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vidéo : Alors là, j'ai pas compris pourquoi mon ex qui m'avait toujours opposé un refus, se la faisait mettre dans l'anus sans chichis ni tabous par son nouveau mec ...(bien plus moche que moi d'ailleurs) et en criant de plaisir.... ???
Photos fake
ndlr : posons-nous la question de savoir s'il n'y a pas baucoup, beaucoup de similitudes entre hommes ?
« C’est un penchant naturel, ça ne s’explique pas.il faut bander assez dur pour que ça marche… Les jeux du désir et de la sexualité sont des jeux de pouvoir. Il y a toujours l’idée d’aller là où je ne suis pas invité à aller...Mais de là à conclure que cela révèle un désir homosexuel, ce serait une interprétation des plus sauvages. » |
On leur a posé la question, et leurs réponses sont assez surprenantes.
Pourquoi aimez-vous sodomiser vos compagnes ? La question n’est ni évidente à poser, ni simple à entendre. Pourtant, des hommes ont accepté de jouer le jeu, et leurs réponses sont assez surprenantes. Au lieu d’évoquer des sensations ou des fantasmes débridés, ils saluent, avec une belle unanimité, le « don total » de la femme en cette circonstance.
Certains parlent même d’absolu : une femme qui parvient à surmonter sa douleur, son appréhension et, bien souvent, ses préjugés donne le sentiment de se livrer tout entière. Et cet abandon, cette confiance semblent donner tout son prix à cette pratique.
Selon une récente enquête(1), les femmes sont nombreuses à avouer leur réticence pour la sodomie : parmi les 8,7 % qui reconnaissent la pratiquer (60,1 % ne la pratiquent pas et 31,2 % ne se prononcent pas !), 52,9 % affirment « ne pas apprécier ». Pour les hommes qui ont témoigné, la résistance féminine semble être la clé de leur désir. Sans doute pour avoir le plaisir de la vaincre. « Peut-être, mais pas seulement, tempère la psychanalyste Sophie Cadalen(2). Les femmes aussi veulent arracher de l’autre une jouissance qu’il ne connaîtra qu’avec elle. La sexualité est toujours une petite bataille. Les jeux du désir et de la sexualité sont des jeux de pouvoir. Il y a toujours l’idée d’aller là où je ne suis pas invité à aller. On veut sonder la partie de l’autre qu’il ne nous ouvre pas et que, bien souvent, il ne nous autorise pas à pénétrer. C’est cette profondeur de l’autre qui nous attire. » Tant il est vrai que, ici comme ailleurs, le désir se nourrit toujours de ce qui lui échappe.
1. Marc, 32 ans, ingénieur, célibataire, « … un cadeau de la femme »
« J’ai eu ce fantasme pendant très longtemps, mais depuis que je l’ai réalisé, j’y pense moins. L’aspect technique m’a un peu rebuté. Il faut une
préparation. C’est un peu pénible pour la femme. Son acceptation n’est d’ailleurs pas évidente à obtenir. Le fait qu’elle accepte est sans doute plus excitant que la chose elle-même. C’est un
cadeau qu’elle fait, la preuve qu’elle a vraiment envie de se donner. C’est plutôt gratifiant. Mais au niveau de la sensation elle-même, je ne trouve pas que ce soit mieux, ça glisse moins bien,
du coup il faut utiliser un lubrifiant. En plus, il faut bander assez dur pour que ça marche… Tout cela fait que cela m’excite moyennement, ce n’est pas quelque chose après lequel je cours.
»
2. René, 35 ans, employé de banque, divorcé, « … un jeu amoureux
comme un autre »
« D’abord, j’aime la sensation. Le pénis est plus étroitement enserré dans l’anus que dans le vagin. C’est très agréable. Mais, surtout, j’ai le
sentiment qu’une fille se donne davantage de cette manière-là, surtout lorsqu’elle est d’abord réticente. J’aime faire en sorte que son désir devienne si fort qu’elle en oublie la douleur. C’est
peut-être mon orgueil de macho qui transparaît là, mais ce qui me plaît, c’est la conquête plutôt que la domination. Pour moi, la sodomie est un jeu amoureux comme un autre. Une complicité que
l’on partage à deux. Je n’ai le sentiment ni de soumettre une femme, ni de transgresser un tabou. C’est un plaisir différent, c’est tout. Si une fille s’y refuse totalement, je n’insiste pas et
je ne le vis pas comme une frustration. »
3. Jean-François, 39 ans, publicitaire, en couple, « … abolir toute résistance »
« J’aime la sodomie par goût de
l’interdit ! La sodomie est contre nature. Il n’y a pas de procréation à la clé. C’est le symbole même de la luxure. Voilà pourquoi j’adore ça… La réticence de la femme est importante à mes yeux.
