SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Mardi 8 décembre 2 08 /12 /Déc 02:54

parce que le distributeur de préservatifs était souvent vide !

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BRUXELLES :

Après avoir perdu ma virginité, après avoir découvert le plaisir de l'enculage avec un bisexuel expérimenté de 49 ans , vous pensez bien que je ne voulus pas en rester là.

Je retrouvai plusieurs fois de suite mon amoureux. Il m'emmena dans les clubs gay, ceux où la police fermait les yeux sur la présence de mineurs, à cause de l'influence qu'avaient certains clients au plus haut niveau. C'était avant l'hystérie collective provoquée par l'affaire Dutroux. Le club le plus sélect s'appelait "Les Délices de Sodome", il se trouvait dans une superbe propriété campagnarde à 15 km du centre ville.

Je bavardais avec lui et lui ouvrais mon coeur, car ce brave type alliait en lui tendresse et érotisme. Je lui disais que j'avais une copine qui était amoureuse de moi, que je n'avais pas envie de la laisser tomber mais que je me demandais comment faire. Il me dit que c'était fréquent, lui même aimait sa femme et la baisait encore assez souvent.

moi j'écoute ...il est plus mon coach que mon amant maintenant

   Love to serve YOU, CRUEL ALPHA SONSIR.

— "Le temps est notre plus grand ami, il arrangera tout, ne t'en fais pas, tu verras comment tout peut se concilier."

Je lui avouai qu'en fait j'avais envie de baiser avec des garçons de ma classe, que je pensais à certains en me masturbant, mais que je ne savais comment m'y prendre pour en séduire l'un ou l'autre. Sa réponse en substance fut la suivante:

— "Il y a beaucoup plus de garçons qu'on ne pense qui ont la même envie. L'art est de le détecter. Si quelqu'un se montre homophobe en parole, cela veut parfois dire justement qu'il en a envie. Idem si quelqu'un blague souvent sur le sujet ou simplement en parle. C'est parfois un signal qu'il donne. Alors il faut sauter sur l'occasion, et avec le temps, c'est de plus en plus facile." 

 

 

 

Peu de temps après, j'eus cette occasion qui se présenta. Il y avait à l'école un vietnamien , un adopté, qui s'appelait Cédric et qui me faisait particulièrement bander. Un après-midi, il était venu chez moi et nous étions seuls à la maison. On écoutait de la musique dans ma chambre et on s'éclatait ensemble. Pourtant on n'avait pas pris de joint, mais il y avait une atmosphère d'excitation. C'était l'époque où le  ministre de l'éducation nationale avait   fait installer partout des distributeurs de préservatifs. C'était évidemment l'objet de toutes les conversations dans l'école, d'autant plus que le préfet était passé dans toutes les classes pour nous faire un petit sermon sur la beauté de l'amour, que c'était quelque chose de sérieux et patati et patata. En même temps, il disait que la prévention du sida était aussi une urgence, et que c'était la raison pour laquelle, on avait installé le distributeur que l'on sait. Il nous faisait quand même confiance et savait que nous agirions avec la maturité requise dans cette affaire. Tout était embarrassé dans son discours, d'autant que dans les premiers temps, le distributeur fonctionna énormément et qu'il était souvent à vide. Voilà le contexte de cette histoire.

Mon copain vietnamien, Cédric, me dit alors: 

 

 

— "Le sida, c'est d'abord une affaire de pédés. Et comme il y en a de plus en plus... Je ne sais pas où on va, mais ce que je sais, c'est qu'on y va tout droit."

— "Tu as l'air au courant," répondis-je, amusé [prêt à saisir l'occasion].

— "Je vais te raconter que moi-même, je l'ai échappé belle à la dernière retraite {religieuse], à laquelle, toi, je ne sais pourquoi, tu n'es pas venu. Il y avait pour nous surveiller un pédé. Il m'a fait des propositions, en me disant que c'était courant, que ça ne me rendrait pas homo, mais que c'était bon de savoir quand même ce que c'était. Bref, tout un baratin. Je lui ai dit que ça ne m'intéressait pas et finalement, il m'a laissé tranquille." 

