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par dragonfly doctissimo
Mal au crâne. Je me relève sur mon lit en position assise. Je vois que je suis nu et que les draps ressemblent plus à Waterloo après le passage de
Napoléon qu’à un lit normal. Je me souviens de la soirée trop arrosée, de ce beau blond qui m’a ramené chez moi parce que je ne tenais plus debout, de ces toilettes dans lesquelles j’ai vomi mes
tripes. Ensuite, je me souviens que mon grand blond m’a couché sur mon lit, m’a préparé un café pendant que je pleurais à chaudes larmes. Il s’est allongé à côté de moi sur le lit et, sans rien
dire, a pris ma tête entre ses bras musclés, moment de tendresse qui m’a fait recouvrer mes esprits.
Puis le déclic, dû aux traces de vomi sur le rebord de la lunette.
J’en déduis que j’ai ramené quelqu’un ici hier soir, mais curieusement, je n’arrive plus à me rappeler de la veille. Un coup d’œil au réveil … Déjà 15h37 ! Bon, ben là, c’est
sûr, je n’ai pas passé la nuit seul et on n’a pas fait que dormir. Hébété, je reste assis sur mon lit quelques minutes. Je décide alors de me lever, l’esprit brumeux, pour me rendre aux toilettes
(même quand on se sent mal, les envies pressantes n’attendent pas).
Je chancèle donc jusqu’à mon petit coin.
Puis je me souviens de la soirée trop arrosée, de ce beau blond qui m’a ramené chez moi parce que je ne tenais plus debout, de ces toilettes dans lesquelles j’ai vomi mes tripes. Ensuite, je me
souviens que mon grand blond m’a couché sur mon lit, m’a préparé un café pendant que je pleurais à chaudes larmes. Il s’est allongé à côté de moi sur le lit et, sans rien dire, a pris ma tête
entre ses bras musclés, moment de tendresse qui m’a fait recouvrer mes esprits.
Quand j’ai remarqué qu’il était pas mal du tout, j’ai continué de jouer les victimes, en faisant redoubler mes pleurs et en profitant de la situation comme le manipulateur que je suis sait très
bien le faire. J’ai enfoncé mon visage dans son torse musclé en lançant un petit bruit pathétique dont j’ai été très fier sur le moment. Il a chuchoté « doucement, je suis là » et j’ai
senti mon sexe nstitué.
Quand j’ai remarqué qu’il était pas mal du tout, j’ai continué de jouer les victimes, en faisant redoubler mes pleurs et en profitant de la situation comme le manipulateur que je suis sait très
bien le faire. J’ai enfoncé mon visage dans son torse musclé en lançant un petit sanglot pathétique dont j’ai été très fier sur le moment. Il a chuchoté « doucement, je suis
là » et j’ai senti mon sexe durcir d’un coup, comme attiré vers le haut par cette voix sensuelle. J’ai relevé mes yeux larmoyants pour rencontrer son regard, un regard apaisant,
gris comme un matin d’hiver, j’étais sous le charme.
partie 2 :
Alors, prenant mon courage à deux mains et me disant qu’il prendrait cela pour une geste désespéré dû à l’alcool, que de toute façon, je ne le connaissais pas et qu’il finirait
bien par partir un jour, alors, autant profiter jusqu’au bout, j’approchai mon visage du sien pour l’embrasser langoureusement. Nos lèvres se rencontrèrent, et, à ma grande surprise, il me rendit
mon baiser comme s’il n’attendait que cela lui aussi.
Repenser à ce moment d’extase fit naître un sourire sur mes lèvres, je revivais ces moments en même temps que j’y repensais. Bien entendu, j’avais déjà eu de nombreuses conquêtes, de nombreux
« coups d’un soir » auparavant mais celui-là était vraiment inoubliable.
Rien que d’y penser, mon pénis durcit encore, presque autant que la veille et il me rappela que j’étais nu, assis sur mon trône, la partie la plus centrale et la plus conviviale de mon
appartement. Au fond, je m’en fichais, j’étais chez moi.
Le ballet des souvenirs reprit donc.