J’aime dominer. J’aime forcer une résistance. Ce qui me fascine c’est le “non, non, non” qui se transforme en “oui, oui, oui”. C’est peut-être une question d’ego : être
un tellement bon amant que la femme finisse par abolir toute résistance… »
4. André, 45 ans, instituteur, marié, « … un ingrédient indispensable de la relation »
« C’est un penchant naturel, ça ne s’explique pas. Du reste, je n’en parle jamais. Je ne demande jamais à une femme l’autorisation de la
sodomiser. Je la prépare en douceur, avec les doigts et la langue. J’essaie de lui communiquer mon désir. Je prends tout mon temps. Je n’ai aucun fantasme de domination. D’ailleurs, très
souvent nous le faisons face à face. Pour moi, la sodomie fait partie des ingrédients pour atteindre la globalité de la relation. Sans elle, la relation sexuelle ne serait pas complète. Ma
femme était au départ réticente, mais maintenant elle adore : c’est pour nous une pratique très fréquente. On commence par un câlin, on enchaîne avec une pénétration vaginale et on finit par la
sodomie. Par le passé, j’ai révélé à beaucoup de femmes ce plaisir-là. Quand j’essuyais des refus, je trouvais cela très frustrant : une femme qui me refuse, c’est qu’elle n’est pas prête à se
donner complètement. »
5. Luc, 52 ans, peintre, divorcé, « … une preuve d’amour »
« Une femme qui se laisse sodomiser est une femme capable de se donner au-delà d’elle-même. C’est ça qui est excitant pour un homme.
Personnellement, c’est de cette manière que j’ai connu mes plus grandes jouissances. L’anus se referme sur le sexe, comme une main ou une bouche. Je n’ai jamais rien connu d’aussi fort… La
première fois que je l’ai fait, c’était par erreur : j’avais 18 ans, je n’avais aucune expérience, emporté par ma fougue, je me suis trompé d’orifice. Mais j’en ai gardé un souvenir si ému que
j’ai toujours recommencé avec toutes mes compagnes… Si une femme me le refuse, je pense tout simplement que c’est parce qu’elle ne m’aime pas. Ou pas assez. Ou pas comme je voudrais qu’elle
m’aime. C’est-à-dire sans limites… »
6. Benjamin, 21 ans, étudiant, célibataire, « … un degré de plus dans l’intimité »
« La sodomie, c’est un truc tabou, que la
société considère un peu comme une déviance. C’est pourquoi elle a peut-être une force significative plus grande. Il y a quelque chose de plus fusionnel, de plus intime qui s’instaure entre la
fille et vous. Chaque fois, ça m’a rapproché d’elle, comme une expérience que l’on partage en plus de la sexualité normale. C’est ce degré de plus que je trouve excitant. Après, il y a la notion
d’interdit, de “sale”, de “pervers” qui doit aussi participer à mon excitation, même si je n’en suis pas très conscient. En tout cas, pour vivre cette expérience un peu interdite, il faut déjà
être assez complices. Les quelques filles avec lesquelles je l’ai fait, ce n’étaient pas des one shot, mais mes petites amies officielles. »
7. « Cela peut être une façon d’éviter la rencontre avec le sexe féminin »
Catherine Blanc, psychanalyste et sexothérapeute, revient sur l’interrogation de certaines femmes : l’amateur de sodomie est-il un homosexuel
refoulé ?
« La pénétration anale a ceci de particulier qu’elle porte le poids d’un tabou moral et psychologique important. Elle inscrit le rapport sexuel dans
la recherche exclusive de plaisir, sans aucune reconnaissance du but “naturel” de l’accouplement : la procréation. Car même inconsciemment, la possibilité de grossesse joue toujours un rôle dans
la sexualité du couple.