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— "Donc tu as dit non, c'est bien, on ne sait pas sur qui on peut tomber."

— Oui, mais il n'y a pas que ça, vraiment je n'avais pas envie. Tu aurais fait la même chose, non?"

— "Oui bien sûr, tu me connais."

— "Bon mais voilà où on en est? Mais pourquoi je te raconte ça?"

Il se trahissait en parlant ainsi et je me demandais comment j'allais faire pour faire l'amour avec lui, car j'en avais de plus en plus envie. Une demie-heure plus tard, on revint sur le sujet et c'est moi qui commençai:

— "C'est quand même fameux ton histoire de l'autre jour..."

Et lui hypocrite:

— "Quelle histoire?"

— "Le surveillant pédé."

— "Tu ne vas pas aller clabauder ça partout, j'espère?"

— "Non, mais pourquoi tu m'as raconté ça?"

Il se mit à rire.

— "Mais je ne sais pas, moi. Où est-ce que tu veux en venir?"

À moi de rire.

— "Et toi?"

Alors le rire fut franchement partagé, un rire plein de sous-entendus. Il fit une dernière dérobade:

— "Parlons d'autre chose..."

Alors je m'enhardis:

— "Je ne peux pas, je t'aime!"

De nouveaux rires et éclatements.

— "Bon, mais alors?" Dit-il en renversant la tête.

— "C'est comme ça."

— "C'est donc comme ça?"

Il enleva son T-shirt, en blaguant:

— "C'est 1000 balles la passe!

— "Viens sur mes genoux..."

Son torse était superbe, pas un poil, le parfait mignon, type asian boy. Je dis:

— "Cédric, mon amour," et lui donnai un baiser dans le cou, en lui touchant les seins.

Il soupira, puis enleva son froc et son slip et courut vers le mur pour s'appuyer dessus, debout et me tournant le dos, la tête contre les bras.

— "Que tu es beau," lui dis-je...

menfromtheweb: Check out my blog and follow me for more fit guys http://menfromtheweb.tumblr.com/ Love to serve YOU BOTH, CRUEL SONSIRS.  

 

Love to serve YOU, CRUEL SONSIR.

 

 

dudesandtoons: Jensen Ackles Love to serve YOU, CRUEL SONSIR.

 

DAMIEN http://www.gai-eros.org/w/index.php/Histoire_de_Damien_(2)

 

 

 

 

 

 

 

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La part de vérité du récit : .

 

Scandale sexuel dans un collège bruxellois : les silences de la presse belge


« Le silence a assez duré. » L’hebdo M-Belgique a décidé de briser un tabou journalistique en Belgique - M-Belgique

«  Une jeune fille dérangée et nymphomane.  » Ces mots ont été prononcés par une source anonyme dans le quotidien Sudpresse le 3 mai dernier. La jeune fille en question : une mineure impliquée dans une activité sexuelle de groupe, en marge d’une retraite spirituelle organisée par un des collèges les plus huppés de Belgique, le collège Saint-Michel. Sexe, bourgeoisie, catholicisme  : le cocktail était trop puissant pour que la presse résiste longtemps à la tentation de faire éclater le «  scandale  » au grand jour.

Il y aurait des «  pressions politiques  »

Avis aux lecteurs

Exceptionnellement, je n’ai pas intégré les liens vers les articles cités, après avoir pris l’avis du Conseil de déontologie, car la question se poserait de savoir si ces liens pourraient être interprétés comme étant de «  nature à révéler l’identité de mineurs  ». Cela dit, ces articles sont désormais publics et peuvent faire l’objet de commentaires journalistiques.

Quatre jours plus tard, un autre quotidien, Het Laatste Nieuws, lâche la bombe  : la source anonyme est un ministre fédéral, non nommé dans l’article, du gouvernement Di Rupo. Et puis  ? Rien. En tout cas dans les médias d’information. Car sur les réseaux sociaux, le nom supposé du ministre circule à toute vitesse, relayé sur YouTube par un député en mal de visibilité (la vidéo a été retirée «  suite à une réclamation d’ordre juridique  »). On est à trois semaines des élections et ce silence de la presse devient vite suspect aux yeux de l’opinion publique  : il y aurait des «  pressions politiques  ».

