Mercredi 15 juillet
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* Pendant ce 69 d’enfer, j’écartai son magnifique cul, faisant apparaître sa rosette serrée. Humm ! Quel délice pour les yeux,
la bouche, le nez. Son trou était propre, il devait faire des lavements deux ou trois fois par jours, je l’exigeais.
J’humectai mon doigt et lui massai la rondelle, en appuyant de plus en plus pour me frayer un passage. Larry gémissait de plus en plus fort, et
j’avais un peu de mal à me concentré, tellement il me suçait goulument. Ma queue à l’étroit dans sa bouche était raide de désir. Je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme là. Il fallait que je
l’arrête avant de cracher la purée dans sa gorge. Je ne voulais pas lui donner tout de suite sa dose de lait…
Je me positionnai derrière lui et écartai de nouveau ses fesses. Je plongeai mon visage dans son sillon tendre et passai ma langue sur sa rondelle
qui commençait à se détendre. Je le léchai, le suçai, l’aspirai jusqu’à ce que l’anneau se desserre. Je fis glissai ma langue dans le trou rose qui commençais à s’ouvrir. Dieu que c’était
bon ! Je ne me lasserai jamais de ce goût. Je fis entrer et sortir plusieurs fois ma langue dans son trou de plus en plus vite, de plus en plus profond. Puis j’y enfonçai mon majeur jusqu’à
la garde. Larry se cambra un peu plus sous la caresse, gémissant dans les coussins. Il aimait ça, mon homme, il aimait que je lui ouvre son p’tit trou avec ma langue et mes doigts avant de le lui
éclater la rondelle avec ma grosse bite. Oh oui il aimait ça, mon bel amour.
Je travaillai son trou profondément, titillant et massant l’intérieur moelleux avec mon doigt. Puis je fis rentrer un deuxième doigt, puis un
troisième. Son trou se dilatait doucement sous la pression, et il mouillait abondement. Il gémissait de plus en plus fort.
« Oui chéri, je vais te la mettre…tu es trempé ma puce… tu as envi que je te défonce… oui mon amour, tu vas en prendre de la bite, ma petite
pute ».
J’attrapai le tube de gel que j’avais apporté et enduisit ma queue. Larry ondulait du cul, impatient, avide.
« Cambre toi, ma salope, et ouvre bien ta chatte… »
Je rentrai d’une ruade. Larry hurla, déchiré par la douleur et le plaisir. Je poussai ma queue jusqu’à la garde, violement. Sa chatte était
brulante, serrée et humide à souhait. Les contractions de sa rondelle sur ma bite m’excitèrent encore plus. J’attrapai ses hanches et commençai à marteler son cul d’enfer, merveilleusement cambré
et offert. (*)
* http://www.cyrillo.biz/histoire-gay-2012-avec-larry-2.php
Par dyingtobefag
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Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES
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"Je te connais sur le bout des doigts": Savoir UNE CHOSE parfaitement de mémoire.
expression traduite de l’expression latine “ad unguem” qu’Erasme regarde comme une métaphore empruntée des marbriers qui tâtent la jointure des marbres rapportés, pour juger si elle
est bien faite.” DE MEME NOS PARTENAIRES ...-lol-
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Sexualité - étude
Pour moi j'ai toujours dit que "la taille compte"… et si je pensais aux doigts, et à leur longueur...-lol-
Publié au Québec le 14 juillet 2015 à 08h21 dans FUGUES, Canada par François Mellet
Selon une nouvelle étude, les humains, hommes comme femmes, se diviseraient en deux catégories en matière de sexe : ceux qui se laissent tenter
par la promiscuité et ceux qui préfèrent la fidélité. Et la taille de nos doigts pourrait donner un indice sur la catégorie à laquelle nous appartenons. L'être humain est-il une espèce monogame
ou polygame ?
Voilà une question qui n'en finit pas de tarauder les spécialistes, mais aussi les humains en général. Si les mammifères se classent généralement
dans l'une de ces catégories, Homo sapiens lui, n'apparait dans les faits, pas vraiment défini. Et la nouvelle recherche publiée dans la revue Biology Letters ne va pas aider à clore le débat.
Réalisée par des chercheurs des Universités d'Oxford et de Northumbria, l'étude suggère que les humains, hommes comme femmes, se diviseraient en deux sous-populations : ceux qui sont fidèles et
ceux qui auraient des mœurs plus légères. Plus étonnant : les scientifiques expliquent que l'appartenance à tel ou tel groupe pourrait être dévoilée par... la différence de taille entre les
doigts.
