Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 22:14
 
  Quand l'injure n'est pas une injure    

Je respire fort, car je sais ce qui m'attend. Je respire fort et me cambre au maximum de mes possibilités. Je gigote un peu du cul, j'ai faim de bite !

" Ah, t'en veux, pédale ! "

Vif comme l'éclair, il empoigne mon cul, ouvre des doigts ma rondelle, et, soudain, me perfore avec puissance. Je crie, j'ai mal, mais j'aime avoir mal, j'ai besoin de cette douleur-là ! Mon Maître pousse un soupir de bien-être, puis, d'une main saisit mes cheveux.  Son autre main malmène mon torse et me pince un téton, déjà bien dressé. Sa bite est entière dans mon cul, lequel commence à se dilater (malgré six ans de saillies, mon trou reste étroit de prime abord. Mais il s'ouvre vite, formaté par la queue d'Eric). "Tu voulais du Mec, t'en as ! Profite, salope !"

Il me défonce avec violence, va vite et fort, sans penser à moi. Il me malaxe un sein, me tient par les cheveux, dit que je suis son trou à chaque percussion. Je crie de douleur et de satisfaction, je bande comme un Turc. Eric me marque à coups de bite, et sa bite est TOUT pour moi ! Elle ne me fait plus mal, en vérité, mais seulement du bien, rien que du BIEN ! La jouissance monte en moi, mon trou est immense, insatiable, il n'en a jamais assez, il en veut toujours plus ! Tant mieux, car Mon Maître m'écrase, me lamine, va et vient en moi, me remplit de son énorme engin, me soumet comme la dernière des chiennes, m'anéantit, me casse et me casse et me casse encore le trou, pour le meilleur et encore pour le meilleur ! Moi, comme à chaque fois, comme toujours, je finis par chavirer, par ne plus être Guillaume, par ne vivre que dans mon cul, par ne plus sentir que la BITE et la BITE et la BITE d'Eric, et par ne devenir, en fin de compte, rien que du VIDE, du VIDE à remplir, à saturer de BITE, à illuminer de FOUTRE !

Eric, après m'avoir fécondé, baisé, fait hurler de plaisir, et jouir sans que j'aie à me toucher, reste quelques minutes à l'intérieur de moi, puis il me dit :

" Bon petit vide-couilles, va ! Mais t'en avais besoin, je crois !"

Quand l'injure est une injure    
Avec humour ou tristesse, 30 hommes gays réagissent face à l'insulte.

 

 

News

 

 

Comment réagit-on face à l’insulte ? C’est ce qu’a voulu montrer la chaîne YouTube Cut Video à travers un clip montrant les réactions de 30 garçons homosexuels face au mot « faggot » (« pédale »).

« Qu’est-ce que le mot pédale signifie pour vous ? Que pensez-vous des personnes qui l’utilisent ? Et qu’en est-il si les personnes qui prononcent ce mot étaient elles-mêmes homosexuelles ? »  Les réactions de ces 30 gays américains face à ces questions sont parfois drôles, touchantes… ou poignantes.

Petits florilèges de leurs réponses :

Pédale ? Oh mon Dieu. Eh bien, je pense que ma réponse serait…va te faire foutre !

Beaucoup de douleur et de tristesse.

Pas du tout menaçant. La plupart des gens qui utilisent ce mot ne sont pas très cultivés donc je vais continuer à faire mon truc et ne pas me soucier de ce qu’ils disent.

Un coup de poing dans la gueule !

Grossier. Irrespectueux. Les gens qui appellent d’autres personnes « pédale »…vous êtes indécents et vous avez besoin de grandir !

Discriminant !

Je déteste ce mot. Même si des amis homosexuels m’appellent parfois par ce terme… Je ne l’aime vraiment pas.

J’ai entendu ce mot, « pédale », tout au long de ma vie et cela n’a jamais été facile de l’entendre.

Cela me rappelle l’école élémentaire. C’était un mot que j’entendais quotidiennement.

Terrible.

J’ai du mal avec ce mot parce que…je l’utilise. Je ne serais pas surpris si certaines personnes ont pu penser que j’étais un hypocrite lorsque je l’utilisais avec elles, même si ces personnes en question me rendaient mal à l’aise. Mais en même temps, c’est un mot que je ne voudrais plus utiliser aujourd’hui.