Certains médias réagissent. Dans un édito, Sudpresse se défend de vouloir étouffer l’affaire  :

«  Certains hurluberlus ont prétendu que ce ministre faisait pression sur les médias et la justice. C’est inexact.  »

Dans La Libre Belgique, on relaie le communiqué de presse des parents de la jeune fille «  qui n’est pas dérangée comme certains l’ont prétendu  » mais on explique aussi que «  la loi protège de la curiosité mineurs et victimes d’infractions sexuelles  ». Infraction sexuelle, des jeunes qui partouzent  ? Oui, s’ils ont moins de 16 ans, il est admis que leur consentement n’est pas valable. Même s’ils ont tous moins de 16 ans.

Het Laatste Nieuws, enfin, affirme avoir des soupçons sur le fait qu’un ministre a usé de son pouvoir pour étouffer l’affaire mais ne peut révéler le nom du ministre sous peine de violer la loi sur la protection des mineurs.

Exit donc toute interrogation sur l’identité de la source qui a diffamé la jeune fille.

«  Comment vérifier  ?  »

Le Conseil de déontologie journalistique (CDJ) prend alors l’initiative d’envoyer un courrier à tous les responsables de rédaction rappelant les prescrits légaux et leur posant la question de l’opportunité d’évoquer un cas pareil  : «  Il ne s’agit au départ que de l’éviction de mineurs d’une école  », nous explique André Linard, secrétaire général du CDJ. Ce dernier nous parle d’une «  semaine très dense  » au cours de laquelle il a été «  fort sollicité par des journalistes qui l’interpellaient à titre individuel  ». Le malaise est grand. Et le silence assourdissant.

Mais l’affaire a aussi traversé la frontière et commence à éveiller la curiosité en France. Dans sa revue de presse internationale sur France Culture, Thomas Cluzel constate que «  la presse marche sur des œufs  ». Peu embarrassé par les circonvolutions de ses confrères belges, Thomas Cluzel donne le nom du ministre concerné et cite un blogueur belge, Marcel Sel  :

«  Pouvons-nous accepter un tel mépris de la dignité des femmes de la part d’une vice-première ministre ?  »

Jean Quatremer, journaliste de Libération en poste à Bruxelles, interpelle de son côté un journaliste qui l’interviewe dans l’hebdo belge Moustique  :

«  Trouvez-vous normal qu’un ministre balance des informations infamantes à la presse sur une mineure […] ? Tout le monde connaît son nom, il circule sur le Net, mais personne n’ose le dire.  »

C’est précisément cette sortie de Quatremer qui démange l’auteur de ces lignes. J’appelle des responsables de rédaction et le CDJ pour connaître leur position en vue d’écrire un article de réflexion sur la déontologie à l’œuvre derrière « l’omerta ».

La position du CDJ, exprimée le 21 mai par André Linard, est claire  : «  Je ne vois pas comment, à ce stade, on pourrait donner le nom du ministre concerné sans enfreindre la loi.  » La mission d’informer est périlleuse en la matière :

«  C’est un dossier complexe, où rien n’est blanc ou noir. C’est ce qui rend ce cas d’école très intéressant d’un point de vue déontologique.  »

Thierry Dupierreux, rédacteur en chef du quotidien L’Avenir, se dit «  coincé  » dans un dossier «  pollué  » par le fait que les deux journaux à la source de l’affaire, Sudpresse et Het Laatste Nieuws, se citent l’un l’autre. «  Comment vérifier  ?  » Un débat a bien eu lieu à la rédaction, précise Thierry Dupierreux, mais les contraintes légales sur la protection des mineurs rendent impossible tout travail journalistique.

