TU VAS JOUIR QUE TU LE VEUILLES OU NON !
la vengeance de mon ex
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[...] Des spasmes me parcouraient le corps. Ils partaient du fond de mon ventre et m'irradiaient tout le corps. J'attendais en vibrant que le sexe
de l'arabe se frotte contre mon sillon. Je le voulais et je le redoutais. J'avais envie et peur; et j'avais honte de tendre ainsi mes fesses devant mon ancienne petite amie.
- Ne t'inquiète pas... Je vais y aller doucement... Détends toi... Ouvre tes fesses... Montre bien à ma colombe ton oeillet...
J'ai posé ma tête sur le rebord du dossier du canapé et mes mains ont écarté mes fesses. Je tremblais, mais pas de peur. Quand j'ai sentis le bout
de son sexe contre mon anus, j'ai failli gémir, mais ma gorge nouée ne laissait passer aucun son.
- Regarde ma colombe... Tu voulais le voir se faire niquer... Ne perds rien du spectacle... Regarde le nous offrir sa rosace toute
plissée... Regarde comme il se cambre bien... Et son trou... Son anus tout serré... Regarde comme il brille sous la lumière... Il palpite comme une bouche...
C'est lui qui m'a tiré doucement vers sa verge. Son gland bien dur et très chaud a poussé sur mon anus. La pointe de son pieu pressait de plus en
plus fort ma corolle inviolée. L'arabe est revenu plusieurs fois à la charge, me tirant de plus en plus fort sur son pieu et mon anus a capitulé pour s'ouvrir difficilement sous les poussées
viriles. J'ai sentis son gland déflorer mon intimité glissante et sa verge très dure s'est enfoncée lentement en moi m'arrachant des cris aigus de douleur. J'avais le souffle coupé.
- Vas doucement mon chéri. Montre lui que tu n'es pas un sauvage... C'est incroyable de voir comment un si petit orifice peut avaler ta
bitte mon amour... Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusqu'à la garde?
- Ne crains rien ma colombe, je suis sûr qu'il aime justement les sauvages. Regarde comme son trou s'ouvre bien. Il n'a pas changé. J'ai
comme l'impression qu'on va bien s'amuser ensemble. Il crie peut être fort mais il ne fait rien pour éviter ma bitte... Je vais le niquer jusqu'à l'os devant toi ma colombe...
- Vas-y mon amour, sodomise le, je veux tout voir. Je veux tout apprendre... Toutes les femmes aimeraient voir un homme devenir
femme...
- Celui là, il y a quinze ans, c'était devenu une vraie pute... À la fin, On l'appelait Damia...
- Incroyable que je ne me sois aperçue de rien du tout... Je devais être trop amoureuse de toi mon chéri... Vas-y montre moi comment on
sodomise un homme...
Il a commencé à me tringler en poussant de plus en plus loin et mon cul répondait parfaitement en s'élargissant souplement. Je n'avais plus mal et
son gland ouvrait mes entrailles chaudes. Je me suis laissé défoncer devant Sylvie en gémissant de plaisir.
- Regarde le... Une vraie femelle des rues... Il faut bien balancer les hanches d'avant en arrière et pousser de plus en plus fort... À
chaque poussée, ma bitte entre de plus en plus loin...
Khaled me tenait à taille et allait de plus en plus vite dans mon ventre. Ses couilles lourdes tapaient les miennes.
- Je vais bien te niquer... Ton cul s'est bien ouvert... Regarde ma colombe, comme il s'offre à mes coups de queue... Tu vois il a toute
la longueur dans son ventre... Et il aime ça...
Il a écarté mes fesses pour que Sylvie puisse voir la bitte coulisser le long de ma rondelle dilatée. J'allais à la rencontre de ses coups de reins
pour que sa bitte aille le plus loin possible. Jamais je n'aurais pensé que cette bitte m'avait autant manqué. Je me suis laissé sodomiser devant Sylvie en gémissant de plaisir. La pieux de
l'arabe tapait le fond de mon ventre m'arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir. Je sentais son sexe devenir de plus en plus dur, de plus en plus épais.
Je savais que Sylvie ne perdait rien du spectacle que nous lui offrions. Moi je me concentrais sur le plaisir retrouvé de me faire casser le cul. Je
redevenais la salope d'antan. Les couilles lourdes de l'arabe tapaient de plus en plus vite contre les miennes. Je me cambrais, visage levé vers le plafond. Je serrais le bord du canapé de toutes
mes forces en gémissant. Il m'a tiré vers lui de toute ses forces me faisant crier de douleur.