Plus enclins à rester ou à s'aventurer
Pour en arriver à une telle conclusion, l'équipe s'est intéressée à 515 individus nord-américains et britanniques âgés d'entre 18 et 63 ans. Tous
ont été interrogés via un questionnaire sur leurs relations sentimentales et habitudes sexuelles. Les scientifiques ont ensuite analysé les réponses et constaté que certaines tendances
apparaissaient chez les hommes comme chez les femmes. Concrètement, certains favorisaient les relations à court terme quand d'autres recherchaient quelque chose de plus durable. « Nous
avons observé ce qui est apparu comme un ensemble d'hommes et de femmes qui sont plus enclins à “rester”, séparé d'un ensemble d'hommes et de femmes plus enclins à “s'aventurer” quand il s'agit
de relations sexuelles », a expliqué Rafael Wlodarski, psychologue et co-auteur de l'étude cité par le Telegraph. Mais les scientifiques ne se sont pas basés que sur les réponses des
participants, ils ont également étudié une caractéristique plus inattendue : la longueur des doigts, analysée grâce à des photocopies de mains de 1.314 Britanniques, hommes et femmes. Annulaire
vs index Plus précisément, les chercheurs se sont intéressés à ce qu'on appelle le rapport « 2D:4D ». Ceci décrit la différence de taille existant entre l'index (2e doigt en partant
du pouce) et l'annulaire (4e doigt). Si la comparaison peut paraitre saugrenue, elle a bien un fondement scientifique. En effet, de précédentes études ont démontré qu'elle est un indicateur du
niveau de testostérone auquel le fœtus a été exposé dans l'utérus de sa mère. D'après les scientifiques, plus l'index est court comparé à l'annulaire, plus l'individu a été exposé à des
concentrations élevées de l'hormone durant son développement. Un facteur qui à l'âge adulte, favoriserait des mœurs plus légères en matière de sexualité, si l'on en croit les études
statistiques. En comparant les résultats des questionnaires à ceux des rapports 2D:4D, l'équipe est ainsi arrivée à des chiffres. Assemblées, les données suggèrent que 57% des hommes sont plus
enclins à la « promiscuité » sexuelle contre 43% plus enclins à la fidélité. Chez les femmes, la balance s'inverse, avec 47% avec une tendance plus aventureuse et 53% avec une
tendance fidèle. Si l'on ne prend en compte que les résultats du 2D:4D, on arrive à une statistique de 62% plus enclins à l'aventure chez les hommes et 50% chez les femmes. Une fidélité
influencée « Cette recherche suggère qu'il pourrait y avoir deux types distincts d'individus au sein des deux sexes poursuivant des stratégies d'accouplement différentes », a commenté
le Dr Wlodarski. Toutefois, l'équipe souligne que les résultats doivent être interprétés avec précaution, relevant que la fidélité est un comportement largement influencé par des facteurs
variés. « Le comportement humain est influencé par de nombreux facteurs, tel que l'environnement et le vécu. Ce qui se passe dans l'utérus pourrait donc n'avoir qu'un effet très mineur sur
quelque chose d'aussi complexe que les relations sexuelles », a indiqué Robin Dunbar, professeur d'Oxford qui a mené la recherche. Si le rapport 2D:4D est une caractéristique
intéressante à étudier chez un individu, ne courez donc pas mesurer les doigts de votre partenaire, en matière de fidélité, ça ne vous aidera pas forcément.
Par françois Mellet FUGGUES .CA
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Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit"
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ON COUCHE COTE COTE...CA NE PEUT QU'ARRIVER
PRISONNIERS
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APRES COUP ON RETRACE SON C10 12 8 A HEMIN ET ON SE DIT OUI J'ETAIS DEJA ATTIRE PAR LES GARCONS. DONC HOMO...MAIS ON NE SE PROJETTE GUERE SUR L'AVENIR ...MAIS A 8 10 12 ANS ?
YAGG 13.07.2015 - 16 h
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- humans of new york
- témoignage
Témoignages: A partir de quel âge peut-on se définir lesbienne, gay, bi ou hétéro?
Le garçon représenté sur cette photo a environ 8 ans. Il dit être homosexuel et avoir peur de son avenir. Le cliché a fait le tour du monde et certains ont mis en doute le fait qu'on puisse se
sentir homosexuel à un si jeune âge.
La photo a fait le tour du monde. Un petit garçon témoignait, le 3 juillet dernier, de l’inquiétude pour son avenir en se déclarant homosexuel,
dans le cadre d'un projet photographique sur les habitants de New York, créé par Brandon Stenton «Humans of New York». A peine publiée sur Facebook, la photo où l'on voit l'enfant, les yeux
larmoyants, a déjà été «likée» par plus de 600 000 internautes. Les commentaires sur ce cliché ne cessent de se multiplier. "Si des gens ne t'aiment pas à cause de ta sexualité, ils
ne méritent pas d'être dans ta vie de toute façon, écrit une femme. Garde la tête haute." "Je me suis rendu compte que j'étais gay à l'âge de 13 ans, et j'ai pensé que j'étais le
seul garçon sur la planète qui aimait les autres garçons, témoigne un homme. La solitude et la peur que ce garçon ressent sont familières pour moi. J'ai été comme lui."
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Par cvera GEORGES BRASSENS
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Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN
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