« D’intérêt public que le lecteur soit informé »

Thierry Fiorilli, rédacteur en chef-adjoint de l’hebdo Le Vif/L’Express, ne s’est par contre pas senti lié par la loi sur la protection des mineurs  :

«  Si on avait eu la certitude qu’un ministre avait fait pression pour étouffer une affaire, on l’aurait sorti. Mais on a les mains vides.  »

Mon quatrième interlocuteur est Vincent Liévin, rédacteur en chef de l’hebdo M-Belgique. «  Je ne peux pas te parler de ce dossier, et tu comprendras bientôt pourquoi  », me dit-il. Je pige alors que lui n’a pas «  les mains vides  », contrairement aux autres, et qu’il va sortir l’affaire. Je décide de reporter mon article pour tenir compte des nouveaux éléments à paraître.

L’article de M-Belgique sortira seulement ce vendredi 30 mai parce qu’il été lu et relu par plusieurs avocats, selon mes informations. Il est intitulé «  Pour le collège Saint-Michel, #c’est Joëlle  !  » Le hashtag fait référence à un buzz se moquant de la vice-première ministre Joëlle Milquet sur Twitter. L’auteur de l’article, Marcel Sel, blogueur déjà cité sur France Culture, affirme que le «  silence a assez duré  ». Pour sortir du bois, l’hebdo publie un mail du directeur du collège adressé à son conseil d’administration  :

«  Je tiens à signaler ici, avec toute la considération que je garde pour elle, que parallèlement à mes propres paroles, sur la même page, j’ai la preuve que madame Milquet elle-même a fait des déclarations à la presse.  »

M-Belgique a donc la preuve... qu’un témoin affirme détenir une preuve. Mais Marcel Sel déclare avoir aussi «  un témoignage qui corrobore cette version  ». Ce serait donc Joëlle Milquet, vice-première ministre, ministre de l’Intérieur, ministre de l’Egalité des chances, qui a décrit la jeune fille de la partouze comme «  dérangée et nymphomane  ». Le cabinet de Joëlle Milquet, sollicité par M-Belgique, a indiqué «  ne pas réagir aux rumeurs  »  : c’est la seule réaction qu’a obtenu M-Belgique de sa part.

L’hebdo a semble-t-il savamment pesé le pour et le contre avant de livrer le nom de la ministre  :

«  Nous estimons qu’il est d’intérêt public que le lecteur soit informé que, selon ce mail et ce témoignage, une ministre s’en serait prise, volontairement ou non, à un(e) adolescent(e) tout en préservant son anonymat. A tout le moins, un personnage public confronté à de telles accusations devrait répondre aux questions du public.  »

Le couvercle a sauté, le débat est lancé.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par DAMIEN - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 8 décembre 2 08 /12 /Déc 02:47

et aussi après le fist mais...

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Par DEVIANTART - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 décembre 1 07 /12 /Déc 02:30

un courrier de Bernard, un vrai bottom passif pas inactif    

  merci Bernard !

 

"sur cette  drague j'ai dû me faire baiser mille

fois souvent sans même se désaper Bernard Bottom Bourgogne (BBB)" 

fois      

  Le sauna ça marche par tous les temps. le résultat n'est quand  même pas garanti ! et puis le sauna ça reviendrait cher ! La drague ça ne marche que quand il ne pleut pas, mais c'est gratuit sauf les temps d'attente et j'ai donné ! ...-lol-  

Enfin le retour du soleil.... ça commencait à être long ces jours de pluie...  

    Aujourd'hui je me motive donc à aller dans un des lieux de drague gay. En fait le seul que je fréquente.
    Bon passif j'adore le sexe et les rencontres en tout genre, même sans grand résultat.. De toutes façons, si vous cherchez le-grand-amour-toujours, c'est pas sur la drague que vous risquez de le trouver ! ici il n'y a que des coeurs d'artichaut.

J'arrive donc en cet endroit qui attire tranquillement son lot de gays et surtout de bisex à ce que j'ai compris avec le temps. Je ne fais aucune différence et surtout je peux pas savoir exactement dans l'anonymat de la drague. Ici c'est tranquille, je le répète, mais il convient d'être prudent, on ne sait jamais : seul, caché, loin de quiconque...il y a eu peu d'agressions ici, mais une ou deux à ce que je sais, genre vol et vêtements lacérés.