Mon éphèbe, auquel je donnais 25 ans, à peine plus jeune que moi, entreprit de me déshabiller, déboutonnant le premier bouton de ma chemise maculée de quelques taches de bile, ses lèvres
toujours scotchées aux miennes. Sa langue caressait la mienne et les sensations que j’éprouvais étaient si fortes qu’elles en devenaient presque irréelles. Après le premier bouton, ses mains
expertes s’attaquèrent au second qui ne résista pas bien longtemps non plus. Puis ramenant sa main gauche sur ma joue, sa main droite défit le troisième avec la dextérité d’un
chirurgien opérant à cœur ouvert.
Je ne savais strictement rien de lui, mais ça ne me faisait pas peur. Une telle bouille d’ange ne pouvait pas se révéler appartenir à une personne mauvaise. J’étais convaincu que ses intentions
étaient pures.
partie 3 :
Il avait déboutonné presque entièrement ma chemise quand je me rendis compte qu’il calait sur le dernier bouton. Il cessa alors de m’embrasser pour se concentrer sur cette tâche minutieuse et un
rapide coup d’œil nous apprit que le dernier bouton était déjà retiré de sa gaine de tissu. Un rire franc s’empara alors de nous deux et nous rapprocha encore un peu plus.
Malicieusement, je glissai un petit « à mon tour », suivi d’un des clins d’œil irrésistibles dont j’ai le secret. Toujours allongé sur lui, je le fis asseoir et ôtai lentement son
t-shirt pour découvrir un torse à la hauteur de mes espérances. Avec mes 80kg de muscles, je ne pense pas l’avoir déçu non plus. Une fois torse nu, je remarquai que nos deux sexes
formaient des petits chapiteaux, le mien sur mon jean, le sien sur son short hawaïen. Je m’attaquai alors à la prise en otage de son short en le faisant glisser délicatement le long de ses
jambes. Une fois ce vêtement enlevé, je le lançai au coin de la pièce avec vigueur. J’invitai mon compagnon à faire pareil et celui-ci ne se fit pas prier.
Mon jean ne résista pas longtemps à ses doigts de fée et il vola bientôt (un peu trop près de ma lampe de chevet à mon goût, mais ce n’est pas grave) afin de rejoindre la pile de vêtements gisant
sur le parquet. Nous nous retrouvâmes alors à moitié nus, sur le lit spacieux de mon appartement parisien (On gagne bien sa vie quand on fait bien son travail, dans la publicité). Avec un sourire
coquin, il observa mon boxer, seul chose qui, avec lui, me protégeait de la fraîcheur des nuits d’avril. (lol ndlr)Avec une mine résignée, je haussai les épaules et il se rua sur le bout de
tissu qui me protégeait de la fraîcheur des nuits d'avri, avec une violence maîtrisée pour être sûr que je ne me cogne pas la tête contre le mur (aurait-il déjà eu un incident en essayant ce
genre de manœuvres ?) et retira férocement le bout de tissu qui couvrait mon sexe.
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Il se mit alors sur le côté pour me laisser respirer et pour que je fasse de même. Je décidai de tirer d’un coup sec sur ses
sous-vêtements, puis, entendant un léger « crac », je finis le boulot plus délicatement.
Nous sommes donc tous les deux nus, moi aux anges, et je m’applique pour qu’il se sente aussi bien pour ne pas qu’il se sente gêné et qu’il puisse me rendre encore plus que ce que je lui
donne.
Il prit encore une fois l’initiative de prendre en bouche mon sexe qui pointait vers lui, vers le ciel. Il commença par le regarder longuement, comme un cobra à qui on voudrait jouer de la flûte
(comme si je n’étais pas déjà envoûté !) Après quelques secondes d’immobilité parfaite, il se dirigea lentement vers l’avant et, d’un coup, « goba » (car il n’y a pas d’autre mot) mon
pénis. Alors seulement, je compris le sens de l’expression « grimper au 7ème ciel ». Ses petits coups de langues étaient si … que je ne trouve même pas de mot pour les décrire. Après 5
minutes de jouissance intense, il se redressa. A ce moment, il s’arrêta, me regarda avec une mine sérieuse et je pris peur qu’il décide de s’arrêter là et de repartir précipitamment, avant que
j’aie mis mes projets à exécution. Heureusement, il m’embrassa à nouveau et mes craintes s’estompèrent. Ce baiser fut encore plus prenant que le premier et je me sentis libre de toute anxiété.
Alors, toujours en m’embrassant, il enfonça doucement ses 19 cm dans mon arrière-train en me faisant face, torse contre torse et fis des mouvements de va et vient de plus en plus impulsifs.