Découvrez leurs réactions ci-dessous :

 

 
 Etudiants en fac réaction sur le mot "pédale" USA
 
  COMEBACK STORY  
 
Par TETU - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 17:25

  18E SIECLE  et avec toutes ces lourdeure st préjugés on va déboucher sur un 19e hyper "curé"

    On ose rarement étudier en classe de 1ère ce passage des Confedssions de jj Rousseau , Livre II,

 qui permet d’évoquer l’histoire de la perception de l’homosexualité, l’histoire de

l’homophobie, et d’éclairer la personnalité contrariée de Rousseau

 

*Un arabe lui fait des avances et se masturbe devant jj Rousseau qui est innocent ou joue l'innocence dans sa biographie :

«  Je ne pouvais comprendre ce qu’avait ce malheureux : je le crus saisi du haut mal, ou de quelque frénésie encore plus terrible, et véritablement je ne sache rien de plus hideux à voir pour quelqu’un de sang-froid que cet obscène et sale maintien, et ce visage affreux enflammé de la plus brutale concupiscence. Je n’ai jamais vu d’autre homme en pareil état ; mais si nous sommes ainsi dans nos transports près des femmes, il faut qu’elles aient les yeux bien fascinés pour ne pas nous prendre en horreur.» 

 

 * arabe : à l'époque on disait "maure" 

Authentique : le texte de Rousseau

« Il n’y a point d’âme si vile et de cœur si barbare qui ne soit susceptible de quelque sorte d’attachement. L’un de ces deux bandits qui se disaient Maures me prit en affection. Il m’accostait volontiers, causait avec moi dans son baragouin franc, me rendait de petits services, me faisait part quelquefois de sa portion à table, et me donnait surtout de fréquents baisers avec une ardeur qui m’était fort incommode. Quelque effroi que j’eusse naturellement de ce visage de pain d’épice, orné d’une longue balafre, et de ce regard allumé qui semblait plutôt furieux que tendre, j’endurais ces baisers en me disant en moi-même : le pauvre homme a conçu pour moi une amitié bien vive ; j’aurais tort de le rebuter. Il passait par degrés à des manières plus libres, et tenait de si singuliers propos, que je croyais quelquefois que la tête lui avait tourné. Un soir, il voulut venir coucher avec moi : je m’y opposai, disant que mon lit était trop petit. Il me pressa d’aller dans le sien : je le refusai encore ; car ce misérable était si malpropre et puait si fort le tabac mâché, qu’il me faisait mal au cœur.

Le lendemain, d’assez bon matin, nous étions tous deux seuls dans la salle d’assemblée : il recommença ses caresses, mais avec des mouvements si violents qu’il en était effrayant. Enfin, il voulut passer par degrés aux privautés les plus malpropres et me forcer, en disposant de ma main, d’en faire autant. Je me dégageai impétueusement en poussant un cri et faisant un saut en arrière, et, sans marquer ni indignation ni colère, car je n’avais pas la moindre idée de ce dont il s’agissait, j’exprimai ma surprise et mon dégoût avec tant d’énergie, qu’il me laissa là : mais tandis qu’il achevait de se démener, je vis partir vers la cheminée et tomber à terre je ne sais quoi de gluant et de blanchâtre qui me fit soulever le cœur. Je m’élançai sur le balcon, plus ému, plus troublé, plus effrayé même que je ne l’avais été de ma vie, et prêt à me trouver mal.

Je ne pouvais comprendre ce qu’avait ce malheureux : je le crus saisi du haut mal, ou de quelque frénésie encore plus terrible, et véritablement je ne sache rien de plus hideux à voir pour quelqu’un de sang-froid que cet obscène et sale maintien, et ce visage affreux enflammé de la plus brutale concupiscence. Je n’ai jamais vu d’autre homme en pareil état ; mais si nous sommes ainsi dans nos transports près des femmes, il faut qu’elles aient les yeux bien fascinés pour ne pas nous prendre en horreur.