 Je me faufile dans un des petit sentiers solitaires jamais fréquenté par les promeneurs  on  n'y rencontre que des gens motivés ! En poursuivant vers  l'autre côté du site c'est encore plus calme et discret, la végétation abondante permet de se cacher d'éventuels regards indiscrets...de temps en temps un voyeur...mais j'essaie toujours que le voyeur approche même s'il ne fait que regarder voire participer -lol- et  de convaincre mon partenaire que c'est ok et encore mieux à 3.

Dans un éclat de rire je dis toujours : " les baiseurs doivent baiser et les voyeurs doivent voir !" 

Il y en a qui fuient dès  qu'ils se pensent observés. Je l'admets et peux les comprendre, mais moi qui n'aime pas les photos prises avec les téléphones portables en catimini, je les préfère près de nous. Et puis, un souvenir visuel -et charnel -lol- -c'est un témoignage secret qui immortalise dans les têtes la scène et pour toujours ! ...une SUR-existence ! ...

Je ne voudrais pas que l'on croie que je "dore la pilule" et la première personne que je vois est un vieux avec son vélo, pas très bandant, lui est content de me voir mais là, l'incroyable c'est qu'il est vénal !  s'il croit à quelque chose avec moi il rêve ! Cela dit sans la moindre once de racisme, même avec les derniers événements dramatiques.

 

    L'atmosphère des lieux de drague me plaît et je commence à être bien excité, j'ai envie de bite et mon coeur bat. Je m'enfonce dans la "petite jungle", j'arrive à hauteur d'un mec 35 ans environ typé genre maghrébin qui promène son chien...il fait mine de passer, je continue mon chemin. On entend une des rares voitures derrière nous sur cette route qui finit en impasse  6km plus loin. Un peu plus loin dans les fourrés, j'aperçois une ombre, je m'approche de lui.  Le mec se tient debout, immobile, à peine 40 ans, il est très grand et mince, il me fixe du regard, la main posée sur son paquet. Je me rapproche, lui dis "salut" mais il ne répond pas, et déboutonne son pantalon, le baisse laissant apercevoir une belle bosse dans son slip...Je m'agenouille à sa hauteur, commence à embrasser cette bosse qui continue de durcir sous le tissu, sa bite devient dure comme du roc et son gland dépasse désormais la ceinture du slip. Il baisse son slip. Sa queue se libère d'un coup tellement sec qu'elle me cogne le visage: il bande comme un taureau. Je l'enfourne direct, tenant sa base avec ma main et faisant des allers et retours avec ma bouche, elle est bien grosse comme j'aime (j'ai un faible pour les TBM), et je me délecte de cette sensation d'en avoir plein la bouche.
-"Elle te plaît?"
- "Oui, trop"

Il me tient la tête de ses deux mains et me baise littérallement la gueule. D'un coup, il me relève et me retourne . Il baisse mon pantalon, mon boxer descend en même temps, faisant apparaitre mes petites fesses affamées. Ni une ni deux, il se baisse et me lèche mon trou avec une langue bien agressive, je tressaille de plaisir et me tortille dans les buissons, tout en lui tenant la tête par derrière car c'est très fort.
Il se relève, me colle encore plus, je n'ai pas le temps de rien dire...je sens son gland à l'entrée de mon cul, il pousse un coup sec, je pousse un cri, il me tient les bras, c'est limite un viol mais j'aime ça. Il me pilonne, je mouille mon cul et sa queue avec ma salive sans interrompre ses allées et venues. Je commence à prendre un vrai plaisir, je suis tout chaviré je gémis et même crie un peu au rythme de ses coups de reins...tant mieux si ça attire autour de nous...je n'espère pas déclencher une tournante, mais...

C'est alors que paraît mon ami Marcel... la bite à la main et putain quelle bite! Juste sublime, bien que circoncis (je prefere les non circoncises) elle est majestueuse, très epaisse 6 cm et très longue, un bon 22 23 cm... Mon actif me tourne alors me laissant la possibilité de sucer Marcel tout en continuant à me faire prendre...Putain que c'est bon, j'adore....j'ai du mal à le sucer ce bougre de con de Marcel !  elle est bien grosse.