- Je vais le remplir à ras bord..
Son foutre a jailli dans mon ventre. Les jets chauds me remplissaient le fion et moi je me tordais de plaisir. Il a lâché toute sa semence tout au
fond de moi. Mon cul était collé contre son bas-ventre et je me laissais remplir les intestins jusqu'à ce que l'arabe se soit complètement vidé les couilles devant sa femme. Il s'est enfin calmé
et je restais immobile en tremblant toujours empalé sur son sexe vigoureux.
- Dorénavant, tu dois obéir à ma femme... Tu feras tout ce qu'elle te demande... C'est elle ta patronne...
Quand il est sorti, mon anus lubrifié à recraché un peu de sperme. J'avais oublié cette sensation de vide et de manque quand on n'a plus rien dans
le cul.
- Voilà ma colombe... Tu vois qu'on ne t'avait pas menti en te disant que ton ex-copain aimait se faire niquer...
Sylvie a approché le goulot de la bouteille de coca contre mes lèvres. J'ai bu avidement sans la regarder. J'avais un peu honte, mais en même temps
j'étais soulagé. Elle a bien vu que je bandais. Elle avait la voix très douce.
- C'est bien Damien, J'ai jamais eu un homme soumis. Je vois que tu as apprécié le sexe de mon homme... Mais ce n'est pas encore
finis... Ne bouge pas... Garde la même position...
Je suis resté sans bouger, ne comprenant pas bien ce qu'elle voulait. Rien ne se passait et mon anus relâchait lentement le sperme de Khaled qui
coulait le long de l'intérieur de mes cuisses. Un courant d'air dans la pièce. Quand je veux me retourner pour voir ce qui se passe, Khaled me bloque la nuque sur le canapé. Sylvie
reprend:
- Il parait que tu aimes offrir ton cul au premier venu... tu vas être servi... Il me faut une autre leçon...
Je devine que nous ne sommes plus seuls. Sylvie se met à parler en arabe. Du ton hautain d'une maîtresse de maison. Quelqu'un se place derrière moi.
Un bruit de fermeture éclair. J'ai juste le temps de dire non avant qu'une queue inconnue m'empale brutalement. Je crie de douleur. Douleur et surprise de me faire prendre sans aucun
préliminaire. La bitte me semble énorme. Je ne sais pas qui est en train de me planter une queue d'une telle dimension. Mes yeux s'embuent de larmes et j'entends à peine Sylvie:
- Tu es en train de te faire enculer par notre chauffeur et il a été particulièrement bien doté par la nature...
Je gémis comme une femme sous les coups de boutoir de l'inconnu. Moi le dirigeant d'entreprise, marié à une femme que j'adore, père de deux enfants,
j'étais en train d'offrir mon cul au premier inconnu devant mon ex-copine. Le pire du ridicule, c'est que j'avais toujours ma veste, ma chemise et ma cravate. Le gland tape durement au fonds de
mon ventre me poussant contre le dossier du canapé. Je ne peux rien voir mais je sais que Khaled et Sylvie regardent la scène et l'arabe me serre toujours la nuque pour que je subisse la loi de
son chauffeur.
- Tu vois ma colombe, une fois qu'on l'a ouvert, un cul s'habitue vite aux plus grosses tailles...
Je gémis de plus en plus fort. L'inconnu me fait mal et je crie sans pouvoir me retenir. Il m'écarte les fesses au maximum pour bien montrer mon
trou dilaté. Un coup de reins d'une violence inouïe et un torrent de liquide dans mes entrailles dévastées. Les jets sont interminables et mon cul se rempli à nouveau de semence virile. La bitte
reste bien fichée au tréfonds de mon ventre. Nous restons immobile quelques secondes. Sylvie dit quelque chose en arabe. La bitte sort rapidement. Je lâche un pet. Un nouveau courant d'air dans
la pièce. Un bruit de porte. Khaled lâche ma nuque. Je m'écroule sur le dossier. Devant mes yeux embués, la main de Sylvie. Un tampon périodique qui se balance au bout de sa ficelle.
- Met le lui ma colombe... Il ne faut pas qu'il tache ses vêtements... Et on n'a plus besoin de son anus pour le moment...
