui son bonheur. Il rugit. Sa voix se fait plus grave, plus puissante.
— Tu me donne tant de plaisir avec ta bouche. Lèche-moi les couilles, mon petit, bien en dessous, là tu vois? me dit-il en soulevant ses bourses afin que je puisse atteindre une zone poilue entre les couilles et son trou du cul.
Au point où j’en suis, je suis prêt à tout. Je sors ma langue et la passe et repasse là où il le désire. Il se branle avec énergie et enthousiasme en même temps.
— Viens goûter à mon jus.
Et, un déluge se produisit. J’ai heureusement fermé un peu la bouche pour ne pas tout ingurgiter, laissant le sperme s’étaler sur l’ensemble de mon visage. Combien de secousses, de jets, de cris? Je n’en sais plus rien. Je me souviens seulement, l’avoir longuement sucé avec le goût âcre de son jus qui devient de plus en plus excitant, transgressif.
Il reste environ dix minutes. Mon visage aspergé de sa semence au niveau de son bassin. Me caressant avec douceur les cheveux et m’invitant à lui donner quelques baisers presque chastes sur la bouche.
Nous nous rhabillons. Il me dépose à l’entrée du village de ma destination.
— Au revoir et merci.
— Au revoir.
Je n’ai jamais revu cet homme qui m’a éveillé aux plaisirs du sexe sans tabou.
Rico en 2003
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