Mon actif se retire d'un coup sec, me tourne vers Marcel de façon à ce que les rôles s'inversent et me présente sa bite qui vient de me bourrer devant ma bouche: en deux secondes il me largue sa sauce...c'est ça le "feu de l'action" :  j'avale !

        Marcel devant mon trou ouvert connaît le chemin et il n'a pas de raison de se faire prier : sa méga bite à la main, tendue comme un glaive se place naturellement dans mon trou, déjà bien dilaté par le précédent mais sa bite est bien plus large et longue et je la sens passer.- hmmmmh- L'autre type se casse et mon ami me baise alors comme un dieu, il me rapproche d'un arbre où je peux me tenir, car à chaque coup de hanche j'ai l impression que je vais exploser, putain quel actif, et quelle bite! Il me nique à fond pendant quelques minutes puis se retire, me prend la tête et m'enfourne sa queue brûlante, j'ai pas le temps de reprendre mon souffle que, sans me demander mon avis, il me jute en pleine face, une vraie douche de sperm....
Je suis aux anges...je re-suce sa bite qui ne débande pas...en la revoyant je me dis que je bats à chaque fois mon propre record niveau taille, elle est vraiment énorme...Marcel me tend un sopalin.

Aujourd'hui on n'aura pas le temps de parler : il n'a plus de raison de rester et son copain l'attend à la maison. C'est un vrai tyran, toujours à questionner, surveiller. Ca explique les tenues de Marcel qui se fringue de manière archi neutre à commencer par des slips de la mode d'il y a 20 ou 30 ans, ce qui ne l'empêche pas d'être toujours bien propre.

"Je te laisse" me dit-il en me caressant les cheveux ..."tu as du travail" ajoute-t-il en constatant les dégâts qu'il a causés -lol-  -"Salut" -" salut Marcel, à la prochaine" -"ouais"

Je dois faire le ménage, hyper content d'avoir à le faire. C'est une belle aprèm, un beau jour.   

     

 

  ci-dessous photos du net qui disent assez que toutes les dragues homos se ressemblent

jouissez bien de la vôtre !   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

  -"tu suces jusqu'au bout ? "

Je réponds "oui" en hochant la tête  

 

    d

  

 

 

 

d

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par BOTTOMBERNARD - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 décembre 7 06 /12 /Déc 04:22

kidnapping par des marginaux sans foi ni loi  

 

 fais attention !  les "jeunots" comme toi sont guettés par  des obsédés sexuels

“Bring me a six pack and some smokes and we can talk about it faggot.”

 

Nice portrait dude, but don’t you think your family and friends might notice that you have another man’s cock and cum on your stupid fucking faggot face???

 

Marcel était surexcité. Depuis que Gérard leur avait balancé sa petite idée, il

 

n’attendait plus qu’une chose : pouvoir se marrer et, surtout, faire ce qu’ils avaient décidé de faire.

 

Ce con de Gérard avait toujours des plans pas possibles, mais il fallait bien reconnaître que, dans la

 

catégorie des obsédés sexuels, il lorgnait très fort sur le psychopathe. Et c’était ça qui plaisait à Marcel 

 

   “Fuck, here I am again on a filthy men’s room floor. Big, hot man’s dick in my mouth. I know I should leave; but I think I’ll go all the way down on him until I start gagging and he shoots a huge load down my queer throat.”

 

 

 

_ J'te demande si t’as envie de te faire pomper le dard, gamin !

 

L’Yvan fronça les sourcils, pensant peut-être qu’il s’agissait d’une question piège.

 

_ Je… Je comprends pas… Je…

 

_ J'vais te faciliter le choix, mon mignon : tu préfères que je te suce ou que je claque tes

 

petites couilles jusqu’à en faire de la purée ?

 

Le jeunot, les yeux plus ronds de stupeur que jamais, crucifié à poil à ce crochet et

 

cette vieille machine industrielle, ressemblait à une sorte de tableau obscène. Il transpirait comme

 

pas permis et bandait toujours aussi dur. Le choix, pour évident qu’il pouvait paraître, prit encore

 

quelques secondes. Et puis :

 

_ Je… je préfère être sucé !