Je n’eus rien de plus pressé que d’aller conter à tout le monde ce qui venait de m’arriver. Notre vieille intendante me dit de me taire, mais je vis que cette histoire l’avait fort affectée, et je l’entendais grommeler entre ses dents : Can maledet ! bruta bestia ! Comme je ne comprenais pas pourquoi je devais me taire, j’allai toujours mon train, malgré la défense, et je bavardai si bien que le lendemain un des administrateurs vint de bon matin m’adresser une assez vive mercuriale, m’accusant de faire beaucoup de bruit pour peu de mal et de commettre l’honneur d’une maison sainte.

Il prolongea sa censure en m’expliquant beaucoup de choses que j’ignorais, mais qu’il ne croyait pas m’apprendre, persuadé que je m’étais défendu sachant ce qu’on me voulait, et n’y voulant pas consentir. Il me dit gravement que c’était une œuvre défendue, ainsi que la paillardise, mais dont au reste l’intention n’était pas plus offensante pour la personne qui en était l’objet, et qu’il n’y avait pas de quoi s’irriter si fort pour avoir été trouvé aimable. Il me dit sans détour que lui-même, dans sa jeunesse, avait eu le même honneur, et qu’ayant été surpris hors d’état de faire résistance, il n’avait rien trouvé là de si cruel. Il poussa l’impudence jusqu’à se servir des propres termes, et s’imaginant que la cause de ma résistance était la crainte de la douleur, il m’assura que cette crainte était vaine, et qu’il ne fallait pas s’alarmer de rien.

J’écoutais cet infâme avec un étonnement d’autant plus grand qu’il ne parlait point pour lui-même ; il semblait ne m’instruire que pour mon bien. Son discours lui paraissait si simple qu’il n’avait pas même cherché le secret du tête-à-tête : et nous avions en tiers un ecclésiastique que tout cela n’effarouchait pas plus que lui. Cet air naturel m’en imposa tellement, que j’en vins à croire que c’était sans doute un usage admis dans le monde, et dont je n’avais pas eu plus tôt occasion d’être instruit. Cela fit que je l’écoutai sans colère, mais non sans dégoût. L’image de ce qui m’était arrivé, mais surtout de ce que j’avais vu, restait si fortement empreinte dans ma mémoire, qu’en y pensant, le cœur me soulevait encore. Sans que j’en susse davantage, l’aversion de la chose s’étendit à l’apologiste, et je ne pus me contraindre assez pour qu’il ne vît pas le mauvais effet de ses leçons. Il me lança un regard peu caressant, et dès lors il n’épargna rien pour me rendre le séjour de l’hospice désagréable. Il y parvint si bien que, n’apercevant pour en sortir qu’une seule voie, je m’empressai de la prendre, autant que jusque-là je m’étais efforcé de l’éloigner.

Cette aventure me mit pour l’avenir à couvert des entreprises des Chevaliers de la manchette, et la vue des gens qui passaient pour en être, me rappelant l’air et les gestes de mon effroyable Maure, m’a toujours inspiré tant d’horreur, que j’avais peine à la cacher. Au contraire, les femmes gagnèrent beaucoup dans mon esprit à cette comparaison : il me semblait que je leur devais en tendresse de sentiments, en hommage de ma personne, la réparation des offenses de mon sexe, et la plus laide guenon devenait à mes yeux un objet adorable, par le souvenir de ce faux Africain.

Pour lui, je ne sais ce qu’on put lui dire ; il ne me parut pas que, excepté la dame Lorenza, personne le vît de plus mauvais œil qu’auparavant. Cependant il ne m’accosta ni ne me parla plus. Huit jours après, il fut baptisé en grande cérémonie, et habillé de blanc de la tête aux pieds, pour représenter la candeur de son âme régénérée. Le lendemain il sortit de l’hospice et je ne l’ai jamais revu. » 

 

http://www.altersexualite.com/spip.php?article38 

 

 

 

Par JJROUSSEAU - Publié dans : TABOUS & MYSTERES -ANGOISSES, - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 06:21

 

 

 

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Par SECONDHANDASSHOLE - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 02:38

 

 

 

 

 

 

 

 

Par maxou - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 02:28

 

 

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Par MAS - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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