Il mit fin à notre baiser. Aucun son ne sortit de sa bouche, il était concentré. Moi, par contre, je ne me privai pas et je jurai en anglais parce que je trouve ça plus sexy.
Après 5 minutes, sa semence entra en moi, je le sentis exploser en mon intérieur et ça me donna des frissons de plaisir. Il s’étendit alors sur moi, vidé de toute énergie. Nous restâmes sûrement
2 bonnes minutes dans cette position jusqu’à ce qu’il se relève, qu’il se couche sur le ventre, euh, sur les abdos, et m’invite à le prendre par derrière à mon tour. Je m’en donnai à cœur joie et
me félicitai intérieurement d’avoir fait le premier pas tout à l’heure en l’embrassant. Mon pénis de 18 cm s’enfonce donc au plus profond de lui et je prends un malin plaisir à effectuer des
mouvements aériens et souples. On aurait presque pu dire « gracieux », mais étant donné que je ne peux pas à la fois être sur mon partenaire et à côté du lit en train de noter la
qualité artistique de nos ébats, je m'abstiendrai de me jeter des fleurs. Après tout, on ne peut pas être à la fois juge et patineur (enfin, si, mais pas au même moment, en tous les cas) !
Maintenant, assis sur mes toilettes et plongé dans mes souvenirs, je décide qu’il est temps de prendre mon sexe à pleine mains et de l et plongé dans mes souvenirs, je décide
qu’il est temps de prendre mon sexe à pleine mains et de le secouer sans ménagement avant de finir le récit de ma nuitée.
Je décidai alors de faire comme lui, de jouir en lui (comme c’est ce qu’il m’a fait, je suppose qu’il aime bien qu’on lui fasse). Je retins mon excitation jusqu’au moment où je ne pus plus rien
retenir et un liquide blanc coula de mon sexe vers son anus. Épuisé à mon tour, je me retirai et m’allongé à côté de lui. Je suis juste un peu déçu que ça soit déjà fini, mais ces moments étaient
si intenses que ma déception ne parvint pas à gâcher mon plaisir. Après un dernier baiser et l'enserrant dans mes bras, je m’endormis profondément du sommeil du juste (opportuniste) et me voilà
qui me réveille à 15h37, un peu perdu mais heureux.
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J’éjacule alors à nouveau, assis sur mon siège de toilettes, j’essuie les traces sur la porte avec du papier toilettes (tiens, c’est vachement
pratique, ça, y a plus glamour, mais c’est pratique). Je me dis que pour la première fois, je serais près à aller plus loin avec quelqu’un, je pense que je suis tombé amoureux. Merde … je viens
de jouir alors qu’on aurait peut-être pu le refaire ensemble … Pfff bon, pas grave, on attendra. Je m’apprête à appeler mon merveilleux « coup d’un soir » qui ne restera peut-être pas
longtemps « d’un soir » mais je me rends compte que je ne connais même pas son nom. J’entreprends alors de crier un timide « y a quelqu’un ? ». Pas de réponse. Re-Merde ! pour
une fois que je tombe amoureux, il faut que je ne connaisse ni le nom, ni l’adresse, ni le numéro de téléphone de l’élu de mon cœur.
Je parcours alors rapidement la maison, pour voir s’il n’est pas allongé sur mon canapé ou assis à la table de la salle à manger mais je ne vois personne. Pas même un crapaud à embrasser pour
retrouver mon prince charmant. Était-ce une divagation due à l’alcool ? Suis-je vraiment sûr d’avoir passé la nuit (et même une bonne partie de la journée) avec mon bel inconnu ? Ne serait-ce pas
un rêve ? Ca avait pourtant l'air si réel ! Re-Pfff ! Je suis dépité. Mais j’aperçois un bout de papier sur la commode du téléphone, près de la porte d’entrée. Débordant d’espoir, je vole presque
jusque là-bas pour lire le petit mot de mon cher et tendre.
Alors, je blêmis.
« Cette nuit, quand tu m’as pris par derrière,
Tu n’as pas chopé que moi.
Bienvenue en enfer. »
Sa prose me rappelle maintenant que je n’ai pas pensé à mettre de préservatif. Et qu’il n’en avait pas non plus.
Je me suis fait baiser.
camping
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