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KARAOKE BLUES TROTTOIR - Un soir de pluie par KaRaoKeWoRLD
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un commentaire d'Emile Karl : Emile Karl il y a 4 jours à 07h19
R :..Oui, que l'on pourrait DE NOUVEAU faire avec lui ! Et aussi, il y en a qu'on na pas encore faites. Sur le coup j'ai tiqué sur le mot "saloperies"mais bon ...! Au fond tu fais référence aux premières fois...exemple la 1ère fois où ton copain XX t'a juté sur les couilles. Surgissent EN MEME TEMPS -lol- cette chaleur qui t'a irrigué le bas ventre et les testicules et la forte puissance du parfum du sperme qui s'est répandu autour de vous ... Souvenir inépuisable : même répété cet acte d'amour n'aura jamais le goût de cette fois unique... et des fois uniques, jeune, tu en feras des centaines, plus âgé tu les feras revivre dans ta mémoire l'une après l'autre. C'est pourquoi il faut multiplier ces occasions de "faire des saloperies" comme tu dis si bien ! Merci et bises à toi, Emile .
IMAGES : en rêve....j'ose tout !
commentaire : Emile Karl il y a 4 jours à 07h19
R :..Oui, que l'on pourrait DE NOUVEAU faire avec lui ! Et aussi, il y en a qu'on na pas encore faites. Sur le coup j'ai tiqué sur le mot "saloperies"mais bon ...! Au fond tu fais référence aux premières fois...exemple la 1ère fois où ton copain XX t'a juté sur les couilles. Surgissent EN MEME TEMPS -lol- cette chaleur qui t'a irrigué le bas ventre et les testicules et la forte puissance du parfum du sperme qui s'est répandu autour de vous ... Souvenir inépuisable : même répété cet acte d'amour n'aura jamais le goût de cette fois unique... et des fois uniques, jeune, tu en feras des centaines, plus âgé tu les feras revivre dans ta mémoire l'une après l'autre. C'est pourquoi il faut multiplier ces occasions de "faire des saloperies" comme tu dis si bien ! Merci et bises à toi, Emile .
Laissé par : claudio avant-hier à 12h10
c'est toujours la première fois car on ne se fait pas à un mec comme ça, rude et EN MEME TEMPS -lol-plein d'égards et de gentillesse...
"Et dire que si je l'avais croisé sur le parking au début, jamais je n'aurais accepté de baiser avec lui, il m'a avoué que, souvent, vu l'épaisseur de sa bite, les mecs refusaient de se faire enculer". La gentillesse était sa nature, mais c'était aussi la condition pour se faire accepter et pour séduire....
http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2018-panne-01.php
"Je peux dire à un pote de venir, si tu veux, on va t' baiser tous les deux". J'ai pris un plaisir énorme à me faire baiser et à sucer en même temps, lui heureux de voir son pote au bord de la jouissance.
J'étais donc en panne de voiture, en attente d'une réparation et je venais de sucer un beau routier musclé et de me faire sodomiser par son copain Roland. ( Panne de voiture 1)
Nous revenions du petit bois et pour prolonger et ne pas se quitter comme ça, Roland voulait que je le suce dans son camion ()…. Je lui ai proposé
de venir dans ma chambre d'hôtel, pour plus de confort et de discrétion. Il était d'accord. Je pense qu'il aurait accepté n'importe quoi pour pouvoir me rebaiser. Il a récupéré quelques affaires
de toilette. Il rebandait déjà et ça se voyait bien. Un peu trop apparemment…
Un routier s'en est rendu compte et nous a interpellé. Roland, contrairement à son attitude avec pas du tout partageur à ce moment là, lui a sorti
une réponse vaseuse et a continué de marcher.
Sur le trajet jusqu'à la chambre, Roland m'a dit:
" J'ai envie d'être tranquille avec toi. J'ai envie de ton petit cul. C'était trop bon tout à l'heure. " et je lui ai demandé
" Tu le connais? "
" Oui, mais il est brutal, il t'aurais fait mal."
" Merci . C'est vrai que tu as pris soin de moi. Je n'ai pas eu mal. Merci Roland"
" Quand j'ai vu ton petit cul, j'avais trop envie de t'enculer. T'as vu, j't'ai bien dilaté avec mes doigts et je suis allé doucement. Maintenant,
on va pouvoir profiter plus rapidement."