 

Il se passa un moment de silence pas croyable… avant que les quatre vagabonds

 

n’éclatent de rire, sans trop savoir pourquoi d’ailleurs. Gérard se calma le premier et s’approcha    

encore, jusqu’à pouvoir toucher leur prisonnier.

 

_ OK, gamin ! J'vais te faire une démonstration de pompage de noeud… Le genre qu’on

 

voudra tout à l’heure !

 

Visiblement choqué par ce qu’il entendait, l’Yvan ne disait plus rien. Il regarda

 

Gérard se pencher en avant et prendre sa bite dans la bouche. Marcel le vit se raidir. Il craignait

 

sûrement que leur chef le morde ou lui fasse mal. Mais, très vite, il leva les yeux au ciel en

 

poussant des soupirs de gonzesse.

 

Gérard n’avait pas plaisanté : il s’était mis à le sucer pour de bon, à la manière d’une

 

pute suçant son client ! Comme leur prisonnier avait plutôt une petite queue, leur chef n’eut aucun

mal à le téter : le gland ne devait même pas toucher le fond de sa gorge !

 

Les trois comparses s’approchèrent pour mieux mater cette fellation. Un truc de fou !

 

Jamais Gérard n’avait fait ça. Fallait croire que le jeunot l’inspirait ! Ou l’endroit… En tout cas, il y    

allait franchement et faisait gémir l’Yvan de plus en plus fort.

 

Au bout d’un moment, il se mit à lui caresser les couilles d’une main, un tétin de

 

l’autre. Là, l’étudiant soupira et respira très fort. Et une vingtaine de secondes plus tard, le voilà qui

 

rouvrait de grands yeux effarés.

 

_ Non… Attendez… Stop !… Je… je vais… ça… ça va venir ! Je… Non ! Arrêtez ! Ça

 

vient ! Ça vient !!

 

Ils étaient là, à attendre, au spectacle, que ça vienne, justement ! Marcel, comme ses

 

 

potes, ne fut pas déçu : Gérard recracha la petite bite bandée, la prit dans sa main et la branla en

 

caressant ses couilles plus fort.

 

_ Ââh ! Ââââhh !! ÂÂÂâââhhhhh !!!

 

Une giclée de sperme jaillit brusquement du gland, monta très haut et retomba sous

 

les pieds de leur prisonnier. Gérard partit dans un rire énorme et sadique, continua à pomper le dard

 

avec sa main, à presser les couilles pour en extraire le jus.

 

Ça gicla ! Encore et encore ! Des jets blancs et crémeux qui éclaboussèrent le torse

 

du jeunot, qui allèrent s’écraser sur le sol crasseux, sous ses pieds. Marcel le vit serrer les orteils,

 

serrer les dents, gémir en jouissant. Tendu comme la ficelle d’un string dans le cul d’une rombière,

 

le jeunot se faisait traire. La main de Gérard ne laissait dépasser que le gland, qui finit par laisser

 

couler les dernières gouttes de foutre sur ses doigts.

 

_ Hahaha ! Putain de bordel de chierie de merde ! J'crois que j'viens de t' donner la giclée de ta vie, gamin ! 7

 

“Thank you. That was a meal to remember.”

 

 

 dans l'ambiance des marginaux kidnappeurs (libres illustrations du thème)  par le net 

 

“Since you can’t seem to stop staring at it; why don’t you go down on it and suck me off.”

 

“This is a little lesson about what it takes to be the office boy around here faggot.”

 

“What’s a matter. Ain’t you never seen a faggot suck two cocks at once? It happens all the time.”

  

 

      Wonder which one is the homo?

 

  “You gotta be a pretty skanky faggot to be on your knees down here wanting to blow me. Don’t feel bad, I get blowed down here lots.” 

 

  “I always leave homos speechless, full of cum and with a sore throat.” 

 

“Fuck, you’re not the first faggot to faint.”

 

“What’s wrong with you faggot? I invite you into the stall, I show you my dick, you get on your knees, but your still not blowing me.”

 

 

“You know you want it pussy boy.”