Et c’est peut-être à partir de ce point de vue que la femme a une lecture différente de la demande de sodomie. Envisagée sous un angle “improductif”, la femme peut y entendre une négation de ce qu’elle est, le vagin rendant compte de la spécificité féminine. Or celui-ci flirte aussi avec la spécificité d’enfanter : la femme peut y voir le lieu de son pouvoir. Le pénis en révèle les contours, crée la magie des vibrations de la jouissance et pourrait y déposer le sperme fécondant. La femme l’envisage comme l’instrument même de la virilité. Dès lors, que cache cette inquiétude – “Est-il homosexuel ?” – si ce n’est la représentation que la femme se fait d’un homme qui ne lui apporte rien de ce qu’elle attend en priorité ?
Bien sûr, le désir masculin de sodomie – surtout lorsqu’il est récurrent, voire obsessionnel – peut rendre compte de ce désinvestissement du féminin ou de la peur qu’il génère. Cette pratique peut être la tentative de contourner, d’éviter la rencontre inquiétante avec le sexe féminin. Mais de là à conclure que cela révèle un désir homosexuel, ce serait une interprétation des plus sauvages. »
A LA RENCONTRE DES COMMENTAIRES :
- 24/11/2013
La sodomie, c'est très fort et c'est très bon si c'est bien fait. Il faut que la femme soit prête (excitée et en confiance) et que son anus soit érotisé. C'est une zone sensible qui justifie les craintes, en plus des tabous. Il faut "l'éduquer", l'érotiser progressivement avec les doigts et de la salive. Certaines femmes sont déjà quasi-prêtes depuis leur petite enfance où elles prenaient du plaisir à controler leur défécation (ce qui est vrai également pour les hommes). Ma compagne avait fait des essais décevants avec ses ex et n'avait pas eu de plaisir, mais de la peur. Elle a découvert avec de la confiance et de la délicatesse, des sensations qu'elle n'avait jamais connue. Elle a surtout découvert qu'elle pouvait aimer la sodomie et avoir beaucoup de plaisir d'une manière nouvelle. Mais ce n'est qu'une variante de plus dans le jeu érotique qui renforce le couple et on aurait tort de se priver ! Celui qui ne fait que cela est dans la pathologie et ferait mieux de consulter un spécialiste...
Je trouve dérangeant qu'un homme puisse éprouver plus de plaisir sous pretexte que la femme a dû surmonter sa DOULEUR pour lui faire ce plaisir. Vraiment, il y a quelque chose de malsain à se faire plaisir sur la douleur de l'autre, ca tient du sadisme...
Ce que je viens de lire est vraiment du domaine d'un cirque . Tout d'abord ce n'est pas un acte gratuits ou la femme fait dont de son posterieur a son homme comme elle offrirait un susucre a son caniche .l'anus est très sensible. Bien préparé,(caressé délicatement, léché tendrement tel une glace qui fond au soleil, pénétré du bout de son doigt, voir même chatouillé avec une plume ou une fleur, ext...) il s'ouvre tout seul tel une rose qui ne demande qu'a être cueilli . De la sorte nul besoin de lubrifiant chimique ou autre, et la douleur n'est pas au rendez-vous.Il n'est pas necessaire d'avoir une errection de grec ou de barreau de chaise bien au contraire. Je sais de quoi je vous parle car j'ai vécu 19ans avec une femme, et 5 avec un homme.A ce jour ma femme ne pratique pas,mais avoue son refus clairement psychologique. Donc respect . Demandez à vos maris d’être moins bourrin de ne pas hennir tel un poney, mais de prendre le même temps à vous caresser que ce qu il prend à bichonner sa bagnole ou parler de football .Vous verrez mes dames que le 7e ciel est proche, même par ce chemin la. Pour répondre à celui qui dit plus haut .je cite : (demandez à votre mari d'essayer avant de vous le faire). Je lui conseillerais même vivement d'essayer, car chez un gros pourcentage d'homme leurs anus titille leurs esprit mais leurs matchisme leurs en interdit . Restons sérieux et honnête avec soi même n'est ce pas messieurs ? ;) n'oubliez pas je suis aussi un homme . Je ne prône pas pour tel ou tel acte mais pour le plaisir propre respectueux et bien fait tous simplement !. A chacun sa sexualité,mais pitié ne dites pas n'importe quoi au risque de gâcher un plaisir différent et tout aussi intense a des personnes qui n'osent pas franchir le pas . wouaou j'ai mangé du cheval ce matin ? d’où me viens cette inspiration? allez bonne journée a tous ;)
Je rejoins le commentaire de laritiana. Je ne suis ni réactionnaire ni fermé mais là je trouve certains commentaires trop explicites et même vulgaires. J'en éprouve un profond malaise. Ces phrases : "nous pratiquons la sodomie avec beaucoup de bonheur et pour moi c'est une vrai jouissance" de chipie2769 ( jouissance animale luxuriante)ou encore "Depuis avec mon mari, nous pratiquons la sodomie régulièrement. J'y prends un plaisir intense, une vraie jouissance..." de laure371 (instinct bestial exibitionniste ;vous verrez quand votre gamin tombera sur vos commentaires) ; ces phrases sont trop crues et vulgaires. Faites ce qu'il vous plait MAIS surtout gardez pour vous même les détails de votre intimité. On peut laisser son avis sur un sujet de ce type sans tomber si bas. Les autre avis sonnaient juste tout en étant un plus mesuré.