Elle me l'a planté dans le fion encore ouvert jusqu'à la ficelle. Mon trou l'a accueilli sans problème. Elle avait le même ton autoritaire que son
mari.
- Retourne dans la salle de bain... Tu trouveras une djellaba... C'est bien plus pratique que ton costume... Bien sûr tu gardes le
tampon...
Dans la luxueuse salle de bain, je n'ose pas me regarder dans la glace. je ne pense à rien. J'agis comme une automate. Après une douche brûlante,
j'enfile en tremblant le vêtement propre et frais. Le tissu est très fin, presque transparent. J'ai mal au ventre et la ficelle entre mes fesses, me gêne. J'ai envie de jouir. Je retourne dans le
salon. Ils sont à table en train de manger le dessert. Je me joins à eux. Il y a une énorme corbeille de fruits au milieu de la table. Je n'ose pas parler ni les regarder. Sylvie me tend une
banane.
- Mange, il faut que tu prennes des forces... Tu dois aimer les bananes...
Impossible d'ignorer le sous-entendu avec ce fruit. Sylvie appuie sur une sonnette devant elle. Quelques secondes à peine et la porte s'ouvre. C'est
le maître d'hôtel. Bien sûr il me regarde. Mais il reste impassible même en découvrant mon pantalon, mon slip et mes chaussures sur le sol devant le canapé. Il va jusqu'à les ramasser pour les
porter dans la salle de bain avant de revenir vers nous.
- Tarek?
- Oui Madame?
- Notre invité souhaite un fruit un peu plus consistant qu'une banane. Pensez vous pouvoir lui trouver quelques chose?
- Bien sur Madame, nous sommes ici pour satisfaire tous les désirs de nos clients. Surtout quand ils sont les invités de Monsieur et
Madame... J'ai déposé ce que Madame souhaite dans la salle d'eau... Si Monsieur et Madame souhaitent autre chose, toute l'équipe reste à votre disposition...
Il part en refermant la porte. Sylvie se lève et vient à mes cotés. Un de ses mains fraîches se glisse dans l'échancrure de la djellaba pour me
pincer la pointe de mon sein.
- Je suis vraiment contente que tu sois là... Je sais que tu reviendras souvent parmi nous... Il faudra habituer ta femme, je te préfère
complètement épilé... Mais il nous reste encore du temps... Je vais me refaire une beauté...
Khaled me regardait et je ne savais pas quoi dire. Il s'est levé au bout de quelques minutes. Je l'ai imité. Je sentais que tout cela ne finirait
pas comme cela. Le tampon périodique occupait toute mon ampoule anale. Il avait du absorber les spermes. La ficelle me grattait. L'arabe m'a flatté les fesses comme on flatte la croupe de son
chien.
- Tu vas aller te mettre à genoux face au canapé...
Il m'a suivi sans lâcher mon derrière.
- Maintenant tu te penches... Plus que cela... Le torse sur le canapé... Écarte tes bras... Je te veux offert et aussi soumise qu'une
bonne pute...
Il est venu près de moi, a retroussé la djellaba jusqu'à la taille, m'en couvrant la tête. De moi-même, j'ai écarté les jambes. C'est lui qui m'a
débarrassé l'anus du tampon. Sensation de soulagement.
- Il est prêt ma colombe...
J'ai cru qu'elle voulait à nouveau me faire sodomiser par son mari. Je ne voyais rien avec le tissu sur ma tête. J'ai reconnu son parfum. Je n'ai
pas compris ce qu'elle faisait. Khaled a pressé sur mes fesses m'obligeant à baisser un peu mon derrière. J'ai reconnu les douces mains de Sylvie qui ouvraient mes fesses. Puis un truc froid
contre mon anus. C'est Khaled à présent qui tenait largement ouvertes mes fesses. Le truc froid poussait contre mon anus. Je ne comprenais pas ce qui se passait.
- C'est bien ma colombe... Comme cela... Pousse maintenant...
La pression contre mon anus augmente rapidement pour devenir assez forte. Le truc froid ouvre ma corolle. J'ai gémi. Je ne comprenais pas ce qui
entrait dans mon intimité mais c'était épais, très épais. Les larmes ont jailli tandis que je serrais les dents.
- Vas-y pousse ma colombe... N'aie pas peur... Pousse encore...
- J'ai peur de lui faire mal...
- Non au contraire plus il crie plus il bande...
