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QUEER CULTURE
- J'étais justement en train de lire ton message avec la main dans mon slip!...e
Oui effectivement nous adorons glisser notre main dans notre caleçon (slip, boxer, string...) a longueur de journée de glandage ; ceci nous
procure un bien-être fou, et ceci pour plusieurs raisons :
1 - ça rechauffe les mains (super agréable l'hiver)
2 - On a plein de poils a cet endroit et ca gratte enormement, donc en profite pour se gratter surtout au dessus de l'engin et le dessous des
burnes! (moins on se lave, moins on change de slip souvent, et plus ca gratte...le slip hebdomadaire est une bonne moyenne a ce sujet!)
3 - C'est rassurant : Tel le cow-boy hors-la-loi en cavale, qui a toujours une main sur la crosse de son revolver, on est ainsi toujours
prêts a dégainer.
Ca vous emmerderait si c'était que je suis en train de me branler ? En fait, vous seriez pas un peu hypocrite ?
C'est plutôt un moment où ma bite est molle et même fraîche mais, réceptive aux caresses, elle va se réchauffer..
Moi je ne les gratte pas, juste je pose ma main sur l'engin ou je me tire et me lisse les poils...
Distrait par ma lecture ou mon travail je ne me rends guère compte de ce que je fais.
C'est une mauvaise manie chez nous les mecs.
c'est une angoisse de virilité.
Et puis c'est de l'auto-allumage.L'impression qu'on donne des vitamines à sa queue.
On sniffe le bout de ses doigts : ça excite l'odeur du suint d'entrejambe. C'est dégueu, mais on est le seul à le savoir !
Sentir qu'on a une bite prête à bander à tout moment ; la mettre très souvent à l'épreuve
mon dieu, est-ce que je suis toujours un garçon depuis tout à l'heure?
Le pire c'est qu'on ne contrôle pas vraiment on le fait sans s'en apercevoir.
Moi je ne les gratte pas, juste je pose ma main sur l'engin
Pourquoi sans que j'y fasse attention ma main gauche va-t-elle se fourrer dans mon caleçon ?
- On en profite rarement pour se branler!
nombre d'hommes ont ce reflexe d'avoir souvent la main dans leur caleçon, et ce, depuis tout petit même...
- besoin de savoir qu' " elle " est là : ça nous regarde, si ça nous plaît de nous tripatouiller, il ne fait de mal à personne en plus, ça nous rassure, peut-être comme ce fameux Al Bundy, un petit côté " bidochon macho " qui a besoin de se la raconter en se rassurant sur sa virilité ( de là qu'elle aurait disparu lol ).
la selle l'encule, mais lui ça lui convient !
et lui, rien que de penser à la selle dans son cul, ça le fait bander !
Pas de problème, y-a-que des solutions !
ça vous les bouffe
Sujet de revendication, important pour la reproduction de l'espèce: l'adaptation des selles de vélo à la morphologie humaine. Les
valseuses, par exemple, réclament beaucoup de ménagement, comprimées qu'elle sont par les cuisses, l'entrejambe et la selle. Ouille les torsions et les écrasements! Quelques fabricants prennent
la peine d'analyser le problème, mais le résultat est coûteux et la plupart des cyclistes pensent à leur bourse en achetant l'engin, plutôt qu'aux bijoux de famille.
A la pointe de la selle, il y a le bec qui doit offrir une base confortable lors des longs efforts assis,
par exemple à la montée, mais aussi à la descente où l'on contrôle le vélo avec les cuisses. Et puis, l'intérieur de la cuisse frottant contre le bec à chaque tour, c'est rapidement brûlant... L'architecture centrale de la selle devrait idéalement ménager à la fois:
les boules et leur enveloppe de peau, le périnée et derrière lui la prostate, l'anus, toutes les veines qui parcourent la région ainsi que l'artère
dorsale profonde de la bite. Certains constructeurs prévoient un canal qui éviterait l'écrasement. Ensuite, il faut se préoccuper de la répartition de l'assise entre les fessiers et la partie
inférieure du bassin afin d'éviter, entre autres, l'écrasement du coccyx et des ischions, surtout en vtt. La solution: disposer de plusieurs selles
adaptées au parcours prévu.
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