moi au début j'étais réticente mais après la première et la troisième reprise j'ai pris mon pied surtout que mon mec savait s'y prendre car avec une bonne érection une lubrification et un plaisir au rendez vous c'est la jouissance en plein je ne le fais pas très souvent mais quand on le fait on savoure j'aime me faire sodomisé à l'instant là je remet tout mon plaisir entre les mains de mon partenaire il me caresse le clito ses va et viens et ses gémissements m'excite encore au plus haut point quand on arrive à la jouissance nous sommes tous deux satisfait.
la vie sexuelle devrait rester dans le domaine privé, je trouve très racoleur toutes ces unes de magazine sur le sexe, et franchement c'est peu ragoutant de lire toutes ces descriptions. Le désir est quelquechose de tellement plus subtil et qui justement se doit d'être privé.
À 38 ans, marié.Pour moi, lorsqu'une femme me demande de la sodomiser, c'est le cadeau de l'amour qu'elle me porte et une récompense du plaisir que je lui apporte. Bien souvent, j'ai initié des femmes mariées à cette pratique et je ne comprend pas pourquoi attendre 40 ou 50 ans pour le faire avec un amant plutôt qu'avec son mari. Naturellement, c'est encore plus gratifiant pour moi et chéri particulierement ces moments-la.
bonjour je peux temoigner que sur une soixantaine de partenaires sexuelles environ ( je n'ai pas compté )seules trois m'ont explicitement demandé de les sodomiser pour ma part je ne suis pas demandeur mais je ne trouve pas cette pratique désagréable .maintenant Mesdames ,si votre partenaire veut vous imposer la sodomie allez acheter un godemiché et proposez lui de tester la chose avant de vous l'imposer bises à toutes
Je me sens différente aujourd’hui, L’expérience de la sodomie m’a troublé,Une envie de réessayer mais pourquoiDe sentir cette excitation monté en moiSentir se va et vientN’attendre qu’une seule chose qui me pénètre à nouveau dans mon vaginSentir ses caressesSes baisersL’excitation montée en luiVenir sur luiGuider son sexe entre mes fessesLe laisser glisser en moiEt venir caresser mon clito contre le bas de son ventreAu point de venir comme celaD’éprouver une certaine gène de l’inconnuDe ne pas comprendreDe ne plus éprouver les mêmes sensationsD’avoir toujours plus envie de faire l’amourDe jouir à nouveau normalementD’avoir envie d’expérimenter d’autres chosesD’autres fantasmesD’avoir confiance en luiD’être totalement donné à lui
Bonjour. Je pense que tout est dans la tête. Le côté tabou peut aussi augmenter l'excitation. Parfois j'aime, d'autres fois, je n'en ai pas envie. Mon mari (depuis 30 ans) y prend beaucoup de plaisir. Mais c'est aussi psychologique car parfois, alors qu'il croyait me sodomiser, et que laissais le doute planer, il jouissait très fort. Il arrive aujourd'hui que le plaisir soit effectivement très intense. Tout est envisageable entre personnes consentantes !