Le pilon a ouvert brusquement mon muscle anal, m'arrachant un cri de douleur. Je commençais à comprendre ce qui m'arrivait. La personne derrière moi
ne me pistonnait pas et se contentait de pousser pour m'enfoncer l'engin au plus loin possible.
- J'arrive pas plus loin...
- Mais si ma douce... Tu vas y arriver... Donne un grand coup de bassin... De toutes tes forces ma colombe...
J'ai brusquement cru que mon ventre avait explosé sous la pénétration du monstre froid et gluant. J'ai hurlé. En même temps, Sylvie s'est collée sur
mon dos. Les yeux injectés de larmes de douleur, j'ai sentis sa main chaude tenir mon sexe dressé contre mon ventre.
- C'est vrai que tu aimes ça et que tu bandes... Il y longtemps que je rêvais de t'enculer Damien... Depuis qu'ils m'ont raconté...
J'ai fait fabriquer ce gode spécialement pour toi par un des artisans du souk...
Elle ne bougeait pas. Son bassin bien collé contre mes globes tendus. Moi j'attendais que la douleur s'estompe en cambrant bien mes reins. Elle a
lâché mon sexe...
- C'est incroyable que tu puisses bander avec ce que tu as dans ton cul... C'est un slip avec un godemichet... Le gode a la même taille
que la bouteille de Coca... C'est Mourad qui m'a dit que tu arrivais à marcher avec un tel engin dans le cul... Maintenant je vais te sodomiser comme un homme... Ici, ils disent je vais te niquer
comme une kahba...
Elle a commencé à me limer et je voyais mille étoiles dans les yeux. J'avais mal, très mal et envie de jouir. Mon visage frottait
contre le tissu du canapé. La bite de plastique coulissait de plus en plus vite et Sylvie trouvait le bon rythme pour me dévaster les intestins.
- C'est vrai que tu as le trou comme un hall de gare...
Elle haletait et donnait des coups de reins de plus en plus violents. À chaque fois le bout du gode me tapait le fond et me faisait sursauter de
douleur. Cela a duré longtemps, très longtemps. J'avais mal et ma bitte tendue n'arrivait pas à cracher. Et toujours sa voix douce à mon oreille:
- Ça te fait quel effet de te faire enculer par une femme? Tu sens comme t'es dilaté? Tu as vingt-cinq centimètres dans le cul... Après
ça tu pourras plus t'asseoir...
Les pointes de ses seins contre mon dos. Ses jambes fines contre les miennes... Son souffle dans mes cheveux... Et sa violence à me défoncer
l'anus...
- Tu sais que ce slip se retourne? Tu vas voir...
Elle arrête et me libère. Je n'arrive pas à me lever. Mal au ventre, au cul et honte de bander. Je suis debout. Khaled regarde en souriant. Le gode
de couleur chair est tâché. C'est bizarre une femme avec un gros sexe tendu. Elle se débarrasse du slip. Le retourne. Le gode est maintenant à l'intérieur du slip. Ce n'est pas du tissu mais
une espèce de latex.
- Je suis sûre qu'il est parfaitement à ta taille ce slip...
C'est elle qui me l'enfile. Je me contente de lever une jambe après l'autre. Elle remonte le slip le long de mes jambes. Bien sûr le gode est du
côté des fesses. Il est froid dans ma raie. Khaled l'aide à peine, uniquement pour m'enfoncer de nouveau le gode dans mes reins. Le slip en latex noir me serre. Le gode fiché en moi m'oblige à me
pencher pour atténuer la sourde douleur dans mon ventre.
- Tu vas le garder jusqu'à ce soir... Tu vas rester chez nous dormir... Mourad viendra aussi et tu seras ma femelle bien
obéissante..
La djellaba retombe. Le maître d'hôtel entre. Il me regarde en souriant très obséquieusement.
- Vous ramasserez les vêtements de Monsieur dans la salle de bain et les ferez livrer chez nous.
- Bien Madame...
- Monsieur va avoir un peu de mal à marcher... Il faudra lui faire traverser la salle lentement...
- Je propose à Madame de faire passer Monsieur par les cuisines... Les commis comprendront puisqu'ils ont vu le cadeau de
Madame...
- Pourquoi pas, je vous autorise même à leur montrer, mais personne ne touche... Allez va Damien suis le... À ce soir...
J'ai obéi à ses ordres en bandant.
FIN
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