Cette conversation m'excitait et j'avais hâte de me faire rebaiser.
Il ne tenait plus lui non plus et on a fini les derniers mètres, son bras sur mes épaules.
Nous sommes rentrés dans la chambre, très en forme.
Roland me demande:
" Avec cette chaleur, je sens un peu le fauve, ça te dérange si je prends une douche avant ?
" Pas du tout. Je vais venir te sucer sous la douche.
" Hummm, mon petit chéri, t'as envie toi aussi. Merci."
Je me suis donc déshabillé et ai préssé un peu le tube de gel dans mon cul, encore dilaté. J'étais chaud..
Quand j'ai pris son sexe en bouche, vu son épaisseur, je n'ai pris que le gland et un peu plus. Il aimait bien mais je ne peux pas dire que c'était
le top ni pour lui, ni pour moi. Il a préféré qu'on s'installe sur le lit. Il m'a rejoint, à peine sec, la bite raide, prête à l'action.
C'est sûr, il m' impressionnait: grand baraqué, une carrure de vigile, des cuisses énormes, une barbe de 5 jours, cheveux rasés courts….mais niveau
sexe, il était équipé ….oh, putain, la queue. Longueur normale (19/21sans doute) mais d'une épaisseur ….hummmm. Et le mec, poilu, sur le torse, les bras, les cuisses…Avec un visage viril, une
barbe de 5 jours, cheveux rasés courts, un mec au final doux et sympa…Bref, un beau mâle puissant et viril.
Je n'ai pas eu le temps de trop réfléchir qu'il était allongé contre moi, les poils encore mouillés et m'a roulé une pelle d'enfer. Sa langue
épaisse me fourrageait la bouche et sa barbe dure me grattait le visage. Jamais un homme ne m'avait embrassé avec une telle énergie.
Oui, il me faisait l'amour, pris dans son désir sexuel, m'enveloppant dans ses bras virils, me caressant les tétons, parcourant mon corps, visitant
mon sexe tendu de plaisir.
Ses larges mains n'ont pas tardé à rejoindre mon petit trou. Quand il a vu que son doigt glissait parfaitement en moi, il m'a mis sur le ventre.
Il s'est positionné derrière moi, m'a relevé les fesses en me prenant les hanches. Dès que son gland m'a ouvert la rondelle, il m'a envoyé doucement, sans s'arrêter, son énorme braquemart dans le cul. J'ai gémi bruyamment, mordu l'oreiller et me suis cabré sous l'effet de la pénétration. Avec un autre coup de reins, pour bien me la mettre à fond, dans son élan, il s'est retrouvé allongé sur moi. Malgré sa carrure et son poids, il ne m'a pas écrasé.
" Oh, putain, que c'est bon. Je sens bien ton cul. Des petits jeunes comme toi, j'en baise pas souvent. J'adore. C'est trop bon, mon chéri."
Il m'avait déjà enculé au fond du petit bois mais mon cul n'était pas habitué à tel gabarit. Il m'a serré dans ses bras, a attendu que je me détende
un peu, m'a demandé:
" Tu aimes bien, mon chéri" …….. " Oui, c'est trop bon" ….et le festival a commencé.
Il m'a tringlé en soufflant comme une bête sur ma nuque et en m'embrassant, en n'arrêtant pas de dire " Oh putain que c'est bon……Oh, putain que
c'est bon."
Son pieu était en moi et je prenais un plaisir inouï à le recevoir. J'ai dégusté chaque moment. Et sur le lit, c'était meilleur que dehors. Il était
en sueur mais n'arrêtait pas. Il sentait que je cabrais du cul et s'appliquait à onduler en moi, le plus loin qu'il pouvait.
Ca l'excitait de voir que je le désirais, que je voulais qu'il me féconde. Il était heureux, fou d'envie, léchant mes oreilles, cherchant ma bouche,
me salivant partout ou il pouvait.