bonjour,je viens de lire vos différents posts et voulais partager mon sentiment vis à vis de la pratique de la sodomie.En ce qui me concerne j'adore, j'ai essayé 4 fois dans ma vie la première bof bof, j'ai eu mal. La deuxième tonnerre de brest, j'en ai joui de façon assez surprenante. Lorsque l'homme m'enfile en finesse, lubrifiant mon intérieur et son sexe, le jeu est un artifice de sensations très agréable. Je n'hesiterai pas à demander à le refaire, mais attention il faut etre excité de préléminaires avant, être en confiance totalement. Un conseil, pour ne pas être debouté, faut bien se laver au préalable c'est important pour éviter les problèmes techniques. Soyons fous, soyons sexe. à deux.
Je n'ai pas souvent pratiqué la sodomie simplement parce que les femmes que j'ai côtoyé de près ne l'acceptaient pas. Pour les quelques occasions ou je l'ai pratiqué ça a été plus ou moins une réussite. De mon coté j'ai découvert il y a assez longtemps que la sodomie pouvait être une source de plaisir, encore plus quand pratiqué en même temps qu'une fellation. Il m'arrive de me masturber analement avec un gode mais j'avoue que le plaisir n'est pas toujours au rendez-vous, cela dépend certainement de mon humeur des circonstances et,sans jeu de mot, de la phase de la lune...Je crois dans la pratique de la sodomie, que tout est question d'ouverture, de désir et de plaisir; il faut que tous les 3 soient présents. Le respect de l'autre est essentiel et le faire quand il a réticence m'est impossible. Cela ne me pose aucun problème quand ce n'est pas au rendez-vous car il y a bien d'autres moyens de se faire du bien à deux...
Bonjour,J'aime la sodomie, surtout lorsqu'elle est partagée, pourquoi demander à la femme, que je suis, de faire ce don de moi et que mon partenaire ne m'offrirais pas le plaisir de le pénétrer par la voie étroite du plaisir?L'amour n'est il pas un partage? une réciprocité?Joëlle
J'aime la fellation et je crois que c'est le cas de l'immense majorité des hommes.En revanche la sodomie ne m'a jamais attiré avant le préservatif. L'idée de pénétrer un endroit merdeux n'était pas du tout érotique pour moi, et je ne m'y suis prêté qu'une fois, à l'âge de vingt ans, parce que ma copine me l'avait demandé. Je n'ai pas aimé.Le SIDA a remis à l'honneur le préservatif rend l'idée plus acceptable.En revanche j'adore me faire prendre par une femme. Si on met du lubrifiant la première et la deuxième fois, tout se passe bien. Ensuite on n'en a plus besoin.Comme les godes que ma partenaire utilise sont de la taille de mon sexe ou plus gros, je me dis que je ne vois pas pourquoi un sexe réel, plus souple, ferait mal.Je ne peux pas conseiller la sodomie aux femmes puisque je n'ai pas de vagin et que je ne peux donc pas comparer.Mais je peux garantir que j'y prends un tel plaisir que je suis au bord de la jouissance le plus souvent.
Je suis Un Homme hétéro absolu et la sodomie a toujours été mon phantasme absolu mais je ne l'ai réellement réalisé qu'assez tard (a de 50 ans...ma femme étant farouchement opposée à cet acte... ce que je respecte totalement...)avec une amie qui adore cette pratique. J'aime par dessus tout l'idée de réciprocité défendue par Heimaey et lorsque nous pratiquons ces caresses, je lui demande toujours de me les prodiguer... (doigts, langue, vibro...). C'est une pratique qui se fait dans la complicité et le jeu....
le garçon qui m'a initié l'a fait avec tant de respect vis à vis de moi et de préparation... j'avais envie de connaitre.Depuis avec mon mari, nous pratiquons la sodomie régulièrement. J'y prends un plaisir intense, une vraie jouissance... bien différente d'une jouissance vaginale. J'aime les deux, sans tabou, j'assume et je suis heureuse ainsi.
La première fois que je l'ai pratiqué ce fut avec une fille très respectueuse et très dévouée pour moi. Moi je trouve que c'est un plaisir plus sensationnel que celui du vagin. Je l'ai pratiqué plusieurs fois mais mais à un certains moments ma conjointe se sentais très mal.
pas prendre le sien en sachant que ça sera mille fois moins bien que de coutume POUR MOI. (Désolée ;-) J'avais oublier ces mots !)
