Mardi 12 mai
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DOCUMENT . REPORTAGE. 2007 c'est pas si vieux !
Waterboarding Torture Demonsted at UC Berkeley
by Felix Barrett / Revolution Newspaper
Thursday Nov 15th, 2007 9:45 PM
Several hundred students gathered on Sproul Plaza at the University of California Berkeley on Wednesday November 14. Many had seen the poster for
the demonstration around the campus, which read, “The new Attorney General Michael Mukasey is not sure whether waterboarding is torture or not… watch and decide for yourself.”
Suddenly, after several speeches, a man was grabbed out of the crowd my two men with closely cropped hair in military-style clothes and black
gloves. The man was brutalized, slapped, and had his head covered with a black hood. “What’s happening to me?” he asks, clearly terrorized.
“Give us the names! What is Omar’s last name,” one of the men in military gear says shouting his face just inches from the hooded
prisoner.
“I don’t have any names. I was at a conference,” the man pleads. He is roughly forced to put on an orange jump suit and placed head down on an
inclined wood board. A towel is placed over his head and several gallons of water are poured over his face. The man begins to gag.
“You like that? You like that? That was the hard way. You want to breathe? Give us the names!” the interrogator again demands. The man can only
cough and gasp for air. The interrogators turn to someone dressed as a CIA agent, who gives the nod to continue. He is pushed back down on the board and given another gallon of water in the
face.
Waterboarding is often called “simulated drowning”, as if it were simply a way of frightening people under interrogation. But there is nothing
simulated about it. A person is strapped to a board, with a cloth covering his face. Large quantities of water poured onto the fabric fill the lungs and the victim slowly suffocates. Malcolm
Nance, who worked at a US Navy school teaching the technique, wrote in The Small Wars Journal, “How much the victim is to drown depends on the desired result and the obstinacy of the subject. A
team doctor watches the quantity of water that is ingested and for the physiological signs which shown when the drowning effect goes from painful psychological experience to horrific, suffocating
punishment, to the final death spiral. For the uninitiated, it is horrifying to watch…. When done right, it is controlled death.”
Ava, a UC Berkeley student, said after watching the demonstration at UC Berkeley, “I was aware of it on a purely intellectual level but actually
seeing it in person is a whole different thing. It’s one thing to know its torture and say that’s really bad, that really sucks. But to see somebody screaming and coughing and choking in front of
you, it’s a very emotional experience. I went to a few rallies and things like that before the Iraq War, but then after the war launched I kind of stopped. Which is bad but I plan to go on to the
protest on Friday. After seeing that I can’t really justify staying a home on Friday.”
Par universités USA
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Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES
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Lundi 4 mai
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23:55
3 hommes silencieux se régalent :
sensualité passive et sensualité active se sont rejointes :
La forêt, le lieu le plus propice à se chercher...et se trouver (rentrer de belles bites à fond comme ça hummmmmmmmhhh !
On ne cherche pas toujours spécialement la beauté , mais l'efficacité -lol - !
dans des collines autour de Marseille deux amis se sont donné leur rendez-vous furtif habituel...
Lundi 4 mai
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23:23
Un jeune "hétéro-curieux" erre incognito dans cette partie des bois … observe les hommes qui draguent, qui se suçent … se joint à un
petit groupe, il est sucé ( hé mec ! tu as une belle queue ! ), ensuite il est tranquillement baisé, oui, baisé ! tu as bien lu … c'est alors qu'ilvoit quelqu'un qu'il connaît.
Oups.
Mardi 31 mars
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06:44
A L'ARRIERE DES CAMIONS
"J'ai adoré son odeur de mâle, et c'est en le regardant droit dans les yeux avec mon regard de chienne en chaleur que j'ai commencé à lui gober ses
énormes couilles en les mettant en bouche mais aussi en les enveloppant avec ma la langue une par une. Pendant que je sentais ses doigts qui continuaient à s'agiter dans ma chatte de pédale,
j'ai alors pris son gros gland en bouche avant de prendre sa queue bien en fond de gorge. Vu la longueur de sa queue d'environ 17 ou 18 cm et cela malgré le gros diamètre je réussissais à la
prendre entièrement et il a adoré me baiser la bouche comme ça en me tenant bien par la tête tout en me parlant en allemand (même si je ne comprennais absolument rien, je savais bien vu le ton
qu'il devait copieusement m'insulter).
Naturellement, il n'a même pas ôté mon petit string en dentelles sa bite frottant sur la f et a disposé de ma chatte de lopette et de mes couilles avec lesquelles il a beaucoup
aimé s'amuser à maintes reprises...."
On roulait côte à côte...il matait...Il ne se doutait pas que mon copain filmait
Mercredi 25 mars
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si vous ne l'avez pas vu...Regardez «Homo ou hétéro, est-ce un choix?»
Que dit aujourd'hui la science des origines de l'homosexualité? Un documentaire diffusé mardi sur France 2 tente de déterminer si celle-ci relève de l'inné ou de l'acquis.
Homo ou hétéro, est-ce un choix? - Photo cavaillongay-lesite local sur le net
Plusieurs personnes affirment que l’homosexualité serait un choix. Si aucun élément scientifique ne permet de l’affirmer, rien ne semble prouver non plus qu’elle serait innée. Avec
Homo ou hétéro, est-ce un choix?, le réalisateur Thierry Berrod tente de dresser un état des lieux de la recherche scientifique à ce sujet.
À celles et ceux qui prétendent que l’homosexualité serait contre-nature, le documentaire oppose une réponse claire et nette: des relations entre animaux de même sexe sont répertoriées dans
plus de 450 espèces. Et plusieurs chercheurs/ses se penchent sur la question. Pour Thierry Berrod, les États-Unis tendent à faire primer une explication biologique, tandis que la
culture française privilégierait l’environnement. Selon le réalisateur, ces deux approches sont en fait complémentaires. C’est en tout cas le modèle que semble défendre le chercheur
français Éric Villain, installé aux États-Unis, et qui travaille sur l’expression des gènes. En mêlant biologie et sciences sociales, il tente de découvrir si l’histoire d’un individu a des
répercussions sur l’expression de certains gènes.
Pour voir le documentaire en avant-première, cliquez sur l’image ci-dessous:
À l’occasion de la diffusion du documentaire, le psychiatre et anthropologue Philippe Brenot a publié un ouvrage portant le même titre que le documentaire.
Mardi 24 mars à 22h55 sur France 2.