Puis il m'a mis sur le dos, les jambes écartées. J'ai vu à ce moment là son sexe dans toute sa splendeur, bandé comme un arc, énorme et luisant, les
poils de ses couilles mouillés de sueur. Il m'a repris sans ménagement et j'ai senti ses couilles poilues toucher mon cul. Il était ravi de m'entendre gémir à chaque coup de piston et m'a demandé
si j'aimais sa queue. J'ai dit " OUIIIIIIHHH , c'est trop bon "et il s'est appliqué à me faire plaisir, me limant le trou au ralenti, satisfait de mes gémissements à chaque fois que son énorme
gourdin sortait puis rentrait en moi, regardant mon trou béant offert à sa bite. Il profitait de sa puissance, savourait.
Il s'est penché sur moi pour m'embrasser, sûr de lui, me dominant, me roulant une pelle baveuse tout en me labourant le cul. Mon plaisir devenait intense. J'ai passé mes mains sur ses épaules et sa nuque poilues. Je m'accrochais à lui et me tendais pour qu'il me pénètre encore mieux. Il voyait ma jouissance arriver. Mon cul était offert. Je le voulais, j'étais à lui. Il a amplifié et accéléré ses coups de bite, me faisant sentir ses grosses couilles restées à la porte, me serrant encore plus fort, bavant d'ardeur et de désir…
….J'ai crié, j'ai joui comme jamais je n'avais joui. J'ai senti chaque jet partir de mes testicules et parcourir ma tige, chaque contraction venir
exploser en coup de fusil au niveau de mon gland et mon sperme se répandre entre nous, se coller à son ventre poilu.
J'étais vaincu, offert, il n'avait plus qu'à porter l'estocade pour achever en beauté ce corps à corps improbable entre un petit jeune comme moi et
un balèze de routier.
Il a continué à coulisser en moi sans baisser la cadence, souriant et heureux, sûr du plaisir qu'il me procurait. Son souffle est devenu plus
puissant, ses coups de reins plus profonds puis, dans un râle salvateur et très bruyant, s'est répandu en moi en plusieurs giclées délicieuses, libérant toute la pression qu'il devait avoir
accumulé dans ses couilles.
Fourbus, nous avons basculé sur le côté puis nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, sa grosse bite encore raide dans mon cul. Il m'a couvert de petits bisous, pour me prouver que, pour lui aussi, le bonheur était intense. Il me serrait et me caressait, voulant prolonger ce moment de bonheur.
Oh, putain, mon chéri, des moments comme ça, j'en veux bien tous les jours"
" Roland, c'était excellent, tu m'as fait jouir du cul. Jamais je n'ai eu autant de plaisir."
Et c'était vrai, je n'avais même pas tous les mots pour le lui dire mais il avait compris.
" Ca fait bien longtemps que j'avais pas baisé un petit jeune bien foutu comme toi. Oh, putain, ton p'tit cul, c'est trop bon."
Je l'ai embrassé et encore embrassé, sonné sous l'effet de cette jouissance merveilleuse.
" Putain, j'ai bien aimé ton cul, c'est trop bon. J'aimerais bien passer une nuit avec toi. "
Comment ne pas être ravi d'une telle invitation.
Et dire que si je l'avais croisé sur le parking au début, jamais je n'aurais accepté de baiser avec lui, vu son physique. Le beau routier que j'avais croisé au début avait bien fait de l'inviter et de le laisser me baiser sans que je le voie.
Il m'a donné une tape sur les fesses. Je me suis touché le cul quand il s'est retiré. Il a ri. Mon cul était ouvert. Ca me faisait tout drôle de ne
plus avoir de bite dedans, de sentir l'air rentrer.
Son téléphone a sonné, il a répondu que sa pause était finie, qu'il repartait.
Il m'a remercié pour le plaisir que je lui avait donné et m'a avoué que, souvent, vu l'épaisseur de sa bite, les mecs refusaient pour se faire enculer. Alors, enculer un petit jeune comme moi, c'était pour lui le plaisir suprême. Je l'ai remercié moi aussi pour le plaisir qu'il m'avait procuré et toute l'attention qu'il avait mise pour me prendre la première fois dans le petit bois.
Il s'est essuyé et habillé vite fait, il était à la bourre. Sa pause avait été plus longue que prévu.