Moi je n'aime pas ça, j'ai essayé plusieurs fois, parfois pendant j'oubliais la douleur pour me concentrer sur l’excitation que cela m'apportait de me savoir dominée (j'aime être dominée) mais ce jeux là m'a vite calmée... Ce n'est pas assez spontanée, ça ne vient pas naturellement et je n'y trouve pas un plaisir assez satisfaisant pour continuer. On l'a fait plusieurs fois mais on a arrêter. Par contre j'ai une amie qui adore ça et qui a adoré de-suite ! Comme quoi ce n'est pas forcément une question d'Amour mais de sensations ! Je suis prête à aimer mon homme sans limite, à entendre tous ses désirs etc. Mais ce n'est pas pour ça que je vais me plier a des pratiques qui ne me satisfont pas. J'ai aussi un respect de moi même qui me permet de ne pas infliger des choses à mon corps, lors que celui ci ne les apprécient pas. D'ailleurs, mon copain n'a plus envie, les rares fois ou je lui propose car je me sent de le faire, il refuse : il veut me donner du plaisir, pas prendre le sien en sachant que ça sera mille fois moins bien que de coutume. C'est aussi ça aimer !
La première fois fut avec un inconnu et ce ne fut pas terrible, mais je n'avais aucune appréhension ni aucune réticence. La 2e fois fut aussi avec un inconnu, mais en revanche mon désir était tellement fort, tellement puissant... depuis il est devenu l'homme de ma vie et nous le faisons régulièrement avec une soif l'un de l'autre. Il y a aucun tabou, aucun interdit qui nous excite à le faire, nous sommes des gens natures à la base... c'est simplement une sensation fantastique et avec l'amour, ça devient encore plus incroyable.
Pourquoi les hommes affirment-ils qu'une femme qui refuse la sodomie ne se donne pas entièrement ou ne les aime pas ? Pourquoi les femmes seraient-elles obligées de subir leur besoin de domination sur la femme ou leurs fantasmes pour leur prouver leur amour ? Et eux, les hommes, que font-ils pour nous prouver leur amour ?
je suis un homme qui aime la sodomie ,c'est un fontasme sexuel enorme , avec ma partenaire on la pratique souvent , elle aussi aime ça , c'est elle qui choisie souvent les positions , elle adore la levrette . pour éviter les douleurs il suffit d'utiliser un bon lubrifiant et mettre la partenaire à quatre patte et surtout bonder de façon à avoir un sex dur si non ça marchera jamais .
BONJOUR.moi je suis une femme qui adore faire l'amour;mais jamais je n'accepterai la sodomie méme par amour? pour moi c'est bestial de plus ça fait trés mal à la femme;et pour moi faire l'amour c'est que du plaisir et pas de la souffrance.Il y a aussi différentes maniéres et positions de faire l'AMOUR sans la sodomie.
La sodomie, j'ai essayé et peu aimé. Disons que sans une profonde complicité, je n'arrive pas à donner cet instant à un homme. J'ai un jour découvert que je pouvais moi aussi "sodomiser" un homme, simplement avec mes doigts. Pratique qui m'a procuré une grande excitation : en partant du principe que ce "trou" est le même, que ce soit chez un homme ou une femme, je ne me laisse aller à la sodomie que si l'homme accepte d'abord de connaitre cette sensation, qu'il ait dépasser cette futile idée d'atteinte à se virilité.
bah à la question 'as tu des tabous?' je lui réponds oui...j'aime pas ça, ça ou ça... 'ce n'est pas grave, j'aime ta franchise et ta personne...' Le regard sur l'autre se modifie et on se decontracte plus...l'autre peut ainsi tenter sans pévenir : ça passe ou pas, mais ça n'interrompt pas le réel plaisir à s'amuser... simplement et amoureusement.
linda Franchement j'aime pas trop, je stress a l 'idée d'en passer par là car la pluspart des hommes posent la question fatidique" as tu des tabous?"On n'ose pas dire non.. car on sait que les hommes aiment ça de peur de les rebuter et de se faire passer pour une coincée. Pour moi c est un calvaire et du coup pendant un rapport sexuel je ne vis pas ma séxualité à fond.