 

“Watcha looking at? The homo is just doing what comes natural to him.”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

“I hope you like the way it smells and tastes when you go down on me.”

 

 

“OMG, I think I might have died and gone to heaven.”

 

 

“Why don’t you come over here and bend over. I have something for you that I’m sure you are going to like.”

 

 

“Yes, you can.”

 

 

I love the way this man always shows me a good time when I come over to visit him.

 

 

 

Par dark-gemini.com - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 5 décembre 6 05 /12 /Déc 07:28

comme les gang bangers l'auteur ne s'occupe pas du sort de la victime 

  allez visiter le site : 

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REGARDE : tu te rappelles le gars de l'autre nuit...

 

 

"à un moment... _ J’ai comme l’impression que ça commence à lui plaire…

 

_ Non ! Ça ne me plaît pas… Aââââhhh !… Ça fait trop mal !

 

Dédé partit dans son rire de hyène. Il avait les deux mains sous leur prisonnier.

 

Sûrement qu’il lui caressait les couilles et la bite en même temps.

 

_ Mais si, ça lui plaît, de se faire défoncer la rondelle, cette petite tapette maso !

 

_ Non ! C’est pas vrai ! Non !

 

Mais sa voix n’était plus aussi affirmative. Et son cul remuait de plus en plus

 

lascivement alors que Dédé s’activait en ricanant de plus belle.

 

_ Oh que si ! Yerk ! Yerk ! Et même que t’adores te faire tripoter les tétines, hein, mon

 

 

mignon ? Et tu sais quoi ? Tu vas gentiment sucer mon pote en même temps !

 

Devant, Roger glissa sur ses fesses jusqu’à se mettre à la bonne place. L’Yvan

 

n’avait plus qu’à baisser la tête pour prendre la courte queue dans sa bouche.

 

_ Non ! Je veux pas !… Je veux paAÏÏÏEEEE !!

 

L’anus du jeunot serra brusquement la bite de Marcel plus fort. Il se douta que son

 

copain venait de faire mal à leur victime. Il en eut vite la confirmation en paroles :

 

_ Écoute, petit merdeux ! Ou tu suces gentiment mon pote pour le faire gicler sur ta petite

 

gueule de bourge et je continue à te branler… Ou je pince tes tétines jusqu’à les arracher ! T’as le

 

choix, tu vois ?

 

Quand Marcel vit l’étudiant nu qu’il sodomisait se pencher en avant pour prendre la

 

bite de Roger en bouche, il sut qu’il ne pourrait plus se retenir très longtemps. Il chercha à se 

 

concentrer pour faire durer son plaisir plus longtemps… En face de lui, la gueule de Roger, aux

 

anges… Ses râles et ses soupirs de bonheur… Les bruits humides que faisait le jeunot tandis qu’il le

 

suçait… Les rires de Gérard, bien placé pour assister au spectacle… Les commentaires vicieux de

 

Dédé qui devait toujours caresser les couilles et la queue du prisonnier.

 

_ Plus vite ! fit soudain Roger. Ça va v'nir !… Ouais !… Comme ça !… Ouais ! C’est bon !

 

… C’est bon ! Putain, ouais ! OUAAAAIIIISSSS !!!

 

_ Beeeerrkkkk ! C’est dégueuuuuuuu !!

 

dark-gemini.com© 25

 

Les yeux révulsés, la queue serrée comme dans un étau chauffé au rouge, Marcel

 

s’arrêta brusquement de respirer. Ça y était ! Il giclait lui aussi ! Avec un éblouissement comme il

 

n’en avait jamais eu de sa vie ! Il remplissait les boyaux du jeunot avec des jets de sperme qui

 

semblaient ne pas devoir s’arrêter !

 

 

Il connut un plaisir long, intense... "

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 ... le syndrome de Stokholm ...

 

 

   

 

 

 

 

 

 

   

 

 

 

 

rickraunch: You cried in school when bullies humiliated you, now you beg them to do it and show you what a wimp you are.

 

 

badboy4evr: The faggot dreamed of heaven and he got his wish

 

 

 

 POUR L'AMBIANCE  illustrations libres du net par cavaillongay 

 

 

 

 

 

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