Son téléphone a encore sonné, c'était son copain routier. Il voulait sans doute des détails croustillants sur nous deux. Sans la moindre gêne, devant moi, il lui a répondu:
" Je l'ai bien baisé, on a dégorgé tous les deux, putain, il m'a bien vidé les couilles. Je te rappelle, je suis à la bourre."
Il m'a donné un petit bisou très doux et laissé son numéro, sûrement pas dans ses habitudes.
En sortant de la chambre, je l'ai entendu croiser un voisin de chambre qui lui a dit, pour le féliciter:
" Dis donc, tu lui a bien ramoné le cul, je l'ai entendu profiter, il a pris son pied"
et Roland lui a répondu, fier comme un mâle vainqueur et dominant:
" Il a bien aimé, et moi aussi. Je lui en ai mis deux bonnes doses…T'as vu comment je suis bâti, et j'ai le matos en conséquence…. Je lui ai bien
ouvert le cul ". Et il a continué de se diriger vers le parking, fier comme un paon, ravi de faire baver le mec.
C'est vrai, j'avais le cul bien ouvert et j'avais bien aimé. Sur cette route de campagne, un peu éloigné de tout, je n'aurais pas pensé que c'était
possible.
J'ai pris une douche, me suis bien savonné le cul qui, le pauvre, avait un peu souffert. C'est un peu con à raconter mais il m'avait tellement
ouvert le cul que je ne savais plus si j'avais envie de péter ou d'aller aux toilettes. Enfin, il ne m'avait pas fait mal, c'était le principal.
Je ne m'étais pas souvent fait prendre par des mecs qui n'étaient pas de mon âge, mais ce jour là, avec ce beau musclé et ce balèze de Roland,
c'était jour de chance. Bref, des routiers sympas. Merci les gars.
il m'injecte le Roland ET RAVI DE LE FAIRE
la vision QUE TOUT LE MONDE PEUT AVOIR DE ROLAND
et la vision que j'en ai conservée
mon DIEU-ROLAND dans les parois de mon cul INTESTIN .Au fond observez la lumière de ma jouissance
non, la sturb n'est jamais vraiment absente de l'extase.
Autour de nous la pénombre de cette chambre d'hôtel quelconque, un noir de nuit, sombre comme du tissu de deuil, chaud et moite qui eût pu paraître horrible si ça n'allait pas être la chambre de la joie.. Un village mort et en proie à une vie qui ne pouvait venir que de nous. Une heure, 23 heures le créneau des crimes heureux et des baisers volés par mon violeur tant désiré. On n'était plus dans nos vies d'adultes, mais des éternels adolescents. La rencontre était, elle, voulue, impréparée, frénétiquement attendue cependant du fait que je savais " ce qu'il allait me faire". Le TEMPS était aboli, les minutes, les heures, les secondes se confondaient. Après qu'on se soit un peu guetté, j'allais de nouveau me donner à ce camionneur, à la quarantaine entamée, de vingt ans mon aîné , effroyablement laid de visage, proportionnellement sublime de corps, mais brun à la limite du gitan ou de l'arabe, couvert de poils et de sueur, m'avait fait consentir à franchir tous les paliers dans notre clandestine et improbable romance que démentait l'alliance qu'il portait à la main gauche. Nous atteignîmes le sublime, moi plus que lui je crois, le Seigneur m’est témoin.
J'avais son visage en gros plan au-dessus du mien il avait l’œil large et gros, de l’éclat dans le blanc, de la pénétrance dans le noir. Une
impression ineffable donnait à penser à une beauté de l’œil ingrate, ternie par une once de brutalité dans le regard, ben il fallait : c'est les brutaux qui baisent bien, mais point trop bruta.
Doux par endroit bestial par endroit. Son cheveu crépu était de fort volume, noir et sec, révélant au front un crâne rugueux où les touffes s'enracinaient. Cette disharmonie horrible entre
l'âme et le corps était allégée quelque peu par le bandana rouge noué autour du cou qu'il ne quittait jamais qui réhaussait la tête et en rendait l’aspect plus prédateur. Du visage, peu de lignes
fines et gracieuses, tout était gros, les narines épatées et respirantes, les dents blanches et épaisses s’enchevêtrant dans une bouche qui semblait pouvoir en caser plus de 32. Ça lui faisait un
grand sourire à la fois niais et coquin mais franc, inapte à tricher, s’esclaffant grassement à la moindre opportunité. Ca faisait partie de sa séduction d'homme laid et gentil, bête et
intelligent.