moi on éssaye avec mon copain petit a petit mais c'est loin d'étre facile vu que j'ai toujours peurs d'avoir mal malgré les lubrifiants. J'ai 28 ans et ma mère m'a toujours dit que cette pratique était quelque chose de sale et de pas normal mais comme dit mon copain si c'est pas normal pourquoi les homos ainsi que les Romains dans l'antiquité le fesait? J'ignore pourquoi la sodomie parait autant tabou, sans doute es pour ça que je n'arrive pas à me détendre quant j'éssaye avec mon copain...
j'ai 40 ans et suis en vie maritale avec mon ami de 42 ans. nous pratiquons la sodomie avec beaucoup de bonheur et pour moi c'est une vrai jouissance. d'abord il faut savoir qu'il existe des lubrifiant anals qui assouplissent l'anus rendant la pénétration non douloureuse et il est vrai que c'est une sorte de "soumission" que de se donner ainsi. le conseil que je donnerais a tous les couples est qu'il faut surtout que sa reste un jeu et un partage. et quand c'est fait avec beaucoup d'amour il n'y a que du bonheur au bout. le sexe est un plaisir mais surtout la rencontre de 2 corps unis par l'amour.
L'histoire antique comparée à notre moderne civilisation
2015 : Tout commence bien souvent par un jeu. "Just imagine" Hadrien et son jeune esclave à leurs débuts
Je ne doute pas un seul instant que le nom d'Antinoüs ce jeune Bithynien favori de l'empereur Hadrien, ainsi que l'œuvre inoubliable de Marguerite Yourcenar : Les mémoires d'Adrien (où elle évoque avec délicatesse et romantisme, cette relation passionnelle qui unit ce jeune garçon à son empereur) résonnent dans tous les esprits. Mais peut être que pour certains un petit rappelle s'impose.
Hadrien, empereur de Rome nourrissait une passion dévorante pour les jeunes garçons. Sa rencontre avec Antinoüs remonte probablement à l'hiver 123 ou au printemps 124 lors de sa visite à Claudiopolis. Le jeune Grec d'une beauté indicible devient alors le favori de l'empereur.
La mort d'Antinoüs.
"Ce cadavre et moi partions à la dérive, emportés en sens contraire par deux courants du temps."
Mémoires d'Hadrien.
Marguerite Yourcenar.
Contrairement à sa date de naissance que le l'on ne peut qu'évaluer en fonction des statues qui le représente à la fin de sa vie, le lieu et la date de sa mort sont connus. Le jeune éphèbe se noie probablement par hydrocution, dans le Nil lors d'un voyage en Egypte en octobre 130, probablement le 25. Les causes de cette noyade sont restées mystérieuses. Plusieurs explications sont avancées. Pour sa part Hadrien a toujours pensé qu'il s'agissait d'un simple accident. D'autres, auteurs ou historiens avancent des hypothèses différentes. Certains pensent que le garçon se serrait donné la mort par peur de déchoir, d'autres, que le jeune grec se serrait offert en sacrifice pour des pratiques divinatoires pour prolonger la vie de l'Empereur. Quelques voix plus rares, évoque la thèse du meurtre, mettant en avant qu'Hadrien envisageait d'adopter son amant, ce qui aurait fait de lui son successeur, idée qui n'était pas du goût de tous.
Le culte d'Antinoüs.
L'empereur est très éprouvé par la mort de son compagnon. Il fait embaumer la dépouille du jeune défunt, les égyptiens le divinise sous les traits d'Osiris, une ville sera fondée au bord du fleuve, Antinoupolis, qui accueillera le culte d'Antinoüs, et chaque année célèbrera sa mémoire à travers des jeux, réservés aux éphèbes. Il ramène d'Egypte un obélisque connu sous le nom d'obélisque de Barberini, dont trois des faces sont consacrées à Antinoüs et la quatrième à la gloire d'Hadrien. L'obélisque serra dressé sur la tombe même du nouveau dieu. Il commande des statues et bustes à l'effigie du jeune Bithynien qui deviendra ainsi l'un des personnages de l'antiquité grecque et Romaine le plus représenté sur le pourtour méditerranéen. Son nom est donné à une constellation formée de cinq étoiles de l'actuelle constellation de l'Aigle. En Grèce, patrie du jeune garçon, des monnaies sont frappées à son effigie ainsi qu'en Egypte pour le cinquième anniversaire de sa mort. Et, sous l'impulsion d'Hadrien, le culte d'Antinoüs va devenir à travers l'empire la dernière plus grande religion avant le Christianisme.
Si les circonstances de sa mort sont restées un mystère une autre énigme entoure l'un
des plus célèbre personnage de l'antiquité Romaine : la question de l'emplacement où fut édifié son tombeau. Nul ne peut situer aujourd'hui, avec certitude l'endroit où repose le jeune
amant de l'empereur Hadrien. La réponse à cette question se trouve dans les textes gravés sur l'obélisque de Barberini (haut de 9.5 mètres, retrouvé à Rome au début du
XVIe siècle près de la porta Maggiore dans les ruines du Circus Varianus). Malheureusement cette sculpture fut retrouvée brisée en trois morceaux, et le passage qui
situe le lieu du tombeau d'Antinoüs se trouve à l'endroit d'une de ces brisures.
Cependant plusieurs hypothèses ont été avancées par les historiens et égyptologues qui au cours des siècles et plus récemment au cours du 20 e Siècle se sont attelés à déchiffrer
ces hiéroglyphes.
La logique voulait qu'Antinoüs ait été enterré dans la ville
d'Antinoë fondée sur les lieux de sa fin tragique, puis cette idée a été abandonnée par des chercheurs qui firent valoir que l'obélisque a été retrouvé à Rome et non en Egypte et que
d'autre part il est difficile d'imaginer que m'empereur Hadrien est abandonné le corps de son bien aimé en terre étrangère.
Le palais de Vénus à Rome consacré en 135 par Hadrien fut aussi avancé mais il est peu probable que l'empereur ait osé associer ce garçon et la relation controversée qu'il entretenait avec
lui avec des valeurs aussi traditionnelles que celles incarnées par la déesse Vénus.
Toujours à Rome le palais du Palatin, résidence des empereurs et plus particulièrement le jardin d'Adonis a retenu l'attention des égyptologues. Tout d'abord sa situation et le type lieu
s'accordent avec les traductions les plus réalistes faites des textes retrouvées sur le monolithe, d'autre part c'est dans ce jardin que fut retrouvé l'obélisque et enfin l'idée que
l'empereur ait voulu réunir ces deux éphèbes semblables par leur beauté et leur fin tragique, a séduit plus d'un historien.
La villa Adriana sur les hauteurs de Tibur, résidence d'Hadrien est un site privilégié par certain archéologue. Des fouilles ont mis à jour les vestiges de ce qui pourrait être le tombeau
d'Antinoüs. Par ailleurs c'est sur ce site qu'a été retrouvé l'essentiel des statues et représentations du jeune grec.
Plus récemment l'Égyptologue français Jean-Claude Grenier dans son ouvrage "L'Osiris
d'ANTINOOS" après avoir repris du début la traduction des textes de l'obélisque et longuement analysé et recoupé les travaux de ses prédécesseurs conclut qu'Antinoüs aurait
probablement été enterré dans l'une des propriétés familiales d'Hadrien située à Rome, peut être dans les Horti domitiae (devenu le Château Saint-Ange), hérité de sa mère, où il
fit ériger son propre tombeau.
On le voit aucune explication n'est satisfaisante et le lieu où repose le jeune Antinoüs reste un mystère.
Par sa seule beauté et l'amour que lui voua l'empereur Hadrien, la flamme de ce jeune esclave, devenu dieu, a traversé les
siècles sans jamais vaciller.
Qu'aurait pensé ce jeune garçon, si on lui avait dit que 2000 ans après il ornerait
les plus grands musées du monde, dans cette posture qui était la sienne, la tête tournée et penchée, les yeux inclinés vers le bas, et que l'œuvre magistrale d'un écrivain, en immortalisant
pour toujours son souvenir ferait rêver des générations d'Hadrien(s).
21ème siècle : plus d'esclaves, tous empereurs et...amants
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Malgré toutes mes recherches, sur le web et ailleurs, je n'ai jamais trouvé où me procurer une réplique (en miniature) de ce buste : l'Antinous Ecouen, exposé au Louvre. Alors si quelqu'un a une idée !
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