Moi, "client" facile et docile, il mi inspirait une forme bâtarde de crainte, d’envie et de dégoût de moi-même. Eh, c'est comme ça le désir charnel.
Le désir de mon cul pour son monstrueux chibre qui m'avait déjà ...séduit et convaincu.
départ vers un rivage inconnu dans l'orgasme extatique dans lequel m'a plongé la bite de Roland je le répète,
et même pas beau le Roland ! un diamètre et une longueur de bite jamais expérimentés (avant cet aprèm-là pour ma part)
un lent et long et profond, entêté va et vient dans mon cul,
des pertes de lucidité et de conscience où je crois m'endormir, alternant avec, au contraire, une conscience aigüe de l'événement qui se joue entre lui et moi
un "lâcher prise" qui "mange" ma volonté : je vole
une tétanisation de tout mon corps mais ce n'est pas -je ne veux pas que ce soit-l'orgasme final : il faut que ça nous dure, que ce soit intense, dévastateur.
les changements de position sont les bienvenus
encore une crispation avant que je ne lâche tout
mon corps envahi d'une étrange chaleur m'échappe à l'image de mon ventre envahi, et mon cerveau, je vous dis pas !
de ma tête en proie à une ivresse sans alcool, sans pilule aucune tout est devenu sympa, l'ambiance de cette chambre minable
et Roland, le médecin, le chirurgien-sur-le-vif qui m'a mis en morceaux, en pâte molle, Roland le vilain est devenu le plus beau...ne suis-je pas en train de lui murmurer des conneries, des je t'aime ?...tu es beau mon Roland. Et Roland, à ce prix est heureux. Moi aussi.
Sexy Bear Truck Driver(naked)
Il est reparti sur la route ! Je suis sûr qu'il a plein d'aventures : les gars qu'il a baisés lui passent des textos et ils en redemandent ! ¤
commentaire : "j'adore faire jouer des marionnettes dans mes fictions" claudio
NON ! le Prince n'a rien fait de mal !
voir plus bas la solution de l'énigme
La couverture du magazine américain Radar avait fait grand bruit… On y voyait le prince Harry, en caleçon, une canette de bière à la main, assis nonchalamment sur un trône…parodie :
fake cover
Décidément, Harry avait tout fait pour s'assurer qu'on ne le prenne pas pour un prince gentillet et coincé. Pas de doute : pour lui, il était hors de question que son sang royal l'empêche de vivre une insousciente jeunesse… Et pourtant, il ne serait pas allé jusqu'à poser ainsi pour un magazine américain, de manière très, très décontractée : le torse découvert, [le sexe à fleur de caleçon], Harry semble être un jeune roi qui s'ennuierait éperdument sur son trône, et qui passerait le temps à boire des bières… Sa grand-mère s'arracherait les cheveux !
L'article qui suit n'arrangeait guère son image royale. Le prince serait accro aux nightclubs, où il s'amuserait en buvant et en flirtant : « Les gardes du corps d'Harry passent tout leur temps à arrêter les patrons de bar suspectés d'essayer de droguer leur prince ». Eh oui, ce n'est pas parce qu'on a le sang bleu que l'on ne peut pas vivre comme un jeune homme normal de 22 ans… Harry le prouve assez bien. NDLR : Ah oui ?
Là, plus jeunot il aurait touché à la drogue
Les tabloïds ne se sont pas privés de faire des fake photos ! Ici il est précisé que le Prince se saisit des "joyaux de la couronne"
Les allusions à des relations gay n'ont pas manqué
Kevin Mayer, l'athlète français qui affole les filles et les garçons, quitte Londres Qu'est-ce qu'il ressemble à"qui vous savez" ! « tout le monde dit que je suis gay ». Il quitte Londres ? pourquoi ??? il y a trop de concurrence ? -lol-
sosie ??? oui, c'est sûr ! Focus sur le personnage central, vous savez ce jeune rouquin...
Pourquoi faire autant de foin ? de jeunes rouquins comme lui il y en a dans le monde entier ! Ici, c'est un bel 18+ italien et, comme le Prince, il ne fait RIEN DE MAL !
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